LES AVENTURES SEXUELLES DEBRIDEES DE PATRICK
MICHELE, sa tante.
Précédents épisodes : Les aventures sexuelles débridées de Patrick. Claude.
MICHELE.
Je n’en reviens toujours pas de ce qui m’est arrivée.
Claude sait toujours dégoter des « bons coups », et quand elle m’a affirmé avoir trouvé un jeune mâle bien au dessus du lot des « étalons du dimanche », j’étais perplexe.
J’ai répondu à son invitation avec une amie Lucile pour découvrir ce soi-disant « phénomène » mais comme je suis arrivé en retard, j’ai comme on dit pris « le train en marche », ou plutôt j’ai remplacé Lucile en goûtant au sexe impressionnant de ce bel inconnu car je ne voyais pas son visage caché par le corps de Claude qui se faisait brouter le minou.
Effectivement, vu ce que j’ai réussi à tirer du sexe de cet homme après les joutes précédentes avec mes 2 copines, c’est un mâle qui sait tenir la distance.
Mais catastrophe. Quand Claude s’est relevée, me dévoilant le visage de cet étalon plein de promesses, j’ai crû défaillir
C’ETAIT MON NEVEU PATRICK !!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Je suis passée par tous les sentiments. L’horreur de ce que j’ai fait, le dégoût de ma vie sexuelle assez légère, la honte de me montrer sous ce jour devant le fils de ma sur.
Je suis aussi furieuse que Patrick ne soit pas le jeune homme de bonne famille que je croyais mais un « gigolo » qui se tape des couguars.
Mais je dois m’avouer la vérité, le sentiment qui domine, c’est l’admiration d’une femelle qui découvre le mâle dominant du troupeau !
Les performances de mon neveu pour le peu que j’en ai profité mais surtout par ce que m’a raconté Claude ont bien l’air largement au dessus de la moyenne habituelle de mes amants d’un jour.
Je lui ai demandé de venir chez moi pour que nous parlions de ce qui s’est passé. Il faut que l’on s’explique pour désamorcer la grenade qui risque d’exploser si ma sur a vent de cette aventure. Il m’a promis de venir aujourd’hui.
Je le vois arriver par la terrasse, je ne m’étais pas rendue compte du beau jeune homme qu’il est devenu, son tee-shirt cache mal sa belle poitrine musclée et son short me permet d’admirer deux belles jambes robustes. Il vient frapper, tout penaud à la porte de la baie vitrée.
Je lui ouvre et le regarde ne sachant subitement quelle contenance prendre. Il entre et m’embrasse sur la joue avant de me demander :
— Ma tante, comment vas-tu ? Puis après un moment de silence, que va-t-on faire maintenant après ce qui est arrivé?
Je lui réponds, rougissante, mes mains sur ses épaules.
— Eh bien, je vais te parler franchement, je ne vais pas te mentir après ce que nous vécu l’autre jour.
-J’avoue que quand j’ai vu que c’était toi, j’ai complètement paniqué, Claude m’avait bien parlé de son amant exceptionnel qu’elle partagerait volontiers avec Lucile et moi. Quand je suis rentrée dans la pièce… elle m’a demandé si
-Comprend-moi, Patrick, j’aime faire l’amour… Et quand elle m’a proposé de goûter à ton… et…
-Oh Patrick, quand Lucile s’est retirée de cet énorme gourdin je n’ai pu résister à sucer ta magnifique bite, elle est vraiment extraordinaire!
— Quand je l’ai prise dans ma bouche j’ai tout de suite voulu m’empaler sur ce monstrueux mandrin et quand je l’ai glissé dans ma chatte, ooooh… mon Dieu!
Mon Dieu ! Mais qu’est ce que je lui raconte ? Mais je ne peux m’empêcher de lui avouer : – Le temps de m’habituer à la taille exceptionnelle de cet énorme verge qui dégorgeait des flots de foutre à n’en plus finir, j’ai tout de suite su que cette bite mystérieuse allait me faire jouir comme jamais et j’attendais ça depuis si longtemps.
— Oh Patrick ! Je te connais depuis que tu es tout petit, c’est tellement embarrassant, mais je n’ai jamais pris autant de plaisir! Je voulais demander à Claude si elle accepterait de me prêter son étalon! Mais ensuite elle s’est levée et je t’ai reconnu!!!
