Issue d’une famille catholique, j’ai été mariée par mes parents au fils d’un ami de la famille. Un mariage de convenance, où les enjeux financiers entrent pour une large part. J’étais bien sûr, vierge et ingénue.
Le mariage était grandiose et je vivais un véritable conte de fées. Philippe était grand et beau garçon et toutes mes copines m’enviaient. J’étais de taille moyenne, plutôt menue et assez timide.
Quand il fut l’heure de nous éclipser, je ne savais pas encore ce qui m’attendait, personne ne parlait de sexe à la maison. Nous nous retrouvons donc dans une superbe suite d’un grand hôtel où nous attendaient Champagne, fruits, fleurs et longue chemise de nuit en soie écrue étalée sur le lit. Philippe me suggère d’aller à la salle de bains passer cette merveille pendant qu’il sert le champagne.
Je prends une douche rapide et reviens avec ma chemise de nuit, décolletée dans le dos jusqu’à la taille. Mon mari est admiratif et me demande de venir sur ses genoux pour trinquer à notre union, ce que je fais sans appréhension. Nous trinquons et buvons notre champagne en silence me faisant de temps à autres de petits baisers dans le cou et le dos. Il prend mon verre pour le poser sur la table et tout en m’embrassant dans le cou, fait glisser une bretelle de ma chemise sur mon bras afin de dégager un de mes seins. Je rougis en le regardant, je suis très gênée. Il le voit et me sourit en disant :
— N’aie pas peur, nous faisons ce que tous les gens mariés font. Je vais te faire mienne complètement. Tu devrais aller t’allonger sur le lit pendant que j’enlève ce costume.
Je n’ai jamais eu l’habitude de désobéir. J’enlève le dessus de lit et m’allonge pendant qu’il a disparu dans la salle de bains.
Il revient complètement nu, je n’ose pas le regarder. Il s’allonge à mes côtés et parcourt mon corps de ses mains en m’embrassant. C’est très agréable et je commence à apprécier le mariage. Pour la première fois, quelqu’un pétrit doucement mes seins, roule mes tétons entre ses doigts ce qui a pour effet de provoquer des picotements dans mon bas-ventre. Il se penche au dessus de moi pour pour me lécher les seins et me demande de caresser son sexe. J’obtempère timidement, surprise de la taille de l’engin que je caresse doucement.
— Fais-moi bien durcir que je t’honore comme il se doit. Branle-moi plus fort
— Mais c’est déjà énorme !
— Non pas encore, je peux être plus gros que ça et je veux être bien dur pour te déflorer, pour que tu sois à moi.
Ma main n’arrive pas à faire le tour et effectivement, je le sens encore grossir entre mes doigts.
Pendant qu’il continue à me lécher les seins, il descend une main pour remonter ma chemise de nuit et s’infiltrer entre mes cuisses serrées. Il commence à titiller habilement mon clitoris, me faisant découvrir des sensations jusqu’alors inconnues. Mes cuisses s’écartent d’elles-mêmes, laissant ses doigts écarter mes lèvres et explorer mon intimité. Après avoir introduit un doigt dans ma caverne secrète, il s’arrête et me regarde d’un air lubrique :
— Tu as l’air d’aimer ça, tu es déjà bien excitée petite vierge. Je ne te fais pas mal ?
— Non
— C’est bon ce que tu ressens ?
— Oui
Il introduit un deuxième doigt sans difficulté tout en continuant à titiller mon clitoris avec son pouce. Ma respiration s’accelère, je gémis en fermant les yeux.
— Tu devrais enlever ta chemise de nuit, ma chérie. Je veux découvrir ton corps et te faire du bien.
Rougissante, je me mets nue devant lui qui me regarde en souriant gentiment. Il vient s’agenouiller entre mes jambes et se penche pour embrasser mon sexe puis le lécher. Après un moment de surprise, je trouve ça très agréable et je me détends. C’est le moment qu’il choisit pour me pénétrer après m’avoir bien écarté les jambes, il présente son sexe devant le mien. Je sens son gland énorme à l’entrée de ma vulve, je suis terrifiée et sans un mot, il pousse un grand coup de reins et me pénètre. Je pousse un cri de douleur, il s’est arrêté en moi et caresse mon clitoris en disant :
— Vierge et étroite ! Joli cadeau de mariage ma chérie. Ne t’inquiète pas le plus dur est fait, détends toi et tu n’auras pas mal.
Des larmes roulent sur mes joues, mais son sexe fiché dans mon ventre et ses doigts experts faisant rouler mon clitoris ont bientôt raison de la douleur.
— Je vais te faire aimer ça. Tu verras que tu en redemanderas parce que c’est un plaisir de faire l’amour. Tu n’as plus mal ?
