Histoires érotiques au travail Premières histoires de sexe

Police xstory (2) – Catfight Club (1ère partie) – Chapitre 1




A son arrivée dans le bureau du capitaine Bertrand, Marie-Charlotte du Plessis-Lacourt devenue pour tous ses collègues le lieutenant Charlotte Lacourt attendait de découvrir en quoi consisterait sa première mission.

Elle fut agréablement surprise en apercevant Ludovic Savignac, avec lequel elle avait fait l’amour la veille, lors de son test pour intégrer l’unité d’infiltration de la Brigade de Répression de la Criminalité Sexuelle. Lui aussi semblait avoir gardé un bon souvenir de ses ébats avec Charlotte, si elle en jugeait à la chaleur avec laquelle il l’embrassa.

— Charlotte, pour votre première mission, vous ferez équipe avec Ludovic, lui annonça le capitaine. Voici ce dont il s’agit. Nous avons eu des informations concernant une salle de sport installée en banlieue, qui organiserait, en dehors de ses heures d’ouverture, des combats de femmes. Elles se livrent à une lutte, chacune devant déshabiller son adversaire, et la perdante doit se soumettre aux exigences sexuelles de son adversaire parfois même du public.

— Rien de vraiment nouveau, intervint Ludovic, on trouve ce genre de spectacle dans des vidéos sur internet, notamment sur le site d’Ultimate Surrender.

— Effectivement, et rien de très répréhensible, reprit le capitaine Bertrand, si ça se passe dans le cadre de soirées privées avec un public adulte, et des combattantes majeures et consentantes. Mais ce qui est plus préoccupant, c’est que certains combats mettraient aux prises des filles qui se sont faites piéger, et qui sont à la merci du gang propriétaire du club. Il y aurait notamment de belles migrantes, en situation irrégulière, ou des jeunes femmes en détresse. Je compte sur vous deux pour tirer cette affaire au clair, et il sera sans doute nécessaire que Charlotte infiltre le club, pour que nous puissions les prendre en flag et démanteler tout le gang.

— Tu es OK pour cette mission, Charlotte?, lui demanda Ludo.

— Bien sur!, répondit-elle sans la moindre hésitation, heureuse de réaliser enfin son rêve de jeunesse.

— Bien. Je ne vous retiens pas davantage. Au travail, conclut le capitaine Bertrand.

Charlotte et Ludo sortirent tous les deux ensemble du bureau, et rejoignirent l’open space de leur unité. Passé le moment d’euphorie que lui avaient procuré son intégration et l’annonce de cette première mission, elle commençait à se demander comment elle allait s’y prendre. Mais Ludo lui fit vite oublier son inquiétude.

— J’ai eu des infos sur cette salle de sport par Karim, un de mes indics, qui la fréquente. Je ne lui ai pas fait part de nos soupçons, mais comme il est très bavard, il m’a laissé entendre spontanément que le spectacle offert par les filles qui se battent était très hard. Manifestement, les patrons prennent aussi des paris des spectateurs. Si tu veux, je t’emmène sur place, pour te montrer les lieux de l’extérieur.

— Oui, bonne idée, acquiesça Charlotte. Ça va  me permettre de me mettre l’endroit dans la tête.

Ils prirent une voiture banalisée, dans la cour de l’immeuble abritant la brigade. Celle-ci bénéficiait d’un parc composé pour beaucoup de voitures qui avaient été saisies avec quelques limousines et voitures puissantes, bien utiles lors des opérations d’infiltration, mais pour l’instant, Ludo se contenta d’une modeste 307.

Ils rejoignirent une banlieue plutôt morne, vouée sans doute à une prochaine opération de rénovation urbaine, avec des pavillons des années 60, quelques petits immeubles vétustes, et d’anciens bâtiments qui avaient du être occupés par des entreprises.

La majorité de ces bâtiments paraissait plus ou moins à l’abandon, mais sur l’une des bâtisses en briques on pouvait voir une enseigne plutôt discrète: SALLE DE SPORT fitness, musculation, sports de combat. On n’arrivait pas ici par hasard!

— Je vais aller voir si c’est ouvert, pour essayer de me renseigner, dit Ludo. Je pense qu’il est préférable que j’y aille seul et que tu m’attendes dans la voiture.

Il descendit de la 307 garée un peu à l’écart, et se dirigea vers la salle de sport. D’après les horaires affichés sur la porte, elle était ouverte, et il était demandé au visiteur de sonner. Ludo repéra une caméra de surveillance, juste au dessus de la porte, et appuya sur la sonnette.

Un homme d’une trentaine d’années, athlétique, vint lui ouvrir, et il se présenta comme un client possible de la salle. A l’intérieur, quelques clients s’activaient sur des appareils de musculation.

