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Salope de belle-fille – Chapitre 3




SALOPE DE BELLE-FILLE. Chapitre 3 : Je ne devrais pas, mais…

Comme Jade ne me repousse pas, j’y vais franchement et empoigne son Mont de Vénus à pleine main, le compas de ses jambes s’ouvre comme par magie, appelant à encore plus d’engagements.

J’arrive enfin au petit anneau de son cul, remonte pour écarter ses lèvres intimes et titiller son bouton… Elle mouille aussitôt. Ça devait la chauffer depuis un moment pour être déjà aussi trempée… Est-ce le petit intermède de cette nuit qui l’a mise dans un tel état de désir ?

J’excite adroitement le clitoris débusqué, son corps se soulève comme sous la houle. Ma main ne quitte pas ce lieu paradisiaque, mais pour le plaisir des yeux, je rabats avec mon autre main le drap. Quel spectacle de redécouvrir sous le soleil matinal sa peau un peu mate qui contraste avec le drap de lit tout blanc. Je redécouvre aussi ses formes gracieuses de jeune femme qui prend soin de son physique… Mais mon regard est vite attiré par sa foufoune que je boufferais bien volontiers.

Je vais tenter une descente vertigineuse : ma bouche abandonne la sienne pour se consacrer à un sein dont j’aspire et lèche le petit bourgeon qui gonfle illico sous ma sollicitation. Je passe à l’autre pour ne pas faire de jaloux puis descends embrasser et lécher son ventre plat, ce qui m’amène tout doucement au centre du compas que forment ses deux jambes.

Pour plus de facilité, je la saisis aux chevilles que je remonte le plus haut possible en les écartant pour avoir le meilleur accès à sa chatte juteuse qui attend mes baisers. Je plaque ma bouche ouverte sur le sexe en feu, lèvres contre lèvres. Ses gémissements de plus en plus sonores m’encouragent à persévérer et de peur que j’interrompe mon cunni, Jade place ses mains sur ma tête, me poussant à aller plus fort, plus loin et ma foi, je n’y vois aucun inconvénient…

Lors de notre inoubliable nuit de folie il y a deux ans, je n’avais pas eu l’occasion de découvrir ce lieu et cette fois-ci, je ne vais pas m’en priver. Elle va devoir découvrir ce qu’un homme mûr peut faire à une jeunette qui lui laisse la voie libre… Je vais y mettre toute ma science et mettre sa patience à rude épreuve.

J’asticote du bout de ma langue son clitoris gonflé de désir, lape ce jus divin qui suinte de sa vulve, en lèche l’intérieur en essayant de suivre les pulsions qu’elle ne peut contrôler de son bas-ventre et suis fier des râles de Jade qui me font sentir que je suis sur la bonne voie. Il y a quelque temps que je n’ai plus connu de sexe de vingt ans et je retrouve le bonheur de mes débuts.

Je ne sais pas pourquoi, mais ces pensées inopportunes me font songer à mon fiston que je suis en train de cocufier bien que ce n’est pas moi qui en suis le responsable (enfin… Si on veut).

J’ai comme un moment de doute et la repousse, mais elle ne l’entend pas de cette oreille. Jade se jette à genoux devant moi et entreprend de faire tomber mon bas de pyjama. J’essaie de le retenir alors elle glisse une main entre lui et mon ventre pour se saisir de ma bite qui déforme depuis déjà un bon moment l’avant du falzar. Que voulez-vous que je fasse ? Je lâche tout et elle a tôt fait de tout mettre à l’air.

Je vois son regard d’envie quand elle plonge sur ma queue et l’embouche, me pompant avec la fougue de la jeunesse. Y a pas, elle aime ça, mais il va falloir qu’elle améliore un peu sa technique. Je peux lui proposer des cours du soir.

Jade lève les yeux, guettant mes réactions, cherchant à me donner le plaisir maximum. Je la guide et en bonne bru, elle écoute les conseils de beau-papa… Elle me fait fondre, quel pied je prends !

La belle gosse a quand même quelques difficultés avec ma bite d’un diamètre conséquent. Des rides de contrariété apparaissent sur son front, car je suis très résistant et qu’il lui faut beaucoup de persévérance pour arriver à ses fins. Je me vide enfin en longs jets dans la bouche de Jade qui ne recrache pas !!!

Je redescends enfin sur terre, bien ennuyé d’avoir pour la deuxième fois profité de la compagne de mon fils. Mais que faire ?!!

C’est elle qui l’a voulu, elle pompe divinement, et je crois lui avoir donné du plaisir… Mais pourquoi ne le prend-elle pas avec Damien ?

Je remonte mon pantalon, bandant encore comme un bouc, lui donne une dernière bise chaste et quitte sa chambre en jetant un dernier coup d’il. Elle s’est étendue lascivement sur le lit, nue, petite chose fragile abandonnée, les yeux clos et les cuisses ouvertes. Quelques reflets humides reflètent les rayons du soleil au creux d’une fourche sombre. Si je n’avais pas peur que mon fils revienne de son footing et nous surprenne, je…

Que faire maintenant ? Feindre d’ignorer ce qui vient de se passer ou alors essayer d’aller plus loin ? On se croise dans la maison, une légère gêne m’étreint quand nos regards se croisent. Eprouve-t-elle la même chose ?

