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Mariés pour le meilleur – Chapitre 1




Chapitre 1 : Un nouveau chez soi

Main dans la main avec ma chérie nous attendons l’ascenseur ; le hall est clair et habillé de jolies plantes. Nous sommes fou d’amour l’un pour l’autre et marié depuis peu. Sereinement, nous commençons une nouvelle étape dans notre vie.

C’est une nouvelle ville qui se trouve à mi-chemin de nos deux emplois. Je suis professeur dans une université et Maëlle est psychiatre. À 26 ans, nous sommes tous deux accomplis et nous allons enfin poser une pierre essentielle à notre épanouissement : vivre ensemble. C’est l’accomplissement de notre amour qui dure depuis neuf ans, bientôt dix.

Les déménageurs ont fini d’apporter les derniers cartons, alors nous allons entamer la phase où c’est à nous de travailler. Ce sont des tâches ingrates qui nous attendes, pourtant nous flottons dans ce pur bonheur, de voir notre projet de vie se réaliser. L’excitation montre doucement et je commence déjà à bander. Je le fais sentir à Maëlle qui a un regard gourmand.

Impudique et démonstratif de nature, nous commençons à nous enlacer. Ma chérie me repousse jugeant qu’il fallait d’abord tester la température auprès de nos nouveaux voisins avant de se comportement comme nous aimons le faire.

L’ascenseur qui monte du parking nous donne un premier aperçu. Un couple ayant la vingtaine, un homme et une femme, et une plus jeune fille. La couple s’enlace comme s’ils voulaient se briser l’un l’autre, s’embrasse, se grimpe presque dessus. Ils ne s’arrêtent que lorsqu’ils nous remarquent monter dans l’ascenseur. Ils se rhabillent, leurs lèvres couvertes du rouge à lèvre de la jeune femme.

Si la plus jeune femme paraissait gênée un temps plus tôt, elle était maintenant soulagée de nous voir monter avec eux.

— Bonjour, est-ce que vous seriez les nouveaux voisins ?

— Oui voici Dimitri et je suis Maëlle.

— Alors bienvenue.

Le jeune homme me serre la main de façon un peu gauche. « Je suis Simon, ma petite-amie, Naomie, et ma petite sur, Estelle. »

— Merci.

— Je suis content un autre couple mixte dans l’immeuble. Pas que les gens d’ici soit particulièrement raciste mais c’est sympa.

— Pourtant c’est de plus en plus courant, mon père est d’origine japonaise et je lui ressemble beaucoup et ma mère est française.

— Ah ouais ! Votre famille connaît bien. Les miens ce n’est pas trop ça. Mais ils ont encore de l’espoir avec Estelle. »

Naomie retire son rouge à lèvres en se regardant dans la glace.

— Excusez-nous pour notre comportement, cela faisait longtemps que nous nous ne sommes pas vus. Et Simon a vraiment du mal à se retenir.

— Le manque de l’être aimé, je peux comprendre.

Faussement mélancolique, je serre Maëlle contre moi. Elle m’embrasse tendrement et rigole :

— Comment pourrais-tu comprendre nous n’avons pas été séparé plus de 10 heures depuis que nous nous connaissons ?

— Justement rien que l’idée d’être séparé de toi m’est insupportable.

Nos roucoulades donnent envie à nos compagnons de se laisser aller à reprendre là où nous les avions arrêtés. Naomie passe ses bras autour du cou de Simon. Elle se presse contre lui donnant l’impression de vouloir fusionner. C’est un très beau couple, le contraste de la peau blanche de la première et de la peau noire du second est magnifique.

Si pendant un instant, Estelle apparue captivée par notre échange avec Maëlle, maintenant elle semblait énormément agacée.

Un regard aux boutons suffit pour comprendre qu’ils montent au cinquième étage. J’appuie sur le sixième, le dernier étage. C’est un ascenseur lent, et les portes prirent du temps pour se refermer. Estelle sembla avoir besoin de parler :

— Il y a beaucoup de personnes âgées, alors ils ont programmé des temps de fermeture plus longs. Vous verrez, il est également lent pour monter.

