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L'agace-pisette – Chapitre 1




Je me tiens debout dans une petite cabine qui te fait face dans ce bar où tu es assis seul à ta table sirotant une bière. En appuyant mon dos contre le mur, je me replace pour être dans ton champ de vision lorsque tu te rends compte que je suis-là toute provocante et que je n’arrête pas de te regarder.

Je suis seule, moi-aussi. Je soulève une jambe, du même mouvement je grimpe la cuisse sur le siège du tabouret. Et, toi, tu en profites de ce lap de temps où j’ai les jambes innocemment ouvertes pour en admirer leur galbe parfait. En m’assoyant, ma mini jupe noire remonte encore plus sur le haut de mes cuisses pendant que rien ne vient voiler ton regard qui a une vue sans obstacle sur la chair laiteuse du haut de mes cuisses.

Le tissus extra fin et semi-transparent de ma blouse attire ton regard.

Même de la distance d’où tu es assis, il est évident que je ne porte pas de brassière sous ma blouse. Tu peux deviner le contour de mes gros seins et tu peux même avoir l’illusion que tu entrevois mes larges auréoles qui apparaisant parmi deux larges cercles brun plus foncé.

Mes mamelons, eux, sont déjà bien éveillés et ils se pointent fièrement au travers du léger matériel comme s’ils voulaient sortir au travers de ma blouse. Et, tu te rends compte que tes mains ne seront pas assez grandes pour en couvrir toute leur chair pulpeuse. Mais, tes mains, elles, elles te démanchent déjà pour venir les tripoter.

Je te fais un sourire espiègle pendant que je remonte mes mains sur mes seins que je commence doucement à frotter avant de les serrer plus fort pour que tu puisses voir leur fermeté, la douceur de leur chair pulpeuse de mes seins volumineux. Je me pince un mamelon et instantanément, il se dresse et tu peux l’entrevoir sous le mince matériel de ma blouse.

Ton pénis se dresse d’un coup, lorsqu’il se rend compte qu’il y a un sexe de femme à sa portée. Il se réveille, prend vie, grossit et durcit à vue d’oil. Tu es content d’avoir mis un pantalon ample, car, tu réalises que tu as une forte érection et que tu ne pourras plus la dissimuler pour un bout de temps, tant tu es excité.

Sous la douce sensation de mes mamelons qui se frottent contre le tissus de ma blouse, je te souris en fermant les yeux. Je ressens la chaleur de ton regard se poser sur mes seins. Et, je le sais sans même le voir que ton pénis durci et que le monstre se dresse sous ton pantalon.

Tu commences à avoir un serrement de gosses lorsque tu t’imagines tripoter mes gros seins avec tes mains. Tu te vois agacer un mamelon et le rouler entre tes doigts pendant que tu le suces et tu mordilles l’autre petite bête.

Très lentement, je descends les mains sur mon ventre et lorsqu’elles atteignent ma jupe, je la tire vers le haut pour qu’elle remonte un peu plus au haut de mes cuisses.

Tu es si fasciné par mon audace que tu ne peux plus arrêter de me regarder agir. J’ouvre les jambes et je te laisse entrevoir les formes du trésor caché sous ma petite culotte. Ta queue réagit si violenment qu’elle se cogne sous le dessous de la table et il me semble entendre le cri de triomphe du mâle en rut que tu imagines lâcher dans ta tête pendant que tu me regardes.

Jamais, jusqu’ici dans ta vie, tu n’as tant désirer faire l’amour à une femme. Dans ton scénario, tu te vois m’attraper et me coucher au-dessus de la table et tu me fait l’amour ainsi. Et, toi, tu imagines entendre mes gémissement de femme en chaleur pendant que ton pénis plonge d’un seul coup au fond de mon sexe déjà tout mouillé.

Mes mains disparaissent sous ma jupe et elles se glissent sous ma culotte pendant que tu me surveilles et qu’un premier doigt commence les lents mouvements d’entrer et de sortir de la chaleur torride à l’intérieur de mon tunnel.

J’appuie ma tête contre le mur et je bouge si subtilement des hanches que mes mouvements ne sont perceptibles que de toi. Et, le va et vient de mes mains se font de plus en plus vite. Instinctivement, j’ouvre les lèvres et je commence à respirer plus profondément. Et, toi, tu es convaincu de m’avoir entendu gémir même avec tous ces bruits emplifiés par le jukebox.

Tu réalises soudainement que tu es entrain de te caresser la queue. Tu te dépêches de retirer ta main et tu regardes tout inquiet autour de toi, si quelqu’un t’a vu agir ainsi. Tu as une telle envie de te soulager, un besoin incontrôlable de venir. Tu devrais aller à la salle de toilette et te masturber, mais, tu veux voir ce que je te réserve pour la suite.

Soudain, tu me vois cambrer le dos et me mordre les lèvres. Tout mon corps frissonne une première fois, une deuxième fopis suivi d’une troisième série de frissons pendant que lentement je retire ma main de ma chatte.

Tu regardes ma poitrine se gonfler et se soulever à chacune de mes respirations tout le temps qu’elles durent avant de revenir à une respiration plus normale.

Tout en te regardant droit dans les yeux, je me lèche les doigts un à un et pendant que j’ai encore un doigt dans la bouche, je me passe délibérément la langue à la grandeur de mes lèvres pour en savourer le goût exquis de mon jus de chatte en chaleur.

Je me lève du tabouret et je marche vers toi. Je descends mon regard vers tes genoux et je sousirs et te fais un clin d’oil, car, ton érection est si visible sous ton ample pantalon.

Je continue à marcher sans regarder en arrière, car, je suis convaincue que tu n’oseras pas me suivre, vu ton érection si visible et si évidente pendant que je marche vers l’extérieur du bar.

Tu ne sais même pas qui je suis, mais, tu te dis que cette salope agace-pisette mérite une bonne leçon.

V Cockteaser

by: dreambabydoll Traduit en français par: Philippe C de Harles

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