C’est long… Si long ! La voiture roulait à toute allure et nous menait vers notre mobile home sur la côte.

Le trajet n’était en fait pas si long, mais le paysage plat et monotone rendait le voyage insipide. Mais nous y sommes presque !

La voiture se gare, je descends, récupère mes affaires et cours vers notre mobile home pour y poser mes sacs. La température avoisinant les 35°C m’assomme… Saleté de clim !

Les voisins nous ont entendus arriver, ils sont sur la terrasse de leur chalet, à l’apéro. Ils nous font de grands signes et nous invitent à les rejoindre :

— J’arrive ! Servez-moi un mojito, je suis à vous tout de suite !

Une fois dans ma chambre, je pose mes sacs, enfile un bikini triangle pour être plus à l’aise et me regarde dans la glace. Je suis prête.

Mon corps est fin et athlétique, je suis sportive et le résultat est parfait pour la plage cet été ! Deux mois de vacances bien méritées sur le sable, sous le soleil, dans les vagues… Mais je ne me suis pas présentée !

Moi, c’est Alicia. Je suis une jeune étudiante en première année de médecine, et je viens de passer une année tumultueuse entre les murs de la fac (je redouble ma première année). J’ai 19 ans, je suis blonde (très clair, presque platine) avec les cheveux longs jusqu’aux fesses et les yeux très verts. Je mesure 1m67, pèse 55 kilos. Je possède un corps fin, une paire de 90 C que j’arbore insolemment, un petit fessier rebondi, bien rond, dont je suis assez fière.

Avec ma mère et mon père, nous passons tous nos étés sur la côte. Cette année, mon père y passera trois semaines, ma mère 1 mois et moi… Deux mois ! J’ai effectué quelques petits boulots cette année, j’ai donc un peu de sous à dépenser !

Je sors de ma chambre, et file vers le chalet voisin. Un mojito frais m’attend sur la table.

Nous parlons de tout et de rien, de l’année qui vient de s’écouler, de la fac, de mon copain qui viendra, s’il le peut, quelques jours…

Une fois l’apéro terminé, je file sur la plage, faire un peu de bronzette. J’allonge ma serviette, me passe un peu de crème, et hop, je m’étale sur le ventre, en enlevant le haut de mon bikini (pour éviter les marques).

L’après-midi se passe calmement, sans trop de mouvement.

Les jeunes du camping se retrouvent ensemble sous un préau, je les rejoins pour passer un moment avec eux.

— Alicia ! Ça fait plaisir de te revoir ! me lance Pauline, une amie d’ici que je n’ai pas vue depuis l’an dernier, mais avec qui je communique par SMS régulièrement.

— Salut Pauline, comment tu vas ?

— Ben moi ça va ! Et toi ?

— Comme une fille en vacances pour deux mois ! Ouais !

— Haha ! Les garçons, je vous présente Alicia. Alicia, je te présente Thom, Charlie et Stephen. Les gars, elle est super sympa et célibataire, alors on fonce !

Les trois garçons avec qui elle se trouve me saluent très chaleureusement. Ils sont assez mignons tous les trois. Le genre à faire courir les filles à l’école. Ça ne marche pas avec moi ! Je vois leurs yeux qui me scrutent de haut en bas. Je fais volontairement tomber derrière moi ma serviette posée sur mon épaule, l’air de rien, et me penche pour la ramasser, leur offrant une vue imprenable sur ce fessier, qu’ils n’auraient probablement jamais ! J’aime être allumeuse… Puis je me retourne :

— Pauline ! Je ne suis pas célibataire ! C’est juste que Paul est parti…

— Oui je sais, un an à l’étranger pour ses études, dit-elle avec un air caustique. M’enfin, il est au Japon là ! Et il ne revient que dans neuf mois !

— Il m’a dit qu’il essayerait de se dégager du temps pour passer quelques jours avec moi ici…

— Vu le prix des billets et son immense fortune… Il ne viendra probablement pas ! C’est au-dessus de ses moyens ! Et puis c’est pas comme si tout était rose entre vous, alors on profite !

