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Les tourments de Julie et Carine – Chapitre 3




Comme chaque vendredi, je suis à ma terrasse fétiche. Un endroit tranquille avec sur ma gauche le canal qui amène un peu de fraîcheur ce qui me fait le plus grand bien et, sur ma droite, une grande place piétonne qui donne sur la mairie et le tribunal. Je peux ainsi, tout en sirotant une bière, mater les femmes. C’est une de mes distractions favorites. Je les vois passer avec leurs robes légères, seule ou à deux, rarement plus. Elles déambulent faisant admirer leur galbe des jambes et leur chute de reins. Elles ne sont pas pressées et flânent tout en discutant. Il n’y en a que quelques-unes qui se dépêchent, j’aime à penser qu’elles vont vers un rendez-vous amoureux.

Alors que je rêvasse, j’entends une voix féminine qui m’interpelle

— Je ne vous dérange pas, j’espère?

Je tourne la tête vers la personne qui m’interpelle et j’aperçois Julie, mon avocate. On ne s’était pas revu depuis le jugement de mon divorce, il y a six mois. Je souris

— non, absolument pas. Je rêvassais devant toutes ses jambes que je vois défiler. Alors, que deviens-tu, toujours avocate et mariée?

— Oui toujours avocate et mariée sauf que je vois de moins en moins mon mari

Je ne dis rien, j’attends, elle reprend

— Soi-disant qu’il a beaucoup de travail mais je suis sur qu’il va voir son amant. J’ai un mari qui est homo, et nous restons marier pour les convenances

— Pourquoi pas. C’est vous qui voyez. Et Carine, elle va bien.

— Elle a divorcé. Depuis notre petite soirée, cela n’a plus été la même et elle n’a plus supporté la petite vie bien tranquille qu’elle menait

— et elle trouve ce qu’elle cherche

— Pas vraiment

— En fin de compte, vous en êtes au même point toutes les deux. Vous avez découvert que vous aimiez ce que je vous ai fait et vous êtes en recherche de cela.

Julie hésite, et finit par dire

— Oui, je crois que c’est cela. Je sais que j’en parle souvent de cette soirée avec Carine et à chaque fois, cela nous fait  le même effet.

— Ha, oui

— Une envie de recommencer

Je réfléchis. Ai-je envie de recommencer? Pas sûr.

— Peut-être même d’aller un peu plus loin, ajoute Julie.

Après un petit temps d’attente, elle dit :

— Il fait bon ce soir.  Alors, si vous êtes libre?

Je la regarde. Je n’ai rien de prévu  et me décide.

— Allons-y

Julie sourit de plaisir.

— Je vous emmène, dit elle, j’ai rendez-vous avec un client à mon cabinet.

Nous partons dans sa voiture. Son cabinet n’est pas loin

— Ce n’est pas un hasard, tu savais que je serais au bar.

— Oui, cela fait plusieurs fois que je vous vois

A son cabinet, Carine est à son bureau. Quand elle m’aperçoit, elle rectifie immédiatement sa position et avec un grand sourire me dit bonjour. Je laisse Julie avec son client et je vais dans la salle d’attente. A peine assis, Carine arrive.

— Désirez-vous quelque chose?

— Oui, un café

Elle s’en va et  revient avec une tasse de café.

Une fois la tasse posée, elle reste à côté de moi sans bouger. Je la regarde et je lui dis:

— remonte ta jupe jusqu’à tes hanches

La jupe remontée, je vois son pubis nu sans poils.

— Tu n’as pas de culotte

— Non. Je n’en mets plus

— Pourquoi

— C’est vous qui m’aviez dit que vous aimiez que les femmes soient sans culotte, alors depuis je n’en mets plus.

— Pas les femmes, les femelles. Ce sont les femelles que j’aime sans culotte

Elle ne dit rien

— As tu oublié la position d’attente?