— Non
Il commence de doux va et vient que je finis par apprécier. Je n’en reviens pas que ce sexe énorme ait pu rentrer et me remplisse le ventre aussi facilement. Je n’ai plus mal du tout. Il alterne des lents va et vient avec de plus rapides et parfois de puissants coups de reins. Ma respiration est saccadée, je gémis.
— Tu aimes ce que je te fais avec ma queue ?
— Oui
— Dis-le-moi
— Ta queue me fait du bien
— Je savais que tu allais aimer que je te ramone la chatte. Je vais te faire jouir.
—
Je suis choquée par ces mots que je trouve vulgaires mais je n’ai pas le temps de me poser de questions parce qu’il accélère les mouvements et ce que je ressens est inexplicable, je me cambre et je crie mais il n’arrête pas. Je le sens grossir encore, il donne un grand coup de reins avant de s’arrêter contre ma matrice et je perçois plus que je ne sens des spasmes dans mon vagin sensible.
Quand il s’est retiré, j’ai senti un liquide couler et je me suis précipitée aux toilettes pensant que c’était du sang. Rassurée, je suis retournée me coucher aux côtés de mon mari qui m’a enlacée :
— Hummm Chérie, tu m’as fait jouir très fort. Tu as bien joui aussi ?
— Oui, j’ai joui très fort aussi
— Parfait ! Maintenant, tu es vraiment ma femme.
—
Nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. Alors que je dormais encore, je sens une main entre mes cuisses.
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Je réveille ta chatte pour qu’elle m’accueille
— Encore ?
— Bien sûr, encore et tous les jours ! Tu es ma femme et un de tes rôles est d’assouvir mes besoins et mes envies, mais je t’assure que tu vas y prendre goût.
Je ne dis rien de plus et le laisse me caresser.
— Tu sais, j’aimerais que tu te fasses épiler, ce sera beaucoup plus agréable pour te brouter le minou.
— Si tu veux
—
Nous avons refait l’amour sauf que là je n’ai pas eu mal et que j’y ai même pris beaucoup de plaisir.
Nous nous sommes préparés à aller rejoindre la famille pour le repas de midi. Tout le monde nous attendait. Ma mère me prend à part :
— Alors, ça s’est bien passé ?
— De quoi tu parles ?
— Ben de votre nuit de noces ?
— Tu veux savoir quoi exactement ?
— Ben, ça ne t’a pas fait mal ? Murmure-t-elle ?
— Si ça m’a fait mal, et j’aurais aimé savoir à quoi je m’attendais avant !
— Tu sais, ça n’aurait rien changé et tu n’auras plus mal par la suite, tu vas même apprécier.
— Je sais, on a retesté ce matin et c’était divin lançais-je d’un ton furieux en m’éloignant.
—
Pendant notre voyage de noces, j’avais l’impression qu’il ne débandait pas et on faisait l’amour plusieurs fois par jour, pour mon plus grand plaisir parce que j’ai appris à apprécier vraiment. Je me suis même surprise à le lui demander, pour son plus grand plaisir à lui.
Au retour, ne travaillant pas, j’étais à son entière disposition et il me prenanit quand bon lui semblait. J’avais fini par trouver ça normal.
Les années ont passé, Philippe, homme d’affaires international était souvent en voyage, il m’avait donné un fils, très rapidement après notre mariage, qui était ma principale préoccupation. Un jour, alors que j’étais à une ouvre de charité, j’apprends par une âme bien intentionnée que Philippe me trompait régulièrement avec son assistante. Que pouvais-je dire ? J’avais une maison de rêve, un fils adorable et pas de travail. Je me devais d’être toujours présentable, au cas où il ramènerait quelqu’un à la maison sans prévenir.
Quand il rentrait de voyage, il m’appelait pour me dire :
— Chérie, prépare toi j’ai très envie de toi.
—
Je décrypte : ça voulait dire mettre des dessous affriolants et des bas, détacher mes cheveux et l’attendre dans la chambre. Quand il arrive, il monte directement dans la chambre, se déshabille promptement et se jette sur moi. Ce jour-là, il arrive en me disant :
— Mon amour, tu m’as manqué ! Je bande depuis ce matin rien qu’à l’idée de retrouver le moelleux de ta chatte. Je n’en connais pas d’autre aussi bonne.
— Pourquoi, tu en connais d’autres ?
— Bien sûr ! Je reste un homme et j’ai des besoins, c’est différent de toi. Puis tu sais comme tu m’excites quand tu t’habilles comme une pute. Tu es ma pute à moi.
— Une pute se donne à d’autres hommes
— Tu aimerais ?
