Un dimanche, après un long réveil en câlins, en tendresse, en plaisir, on va sous la douche. Les caresses se poursuivent. On se lave mutuellement, juste avec nos mains. Avec le savon, elles glissent, s’immiscent un peu partout, on jouit encore. On sort de la douche. Pour le moment, on reste nues, on porte juste un petit peignoir.
On va à la cuisine pour préparer le déjeuner, l’heure avance. Pendant la préparation, nos mains sont très baladeuses, et j’ai très envie de te voir nue. Alors, pendant que tu as les mains occupées, je viens derrière toi, je dénoue ton peignoir, je le retire. J’ouvre le mien, et je plaque ma poitrine contre ton dos.
Mes seins caressent ton dos, mon sexe caresse tes fesses. Je passe mes mains devant toi, j’effleure ton ventre, mon bassin bouge de droite à gauche, tout contre toi. Mes doigts remontent le long de tes côtes, jusqu’à tes magnifiques seins. Je les touche, déjà, du bout des doigts, je les stimule tendrement. Je sens tes tétons durcir. Tu es divine.
J’en prends un dans chaque main, je les enveloppe de mes doigts, mes pouces les caressent, je les presse délicatement contre ma paume. Mon minou appuie plus fort contre tes fesses, je me dandine contre toi, je mouille. Je malaxe un peu plus fort tes seins, je pince en douceur tes tétons, je sais qu’ils te font mal, ils sont extrêmement tendus.
Je te demande de glisser une de tes mains entre tes cuisses, et de te caresser. Je te regarde faire, je te vois de dos, ton joli petit cul, tes jambes écartées, je vois ta main aller et venir, tes doigts qui s’engouffrent dans ton vagin. Je te dis de continuer, je m’absente quelques minutes, je reviens. " Ne jouis pas tout de suite ma belle ! "
Je me dirige dans ta chambre, j’ouvre le premier tiroir de ta commode, j’en sors un coffret. Je soulève le couvercle, et j’attrape son contenu. Je repose le coffret sur la commode, et je viens te rejoindre dans la cuisine. Je te retrouve, assise sur la table, ouverte, tes doigts s’enfoncent énergiquement. Quel beau spectacle.
Tu m’offres ton intimité, j’aime te regarder te masturber, tu es si belle ! Tes petits couinements m’excitent. J’ôte mon peignoir, passe mes doigts sur ma chatte, entre mes lèvres, et porte ensuite mes doigts, à ma bouche. Je te regarde fixement, en suçant un à un mes doigts trempés de cyprine. Je m’approche, te donne un baiser pour te faire goûter…
Je cache, ce que j’ai été chercher, dans mon dos. Je te demande de fermer les yeux. J’ouvre d’avantage tes jambes. Je commence alors, à balader mon joujou sur ta peau, ta joue, déjà, tes tétons sur lesquels je m’attarde un peu. Tes côtes, ton ventre, ton nombril, ton pubis, je m’arrête. Je te sens excitée, pressée, tu t’ouvres encore plus, tu t’offres à moi, à mon joujou.
Je te fais attendre. Je le promène à présent, sur l’intérieur de tes cuisses, je remonte jusqu’à frôler ta fleur, je le passe brièvement sur elle, je le retire vite. Tu respires vite, tu essaies d’attraper ma main pour me guider, mais je te demande de me laisser faire, de patienter un peu, c’est dur, je le sais, bientôt ma puce !
Je caresse de plus en plus longuement ta minette, mon joujou glisse entre tes lèvres. Je le fais, juste un peu, le bout seulement, entrer dans ta grotte, il va et vient, je le ressors. Et puis, d’un coup, le gode s’enfonce en entier, en douceur, tu pousses un cri, un superbe cri. Commence alors, une danse, des va-et-vient infernaux dans ton sexe.
J’alterne la force, la vitesse, la profondeur de pénétration. Le gode s’infiltre en toi, te possède. Tu as du mal à tenir en place, j’accélère le rythme, tout en caressant tes seins. Que t’es belle ! Je te sens venir, je ralentis le rythme, caresse ton bouton d’amour, tes muscles se tendent, ton corps saccade. Tu cries, tu cries fort. Tu es magnifique !
A toi, que j’ai rencontrée ici
Que le rêve, devienne réalité