— Non monsieur

Elle se met en positon, jambes écartées, petites lèvres tirées. Je bois mon café tout en feuilletant une revue. Je ne m’occupe plus d’elle la laissant ainsi. Le rendez-vous s’éternise. Enfin, j’entends Julie et son client discuter dans le couloir. Une porte se ferme et  la porte de la salle d’attente s’ouvre. Julie rentre. Elle s’approche et ne dit rien. Sans lever la tête je lui ordonne de passer la main sur la chatte de Carine et de me dire comment elle est. Après avoir passé sa main, Julie me dit que sa chatte est trempée.

— Bien, allons à la réception. Relevez vos jupes que je vois vos culs et appuyez vos mains sur le bureau.

J’ai une vue splendide sur deux beaux culs blancs. Carine a un cul plus gros que Julie. Je donne quelques claques pas trop appuyées, juste pour les faire rosir. Je me recule pour admirer. Décidément, le week-end commence vraiment bien. Je sens que je vais m’amuser. Je claque plus fort ces culs qui rougissent au fur et à mesure. Je peux voir les marques de mes mains dessus. Je m’en donne à cur joie. Alors que je suis tout occupé à fesser ces culs, la porte du cabinet s’ouvre et une superbe rousse rentre. Elle s’arrête, regarde. Julie et Carine veulent se redresser, je leur ordonne de ne pas bouger. Elles obéissent. Je me tourne vers cette superbe rousse. Elle m’explique qu’elle s’appelle Eva, qu’elle est l’associée de Julie et qu’elle venait chercher un dossier. Je lui réponds que  Julie est trop occupée et ne sera pas disponible ce soir. Eva ne dit rien et regarde les culs rouges. Je m’approche et lui dit que si elle veut en profiter. Après une petite hésitation, elle s’approche et commence à frapper les culs. Je m’assois et regarde ce spectacle magnifique d’une superbe rousse entrain de rougir les fesses de deux jolies femmes. Cela me fait bander. Je me lève, me met derrière Eva, lui caresse les fesses, remonte doucement sa robe. Elle se laisse faire. Je descends son string . Je lui chuchote à l’oreille:

— Tu continues à fesser ses deux salopes pendant ce temps je vais te prendre

Elle écarte les cuisses. Je baisse mon pantalon, met ma queue en contact avec son sexe, je rentre dans son vagin sans aucun mal. Je me mets à la cadence des claques. Je baise une rousse qui fesse une blonde et une brune. Que du bonheur. Nous continuons ainsi. J’ordonne à Julie et Carine de se branler. Je sens Eva qui bouge de plus en plus. Alors que Carine et Julie jouissent, je me vide dans Eva qui pousse de petits cris. Une fois, fini, je me retire .Le calme revient . Je dis à Carine et Julie d’enlever leurs jupes.Une fois les jupes enlevées, elles se retournent et se mettent en position d’attente. Elles sont un peu honteuses d’être ainsi devant Eva.

— Ainsi, tu es l’associée de Julie

Eva me regarde. Sa jupe est encore relevée, son string est aux genoux

— Oui, depuis deux mois. Et, je ne regrette pas

— moi non plus. Tu venais chercher un dossier

— Oui, j’habite juste à côté et comme je n’avais rien  à faire, je me suis dit autant travailler.

— Eh bien, tu vas savoir quoi faire. Ce n’est qu’un début

— Mais ici, ce n’est pas idéal. On peut aller chez moi si vous voulez, c’est juste à côté, on sera mieux qu’ici

— Très bonne idée. Donnes moi ton string

Elle me tend son string. Je vais auprès de Carine, et lui mets le string dans la bouche. J’ouvre la porte du cabinet.

— Allez, on va chez Eva. Et vous deux, vous marchez devant moi, que je vois bien vos culs.