— Non
— Moi j’aimerais te voir te faire prendre par d’autres hommes, dans la mesure où je suis là bien sûr, Te voir te faire baiser comme une salope.
—
En disant ça, son excitation était décuplée et il se déchainait sur moi en me disant des mots crus.
— Ne dis pas que tu n’aimes pas ma bite, tu aimes que je te défonce le con, petite salope. Tu adores quand je te baise comme une chienne, ça te fait mouiller et je suis sûr que tu aimerais te faire prendre n’importe où par une grosse queue.
—
Je ne répondais rien, je ne pouvais rien répondre tellement il me pilonnait fort et tellement il me faisait jouir ! Quand il a eu fini, il est redevenu « normal ».
— Tu en avais envie aussi apparemment ! J’aime te faire jouir fort.
— Normal que j’en aie envie depuis une semaine que tu es parti.
— Je sais Chérie, on va pouvoir recommencer ce soir et je reste là quelques jours..
— Tu m’en vois ravie !
L’année des 17 ans de mon fils, nous avions convenu qu’il partirait 2 mois aux états Unis chez des amis américains, pour perfectionner son anglais pitoyable. Chose faite, le 2 juillet, il prend l’avion pour les USA alors que mon mari part quelques jours en Allemagne. Je me retrouve seule et décide d’en profiter pour m’occuper de moi et ne rien faire de particulier. Je profite, depuis 3 jours de ma sollitude, la chaleur devient pesante et j’enfile un maillot de bains et vais piquer une tête dans la piscine pour me rafraichir avant de m’allonger sur une chaise longue, seins nus.
J’entends le chien du voisin aboyer et ma sonnette d’entrée retentir. C’est à contrecour que j’enfile un peignoir et vais ouvrir la porte.
Je me retrouve face à un jeune homme, en panne avec sa voiture devant chez moi et qui me demande s’il peut appeler un garagiste. Je le fais entrer et j’appelle notre garagiste qui arrive très vite et constate que c’est la pompe à eau qu’il faut changer mais qu’il n’en ’a pas en stock et que la voiture ne serait prête que le lendemain. Je propose au jeune homme de rester là et d’appeler ses parents pour ne pas qu’ils s’inquiètent. Je l’emmène au bord de la piscine où nous prenons un rafraichissement et lui propose de se baigner. Il fait très chaud en ce début d’été et c’est avec plaisir qu’il accepte.
J’enlève mon peignoir et me réinstalle sur ma chaise longue pendant qu’il trempe dans l’eau, consciente que je n’ai pas de soutien gorge. Quand il revient, il s’assoit non loin de moi et au travers de mes paupières mi-closes et derrière mes lunettes de soleil, je le vois regarder mes seins et je constate également une érection naissante au travers son slip de bain. Je le laisse regarder un moment et tourne la tête vers lui :
— Excuse moi, peut-être que ça te gêne que je sois seins nus ?
— Non, ils sont très beaux
— Oui mais là, ils commencent à brûler, où ai-je mis ma crème ?
— C’est ça ? demande t-il en tenant un tube de crème solaire
— Oui
— Je peux vous en mettre si vous voulez
— Si tu veux
Je suis stupéfaite par l’audace de ce jeune homme et en même temps assez émoustillée.
Il prend de la crème dans sa main et l’applique sur mes épaules en descendant sur mes seins. Il prend son temps, mes tétons dardent, il en remet et descend sur mon ventre puis remonte sur mes seins qu’il masse doucement. Ce jeune homme pourrait être mon fils et je me laisse faire, il est tellement doux, ça me fait tellement de bien ! Je le regarde et je constate qu’il bande dur.
— Aurélien, tu aimes ce que tu es en train de faire ?
— Oui, vos seins sont tellement doux et fermes
— Et ce sont mes seins qui te font cet effet ? Demandais-je en pointant le doigt vers son caleçon.
— Oui
J’avance la main pour toucher son membre congestionné au travers de son slip, il tressaille. Je le sors du slip et le prends dans ma bouche, il projette sa tête en arrière, savourant les sensations que ma bouche lui procurait. Il ne fut pas long à venir, il m’envoya de longues giclées de sperme au fond de la gorge, ça débordait de mes lèvres et reprenant ses esprits, il s’excusa.
— Pas la peine de t’excuser, je savais au vu de ton excitation que ça allait aller très vite. Tu as envie de me faire l’amour ?
— Oh oui
— Alors viens, suis-moi
Je le conduis dans ma chambre, j’enlève mon bas de maillot de bain et je m’allonge sur mon lit. Il enlève son slip également et vient me rejoindre.
— Caresse-moi comme tout à l’heure
Il s’exécute et entreprend même de me sucer les seins. Je prends sa main et la guide dans mon entrejambes.