— Je crois que les prochaines fois nous privilégierons l’escalier, cela te fera du bien mon cur.

Maëlle me regarde malicieuse. Alors je joue le jeu et prends l’air faussement offensé.

— Ce matin tu disais que mes bourrelets te plaisaient.

— Que ne dirais-je pas pour un … Bon petit déjeuner.

— Tu l’aurais eu de toute façon ton petit déjeuner.

Estelle semble aussi mal à l’aise que lorsque les portes de l’ascenseur se sont ouvertes mais avec une pointe d’intérêt nouveau. Et quand Maëlle soulève mon haut pour dévoiler mon ventre, dont les muscles sont dessinés sans plus, ses yeux s’écarquillent. Maëlle rabat vivement mon haut en souriant et nous en restons là.

Pour Maëlle, qui est collé aux tourteaux, un jeu plus intéressant se présente. Naomie commence à se frotter contre Simon, incidemment, elle se frotte également contre Maëlle. Je peux admirer sa jupe qui se relève un petit peu plus à chaque mouvement. Je jalouse ma chérie, car Naomie est plantureuse, très agréable à regarder et certainement encore plus à toucher.

Ma chérie ne reste pas non plus insensible à ce spectacle et je vois sa main jouer contre les fesses de la cochonne Naomie. Aucune culotte ou alors seulement un string car son cul nous apparaissait pleinement.

Bien qu’il soit lent, nous atteignons le troisième étage auquel nous nous arrêtons. Maëlle se colle à moi pour tenter de ne pas être associé aux deux amoureux qui ne semblent plus pouvoir s’arrêter. Les portes s’ouvrent, deux hommes nous apparaissent, ils ne nous regardent même pas et se détournent immédiatement, l’air agacé pour prendre l’escalier qui se trouve à côté.

Maëlle n’attend pas que les portes soient refermées et prend à pleine main, les fessiers de Naomie qui eut un gémissement et un regard pour nous dans le miroir. Aucune réaction de rejet, ma chérie masse doucement ces belles fesses.

Ma queue commence à être serrée dans mon jean et je n’ai pas pu m’empêcher d’avoir un geste pour la bouger. Bien que je ne m’éternise pas, cela suffit pour qu’Estelle capte mon mouvement et sa peau noire, plus sombre encore que celle de son frère, m’empêche de savoir si elle rougit mais son expression me suffit. Elle se figea avant de reprendre ses esprits, mais dans le miroir elle continuait à me regarder.

Cette réaction me parut si adorable, je voulais un peu l’embêter. Alors je replace ma main sur mon jean et commença à me masser l’entrejambe en la fixant.

Je la regarde dans les yeux avec de commencer à balayer son corps, qu’elle a de jolie d’ailleurs. Jeune et en surpoids, elle a des rondeurs qui se dessinent et des jambes interminables. Elle se tourne à nouveau vers moi pour me regarder directement dans les yeux ou dans la queue, ses yeux noirs faisant des allers-retours. Son buste se penche légèrement en avant dévoilant le haut de sa poitrine tandis qu’elle soulevait légèrement sa jupe pour dévoiler encore un peu plus de ces longues jambes.

Je me dévoile également et soulève mon haut parce qu’il me semble qu’elle a apprécié la vue. Un sourire se dessine sur mon visage et elle y répond par un joli sourire.

En même temps que j’ensorcelle Estelle, Maëlle n’attendit pas que les portes se referment pour commencer à être plus osée. Les mains de Simon sont venues sur les fesses de Naomie. Au début, il baisse la jupe pour lui masser les fesses par-dessus le tissu, obligeant Maëlle à retirer sa main.

Sauf qu’en nous regardant par-dessus Naomie qu’il dépasse de deux bonnes têtes, il semble essayer d’estimer s’il peut se permettre de dévoiler les fesses de sa petit-amie. Il ne s’intéresse qu’à nous et semble avoir totalement oublié sa petite sur.

