Il est aux alentours de dix-huit heures lorsque mon père et Béatrice reviennent de la rivière. Un faux calme règne dans la ferme. Karine, Catherine et Gérard sont allongés sur les transats au milieu de la cour. Le trio a bien pris le temps de se doucher pour effacer les stigmates d’une partie de jambes en l’air.
Mathieu ne tarde pas à rentrer aussi, nous sommes autour de la table pour prendre le dîner. Le regard de ma belle-mère est vide, elle regarde à peine mon père. Aurait-elle honte ? Drôle de façon de réagir alors qu’elle a cédé facilement aux avances de mon oncle.
À la fin du repas, les propriétaires de la maison regardent la télévision. Karine part se coucher, du coup mon père suit le mouvement. Gérard fait pâle figure aussi. Je me retrouve seul avec Louise. Nous nous éloignons de la propriété afin d’établir le plan. Faire en sorte que Karine et mon oncle soient pris en flagrant délit serait destructeur pour mon père.
Nous cherchons une autre solution, puis ma cousine vient d’avoir une idée complètement loufoque mais plausible. Elle dévoile son astuce que je valide. Quand soudain, le spot lumineux extérieur nous éblouit. Nous voyons Karine. Elle se dirige en nuisette en direction de la grange. Veut-elle faire bande à part le temps de réfléchir à son erreur de cette après-midi ? Pas du tout, car quelques instants après, c’est Gérard qui fait son apparition, avec un jogging basique, mais toujours torse nu.
Les fenêtres de la ferme n’affichent aucune lumière, ils ont profité du sommeil de tous pour se retrouver. Comme si cette après-midi n’était pas suffisante. Une fois de plus, avec ma cousine, nous reprenons notre rôle d’espion. Nous nous positionnons au niveau de la fenêtre cassée de la veille.
Nous avons une vue imprenable sur la pièce, de plus, elle est éclairée par des lampions lumineux. Les deux adultes discutent sur les évènements de cette après-midi. Ma belle-mère semble confuse d’avoir cédé aussi facilement, alors que mon oncle se vante de n’avoir jamais baisé une femme comme elle. Il joint un smack à ses paroles.
Une fois de plus, elle ne le repousse pas. Au contraire, elle lui rend la pareille. Décidément, elle prend vraiment les gens pour des cons. Autant, on peut pardonner une première erreur, mais une deuxième, c’est trop.
Elle continue d’avoir des regrets, elle en parle à Gérard, mais ce dernier s’en moque totalement. Il saisit les bretelles de la nuisette de Karine, les fait descendre sur ses épaules puis sur ses bras afin de faire apparaître cette poitrine généreuse. Il malaxe les seins de cette dernière qui ne tarde pas à vaciller.
Elle enlève carrément le haut de son vêtement tandis que mon oncle baisse son jogging pour faire apparaître sa bite tendue. Il la prend en main, la promène sur les seins de ma belle-mère. Cette dernière saisit la tige, puis le masturbe. Elle approche son visage, le prend en bouche.
La bite de mon oncle déforme ses joues, elle se recule un peu, titille le gland de ce dernier, puis le gobe de nouveau. Ce salaud est aux anges, il a les joues rouges de plaisir. Il positionne ses mains autour de la tête de ma belle-mère et imprime un rythme bestial.
Depuis la fenêtre, on peut entendre les clapotis de salive à chaque pénétration buccale. Satisfait de cette activité, Gérard relève Karine, puis lui enlève entièrement la nuisette. La salope, me dis-je, lorsque je m’aperçois qu’elle ne porte pas de culotte ou de string.
Mon oncle affiche un énorme sourire en voyant ceci. Il se défait de son jogging qui lui encombre les chevilles, puis retourne la compagne de mon père. Il glisse la tête entre ses fesses, puis lui offre un cunnilingus.
Avec ma cousine, nous voyons toute la scène. Karine se caresse les seins dans le même temps, puis sans prévenir, Gérard se relève. Le membre dressé comme jamais, il se frotte contre le sillon des fesses de sa partenaire, puis d’un coup de reins la pénètre. Elle pousse un petit cri de plaisir. Pour néveiller aucun soupçon, l’homme saisit un tissu et le met dans la bouche de cette dernière.
A présent, il s’en donne à cur joie. Il la défonce, le bas de son ventre bedonnant claque sur les fesses de Karine. Ne pouvant exprimer sa jouissance, la femme bave à travers le tissu.
Les va-et-vient de mon oncle sont bestiaux, il ne lâche pas sa prise, les mains posées sur les hanches, il possède totalement ma belle-mère. Il finit par la retourner. L’assoie sur une botte de paille, lui écarte les jambes outrageusement, puis la prend dans une sorte de missionnaire.
Une fois de plus, il n’est pas tendre, il donne tout ce qu’il a pour la satisfaire. Il profite de cette position pour lui dévorer la poitrine comme un mort de faim, il me semble même qu’il les mord. C’est pour cela que ma belle-mère pousse des cris stridents.
Il continue sa besogne, puis remet ses fesses à l’air. Il enlève le tissu de la bouche de Karine qui a bien du mal à reprendre sa respiration. Elle enfourne de nouveau la bite de mon oncle. Nous sommes surpris de voir que la porte de la grange s’ouvre. Il s’agit de Mathieu le propriétaire des lieux.
