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Mes premiers émois avec mon père – Chapitre 5




Je passe une heure dans mon lit, dans mes pensées sexuelles où je suis le plus souvent au service de mon père. Jimagine aussi mexhiber devant René pour lui montrer mes fesses.

Je narrive pas à mendormir, je me lève. Tout est éteint dans lappartement. Jentends des voix dans la chambre de mes parents. Je mapproche, mes parents sont en discussion et ils parlent de moi :

Ma mère : il est quand même, maniéré pour un garçon et cest arrivé dun coup ce nouveau comportement.

Mon père : je tai toujours dit quil était différent, et maintenant à son âge, sa nature un peu ambigüe, saffirme. On y pourra rien.

Ma mère : Tu sais que lautre jour je discutais avec René dans le couloir, Eric sest éloigné, René la regardé séloigner, il sest tourné vers mois ma dit : il a mis un cul de fille ton fils. Je ne savais plus ou me mettre.

Mon père : Cest vrai que depuis quil porte des jean très serrés et quil a adopté sa nouvelle démarche, ça lui fait un cul magnifique .

Ma mère : tu vas pas ty mettre toi aussi, cest ton fils quand même

Mon père : oui cest mon fils mais reconnaît quavec le cul quil a, il ny a certainement pas que René qui va le mater.

Ma mère : Aussi comme une imbécile je suis aller lui acheter ces jean serrés qui mettent en évidence ses fesses il narrête pas de les mettre, il ne porte rien dautre

Mon père : de toute façon tu ne pourras rien changer à ça cest sa nature

Ma mère : je lai surpris lautre fois en train de regarder mes culottes.

Mon père : On ne va pas soffusquer de tout, chéri. Il est comme ça il est comme ça. Au lieu de sénerver aidons-le. Non ?

Ma mère : je ne sais plus ta réaction me surprend mais après tout tu as peut-être raison.

Je retourne dans ma chambre. Etonné de ce que jai entendu et en même temps content de la tolérance qui émanait de cet échange.

Le lendemain, jétais seul au petit déjeuner avec mon père.

« Ta mère ma dit quelle tavait vu en train dadmirer ses belles culottes, cest vrai »

« Oui je les trouve très belles, jaimerais bien en porter de si jolies à la place de mes slips de garçon »

« Demande à ta mère, peut-être quelle ten prêtera. »

Je souris, je naurais pas osé mais puisque mon père me le dit, je vais le faire.

Le soir en rentrant des cours, ma mère est là. Je lui parle de ses culottes. Elle est très gênée et finit par me répondre :

« Toi et ton père vous mennuyez débrouille toi avec lui »

Le soir ma mère va se coucher tôt. Quand je suis seule avec mon père, je lui répète ce que ma mère ma dit.

« Hé bien cest bien tout ça, ma chérie, reste ici jarrive »

Il part dans sa chambre où ma mère dort, il revient avec des culottes et des soutiens gorges.

« Voilà, tu veux en essayer ? »

« Ho oui papa » dis-je quasiment émerveillée.

Je vois quil a amené un ensemble noir et gris avec des petits nuds roses dont je rêve, depuis que jai vu mon père baiser ma mère dans cette tenue.

« Va en passer un dans ta chambre et revient me voir »

Evidemment cest cet ensemble que je choisis. Je mets la culotte, le contact de la dentelle sur mes fesses et mon petit sexe mélectrise. Je mets le soutien gorge. Jajuste les bretelles. Dommage que mes seins ne remplissent pas les bonnets. Je me trouve quand même féminine.

Une fois bien ajustée je retourne voir mon père. Il me regarde avec un sourire.

« Avec cet ensemble tu fais encore plus cochonne que ta mère »

Je suis face à lui. Je lui souris satisfaite de cette comparaison à mon avantage.

« Tourne toi »

Jobéis et dos à lui je creuse mes reins pour lui présenter mes fesses. Il se lève et sapproche de moi. Il me caresse les fesses. Il prend ma main et la pose sur son sexe tendu que je sens à travers le tissu de son pantalon. Je me sens femme, je suis bien.

« Tu es très belle Virginie »

Je pose ma tête sur sa poitrine et je commence à caresser sa queue à travers le pantalon.