— Je peux vous demander qui vous a recommandé notre salle?, demanda l’homme à Ludo, en lui remettant une brochure avec les activités, les tarifs et les horaires du club.

— Mais oui, répondit Ludo. C’est Karim, vous voyez qui c’est?, répondit Ludo avec un sourire engageant.

— Bien sur, un de nos fidèles adhérents, reprit l’homme, manifestement mis en confiance par le nom de l’indic.

— Pour ne rien vous cacher, il m’a aussi parlé de spectacles de lutte féminine

— Je vois Le Catfight Club, ce sont des soirées privées. Si vous êtes intéressé, il y a une adhésion spécifique de 1000 euros à régler en liquide, et 300 euros pour assister à chaque spectacle.

— Mais oui, ça m’intéresse. Je veux bien m’inscrire dès maintenant, si c’est possible.

Heureusement, Ludo avait sur lui la somme d’argent, prélevée sur les fonds dont disposait l’unité d’infiltration pour ce type de mission. Il déclina une fausse identité, et l’homme qui s’appelait Bob lui établit une carte d’adhérent, en lui indiquant qu’une soirée avait lieu le lendemain, à 22 heures.

Il rapporta fidèlement à Charlotte ce qui venait de se passer, et ils retournèrent au bureau pour peaufiner leur stratégie. Ils décidèrent que Ludo irait seul assister aux combats féminins, et qu’il chercherait à nouer des contacts.

— J’ai une idée, proposa Charlotte, tu pourrais demander s’ils ne cherchent pas des filles pour lutter, et proposer ma candidature.

— Pour ne rien te cacher, répondit Ludo, c’est bien ce que le capitaine et moi avions en tête, mais on attendait de voir si tu te proposerais.

Pour les deux policiers, le reste de la journée et le lendemain se passèrent en recherches diverses, et en réflexion sur divers scénarios. Et le soir, Ludo se rendit au Catfight Club.

Comme la veille, il sonna à la porte de la salle de sport. Cette fois, ce ne fut pas Bob qui vint lui ouvrir, mais un autre homme, plus âgé, au physique de catcheur, qui ne donnait pas envie de plaisanter. Il vérifia sa carte d’adhérent, empocha les 300 euros en liquide, et lui indiqua une porte métallique qui donnait sur un escalier.

Ludo descendit en sous-sol. La salle dans laquelle se déroulaient les combats avait été aménagée de manière presque luxueuse par rapport au reste du bâtiment. Un grand matelas de 5 mètres sur 5, éclairé par de puissants spots, occupait le centre de la pièce. Tout autour, un peu en retrait, des chaises entouraient ce tatami improvisé, et une trentaine d’hommes étaient déjà arrivés.

Parmi eux, il reconnut Bob, qui vint lui souhaiter une bonne soirée, et il s’aperçut qu’il était en fait le manager de la salle.

Dans un angle plus sombre, une porte menait aux vestiaires des combattantes. Elle s’ouvrit, et une femme blonde aux cheveux courts, en microshort et débardeur moulant fit son entrée. Elle paraissait âgée d’un trentaine d’années, grande, particulièrement musclée malgré sa minceur. C’était l’arbitre.

— Bonsoir messieurs, lança-t-elle d’une voix forte. Ce soir, nous vous présentons deux combats seulement, mais de haut niveau. Vous allez voir des lutteuses que certains connaissent déjà et, avant de commencer, je vous rappelle ou j’informe les nouveaux membres que, si vous connaissez des jeunes femmes sportives, aimant la bagarre et le sexe, elles seront les bienvenues. Et vous bénéficierez d’entrées gratuites pour deux soirées de votre choix.

Ludo jubilait: cette annonce allait faciliter sa démarche pour proposer la candidature de Charlotte!

L’arbitre appela les deux premières concurrentes: Ingrid et Kate, et annonça leurs palmarès. Elles avaient disputé chacune une douzaine de rencontres, manifestement dans ce club. Ingrid totalisait 9 victoires, Kate 7, et elle portait chacune une tenue sexy de lutteuse, des deux pièces de couleurs différentes.

L’arbitre rappela les règles, et le combat commença. Les deux filles étaient sensiblement au même niveau, et leur lutte dura longtemps. Au fil des reprises, elles perdaient chacune leur tour une pièce de leurs tenues, sous les encouragements des spectateurs, pour finir entièrement nues. Il fallut encore deux rounds pour que Kate arrive à immobiliser Ingrid, et soit déclarée vainqueur.

L’arbitre remit alors à Kate un impressionnant gode ceinture, qu’elle utilisa pour baiser et sodomiser brutalement son adversaire vaincue.