Tout en parlant, mes mains sont doucement descendues le long de ce magnifique corps et se retrouvent sur ses hanches. Je découvre effarée que mes paroles ont eu un effet sur Patrick.
Une bosse prometteuse déforme le devant de son short et je ne peux me retenir de la caresser à travers le tissu.
— Michèle, je ne suis pas de bois comme tu peux le constater, tu as conscience de ce qui va se passer si tu continue ?
Je lui souris et tombe à genoux, ouvre sa braguette et sort son sexe que je prends aussitôt en bouche, avalant doucement sa teub. Ma langue fait des merveilles, il gémit de plaisir à me voir ainsi, à ses pieds, sa queue continuant à croître entre mes lèvres gourmandes.
Au bout d’un moment je retire sa bite de ma bouche pour le complimenter :
— Patrick…Je peux enfin admirer ce sceptre magnifique tranquillement.
Je n’ai jamais connu un monstre pareil. La plus longue c’était celle de mon mari mais elle ne dépassait pas 16 cm et sa grosseur était plutôt en dessous de la moyenne. La plus grosse était celle d’un homme de passage, mais ma main en faisait largement le tour. La tienne est beaucoup plus longue et son épaisseur est fantastique.
Je regarde avec amour son pieu dressé entre mes deux mains qui le branlent avec amour des bourses pleines au gland plus foncé.
— Ooohhh, Patrick elle si dure mais si douce ! T’as un sacré engin entre les jambes!
Et ma bouche gobe de nouveau sa queue pour lui faire une gorge profonde.
Pendant dix minutes je m’échine à lui faire une fellation de Ouf, ma bouche distendue par le pieu de chair qui est devenu énorme.
Je sens son gland vibrer préparant la salve de foutre qui va inonder ma gorge. Je le pompe encore plus vite, donnant des coups de langue précis et nerveux. Mes deux mains courent tout le long de ce formidable tuyau en faisant des mouvements circulaires contradictoires, ma spécialité.
Il ne va plus tarder à gicler, il se recule et envoie toute sa sauce dans ce gosier qui n’attend que ça !
— Ouiiiiiiiii, Tiens salope ! Avale mon foutre ! AAAaaahhhh… Putain d’enfoirée de cochonne ! T’es douée ! Je n’ai pas pu me contrôler !
Je reçois une très forte giclée de sperme au fond de la gorge et manque d’étouffer tant elle est abondante suivit aussitôt d’autres jets tout aussi copieux.
Je recule un peu la tête pour faire rouler ma langue autour de sa bite et profiter pleinement de toute cette crème qui envahie ma bouche et coule dans ma gorge.
Je dois extraire sa lance de ma bouche devant le flot sans fin qui jaillit et macule ma robe.
L’excès de jus s’échappe par les coins de ma bouche et coule sur mon menton, après avoir tout avalé goulument, je lui reproche constatant les dégâts.
— Eh bien toi quand tu jouis tu ne fais pas semblant, regarde ! Ma robe est bonne à jeter, je ne pourrai jamais rattraper ces traces de foutre. J’avais déjà admiré l’autre jour que tu étais un sacré mâle reproducteur mais la dose que tu avais envoyé n’avais rien à voir avec aujourd’hui, il faut dire que mes 2 copine t’avaient déjà bien vidé les bourses avant.
-Allez, fini les amuse-gueule je veux que tu me baises ! Prend-moi Patrick et fais-moi jouir!
PATRICK.
Eh bien, je ne m’attendais pas à ça en venant chez ma tante, elle est chaude comme de la braise !
Elle m’emmène dans sa chambre, se déshabille en vitesse puis s’allonge sur le lit écartant impudiquement ses cuisses. Elle ouvre en grand son sexe avec ses doigts pour me faire admirer sa chatte aux lèvres très charnues et proéminentes.
Je la tire vers moi pour approcher ma queue qui a reprit toute sa vigueur vers cette grotte grande ouverte. Elle gémit à chaque mouvement de mon gland que je frotte le long de ses grandes lèvres avant qu’elle m’implore.
— Patrick, prend moi lentement… le plus lentement possible, pousse ton interminable queue dans ma chatte. Donne-moi du plaisir.
Je guide le gland violacé au bord de sa grotte intime. Ma bite commence sa longue pénétration. Je l’entends gémir.
— Ouiiiiii… comme ça, je te sens bien ! C’est si bon…doucement! Huummm…ouiiiii… prend tout ton temps, quel magnifique bélier tu as!
