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Découvertes avec Pierrette – Chapitre 1




Il me semblait avoir fait une bêtise en cédant à sa prière. Pierrette était couchée sur son lit dhôpital après son accident : les deux bras plâtrés, une jambe cassée aussi. Elle nen avait pas pour longtemps dans sa chambre ; elle nallait pas tarder à sortir. Jétais venu la voir en copine que jétais à lépoque. En entrant, je lembrassai sur les deux joues pour la dernière fois.

Comment va le moral ?

Pas fort.

Pourquoi ? Tu souffre ?

Non, jai presque mal au bas-ventre.

Tu en as parlé au toubib ?

Oui. Il refuse de faire le nécessaire.

Quel est ce nécessaire ?

Jai besoin de jouir : personne ne veut me branler.

Je suis charitable.

Je ne lai jamais fait à une autre ; mais je peux te le faire, si tu y tiens.

Tu nas jamais caressé une autre fille ?

Jamais. Mais je vais te le faire.

Merci, tu es un chou. Embrasse-moi sur la bouche.

Elle me tend ses lèvres que je frôle, je ne vais pas quand même lembrasser comme un garçon !

Jouvre son lit ; elle a sa chemise remontée jusquau nombril. Je vois sa fourrure : elle écarte les jambes. Je peux voir toute sa chatte. Cest bien la première, à part la mienne, que je vois en vrai. Jen vois bien tous les détails, sans me douter que ma chatte est presque pareille. Je pose doucement ma main sur toute sa fente ; je sens que Pierrette mouille déjà de désir.

Je me mets un peu à sa place : si je devais me passer de jouir plusieurs jours de suite, je mourrais de manque. Aussi je vais mappliquer pour la faire bien jouir. Je men veux de ne pas lavoir embrassée dès le départ.

Je nai rien à chercher : elle se tend tellement quelle se donne en entier.

Branle-moi le bouton et ensuite le cul. Fais-moi bien jouir plusieurs fois.

Je trouve facilement le clitoris qui est bien sorti de sa cachette. Il me semble plus gros que le mien. Cest assez facile de caresser cet endroit. Mes doigts vont et viennent comme je le fais pour moi.

Oui, continue comme ça, même si je jouis.

Tu nauras pas mal dans ce cas.

Tu changeras un peu en me mettant deux doigts dans le con et le pouce sur le bouton.

Je fais comme elle veut ; mes doigts accélèrent lallure sur le bouton. Elle se cambre comme elle peut avant de presque crier :

Oui, encore Oui, je jouis !

Je change de doigts pour la pénétrer. Jentre le majeur et lindex dans son vagin tout mouillé, très chaud. Je la baise ainsi pendant que jagite le pouce, toujours sur le clitoris.

Quelque chose me dit de descendre le drap, même si je la branle encore. Une infirmière entre pour donner un médicament à Pierrette ; elle me regarde bizarrement pendant que je continue ma caresse.

Dès le départ de la soignante, Pierrette me sourit :

Ça ma excitée que tu me branles quand elle était là. Elle le savait, la garce… Elle aurait pu me le faire aussi !

Jouis, maintenant !

Elle ferme les yeux pour se concentrer. Moi aussi, je suis tellement concentrée sur ce que je fais que je commence à mouiller. Il me semble quelle pourrait me rendre aussi ce service.

Je la sens encore jouir. Je ne pensais jamais sentir lorgasme dune autre.

Si tu avais un bras disponible, je te demanderais de me branler aussi.

Embrasse-moi.

Cette fois-ci, je pose mes lèvres sur les siennes sans complexe. Jouvre ma bouche pour chercher sa langue : elle est bonne à lécher.

Tu naimes que les filles ?

Oui. Continue. Branle-moi le cul.

Ma main descend à peine pour atteindre son entre-fesses. Je trouve vite son petit trou. Il me semble bien mignon. À peine frôlé, je le sens se crisper un peu. Je ne sais trop comment faire : je ne touche jamais le mien. À tout hasard, je ne pose mon doigt quavec précaution. Ce doit être la bonne formule puisquelle arrive à faire venir son cul comme elle veut sur mes doigts. Je caresse à peine, comme je le ferais sur une joue dune personne gravement malade. Elle gémit comme si elle avait mal.