Au cours du combat, beaucoup de spectateurs avaient ouvert leur pantalon pour se masturber, et ils se rapprochèrent des deux femmes. Kate ordonna à Ingrid de branler les queues dressées à sa portée. Ingrid s’exécuta sans réticence, prit même quelques glands dans sa bouche, et finit par s’abandonner à un orgasme qui n’avait rien de simulé, pendant que plusieurs hommes éjaculaient sur elle et dans sa bouche.

Epuisée, Ingrid s’essuya et elle prit la direction des vestiaires avec Kate, sous les applaudissements et les cris du public.

Le deuxième combat, opposant Justine à Jenny, se déroula suivant le même scénario et, pour ne pas attirer l’attention, Ludo se masturba et couvrit de sperme Justine, la perdante.

Il se rajustait, lorsque Bob vint le rejoindre.

— Le spectacle vous a plu?, lui demanda le manager.

— Beaucoup, c’est très excitant, répondit-il. Mais j’ai entendu que vous cherchiez des jeunes femmes, pour participer à ces combats.

— Exact. Vous en connaissez?

— Je connais une fille, très belle, branchée sports de combat, qui a besoin de cash. Vos lutteuses touchent de l’argent pour se produire ?

— Oui, bien sur. Chacune touche 300 euros par match, plus une prime de 200 euros pour la gagnante. Vous pouvez demander à votre copine qu’elle m’appelle à ce numéro, ajouta Bob en lui tendant une carte avec son numéro de portable.

— OK, je lui en parle dès demain, conclut Ludo.

Lorsque Charlotte arriva à la brigade le lendemain matin, elle remarqua immédiatement une expression satisfaite sur le visage de son coéquipier, qui lui raconta dans le détail sa soirée au Catfight Club, et sa conversation avec le manager. Ils décidèrent d’appeler Bob, dès la fin de matinée.

— Allo, Bob ? Ici Ludo, nous avons parlé hier soir d’une copine, qui pourrait venir disputer des combats dans votre club. Elle est avec moi, je vous la passe.

— Bonjour, Je m’appelle Charlotte. Ludo m’a parlé des rencontres que vous organisez entre filles.

— Ça vous intéresse ?, demanda Bob.

— Si les conditions financières sont celles qu’il m’a indiqué, oui.

— OK. Pouvez-vous passer me voir disons, demain à 16 heures, à la salle de sport ?

— Pas de problème, j’y serai. A demain.

Aussitôt le téléphone raccroché, une réunion restreinte fut organisée, pour préparer Charlotte à ce premier rendez-vous, dont dépendait la réussite de son infiltration.

Sa formation sportive de base, et les séances de perfectionnement intensifs en close combat qui lui avaient été prodiguées, depuis son intégration, par la coach du GIPN, lui permettaient d’envisager sans crainte la lutte avec les filles du club. Il fallait maintenant qu’elle se mette dans la peau de son personnage, pour être prête à répondre à toutes les questions possibles.

Elle soigna aussi son look. Une teinture donna une couleur de jais à sa chevelure brune, et elle s’habilla tout en noir: minijupe et veste courte en cuir, bustier en résille sans soutien-gorge, bottines ouvertes avec des talons de 15 cm, poignets de force. Elle avait renoncé aux bas, préférant l’aspect sexy de ses jambes bronzées. Une chaîne en argent lui servait de collier ras de cou, et le tout était complété par un vernis à ongles noir et maquillage gothique qui renforçait la dureté de ses yeux bleus.

A 16 heures, elle sonna à la porte de la salle de sport, et Bob vint lui ouvrir. Il la détailla des pieds à la tête, d’un il brillant de désir, et la conduisit jusqu’au local en sous-sol où se déroulaient les combats. Une table était installée sur le côté du tapis, pour les besoins du rendez-vous, et elle s’assit face au manager. Il commença à lui poser des questions sur sa motivation. C’est alors qu’une femme blonde les rejoignit.

— Je vous présente Natacha, notre professeur de self défense qui forme notre clientèle féminine, et qui arbitre les matchs, précisa Bob, avant de poursuivre : votre ami vous a sans doute précisé que vous finirez vos combats nue, je vais vous demander de vous déshabiller, pour que nous puissions juger votre plastique.

Sans hésitation, Charlotte se leva, et enleva sa veste avec une lenteur étudiée. Se livrer à ce strip tease l’excitait déjà, et les pointes de ses seins dardaient à travers la dentelle de son bustier, qui ne tarda pas à rejoindre la veste sur le sol. Tout doucement, elle dégrafa sa minijupe et la fit glisser, découvrant un minuscule string arachnéen.

Elle marqua une courte pause, avant de faire jouer les attaches qui retenaient le string, de chaque côté du petit triangle de dentelle, tout en fixant dans les yeux le manager et l’arbitre. Juchée sur ses bottines, elle se retrouva nue, avec ses poignets de force et son collier.