Et je m’enfonce tout en douceur au plus profond dans sa chatte frémissante. 5, 7, 10 cm, elle n’arrête plus de geindre, ses yeux grands ouverts fixant ma verge qui pénètre et écartèle ses chairs. 16 cm, il reste encore un quart de ma bite dehors quand tout son corps est pris de tremblement, elle est si chaude que je vois des gouttes de sueur couvrir son admirable poitrine.
— Oh mon Dieu, Patrick, mon vagin se distend au maximum pour pouvoir absorber ton formidable pal! Quelle impression merveilleuse!
Je me retire un peu mais Michèle s’y oppose en me retenant de ses mains.
Ma queue reprend lentement son voyage à l’intérieur de son vagin, je suis à fond, mes couilles butent sur ses fesses, sa chatte accueille en entier mon mandrin et elle murmure dans un souffle en poussant de petits soupirs de plaisir;
— Oh la vache, quelle big cock ! Patrick! Mon Dieu! T’es énorme ! Quelle sensation de t’avoir tout en moi!… ¬C’est bon, très bon elle est bonne, ta queue, elle est dure et chaude
Je suis enfin en butée, déclenchant dans tout son corps d’incontrôlables vagues voluptueuses. Je commence un lent et puissant mouvement de va et vient, je me cambre sur elle, je joue du bassin de plus en plus vite.
Je la pénètre d’un coup et la ramone sans ménagement tout en lui caressant ses fesses. Son pubis bat la cadence sur ma bite jusqu’à sa première vague orgasmique, elle part Je sens son vagin qui sert ma verge dans des contractions de plus en plus fortes. Quant à moi, j’utilise tout ma force pour tenir ma bite fermement planté au fond de son sexe brulant, pétrissant ses seins, les caressant.
Ma bouche suce une aréole, ma langue puis mes dents s’occupent du téton devenu dur, le mordillant avec précaution. Ça fait "tilt" dans sa tête et son corps se tend pour un nouvel orgasme.
Je recommence lentement à mouvoir ma bite de quelques centimètres, l’écrasant contre son clitoris dur et tendu et me renfonçant à fond. Je l’entends haleter comme la petite chienne qu’elle est. Elle jouit de nouveau sous mon pilonnage.
— OH OUIIII! Tu butes sur mon utérus Ooooh merde, Nonnn… pas encore…..mon Dieu je jouiiiisssssss, putain de merde je suis une vraie fontaine ! Aaaaahhhhh….. Quel pied ! Cela explose dans mon ventre.
-Tout le bas de mon corps est douloureux du plaisir qui monte. Je ne sais même plus ce que je dis, oh mon neveu adoré, c’est bon, continue de baiser ta tante lubrique avec ta grosse bite, encore plus fort ! Ouiiiiii… Patrick, fore-moi avec ta longue teub!
— OK!
Je prends la direction des opérations, sort complètement de sa fournaise et pose mon gland gonflé par toutes ces réjouissances sensuelles à l’entrée de sa fente et d’une seule poussée rectiligne, je rentre la totalité de mon chibre qui va cogner au fond de sa chatte.
— C’est ça, Patrick, défonce moi, j’adore ça !
Ma queue frotte sur sa main droite qui titille son clito avec le bout de ses doigts. Et de nouveau je sens les contractions de son vagin écraser ma verge quand un 3ème orgasme l’anéantit !
Son corps repose désarticulé sur le lit après ses jouissances si rapprochées mais sa chatte est si serrée que ma queue est prisonnière.
Reprenant ses esprits elle m’avoue.
— Putain je n’ai jamais eu des orgasmes aussi rapprochés. Il faut dire que je n’ai jamais connu d’hommes capables de tenir aussi longtemps sans jouir.
-Et en plus sur la bite de mon propre neveu ! Je ne peux pas croire que suis aussi lubrique et dépravée! Mais quel pied !!!
Elle se redresse et regarde ma queue encore en elle et part dans des délires.
— Tu me remplis tellement bien que quand tu te retires, ma vulve épouse ce jonc si vigoureux.
Tu me fais mourir, jute-moi dans la chatte, je vais mourir, c’est trop, jute-moi dedans petit merdeux, ta queue est trop grosse, tu me défonce!