Sa main passe entre mes fesses, jécarte un peu mes jambes.

« Cest bien salope »

Je serre mon emprise sur sa queue très dure. Sa respiration est plus profonde.

Il écarte la culotte pour accéder à ma fente et plante directement un doigt à sec dans mon petit cul. Jai mal et je ne peux mempêcher de pousser un petit cri.

« Chût, du calme Virginie, donne toi à ton père, tu es sa femme, tu le sais » me dit-il dans son essoufflement dexcitation.

« Oui Papa je suis ta femme » et je me cambre pour faire enfoncer son doigt plus profond.

« Il baisse son visage à hauteur du mien et membrasse à pleine bouche. »

Sa langue sagite dans ma bouche, je sens le goût de sa salive. Jaime ce goût.

Il retire sa la lange de ma bouche puis me bécote la bouche.

« Jai envie de te baiser »

Jadore cela. Je réponds en lui offrant mes lèvres. Son doigt continue de sagiter dans mon anus, il me fait un peu mal et il le voit à mes petites grimaces. Il me fait mettre à genou sur le canapé, dos à lui, appuyé sur le dossier. Il se baisse, écarte ma culotte en écartant mes fesses et se met à me lécher la raie.

Je gémis de plaisir. Aux bruits que fait sa respiration, il semble prendre aussi beaucoup de plaisir. Jécarte mes genoux et me cambre au maximum pour lui donner toute ma raie. Sa langue baveuse sattarde sur mon trou puis rentre à lintérieur. Cest divin et jen gémis. Tout à coup je reprends conscience de la présence de ma mère dans sa chambre.

« Papa, on risque de réveiller maman »

« Ne tinquiète pas elle dort à points fermés, cest pas tes gémissements de salope qui vont la réveiller »

Mon père me traite de salope, cest la preuve quil prend du plaisir avec moi.

Il se relève derrière moi, je tourne ma tête pour le voir. Il sort sa queue bandée et ses couilles par la braguette et sapproche de mon cul. Il me regarde avec un sourire dhomme excité qui sait quil va pouvoir se soulager.

Je me prépare à recevoir son sexe dur dans mon ventre. Je me cambre pour moffrir à lui, il le voit.

« Cest bien petite salope, tu vas avoir ce que tu veux »

Il crache plusieurs fois dans sa main et mouille son gland et sa queue. Il pose sa queue sur mon anus. Je le dilate pour louvrir et lassouplir et contrairement à la première fois le gland rentre sans difficulté mais je ressens quand même la douleur. Mon père sarrête pour me laisser le temps de madapter à lintrus, puis je pousse vers lui pour lui montrer mon envie de me faire prendre.

« Prend ça salope » me dit-il en menfonçant dun coup la totalité de son membre.

Je ne peux réprimer un petit cri, jai très mal et je me sens envahie et remplie. Mon père reste immobile planté dans mon ventre. Je respire fort, lui aussi. Malgré la douleur, je reste dans ma position offerte. Il se pose sur mon dos et me dit doucement dans loreille :

« Jadore tenculer ma chérie »

En respirant fortement je lui dis « Je me sens remplie, papa ».

Je ne veux pas lui avouer que jai mal pour ne pas perturber son plaisir.

« Cest bien, chérie, tu es remplie comme une bonne femelle »

Jaime quil utilise le mot femelle à mon égard, cela mexcite.

Il commence de petits mouvements lents. Il est toujours au dessus de moi à quatre pattes.

« Tu es belles avec ce soutien-gorge et cette culotte en dentelle »

« Je te plais »

« Tu ne le sens pas que tu me plais avec ce que je suis en train de mettre dans ton joli cul ? »

« Oui Papa je le sens bien »

« Tu portes mieux cette lingerie que ta mère, tu as un cul encore plus excitant que le siens »

Mon père compare à mon avantage, mes fesses avec celles de ma mère. Les mouvements de son sexe dans mon anus en plus de cette comparaison mexcitent terriblement et je ne peux mempêcher de lui demander :

« Tu me préfères à maman ? »

« Ho oui, entre deux salopes cest toi que je choisis »

Cette réponse, me rassure, me satisfait. Je me donne totalement à mon père. Ces mouvements deviennent plus amples, jai toujours mal, mais moins quau début, cest supportable.

