Mais dans un premier temps, elle va accepter la proposition de sa copine, elle va le tester parce que Fanny a un doute sur l’orientation sexuelle de son fils, ne serait-il pas homo ? Et puis elle ne veut pas s’occuper de la vie sexuelle de son fils. Au téléphone, elle dit à sa copine qu’elle est d’accord pour qu’elle essaye, mais pas tout de suite, car il a des examens la semaine prochaine et elle lui demande de vérifier si son fils n’est pas homo. Trois jours plus tard, elle se fait surprendre. Elle se lève nue, enfile un peignoir, et va faire ce qu’elle voulait faire depuis plus d’une semaine, matait le sexe de son fils sous la douche sauf que ce jour-là, elle s’enfonce des doigts.

Maman, au lieu de mater en cachette, rentre.

Elle remet son peignoir et place et ne se démonte pas et rentre dans la salle de bain.

Comme ça ma petite maman tu aimes être une voyeuse.

Ne dis pas n’importe quoi, j’étais intriguée.

Par la taille de mon sexe ?

Oui, elle est énorme.

Et encore, je ne bande pas.

À bonne plus grosse encore ?

Oui maman.

Allez maman, attrape ma queue et branle-moi.

Non, tu es malade, je suis ta mère.

Allez maman, tu en as envie autant que moi.

Elle quitte la salle sans rien dire. Le lendemain, Stephen rentre dans la chambre de ses parents.

Salut maman, tu as aimé voir mon sexe hier.

Ne commence pas.

Maman, je rigole.

Son mari qui vient de rentrer de New York.

Tu sais chérie, j’ai surpris notre fils l’autre jour sous la douche, il a un monstre entre les jambes.

Ah bon, à ce point-là ?

Oui mon amour.

Dis chérie, ça fait longtemps qu’on n’a pas fait de partouze.

Tu veux encore faire des partouzes.

Tu as toujours aimé.

Oui c’est vrai, j’ai adoré !

Laisses-y moi réfléchir, ce n’est pas une décision facile à prendre, Stephen est grand maintenant, il ne faudrait pas qu’il nous surprenne.

Le lendemain matin, Philippe attendait la réponse de sa femme. En fin d’après-midi, Fanny rentre et va parler à son mari.

Tu sais que j’aime le sexe, peut-être plus tard, si on est discret, tu aimes quand je joue les salopes, mais j’ai l’impression d’être une pute ?

Tu n’es pas une pute ma chérie.

Tu m’as fait baiser par des personnes de ma famille, même si je n’étais pas au courant.

Pendant une partouze, son mari lui avait bandé les yeux et avait invité les deux frères de Fanny qui avait envie d’elle depuis plusieurs années, son mari lui avait avoué une semaine plus tard. Philippe est un vrai pervers, il aime des fois voir sa femme se faire prendre par d’autres hommes et il sait que sa femme est une folle de sexe, c’est une vraie nymphomane. Pendant ses voyages, Fanny calme ses envies de sexe par des vibromasseurs. Certes, elle a eu des envies depuis qu’elle a vu la taille du sexe de son fils, mais entre avoir envie et le faire, ce n’est pas la même chose. Les jours passent, Fanny avait décidé de refuser pour le moment la proposition de son mari.

Elle partageait sa vie sexuelle que pour le moment de son mari. Puis Fanny essayait de passer le moins de temps possible avec son fils. De peur qu’il la provoque avec son énorme membre, elle n’aurait peut-être pas la force de résister, elle a toujours eu du mal à dire non à une grosse queue. Et puis au bout de quelques jours, le climat entre mère et fils sétait apaisé, ils reprennent leur vie complice. Stephen passait son temps à réviser ses cours de droit. Et Fanny a beaucoup de travail.

Le couple avait beaucoup de soirées et de réception, elle joue les femmes fatales au bras de son mari, pour ce dernier empochent plusieurs contrats onéreux. Car ce dernier va ouvrir deux entreprises, un des bijoux de très grande valeur est la deuxième entreprise de maillot de bain sexy pour mère de famille. Philippe demande à Fanny et à Marion l’une ou l’autre mère de famille et très sexy de poser en maillot de bain, mais aussi en bikini. Le jour de la séance photo arrive, père et fils étaient présents. Les premiers maillots étaient sages, mais par contre les bikinis étaient beaucoup plus sexy et ne cachaient pas grand-chose du corps voluptueux de Fanny. Tous ces regards masculins mataient le corps magnifique de Fanny, et son fils n’échappait pas à la règle.

Mais là, il la trouvait encore plus belle et sexy que d’habitude, il s’est mis à bander. Et pour ne rien arranger, les deux femmes prirent des positions de plus en plus sexy. Marion dit à sa copine :

Tu as vu comment ton fils nous mate, enfin, comment il te mate ?

Comme un fils qui regarde sa maman faire des photos artistiques !

Tu rigoles, il te mate comme un morceau de viande !

Que veux-tu dire ?

Tu n’as pas compris, il a envie de te baiser !

Mais non, je suis sa mère, il est fier !

Tu es dans le déni, tu verras bien plus tard.

La séance de photos continue dans le studio photo, il reste que le photographe et Stephen sont là. Un accident arrive, le bikini un petit trop petit vu les formes de Fanny se déchire et les seins de Fanny sont sortis et aussi une partie de la chatte est visible. Photographe se permet de prendre quelques photos. Fanny essaye de cacher sa poitrine avec une main et l’autre main, sa fente, mais ses seins sont tellement gros que sa main ne cache pas grand-chose. Elle demande à son fils son tee-shirt, il lui apporte, et bien sûr, il mate la poitrine de sa mère avec insistance. La séance photo finie, Stephen dit au photographe de lui donner la carte-mère de son appareil photo et qu’il donnera la carte à son père.

Mère et fils rentrent à la villa, Stephen dit à sa mère :

Ne t’inquiète maman, j’ai récupéré la carte mémoire du photographe.

Merci chérie, ce connard m’a pris en photo de moi nu.

Une fois rentrée, Fanny va prendre une douche et se change, puis va voir son fils dans sa chambre.

Dis chéri, ça ne t’a pas trop choqué de me voir comme ça.

Non maman, tu as un corps magnifique et très sexy.

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