— Pauline ! Stop !

— Rooo la la, bon OK, j’arrête. Bon, ce soir on sort en boîte, tu viens avec nous ? On fait qu’une seule voiture.

— OK, ça marche ! Quelle heure ?

— 23h sur le parking, on va aller dans un bar, et après on ira en boîte.

— Super, à ce soir !

C’est vrai que Paul me manque. On se parle souvent via Skype, mais c’est pas évident une relation très longue distance. Et sexuellement parlant, j’ai toujours eu plus d’appétit que lui. Ma libido étant ce qu’elle ait, je devais souvent faire face à ses refus et me finir avec les doigts… Depuis qu’il n’est plus là, je me suis acheté un gode. C’est pas mal, mais ce n’est pas pareil. J’avoue que là, je suis très en manque, et si l’un des jeunes venait à finir dans mon lit, je ne dirais probablement pas non finalement…

Le soir je mange, sans grand plaisir, avec mes parents. Une fois le repas terminé, je vais faire un petit somme histoire de reprendre des forces ! Mais avant… Je me glisse sous les draps, je m’imagine les yeux bandés, les mains attachées à une tête de lit, des mains me fouillent… Je glisse deux doigts dans ma chatte humide et… c’est parti pour une séance solitaire !

22h, mon réveil sonne. J’ai assez bien dormi. Je me lève, toujours excitée… file dans les douches (collectives) pour me préparer. Je m’installe dans la cabine et tire l’eau. Mince, elle est tiède ! Il ne doit plus rester beaucoup d’eau chaude. Ma douche ne dure pas longtemps, juste assez pour me demander si Pauline avait raison… Entre Paul et moi, tout n’est pas parfait, et sexuellement, nous ne sommes pas du tout sur la même longueur d’onde. Il refuse même qu’on se chauffe par Skype… J’ai toujours été fidèle, mais là… Bref, douche terminée, maintenant, je sens bon la vanille ! Je retourne dans ma chambre me préparer. J’enfile un top noir avec peu de tissus : c’est un dos nu avec une lanière derrière le cou et une à la taille, à l’avant il y a un grand décolleté qui met mes beaux seins en valeur. Évidemment, pas de soutif. En bas, j’enfile un mini short sexy ouvert sur les côtés (qui tiennent avec des lacets sur toute la hauteur), je ne mets donc ni string ni autre culotte. Et comme chaussures, des escarpins bleu foncé 12 centimètres.

J’ai toujours été très à l’aise en escarpins, même pour danser. Et puis au moins, le message est clair, j’ai envie de m’amuser. Je me maquille aussi, mais très légèrement. Pour finir, j’attache mes cheveux en queue-de-cheval.

Je pense à Paul en me voyant ainsi… Mais j’ai trop envie, je suis en manque et ne tiendrais pas jusqu’à son retour !

À 23h, j’arrive au parking, tout le monde est là devant la voiture. On prendra celle de Stephen (il ne boit jamais d’alcool, il sera donc notre Sam !). Pauline me voit et s’écrit :

— Woa !! La meuf ! Alors si là personne comprend ce que tu veux, faut t’ajouter une pancarte !

— Hihi, ouais, ce soir je me lâche, je veux me faire plaisir !

Je vois les garçons qui se mettent à discuter en me regardant, effet réussi !

Arrivés au bar, nous nous faufilons jusqu’au bar pour commander nos doux breuvages. Une caïpirinha pour moi. La musique de fond est sympa et nous discutons avec des connaissances que nous croisons chaque été.

Je remarque qu’un mec, avec une magnifique peau couleur ébène, me regarde avec insistance un peu plus loin, et il me fait même un petit sourire. Il se rapproche, m’offre un verre et nous discutons. Il s’appelle John, il a 24 ans, originaire des États-Unis (mère américaine, père français). Il est en France pour deux ans pour les études.