Il se relève et me prend en levrette.

« Tu as vraiment un super cul. Maman tas dis pour René ? » Me demande-t-il en me baisant avec des mouvements lents et amples.

Je ne suis pas certaine de ce dont il veut parler. Est-ce quil va me dire ce que maman ma dit je préfère répondre dans mon essoufflement :

« Non papa »

« Maman ma dit que lautre jour quand il tas vu, il lui a fait la remarque comme quoi tu avais mis un cul de fille »

Ces mots dans la bouche de mon père me font me sentir femme. Je lui réponds :

« Tu crois quil me prends pour une fille ? »

« Peut-être un peu, et sil te voyait maintenant en lingerie de pute prise en levrette, il voudrait certainement être à ma place, ce vicieux »

Quun autre homme mûr que mon père me prenne pour une fille mexcite.

Mon père me tient par les hanches, ses mouvements saccélèrent. Mon anus me brûle mais cest supportable. Je me laisse faire, passive attendant la jouissance de mon père, ne pouvant mempêcher de penser à René. Les mouvements saccélèrent encore.

« Je vais jouir salope, je vais me vider les couilles dans ton ventre, je vais te remplir de mon jus »

Mon père me traite comme une femme, comme sa femme.

« Tu es trop bonne, prends ça salope, tiens prends ça » dit-il en poussant très fort sur mes fesses avec ses mouvements de hanches de lhomme que veut ensemencé sa femelle.

Il se vide en moi. Je suis étonnée que ma mère na pas été perturbée dans son sommeil.

Mon père a jouis en moi. Il se retire. Je sens mon cul se vider. Jai limpression que mon anus reste ouvert après son retrait.

Je me remets debout, je remets ma culotte et mon soutien-gorge correctement. Mon père mobserve.

« Une vraie petite femme, Virginie »

Je lui souris

« Jai toujours su que tu étais une fille dans un corps dhomme »

« Va te mettre en pyjama et rend moi ces sous-vêtements je vais les ranger dans le tiroir de ta mère »

Je vais dans ma chambre me changer et reviens dans le séjour.

Mon père va ranger la lingerie que je lui ai rendue et reviens dans le séjour.

Mon pyjama en tissus éponge me moule bien les fesses. Mon père me prend dans ses bras, comme il le ferait avec une femme et membrasse à pleine bouche, sa langue baveuse envahit ma bouche. Jaime ce goût et la virilité quil manifeste en me serrant très fort dans ses bras. Je me laisse faire, je veux être sa fille, sa femme, sa maitresse, sa femelle. Il me pétrit les fesses, il me parle doucement dans loreille en me serrant contre lui :

« Tu vas aller te coucher chérie, à partir de maintenant pense que tu es ma femme et que tu dois me satisfaire, je te veux plus souvent que ta mère, pense aussi que tu plais aux hommes. Si jamais tu avais des propositions dautres hommes, tu devras me demander mon autorisation avant toute chose. Sache que ton Philippe ne taura jamais il est trop jeune, seul des hommes plus âgés que moi pourront tapprocher, on est daccord petite femme »

« Oui, Papa je suis daccord »

Mon père me considère comme une rivale de ma mère, cela me plait, je suis une femme.

Immédiatement je pense à René. Et je dis innocemment :

« Tu crois que je plais à René ? » Lui dis-je doucement.

« Pourquoi tu aimerais lui plaire petite salope ? »

Je me rends compte que je naurais pas du dire cela à mon père.

« Non comme tu mas dis quil avait apprécié mes fesses »

« Daprès ta mère oui, aller va te coucher petite femme et pense à ton homme. Cest qui ton homme ? »

« Cest toi papa »

Je vais dans ma chambre. Je suis épuisée de laccouplement que je viens davoir avec mon père, jai mal à mon orifice anal. Par contre je suis très satisfaite de savoir que mon père ma ensemencé. Je me couche en pensant à tout ce quil vient de se passer et à René.

Merci de me donner votre avis sur mon histoire que j’essaie de résumer tout en conservant les évènements et détails qui m’ont marqués.

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