Le cheminement dans son crâne semble parvenir à la conclusion que Naomie a les fesses à l’air depuis un moment et que nous n’avons rien dit dont il soulève la jupe. Il la soulève encore plus qu’auparavant dévoilant un string noir magnifique sur la peau blanche de Naomie.

Il retourne mettre sa langue au fond de la bouche de Naomie, et Maëlle en profite pour glisser un doigt entre les cuisses serrées de la jeune femme. Naomie comprit où voulait en venir cette main indiscrète, elle se laisse à écarter légèrement les jambes, pas suffisamment pour que quiconque d’autre que Maëlle ne comprît l’invitation.

Le temps nous était compté, alors elle commença à jouer intensément. Elle caresse rapidement l’intérieure des cuisses pour s’attaquer au clitoris. Elle joue avec les lèvres, frôle l’entrée du vagin sans le pénétrer. Je vois le jus de la coquine couler sur ses cuisses et sur la main de Maëlle.

Lorsque l’ascenseur affiche le quatrième étage, elle plante son doigt dans le vagin de Naomie. Celle-ci, devant les multiples caresses, lâche un gémissement involontaire.

L’ambiance est torride. Les bruits mouillés résonnent dans l’ascenseur en même temps que les gémissements de plus en plus fréquents de Naomie. Tout à son excitation de plus en plus ardente, Simon ne semble rien entendre et lui saisit un sein.

Je laisse mes mains courir sur le dos de ma belle et commence à lui prodiguer le même traitement. Je ne souhaite pas la déconcentrer alors je reste plus doux qu’elle ne l’est ; je veux juste la chauffer à mort pour qu’elle oublie un peu plus sa bonne conduite.

Ma chérie se mord les lèvres, s’amusant et s’excitant à la foi de la situation. Un deuxième doigt vient rejoindre le premier, sa main a un mouvement de plus en plus rapide. Les bruits de succion se font de plus en plus forts et Naomie ne parvient plus à se contrôler, ses mouvements de bassin deviennent violents.

Les portes s’ouvrent sur le cinquième et aucun de nous ne bouge pour sortir de l’ascenseur. Maëlle retire sa main et h’indique à nos voisins qu’ils sont arrivés à leur étage. Naomie se saisit de Simon et sort en trombe de l’ascenseur. Les yeux voilés par l’excitation, ils ne nous voient à peine. J’imagine aisément qu’ils n’ont qu’une hâte pouvoir se sauter sans limites.

Estelle fait mine de sortir avec un regard très doux, très langoureux poser sur moi. Maëlle la saisit et lui pose ses deux doigts humides de la mouille de Naomie sur ses lèvres : « Pour avoir flirté avec mon amoureux. » Estelle est surprise ; elle tremble fort mais ouvre légèrement la bouche et Maëlle en profite pour y glisser ses doigts. Estelle les recrache quasi immédiatement et repousse Maëlle avant de sortir en larme de l’ascenseur.

Ils sont maintenant hors de notre vue et Maëlle et moi, nous nous recomposons l’attitude du parfait voisin. Lorsque les portes se referment, Maëlle soupire de soulagement que personne ne nous ait vus.

— Nous avons eu de la chance à chaque instant.

— Oui ce sont vraiment de charmants voisins que nous avons là. Tu ne veux pas me faire goûter à Naomie.

— Tu ne sais pas ce qui a bien pu traîner dans cette catin. Si tu veux goûter quelqu’un je te laisserai me gouter moi.

— J’adore te goûter. Tu sais bien. Quelque chose me chagrine. Dis-moi pourquoi as-tu eu une telle réaction dominatrice envers Estelle ?

— Elle est jeune, je ne voulais pas la laisser espérer que tu puisses lui appartenir. Et puis tu sembles l’oublier mais quand nous nous sommes rencontrés je devais avoir son âge.

— Mon épouse jalouse. Tu sais malgré toutes les infidélités que nous nous faisons, j’aime bien qu’il existe encore des limites à ne pas dépasser.

Je la serre contre moi en voulant la réconforter, mais ma bite, dure entre nous, empêche quelque peu que ce moment ne soit que tendresse. Alors nous nous embrassons, nous promettant de rendre chaque jour meilleur.

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