Qu’a pu dire mon oncle à ce monsieur qui, il y a encore quelque temps, estimait que ce genre de comportement n’était pas pardonnable. Lui aurait-il parlé de ce qui s’est passé cet après-midi ? La description, l’aurait-il fait vaciller ? Toujours est-il qu’il s’approche des deux amants à pas de loup. Voyant la scène qui se déroule sous ses yeux, et surtout les fesses de Karine l’homme fait tomber son pantalon et enlève son tee-shirt.
Sa bite est d’une taille normale, il bande tout de même comme un âne. Il pose sa main sur le cul de ma belle-mère qui est totalement surprise. Elle se relève, s’interroge, mais Gérard appuie sur sa tête pour qu’elle continue de le sucer. C’est alors que Mathieu sort une phrase surprenante « après la femme le mari ». Mon oncle, ce salaud lui a avoué que Catherine avait eu un échange corporel avec Karine.
Il serait donc ici pour se venger. Il continue de progresser dans sa manuvre, embrasse les deux globes de ma belle-mère puis se positionne entre. Il lèche brièvement son abricot, puis présente sa verge à l’entrée du puits d’amour. A son tour, il la besogne avec une bestialité incroyable, lui donne quelques claques au cul qui provoque des petits cris à Karine.
Finalement, elle semble satisfaite de ce traitement de faveur. Avec Louise, nous nous regardons avec stupéfaction.
Il la retourne, la prend aussi en missionnaire, pendant qu’elle continue de sucer Gérard. D’ailleurs, ce dernier change de position et s’offre une branlette espagnole d’un autre monde. De mon côté, cette image me provoque une érection malgré la colère. Ma belle-mère exprime son plaisir avec des « Oh oui ! Continue ! » Réguliers.
Mathieu a des difficultés à contenir son excitation, il n’a pas l’habitude de baiser une femme aussi douce et belle, il demande à Gérard de se pousser car il va jouir. La réponse de mon oncle est cinglante, puisqu’il lui dit de jouir dans les entrailles de ma belle-mère. Elle rajoute même à cette phrase des « vas-y explose ». N’ayant pas l’habitude de ce genre de traitement, l’homme exécute l’ordre. Il se répand dans le vagin de Karine.
Gérard prend à son tour ma belle-mère afin de lui offrir sa giclée comme il vient de le dire. Il la besogne quelques secondes puis explose. Essoufflé, le trio se rhabille comme il peut, puis chacun retourne dans sa chambre.
Avec ma cousine, nous montons dans notre pièce, puis comme cette après-midi, j’ai beaucoup de mal à cacher mon érection. Après une fellation rapide, nous nous allongeons, elle me rassure que demain, elle sera beaucoup plus attentionnée.
Il est dix heures en cette matinée, tout le monde est présent autour de la table sans exception. Quand soudain, Louise explose de colère. Elle explique tout ce qui s’est passé ici depuis deux jours entre Gérard et la non-réactivité de Karine. Je vois mon père se lever de table, le poing serré, il demande des explications aux deux accusés.
Mon oncle explique qu’il a eu du mal à résister, c’en est trop. Béatrice, ma tante, administre une gifle monumentale à son époux. Il tente de se rebeller en se levant, mais Mathieu le faux innocent le bloque.
Rodolphe demande des comptes à Karine. Elle se confond en larmes, s’excuse de mille mots, c’est alors que j’interviens en expliquant la scène qui s’était déroulée au bord de la rivière, que c’était déjà l’action de trop. Je confirme les propos de ma cousine sur la scène d’hier après-midi. Par contre, je ne note pas ce qui s’est passé avec Mathieu qui a certainement été manipulé.
Mon père a un regard noir que je ne lui connaissais pas, il reprend la parole. Il s’adresse à Gérard en lui disant qu’il n’a pas changé, depuis le lycée cela a toujours été comme ça. Un jaloux parce qu’il n’arrivait pas à séduire, alors sa seule arme était la taille de son sexe. Chose qui plaisait à la gent féminine. Catherine de son côté a récupéré Béatrice dans un coin de la maison afin de soulager sa colère.
Avec Louise, nous constatons qu’il n’est qu’un gros salaud. Sa fille lui exprime son dégoût par un crachat monumental. Il essaye de se lever pour lui donner une claque, mais c’était sans compter sur la dextérité de mon père qui lui a administré une droite comme jamais. Il en a le nez qui saigne, des années et des années de colère refoulée.
Je me lève pour calmer mon père en le prenant par les bras. Mais rien ny fait, il me pousse sur le côté et donne un coup de poing supplémentaire dans le visage de Gérard. Seul Mathieu avec sa carrure arrive à l’arrêter. Les deux hommes ordonnent aux deux coupables de faire leurs valises et de se barrer.
Rodolphe prend le téléphone de la maison, appelle un taxi. Celui-ci arrive au bout de quinze minutes, puis les emmène en direction de la gare la plus proche. La tension électrique baisse petit à petit dans la maison. Béatrice revient avec les yeux rougis de larmes.
Sa fille la prend dans ses bras, Catherine la suit de près. Dans le taxi, Gérard tente de cacher son nez cassé, alors que Karine sanglote comme une imbécile.
Entre-temps, mon père a prévenu les autres membres de la famille sur ce qui s’était passé. Il leur explique qu’il restera une semaine de plus à la ferme afin de faire le point sur sa vie.
Il est quasiment quatorze heures, je pars avec Louise au bord de la rivière afin de prendre du repos. Nous sommes suivis par Rodolphe et Béatrice qui en ont bien besoin.
Ils n’ont pas le cur au jeu, j’avoue que pour ma part c’est la même chose. Les deux adultes nous remercient tout de même pour notre sincérité. Ils ont décidé de nous offrir un repas au restaurant gastronomique du coin.