— Je vois que vous pratiquez le bronzage intégral, c’est très bien, la complimenta Bob. Mais j’espère que vous savez aussi vous battre

Pendant qu’il prononçait ces paroles, Natacha et lui tournaient autour de Charlotte. Soudain, Natacha se jeta sur elle, sans prévenir, pour tester sa combativité et ses réactions.

Sans réfléchir, Charlotte retrouva ses réflexes acquis pendant les longs entraînements et les compétitions. Malgré le handicap de ses talons aiguilles, elle utilisa la force et la vitesse de l’arbitre, pour les retourner contre elle, et les deux femmes tombèrent sur le tapis. Surprise, Natacha ne put empêcher Charlotte de prendre l’avantage, et elle se retrouva immobilisée sur le sol par une puissante clé de bras.

Le manager avait suivi ce bref combat, d’un il incrédule: c’était bien la première fois qu’une néophyte venait à bout de son arbitre en quelques secondes! Cette dernière se releva, en jetant un regard rempli de haine à Charlotte.

— Je crois que le test est concluant, annonça Bob avec un sourire ironique qui finit d’exaspérer Natacha, et il fit signer une décharge à Charlotte. Nous avons une soirée privée prévue vendredi, présente-toi à la porte de la salle à 21 heures.

Elle quitta le Catfight Club, fière d’avoir rempli la première partie de sa mission, et retourna au bureau pour un debriefing. La réunion avec toute l’équipe de l’unité d’infiltration se passa dans le bureau de la commissaire Léa Gestin, et Charlotte consacra les deux jours suivants à sa préparation.

Le vendredi soir arriva. Le cur de Charlotte battit un peu plus vite quand elle sonna à la porte de la salle de sport, et elle reconnut dans l’homme qui vint lui ouvrir le grand costaud que lui avait décrit Ludo. Il la conduisit au sous-sol, où elle retrouva Bob et Natacha, en discussion avec un quadragénaire qui l’impressionna: grand, très large d’épaules, un visage à l’expression farouche, le crane rasé, il portait un costume venant de chez un grand couturier et exhibait une montre de luxe à son poignet.

— Boris, je te présente notre nouvelle recrue, Charlotte, lui dit Bob.

— Enchanté Charlotte, répondit-il, avec un fort accent russe. Ne nous décevez pas.

Natacha, la mine toujours renfrognée, emmena Charlotte dans le vestiaire, où trois autres filles étaient déjà en train de se changer. Elle lui tendit sa tenue de combat, couleur argent: un soutien-gorge triangles, un string, retenus tous deux par des liens noués, et des chaussures hautes lacées, comme en portent les boxeurs, ainsi qu’un peignoir assorti.

— Nous avons trois matchs ce soir, lui annonça l’arbitre sur un ton sec. Tu rencontreras Samantha, qui ne devrait pas tarder à arriver, et votre combat est programmé en dernier. Tu sais comment ça se passe, ton copain a du te raconter.

Natacha sortit du vestiaire, et les trois autres lutteuses se présentèrent: Carla, Jennyfer, et Jade, une belle eurasienne. Elles étaient plus ou moins grandes, mais fines et musclées toutes les trois.

— Ils ne te font pas de cadeau, pour ton premier combat, remarqua Jade. Samantha est une vraie terreur! Elle gagne pratiquement tous ses combats, et avec elle, la fille qui est vaincue déguste

Charlotte n’eut pas le temps de poser des questions aux trois filles, car Samantha entra dans le vestiaire, accompagnée de Camille, la dernière des six filles qui devaient se battre ce soir. Les cheveux teints en rouge vif et coupés en casque, elle devait mesurer près de 1m80. Sa silhouette était mince, mais en regardant plus attentivement, on remarquait la largeur de ses épaules. Lorsque Charlotte se présenta, elle lui répondit, sur un ton glacial:

— Charlotte? C’est contre moi que tu te bats ce soir, j’espère que tu ne te fais pas trop d’illusions Et je vois que tu as un joli cul, ajouta-t-elle, pendant qu’elle se déshabillait, je vais me faire un plaisir de le défoncer.

Elle ne releva pas. Elle comprit plus tard qu’elle devait à la rancune de Natacha d’être opposée à cette furie pour son premier combat, car c’était elle qui était en charge de l’organisation des soirées privées. Samantha se déshabilla, et la laissa ostensiblement admirer sa plastique. Malgré sa musculature, elle avait un corps magnifique, uniformément hâlé: de longues jambes fuselées, des fesses cambrées, une poitrine ronde et ferme, un mont de Vénus entièrement épilé et très renflé. Un tatouage représentant un aigle ornait son épaule.