Nous marchons dans la rue. Il est assez tard, il n’y a personne. Je vois deux culs rougis devant moi. Eva est à côté de moi. J’apprends qu’elle se doutait de quelque chose. Elle avait entendu une conversation entre Julie et Carine. Elle est venue pour en avoir le cur net mais elle ne s’attendait pas à un tel spectacle.

— Tu vois, les deux salopes ont le cul à l’air. Toi, ce serait bien que ce soit tes seins. Je pense en plus, que tu dois avoir de beaux seins très blancs.

Eva me regarde, hésite. Il fait très bon ce soir et elle porte un caraco.

— Vous savez, je suis plutôt dominatrice, je n’obéis que très rarement aux hommes.

Elle prend le caraco et le fait passer par-dessus sa tête. Elle ne porte pas de soutien-gorge et elle  se retrouve les seins à l’air. Ils sont splendides.

— Et pour quelles raisons m’as tu obéi?

— Pour votre prestance et votre ton. Vous me faites de beaucoup d’effet . Je suis comme ces deux-là, je ne peux que vous obéir.

Une voiture passe en klaxonnant. Une bande de jeunes qui passe sans s’arrêter. Dommage, je suis sur qu’ils auraient apprécié le talent de suceuse de Carine et Julie.

Nous arrivons au pied de l’immeuble d’Eva. Une fois dans l’ascenseur, je m’approche de Julie, la plaque contre la paroi en lui faisant écarter les jambes, lui mets la main sur le pubis et la pénètre avec deux doigts. Après quelques va et vient, je retire mes doigts pleins de mouille et je lui fais lécher.

— Tu as raison, Julie, on va aller beaucoup plus loin. Tu verras, bientôt, tu ne seras plus qu’une chienne en rut et je suis sur que tu en redemanderas.

Elle ne dit rien, mais ses yeux brillent de plaisir. Carine ne bouge pas. Elle a toujours le string d’Eva dans la bouche. Nous arrivons à l’étage et suivons Eva. Nous rentrons dans l’appartement. Je vais directement m’asseoir dans un fauteuil. Je dis à Carine de se mettre à genoux, à côté de moi, poitrine à l’air. J’adore jouer avec les tétons d’une soumise. Cela peut durer des heures. Les tétons deviennent très sensibles et le moindre effleurement fait réagir la soumise. Je m’amuse donc avec les tétons de Carine. Eva s’installe confortablement dans le sofa. Julie est debout, ne sachant pas trop quoi faire.

— Julie, j’ai baisé Eva tout à l’heure. Elle doit avoir du sperme partout. Nettoies la avec ta langue. Intérieur et extérieur, je veux que ce soit nickel.

Julie hésite. Je me lève, lui claque les fesses.

— Écoute, Julie, je ne te demande pas si tu aimes ou pas, j’exige que tu le fasses.

Vaincue, elle se met à quatre pattes et commence à lécher Eva. Elle le fait à contre cur, je le vois. Tout en tournant un téton de Carine, je dis:

— Il va falloir que je t’envoie en stage, Julie, pour que tu apprennes à lécher correctement. J’ai une amie qui sait dresser les chiennes comme toi.

A ces mots, Julie y met plus d’ardeur, ce que confirme Eva.

Je me lève, baisse mon pantalon, donne une claque sur les fesses de Julie pour qu’elle tende bien son cul et je la prends. Elle mouille comme une chienne. Il me suffit de quelques va et vient pour qu’elle jouisse. Je me retire et retourne m’asseoir. Je regarde Carine, c’est la seule à ne pas avoir joui. Elle va encore attendre un peu, ses tétons ne sont pas encore assez sensibles à mon goût. Je passe ma main sur sa chatte, j’enfonce un doigt et le ressort. Il est tout luisant, je souris. Je regarde Eva qui se fait gouiner.

— Nous avons trois belles chiennes, ici

Eva me regarde et dit

— Et un gros pervers

— Oui, je l’admets mais pour votre plus grand plaisir à toutes les trois. Il commence à se faire tard, si nous commandions des pizzas, je suis sur que le livreur sera très satisfait du pourboire que lui donnera Carine.