— Caresse-moi là aussi
Il était doux, ses caresses sur ma chatte étaient lentes et appuyées, il s’attarda sur mon clitoris qu’il branla divinement puis il introduit 2 doigts dans ma chatte qu’il se mit à fourrager. On entendait que le bruit du clapotis que faisaient ses doigts dans ma mouille abondante. Quand j’ai constaté qu’il rebandait dur, je l’ai encouragé à venir me prendre. Il ne se fit pas prier et me pénétra doucement. Je sentais sa longue queue fine aller et venir en moi lentement puis plus rapidement. Il faisait des pauses pour me mordiller les seins. Quand j’ai senti l’orgasme monter en moi, je lui ai demandé d’aller plus fort et plus vite pour que je jouisse. J’avais terriblement envie de jouir avec lui et j’ai explosé pendant qu’il continuait son labourage. J’ai joui une deuxième fois, avant de m’être remise de la première fois, en même temps que lui qui s’affala sur moi.
— Je n’ai jamais joui comme ça ! Dit-il au bout d’un moment
— Tu n’as jamais joui comme ça avec tes copines ?
— Non, je me sentais tellement en vous
J’allais finir par le croire entre ce que mon mari me disait et lui ! Je lui caressais la tête affectueusement.
— Tu m’as donné beaucoup de plaisir aussi
— C’est vrai ?
— Oui c’est vrai et je te propose que l’on aille prendre une douche, que l’on mange un morceau et que l’on recommence.
— Je suis d’accord
J’ai préparé le dîner que nous avons pris sur la terrasse en discutant de ses études et de sa famille et nous sommes allés nous coucher pour refaire l’amour avant de nous endormir repus et satisfaits.
Au réveil, c’est moi qui le caressais pour connaître encore une fois cette extase avant son départ. Je n’ai pas été déçue ! Il m’a prise dans toutes les positions pendant une heure pour mon plus grand plaisir.
Nous avons dégusté un petit déjeuner copieux et pris une douche ensemble où il m’a reprise sous l’eau, appuyée contre le mur, les jambes nouées derrière son dos, il me portait sur sa queue et me faisait sauter.
Quand le garagiste a appelé pour dire qu’il ramenait la voiture, nous avons dû nous rendre à l’évidence que tout avait une fin. Et quand Aurélien part, la mort dans l’âme, il me promet de repasser par-là à son retour.
Le surlendemain midi, mon mari m’appelle pour que j’aille le chercher à l’aéroport.
— Bonjour Chérie ! Tu es resplendissante. Le repos te fait du bien.
— Oui beaucoup
— Je repars Dimanche soir pour 10 jours, tu ne t’ennuie pas ? Tu veux venir avec moi ?
— Non je ne m’ennuie pas et je vais encore un peu profiter de cette solitude pour me reposer.
— Tu as raison, ça te fait du bien et j’ai très envie de toi !
A peine arrivés à la maison, il me dit :
— Viens vite, tu me rends fou, j’ai tellement envie de toi
Il s’empare de ma bouche, dégrafe ma robe et m’entraine sur le canapé. Le temps que j’enlève mon string, il avait déboutonné son pantalon et sorti son chibre bandé. Il m’attrape par les jambes qu’il remonte au dessus de ma tête, et debout il me pénètre brutalement poussant un grand soupir :
— Que c’est bon de te prendre comme ça, de te montrer que tu es à moi ! Elle te manquait ma queue ?
— Oui elle me manquait
— Tu aimes quand elle te laboure ?
— Oui
— Dis le plus fort
— Oui j’aime que tu me laboures
— Oui je sais que tu aimes te faire labourer ma chaude Salope
Il n’en fallait pas plus pour qu’il enchaine des va et vient frénétiques m’amenant incontestablement à la jouissance.
A peine terminé :
— On mange quoi ? Je dois repasser au bureau et il faut que tu prépares ma valise.
— Le repas est prêt ! Tu repars quand et où ?
— Dimanche soir à 22h40 au Moyen Orient. Mais ça t’intéresse en quoi ?
— Simplement pour savoir ce que je mets dans ta valise et savoir si tu auras l’occasion de me sauter encore avant ton départ.
— Tu es une bonne petite femme dit-il en m’embrassant, satisfait, ce WE je vais t’en mettre pour 10 jours
Effectivement, ce WE là, il ne me ménagea pas ! Il ne débandait pas et me baisa comme il se doit. A part préparer la valise et les repas, le reste du temps il me ramonait, comme bon lui semblait, n’importe où dans la maison ou la piscine, jusqu’au moment de son départ où il me dit :
— Repose-toi bien mon Amour, je te promets une surprise à mon retour.
— D’accord chéri. Bon voyage !