Mais pour l’instant, les participantes étaient toutes volontaires, et Charlotte ne décelait rien de criminel dans cette soirée privée.

Bientôt, elles furent en tenue toutes les six. Natacha passa la tête à la porte du vestiaire, et lança:

— Camille et Jade, c’est à vous. En piste!

Les deux intéressées enfilèrent un court peignoir de soie, de la même couleur que leurs deux pièces, avec leurs prénoms brodés dans le dos, et sortirent par un couloir débouchant à côté du tapis. Du vestiaire, les quatre autres filles entendaient les cris, les applaudissements, et les commentaires du public. L’ambiance avait l’air électrique!

Jennyfer indiqua à Charlotte un châssis dans les douches, équipé d’une vitre sans tain, par lequel on pouvait voir ce qui se passait dans la salle. Elle put se rendre compte que toutes les chaises étaient occupées, et que quelques hommes étaient même debout. Parmi les spectateurs, elle aperçut Ludo, assis au premier rang.

Sur le tapis, Camille et Jade se battaient comme des forcenées. Jade avait déjà perdu son soutif, dévoilant ses jolis petits seins pointus d’asiatique, mais elle profita de l’inattention de Camille, très occupée à essayer de dénouer les liens de son string, pour arracher son soutien-gorge, provoquant les hurlements du public. Elles étaient à égalité, et Natacha les sépara.

Charlotte resta un long moment à observer les deux filles, jusqu’à la défaite de Jade. Elle vit Camille enfiler un gode ceinture, et prendre la belle eurasienne en levrette, pour la plus grande joie des spectateurs qui s’approchaient en se branlant. Tout se passait comme Ludo le lui avait décrit.

Elle retourna dans le vestiaire. Quelques minutes plus tard, Camille et Jade revinrent, nues, et Natacha appela Jennyfer et Carla, pour le combat suivant.

— Putain, qu’est ce que tu m’as mis, dit Jade à Camille, les yeux brillants. Tu m’as vraiment fait jouir quand tu m’as planté ton gode dans mon petit trou!

— Ça, c’était la vengeance pour la dernière fois, répondit Camille. Tu ne t’étais pas arrêtée, quand j’ai eu des orgasmes en série.

Elles partirent vers les douches en poursuivant leur conversation, et Charlotte resta en tête à tête avec Samantha, dans un silence pesant, seulement troublé par les vociférations du public, étouffées. Puis les deux autres filles revinrent de la douche, en tenue d’Eve, et les conversations reprirent pendant qu’elles se rhabillaient.

Au bout d’une demi-heure, les cris redoublèrent dans la salle. Jennyfer avait vaincu Carla, et la pénétrait profondément à grands coups de gode. Quelques minutes plus tard, elles étaient de retour elles aussi dans le vestiaire, à poil, essoufflées, et Natacha appela Samantha et Charlotte.

Samantha rentra la première dans la salle, vêtue d’un peignoir rouge vif, btillant, sous une véritable ovation. Manifestement, elle était bien connue du public! Puis ce fut à Charlotte de la rejoindre sur le tapis, et elle eut droit à de chaleureux encouragements des spectateurs, excités à l’idée de découvrir une nouvelle lutteuse et impatients de la voir nue.

Natacha fit les présentations.

— A ma droite, en tenue couleur argent, Charlotte, qui participe pour la première fois à l’une de nos soirées. A ma gauche, en tenue rouge, Samantha, la reine du Catfight Club, 23 combats, 22 victoires. Je vous rappelle les règles de ce match : vous devez enlever le maillot de votre adversaire, – vous avez le droit de l’arracher, de le déchirer – et vous devez l’immobiliser au sol, entièrement nue. Celle qui réussit la première est déclarée gagnante, et disposera de la vaincue à sa guise.

Au signal de l’arbitre, les deux adversaires se jetèrent l’une sur l’autre. Samantha était très souple, et encore plus forte qu’elle le soupçonnait. Charlotte parvint à rester debout un moment, mais elle finit par être déséquilibrée, et elle se retrouva allongée sur le ventre. Samantha s’assit sur ses épaules, pour l’immobiliser, et essayer d’arracher son string.

Charlotte réussit à se dégager et à se relever, mais pas pour longtemps. Samantha lui bloqua les bras derrière le dos, dénoua son soutif, et elles tombèrent ensemble. Elle se retrouva les seins à l’air, provoquant les cris de joie des spectateurs.

Samantha voulait pousser tout de suite ton avantage, et commença à dénouer son string. Pendant une fraction de seconde, Charlotte crut qu’elle était déjà vaincue. Samantha commença à la caresser, et à lui glisser un doigt dans la chatte. C’était une situation complètement inédite pour Charlotte, qui lui faisait éprouver un plaisir inconnu, mais elle réussit à se contrôler.