Je dis à Carine d’enlever le string qu’elle a dans la bouche et de commander les pizzas. La commande passée, je m’amuse avec la chatte de Carine. Je commence avec deux doigts, puis trois. Carine est debout, jambes bien ouvertes. Je mets un  quatrième doigt et commence à la fister. la main ne rentre pas entièrement, mais toutes mes phalanges sont dans sa chatte. Il faut très peu de temps pour que Carine jouisse. Après avoir joui, elle me regarde et dit:

— Merci monsieur d’avoir fait jouir votre chienne.

Je souris à ces paroles. Je regarde ce que font Eva et Julie. Eva tient la tête de Julie contre son pubis. Cela fait plus d’une heure qu’Eva se fait lécher, elle doit être bien  propre maintenant. Je m’approche du couple, et je me mets à fesser durement Julie. Son cul devient écarlate. De voir un cul aussi rouge me fait bander. Je prends Eva par les cheveux et la force à se mettre à quatre pattes. Je vois sa vulve toute luisante. Je fais mettre Julie par-dessus elle, sur son dos, ainsi j’ai deux vulves et deux culs l’un sur l’autre. Je dis à Carine de se mettre à genoux à côté de façon à ce que je puisse attraper ses tétons pour m’amuser. Ainsi positionner, je présente ma queue sur la chatte d’Eva et rentre, je fais quelques va et vient et je ressors pour me mettre devant celle de Julie et je la prends. Je fais ainsi plusieurs allers et retours entre les deux chattes. C’est vraiment sublime. J’entends les soupirs de satisfaction d’Eva et Julie à chaque pénétration. Je décide de changer de trou. Je demande à Carine de bien mouiller les deux trous du cul. Une fois fait, je présente ma queue sur le fondement d’Eva, je commence à pousser. Le sphincter s’ouvre facilement et ma queue rentre sans aucun problème. Je ressors ma queue pour enculer Julie, plus brutalement. Je m’enfonce d’un seul coup en elle. Je ressors et rentre aussi brutalement dans le cul d’Eva. Eva commence à se branler, Julie l’imite. Je suis aux anges. Je continue ce manège un petit moment. Je passe d’un cul à l’autre jusqu’à ce que j’éjacule. Eva bouge dans tous les sens quand elle se met à jouir déséquilibrant Julie. Celle-ci se met par terre, les yeux révulsés et se finit ainsi. Juste à ce moment la sonnette d’entrée retentit.

— Carine, va ouvrir, cela doit être le livreur de pizza

Carine se lève et va  dans l’entrée. On n’entend un peu de bruit, puis plus rien et au bout de quelques minutes, Carine revient avec les pizzas. Elle ouvre la bouche et me la fait voir. Elle est pleine de sperme.

— partage ton pourboire avec Julie et Eva.

Carine s’approche de Julie et lui roule une pelle, elle fait la même chose à Eva

— Bon , j’ai besoin d’un peu de repos. Si on mangeait nos pizzas.

Nous passons à table. C’est une petite table ronde. Carine est sur ma gauche, Julie sur ma droite et Eva en face de moi. Nous mangeons tout en bavardant de choses et d’autres. Les trois femmes sont rayonnantes. Eva dit qu’elle ne regrette pas de s’être associée avec Julie et qu’elle est sûre que le cabinet va très bien fonctionner. Tout en questionnant Eva sur ces goûts, je m’amuse avec les tétons de Carine. Eva me dit qu’elle aime dominer les hommes et les grosses femmes. Elle a un petit calepin exprès pour cela avec beaucoup de noms et de numéros de téléphone. Je lui réponds que je ne suis pas étonné, une si belle rousse, et je suis sûr qu’elle est très talentueuse.

Nous continuons à passer la soirée, entre baise et repos. Tard dans la nuit, je repars chez moi, fatigué et vidé.

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