Je sens ma teub devenir encore plus grosse, le gland enfle et me fait mal et dans un dernier mouvement je sors de sa chatte et me renfonce d’un grand coup en prenant soin de m’enfoncer à fond et de revenir en arrière juste au bord de ses lèvres. Michèle ne tarde pas à crier sous les poussées de ma queue prisonnière de sa chatte. C’est incroyable comment elle maitrise ses muscles vaginaux. Elle fait varier la pression sur ma bite en fonction de sa pénétration.
Je sens qu’elle essaye de se retenir, mais elle recommence à prendre son pied car elle remue de la chatte d’une façon incontrôlée. Apres plusieurs aller retour elle dit d’une voix déformée par le plaisir ;
— Huummm je sens que je repars!! Oh ouiiiiii… continue, je vais jouir. Oh Dieu que c’est bon, ouuuiii !!! Mon neveu me fait jouiiirrrr ! OH PUTAIN!
Des que son orgasme commence je me lâche et mon sperme gicle dans sa grotte, remplissant le peu d’espace libre de ce puits accueillant.
J’envoie une énorme giclée dans son vagin, puis une deuxième puis une troisième très abondante avant que je ne retire vivement mon pieu et le présente devant son visage. Sa chatte déborde de sperme. Je continue à éjaculer pendant un temps qui me parait interminable, envoyant d’abondantes giclées sur ses lèvres, son front, ses cheveux. Cela n’en finit plus. Tout son visage est ruisselant de sperme et il en arrive encore et encore.
Quand j’ai fini de me vider les couilles ma tante me serrant dans ses bras ajoute :
— Oh mon Dieu, mon chéri! Aucun homme avec qui j’ai baisé n’a été capable de me faire jouir tant de fois et ta charge se semence est tout bonnement monumentale!… Tu ne débandes donc jamais? Ta queue est toujours en pleine érection après 2 éjaculations incroyables. Tu es véritablement un cas !
Je me couche à coté d’elle, lui caresse ses cheveux puis l’embrasse avant de lui rétorquer :
— Et bien ma tante, je crois que tu peux remercier Claude, elle m’a bien éduqué. Mais je crois aussi que la nature m’a bien dotée pour donner du plaisir à aux femmes capable d’accueillir mon calibre, et jamais une fille ne m’a surpris les burnes à vide.
Michèle me rétorque.
— Ah bon ! Et prétentieux avec ça! Je crois que tu fanfaronnes, petit coq !
— Euuuuhhhh… Non, Claude trouvait mes performances assez inhabituelles et s’est renseignée. Elle m’a informé que je souffre d’un léger priapisme et d’hyper spermatogénèse ce qui fait que je bande pratiquement à volonté et peux expulser des quantités très importantes de foutre.
-Eh bien si c’est vrai, riposte-t-elle, refais-moi l’amour!
Elle a les yeux rivés sur la grosse tige bien tendue que j’approche peu à peu de sa foufoune. Elle guide avec sa main ma bite qui se présente à l’entrée de sa caverne intime, d’un impétueux coup de rein je la plante sur mon mat avec une précision redoutable.
Michèle crie, autant de surprise par la rapidité de la pénétration, que de plaisir de sentir cette teub qui vient de la transpercer si brusquement, je la fais lentement monter et descendre sur ma longue hampe, elle sent le gland appuyer sur le col de son utérus.
J’accélère le rythme. Michèle sent ma bite follement glisser en elle, qui retrouve toute sa grosseur. Elle hurle de plaisir et l’orgasme arrive comme une violente vague qui la laisse presque dans un état de demi-conscience.
Plus tard, alors que ma tante est secouée par les spasmes d’un énième orgasme, je n’arrive plus à me retenir.
Ma bite prise dans ce fourreau de convulsions, éjacule ses jets de sperme dans ses entrailles. Elle hurle de plaisir, encore et encore, jusqu’à que je termine de me vider dans son trou béant, dégoulinant de mon foutre encore chaud.
— Patrick, je ne pourrai plus baiser avec un autre que toi ! Je ne savais pas que l’on pouvait tirer autant de jouissance d’une seule teub, je n’ai jamais connue ça avec personne. Une fois il y a longtemps je me suis fais prendre par 3 hommes à tour de rôle mais à toi tout seul tu les bats à plate couture !
Elle me donne des baisers et des caresses avant de poursuivre.
— Eh bien, mon cher neveu, tu as peut être encore des forces mais moi je suis plus bonne à rien, tu m’as anéantie.
— Non ma tante, ce n’est pas fini, maintenant je vais t’enculer!