Au contraire, Charlotte profita d’un moment de déconcentration de son adversaire, pour se dégager, réajuster son string, et arracher le soutien-gorge de Samantha au passage. Elles se retrouvaient toutes les deux topless !

A son tour, elle prit l’avantage, et elle vint chevaucher Samantha, cherchant à l’étouffer avec son pubis plaqué sur son visage. A travers le tissu du string, elle sentait sa langue qui s’activait, pour l’inciter à desserrer son étreinte. Sans relâcher son effort, Charlotte continuait à maintenir Samantha au sol, écrasant sa fente humide sur son nez, pour lui couper la respiration.

La situation était bloquée, et Natacha sépara les deux filles. Samantha se lança aussitôt à l’assaut et, l’instant qui suivit, les positions furent inversées : au tour de Charlotte de se retrouver sur le dos, en train de goûter aux effluves qui mouillaient maintenant le string de son adversaire. Elle lui dévorait l’abricot, et Samantha, la tête renversée en arrière et les seins dressés, appréciait manifestement cette caresse buccale, si on en jugeait par les gémissements qu’elle poussait.

Toutefois Samantha ne s’abandonnait pas autant qu’elle le laissait paraître. D’un brusque coup de reins, elle déséquilibra notre policière, et  elle se mit à tirer sur son string, pour l’arracher. Charlotte tenta de la repousser, en malaxant son superbe nichon durci par l’excitation.

Malgré tous ses efforts, le tissu craqua, et elle se retrouva à poil. Elles roulèrent toutes les deux sur le sol, et Samantha se retrouva couchée sous Charlotte. Samantha branlait le clito dardé de son adversaire, et écartait les lèvres de son sexe, pour offrir sa fente dégoulinante aux regards des spectateurs en délire. C’était au tour de Charlotte de pousser de petits cris de plaisir, et elle n’avait pas imaginé à quel point il pouvait être excitant de se battre et de s’exhiber en même temps.

L’arbitre les sépara de nouveau et, dans le corps à corps suivant, Samantha parvint à dénouer un côté de son string, qui alla rejoindre les autres pièces de leurs bikinis sur le sol.

Samantha se retrouva sur le dos, cuisses largement ouvertes. Elle était trop attirante, et Charlotte plongea entre ses jambes pour fouiller sa jolie petite chatte. Elle se laissait faire, et l’encourageait même à poursuivre ses caresses.

— Oh oui, Charlotte, c’est trop bon. Caresse bien mon minou… Oui, comme ça ! Je veux sentir tes doigts dans ma fente, laisse-moi me retourner…

Oubliant toute méfiance, Charlotte se laissait entraîner par le désir que Samantha avait suscité en elle, poussé maintenant à son paroxysme. Lorsqu’elle fut totalement occupée à la branler pour l’amener à l’orgasme, Samantha se rua sur elle, et la plaqua au sol.

Charlotte était complètement immobilisée, et Samantha l’obligeait à la lécher. Excitée par cette situation, elle n’essayait même plus de me dégager, jusqu’à ce qu’elle entende Natacha compter :

-…deux, trois, quatre, cinq, six

Elle revint aussitôt à la réalité, et dans un sursaut, elle renversa la situation. Samantha qui se voyait déjà gagner, fut prise par surprise. Charlotte la plaqua sur le tapis, étendue sur le ventre, les bras immobilisés sous son propre corps. Elle empoigna les chevilles de Samantha, bloquant ses jambes repliées et largement écartées sur sa chatte luisante, et Natacha dut reprendre son décompte:

— Un, deux, trois, quatre, cinq, six, sept, huit (furieuse de la tournure des événements, elle ralentissait) neuf dix! Charlotte est déclarée vainqueur, dut-elle reconnaître, à contrecur.

Ovationnée par le public, Charlotte, en sueur, le souffle court, le rouge aux joues, se remit debout, et leva les bras en signe de victoire, faisant gonfler ses seins déjà haut plantés. Samantha se releva elle aussi, lentement, considérant d’un regard haineux la petite nouvelle qui venait de la battre.

— Maintenant, Charlotte a conquis de haute lutte le droit de pénétrer Samantha comme elle l’entend, et de la faire jouir, annonça Natacha, en se dirigeant vers une caisse posée au bord du tapis. Pour cela, elle utilisera cet accessoire!

Avec une expression perverse, l’arbitre montra aux spectateurs le gode ceinture qu’elle venait de choisir. Contrairement à ceux qu’elle avait choisis à l’issue des combats précédents, il s’agissait cette fois d’un gode double, aux dimensions impressionnantes

A sa grande déception, Charlotte ne manifesta aucune réticence. Elle saisit le double olibos, enfonça sans effort le priape dans sa fente trempée par l’excitation de la lutte, et attacha la ceinture autour de sa taille. Couleur d’ébène, l’énorme bite de résine destinée à sa partenaire semblait avoir été moulée sur une vraie, tant elle était réaliste, avec son gland renflé et ses veines apparentes, et elle se dressait à l’horizontale.