La journée s’écoule lentement, repas en commun, début de soirée et je me retrouve comme d’habitude, seul devant la télé. Je suis sur le point de l’éteindre quand j’entends de petits pieds nus trotter sur le sol. Petit pipi de ma bru ? Je fais semblant de m’être assoupi. Je l’observe entre mes paupières, cette fois elle est complètement nue avec une nuisette qui me cache encore moins de choses que la veille. Elle se penche et je lui offre ma bouche qu’elle fouille d’une langue impatiente. Je ne réagis pas. Elle se saisit de ma main qu’elle glisse sous sa nuisette. Je ne peux plus faire semblant de l’ignorer et glisse deux doigts dans sa fente qui tournent et s’activent dans sa grotte si accueillante. Il ne me faut que quelques allers-retours pour que mes deux doigts soient imprégnés de cyprine. Jase écarte ses jambes qui flageolent, lâchant un soupir, mais comme la veille, elle me laisse tomber avec une trique d’enfer. Ah la petite salope ! Elle ne perd rien pour attendre…

Je lèche mes doigts, ivre de son odeur, en fantasmant sur ce que je lui ferai subir… Enfin j’espère…

Le lendemain matin, même topo que la veille, tout le monde part au travail. Moi je dois être au bureau pour 10h00. Vite une douche, un petit-déj et en voiture. La salle de bain doit être libre. OK… personne ! Je me mets à poil et rentre sous la douche. J’ai à peine le temps de me savonner que Jade entre dans la pièce.

Alors beau-papa ! Vous avez réussi à débander depuis cette nuit ? Je peux ?

Quelle hypocrite et quelle salope !!! Elle entre dans la douche sans même retirer sa nuisette et glisse sa main sur mon corps pour saisir ma verge, il ne lui faut guère de temps pour avoir entre ses doigts ma queue tendue comme un arc. Nonchalamment, elle commence à jouer avec comme si elle tripotait n’importe quel objet, le branlant doucement. J’attends stoïquement la suite.

Alors ! Il paraît que vous n’êtes pas qu’un vieux bouc. J’ai entendu des histoires sur vous et j’ai cuisiné Damien et ses cousins et cousines pendant des mois, puis j’ai fait une enquête encore plus poussée. Si la moitié est vraie, j’ai entre les mains la queue d’un véritable étalon !

Aïe, aïe, aïe ! Mon passé me rattrape. Que lui répondre ?

Ecoute Jade… Euh… La seule façon de te faire ta propre opinion, c’est de…

Euh oui, la seule solution pour savoir, c’est de… Rejoignez-moi dans ma chambre.

Elle sort de la douche et se dirige vers sa chambre. Je me sèche vite fait et la suis complètement à poil.

Je la retrouve étendue sur le lit, nue et offerte. Je ne perds pas de temps et m’approche, pose mes fesses sur le bord du lit et explore son corps, je commence par son ventre, ses hanches, ma main remonte frôle son sein gauche et termine sur sa nuque. Je l’attire à moi pour l’embrasser. Mon autre main fait le sens inverse, s’attarde sur le mamelon droit, j’empaume le petit globe, le pressant délicatement, laissant le téton dressé s’insinuer entre mon majeur et mon index. Je le coince et le sens durcir.

Jade a empoigné mon outil, bientôt prêt à travailler.

Mmmhh que c’est bon ! Ouiii, continue !

Ma main reprend sa descente, frôle sa hanche, revient sur sa cuisse qu’elle parcourt jusqu’au genou avant de remonter en glissant vers l’intérieur, sa peau lisse et soyeuse est très agréable au toucher. J’arrive au duvet à peine perceptible qui entoure un volcan prêt à entrer en éruption. Je vois bien qu’elle attend avec impatience que je m’occupe de sa foufoune, mais je veux exacerber son envie au-delà de sa résistance. Mes caresses évitent son pubis en en faisant le tour, frôlant à peine ses grandes lèvres, faisant un détour vers son anus. Elle me provoque en écartant autant que possible le compas de ses jambes, en une invite à passer la vitesse supérieure. Mais je continue à exacerber ses terminaisons nerveuses jusqu’à ce qu’elle me supplie. Jade abdique enfin :

Putain ! Vous savez vous faire désirer. Vous auriez dû donner des cours à Damien ! Aaahhh ! Je n’en peux plus… Bouffez-moi la chatte ! Je crève d’envie de retrouver les sensations que vous m’avez fait connaître hier.

Ses mots ne sont pas très érotiques, mais je suis arrivé à mes fins et Popaul commence à s’impatienter entre les doigts de la jeunette. En bon petit soldat, je me penche pour embrasser son ventre plat que je lèche d’une langue qui en apprécie le goût légèrement salé de cette peau encore ferme. Pendant de longues minutes, ma bouche et ma langue se promènent, tantôt sur ses seins que je veux honorer, en tétant la pointe érectile de l’un ou de l’autre, ses lèvres, son cou revenir plus bas, encore plus bas… mais sans jamais explorer sa fente ou suinte quelques gouttes.

Je n’en peux plus bordel ! Bouffe-moi la chatte, je t’en supplie ! Tout de suite !!! Tu me rends folle !

Elle vient de me tutoyer sans même s’en rendre compte. Je crois qu’elle est à point. Je glisse mes mains sous ses petites fesses et les soulève sans effort pour venir coller son pubis à ma bouche. Je donne de petits coups de langue sur les lèvres, encore et encore, continuant à en faire le tour sans jamais vraiment lécher l’intérieur de sa fente luisante ou encore moins son clitoris qui pointe comme une petite bite. Elle en bave d’envie et sa chatte est complètement trempée.

(Il faudrait bien qu’un jour, je fasse l’arbre généalogique de Patrick et de sa famille. Qu’en pensez-vous ? Si vous me le demandez, je m’y attelle. L’auteur.)

A suivre…

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