La conversation qui suit n’est pas super passionnante, et me permet de dévorer son corps… C’est un grand black, genre 1m95, fin et très musclé, le genre de mec à prendre soin de lui, le genre à me faire mouiller avant propos en fait…

Il est 2h, le bar ferme, direction la boîte de nuit qui est juste à côté. Nous partons en groupe Pauline a retrouvé un ancien amour (plan cul) d’été et ils marchent bras dessus bras dessous. Les trois garçons qui nous accompagnaient me regardent avec un regard noir. Seraient-ils déçus ? Fallait attaquer plus tôt les gars !

Une fois dans la boîte, la musique forte ne permet plus de faire de beaux discours, nous dansons en collant nos corps. Je sens ses muscles sous sa chemise… La tension est de plus en plus électrique entre nous… Je me mets dos à lui, frotte mes fesses contre lui, il pose sa main sur ma hanche… Je sens une bosse sous son pantalon, une belle bosse…

La soirée continue, John part danser avec d’autres filles et parler avec ses potes au bar, moi je suis invitée à danser par Stephen. C’est un garçon brun, beau gosse, 1m75 et fin. Je suis encore tout émoustillée du contact avec John et suis plus tolérante avec les mains de Steph qui viennent rapidement sur mes hanches puis mes fesses. Cela rajoute à mon état d’excitation, et je me mets à lubrifier encore plus. Le feu brûle tellement dans mon bas ventre que je crois qu’il va profiter du brasier allumé par John. Il me prend la main et nous dirige vers les toilettes. Nous entrons dans une cabine et, sans attendre, il passe sa main dans mon short.

— Je savais bien que tu ne portais rien dessous ! Et tu es toute trempée. On dirait que je te fais de l’effet !

Il me fouille sans ménagement la chatte, je sens l’orgasme monter… Puis avant que j’aie pu atteindre l’extase, il enlève sa main, les dirige vers son pantalon et défait sa ceinture.

Il baisse son pantalon devant moi :

— Montre-moi à quel point tu me veux, avale ma queue !

Je me mets à genoux et commence à le masturber. Il a de la chance que je sois en manque de sexe pour me traiter comme ça, il a intérêt à être meilleur avec sa bite qu’avec ses doigts ! Je le prends en bouche et commence à le sucer. Sa bite doit faire 18 centimètres, de largeur moyenne, je n’ai pas de mal à lui faire une gorge profonde. Je le sens venir, je sors sa bite de ma bouche et la dirige vers la cuvette. Il jouit. En moins de deux minutes ! Il remonte son pantalon, m’embrasse le cou et sort… Et merde… Fait chier.

Je retourne sur la piste, et Steph vient se coller à moi, d’un air victorieux. Je le repousse :

— Dégage le précoce !

— Pardon, qu’est-ce que tu dis petite salope ?! Tu trompes ton mec en suçant le premier venu dans les chiottes de la boîte et tu la ramènes ?! Tu vas baisser d’un ton ma jolie !

— Me parle pas comme ça, conna…

John arrive et s’interpose entre nous

— Wow, qu’est-ce qu’il se passe ici ?

— Cette petite traînée joue les saintes-nitouches après m’avoir sucé la bite !

— Ouais bah mon gars, fallait peut-être penser à moi ! Je suis pas un sac à foutre ! J’attendais que tu me baises et tu t’es barré après la pipe. Et il arrive après, tranquille, sûr de lui… Quand on jouit en deux minutes, on fait au moins jouir la partenaire crétin !

John nous sépare, nos amis emmènent Steph d’un côté de la salle, John me dirige dans l’autre direction.

— Viens, je te ramène me dit-il. Je crois que ce soir, tu ne seras plus dans l’ambiance.

— Nan, je suis venue avec Pauline, faudrait que je…

— Envoie-lui un SMS, appelle-la, fais ce que tu veux, tu rentres avec moi.

John me ramène près de mon amie, je la préviens. En partant, elle me fait un clin d’il, je souris.

Il se peut que la soirée se termine sur une note un peu plus positive… hihihi !

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