Charlotte chercha le regard de Ludo, qui lui fit un petit signe d’encouragement. Quelques chaises plus loin, le manager discutait à voix basse avec Boris, dont les yeux étaient rivés sur elle.

Elle était bien décidée à profiter de son avantage, et à se venger de cette pimbêche de Samantha, en utilisant tous les ressorts de son imagination fertile en matière de sexe. Elle ramassa le soutien-gorge rouge vif de Samantha, et s’en servit pour lier les poignets de cette dernière. Elle l’attrapa par les cheveux, et l’obligea à s’agenouiller.

— Alors, tu es prête à te faire défoncer par cet engin?, lui demanda-t-elle. Je te conseille de bien le lubrifier avec ta salive, ajouta-t-elle, en présentant l’extrémité devant la bouche de Samantha.

Charlotte poussa le gland entre les lèvres de sa victime, qui s’ouvrirent pour laisser difficilement le passage au gland sombre. Le priape s’enfonça dans la bouche de Samantha, jusqu’à buter au fond de sa gorge. Les spectateurs se levaient et s’approchaient, pour mieux voir la scène, et Charlotte, à petits coups de reins, faisait aller et venir le gode, jusqu’à ce que Samantha donne les premiers signes d’étouffement.

Tenant toujours son adversaire vaincue par les cheveux, elle se dégagea, la força à s’agenouiller, et à se présenter en levrette, cambrée. Charlotte prit position entre les jambes écartées de Samantha, guida le pénis de synthèse entre ses petites lèvres, et après l’avoir fait frotter aux portes de sa grotte, l’enfonça d’une seule poussée dans la fente humide.

Samantha ne put retenir un cri, et Charlotte se mit à pilonner sauvagement son antre, sous les encouragements du public. Ce qu’elle n’avait pas prévu, c’est que chacun de ses mouvements se répercutait dans l’autre extrémité du gode, emmanchée dans son minou. C’était délicieusement excitant, elle sentait sa grotte se liquéfier, et elle avait les pires difficultés pour ne pas extérioriser ce plaisir en gémissant.

Samantha n’avait, elle, aucune raison de se retenir, et feulait chaque fois que la queue de résine la perforait.  Plusieurs hommes se caressaient autour des deux femmes, et elle avait dans son champ de vision, en gros plan, les bites dressées de plusieurs étalons. Si ses mains n’avaient pas été entravées, elle les aurait volontiers branlées

Charlotte continua de la baiser, dans cette position, pendant de longues minutes, et elle avait renoncé à étouffer ses propres gémissements. Lorsque Samantha fut au bord de l’orgasme, elle décida de jouer avec le désir de celle-ci, en la faisant changer de position. Elle avait remarqué que la table que le manager avait utilisée quand elle s’était présentée était restée dans un coin de la salle, et elle fit signe à Bob, qui s’approcha.

— Peux-tu mettre la table à côté de nous?, lui demanda-t-elle avec un sourire pervers.

Se doutant de ce que sa nouvelle recrue avait en tête, il s’exécuta. Charlotte empoigna de nouveau la chevelure de Samantha, la fit relever, puis s’allonger sur la table, sur le dos. Elle délia ses poignets, mais pour mieux les attacher, aux pieds de la table.

Charlotte prit dans ses mains les chevilles de Samantha, la forçant à écarter ses jambes repliées. Sans même guider le gode, elle en présenta l’extrémité contre sa fente encore béante, rougie par les frottements de la longue tige.

Elle força brutalement l’entrée de la grotte de Samantha, d’un seul coup de reins, et elle ressentit instantanément, elle aussi, le contrecoup de cette pénétration dans son antre investi par le double olibos. Ce fut comme une décharge électrique, irradiant à partir de son point G, et elle poussa une longue plainte, en commençant à défoncer frénétiquement l’abricot de son ennemie.

Autour du couple, les spectateurs s’étaient rapprochés, et se bousculaient, pour toucher les seins de Samantha, se branler sur elle, mais aussi pour caresser les fesses de Charlotte, qui se tétanisaient à chaque fois que ses hanches se ruaient entre les cuisses écartelées. Même les quatre autres lutteuses, qui venaient de se doucher, les avaient rejointes, nues, attirées par le vacarme des cris et des encouragements.

— Tu vas jouir enfin, salope?, demanda Charlotte, qui sentait qu’elle ne pourrait pas retarder encore bien longtemps son propre orgasme.