Oui, oui Encore Encule-moi ! Mets-moi tout ton doigt, jusquau fond.

Pour bien faire les choses, il me vient à lesprit la meilleure idée : je remets mon doigt dans son con pour le mouiller. Ensuite seulement, je reviens sur son anus et jentre lentement tout mon doigt. Je le fais aller et venir.

Oh, oui ! Que tu sais bien menculerEncore ! Lèche-moi un peu le con.

Non ; je ne sais pas faire ça et on nous verrait.

Et alors ? Jaimerais bien me montrer pendant que te me suces le con.

Non. Plus tard.

Je ne sais comment me dépêtrer de ses demandes de sexe. Alors plus tard me permet de loublier un peu.

Je jouiiiiiiiiiis !

Je lembrasse une dernière fois.

Revenue chez moi, je me mets nue sur le divan. Je nai pas besoin dun partenaire : ma main suffit à me calmer. Je me faire jouir trois fois, la dernière en me caressant le cul, ce que je fais presque à chaque masturbation. Jaurai au moins appris ça.

Et puis deux ou trois mois ont passé. Je vais chez elle un après-midi. Si nous nous faisons des bises normales sur les joues, nos lèvres se rejoignent vite. Sa main est sur ma chatte. Je ne pensais jamais quelle pourrait mexciter aussi vite. Jai envie quelle me branle à son tour.

Nous sommes nues dans sa chambre. Je suis couchée sur le dos, au centre des draps. Elle écarte mes jambes pour me caresser ; ce nest pas ce que jattendais : ses mains caressent lintérieur des cuisses. Je mouille fortement, davantage que quand un garçon me fait la même chose. Elle passe sa tête pour venir membrasser le con. Membrasser nest pas exact : cest sa langue qui se pose sur mon abricot qui, là, est bien mûr. Je sursaute quand je sens sa langue douce sur mon clitoris. Cest bien meilleur que mes doigts. Elle cesse souvent ses léchouilles pour faire durer mon plaisir. Et quand je pars, je suis plus tendue que larc de Robin des bois. Elle ne lâche pas lendroit où elle me fait du bien ; elle se sert de ses doigts pour expérimenter, à mon avis, de nouvelles méthodes. Elle me met deux doigts dans le fourreau et le pouce sur mon cul. Oh, elle ne le rentre pas ainsi. Elle me masse lanus lentement ; puis, encore plus lentement, elle le fait entrer dans mon cul. Je ne pensais jamais quun simple pouce me fasse tant de bien à cet endroit. Elle mencule fort bien, avec succès.

Elle me fait jouir dune façon remarquable. Je ne voudrais pas quelle parte de mon entrejambe. Et pourtant, elle se tourne entièrement ; je me demande pourquoi.

Elle menjambe, me donne à voir toute sa féminité de très près. Elle prend encore la mienne pour la sucer. Ma bouche se colle à sa foufoune. Je sens des odeurs inconnues et un autre goût que le mien. Cest pourtant agréable davoir son antre dans ma bouche Cest mieux quand je la sens se crisper à chaque fois quelle jouit. Je suis comme elle : je jouis sans gêne, je profite de sa langue et ses doigts au maximum. Aucun garçon ne ma donné autant de plaisir !

Cest entendu : jaime cette fille, ou plutôt jaime lamour avec elle. Nous sortons beaucoup. Pour éviter tout sentiment de possession, elle me fait aller dans des boîtes lesbiennes. Je ne sais combien damantes jai eues, toutes aussi sensuelles quelle. Je reste quand même la lesbienne obéissante ; je naime pas être celle qui assume tout. Il nous arrive souvent, trop peut être, de nous trouver à plusieurs pour baiser. Je suis devenue une fille totalement infréquentable pour les gens « normaux ».

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