— Oui Oh OUIIII ! JE JOUIIIIIS !!, hurla Samantha.

Malgré l’inconfort de sa position, Samantha avait, jusqu’à présent, relevé la tête, pour profiter du spectacle de son propre corps secoué par les assauts de Charlotte. Sous la violence du plaisir, elle s’était abandonnée, et sa tête pendait maintenant en dehors de la table. Un homme en profita pour lui planter sa bite dans la bouche, étouffant ses cris.

Charlotte, à son tour, jouit en feulant comme une lionne en chaleur. Voir les seins dressés de Samantha, parcourus des traînées de sperme de leurs admirateurs, renforçait son sentiment de victoire. Le gode continuait d’aller et venir, lentement, dans les fentes des deux femmes, dont s’écoulaient de longs filets de cyprine gluante.

Mais le public en réclamait encore plus : « vas-y, défonce la encore !!! Encule la !!! ». « Oui, il a raison, quand elle gagne, elle défonce toujours le cul des autres filles », renchérit un habitué.

Samantha releva sa tête maculée de foutre, pour lui jeter un regard implorant, sans succès. Charlotte se retira, et demanda à deux hommes présents d’empoigner les chevilles de sa victime, de les écarter au maximum, en les levant et en les ramenant en arrière. Le bassin de Samantha décolla de la table, ses fesses s’écartèrent, découvrant son illet plissé.

Charlotte avait quand même pitié d’elle, et elle prit le temps de la préparer. La vulve de Samantha était couverte de mouille en abondance, et Charlotte en enduisit ses doigts, qu’elle plongea dans l’anus exhibé ; deux, puis trois puis quatre doigts. Elle les enfonçait, les tournait, vrillant le petit trou qui s’ouvrait. Progressivement, le souffle de Samantha devenait plus court, soulevant sa poitrine qui dardait de nouveau. Charlotte n’attendit pas davantage, et présenta l’énorme gland couleur d’ébène à l’entrée de son petit cul. Elle l’enfonça d’un mouvement lent mais ample, arrachant un long cri à sa rivale, et elle se mit à lui défoncer la rosette avec force.

Était-ce le fait d’imaginer l’autre extrémité du gode dans les profondeurs du ventre de Samantha ? Toujours est-il que les mouvements du priape dans la chatte de Charlotte l’excitaient encore plus. Elle perdit tout contrôle d’elle-même et se déchaîna. Elle jouit une nouvelle fois, sans que l’orgasme apaise son désir, et continua de défoncer le cul de Samantha avec la même rage.

Les cris de celle-ci manifestaient autant le plaisir que la douleur, mais un orgasme violent finit par la dévaster. Son corps et son visage étaient parcourus de longues traînées de foutre, et elle supplia Charlotte d’arrêter, sans obtenir qu’elle se retire avant d’avoir joui une dernière fois.

Enfin, les deux femmes se séparèrent, sous les ovations. Charlotte avait manifestement conquis le public du Catfight Club, et elle détacha le gode ceinture luisant de cyprine. A côté d’elle, Samantha se laissa tomber de la table, et resta longtemps sur le tapis, étendue sur le dos. Des larmes coulaient sur ses joues, emportant son maquillage. Elle se releva enfin, pour se diriger vers le vestiaire, nue, les yeux baissés.

Le personnel du Club écarta les spectateurs qui cernaient Charlotte et, avant qu’elle ne prenne à son tour le chemin des douches et du vestiaire, le manager s’approcha d’elle et lui glissa à l’oreille :

— Bravo, Charlotte ! Tu as dépassé nos espérances. Tu n’as rien de prévu, pour la fin de la soirée ?

— Euh non, répondit Charlotte, prise au dépourvu.

— Alors, dépêche-toi de te doucher et de te rhabiller. Tu es invitée par Boris, notre big boss.

Elle eut un moment de frayeur. Elle n’avait plus la maîtrise des événements, et elle allait se retrouver séparée de Ludo et du reste de l’unité, sans moyen de communiquer avec eux. Heureusement, Ludo vint la féliciter, et elle réussit à lui faire comprendre en deux mots murmurés à voix basse ce qui se passait.

Charlotte se doucha, dans le vestiaire maintenant désert, et remit ses vêtements. En sortant, elle vit un luxueux Range Rover noir garé devant le bâtiment, phares allumés et moteur en marche. Boris l’attendait, souriant, et lui ouvrit la porte. Elle s’engouffra avec lui à l’arrière dans la voiture, déjà occupée par le chauffeur et un garde du corps.

A suivre…

Related posts

La qualité ou la quantité – Chapitre 1

historiesexe

La copine de ma fille – Chapitre 1

historiesexe

mon epouse adoree – Chapitre 2

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .