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II – Plaisirs coupables – Chapitre 9




Les jours qui suivent, Jenny reste droite dans ses bottes et ignore toujours prodigieusement Florian, se contentant de le traiter comme un simple collaborateur ; ce dernier prend sur lui, même si sa petite amie lui manque. Voilà très longtemps qu’il n’avait pas passé autant de temps sans qu’il ne soit près d’elle.

Pour autant, il sait qu’il est inutile d’aller faire le forcing pour tenter de la faire changer d’avis, il la connaît et sait pertinemment que ce serait voué à l’échec tant elle est têtue. Il a fait une erreur, il faut à présent qu’il l’assume et qu’il la laisse digérer, même si ça lui en coûte.

En ce mercredi, Florian arrive au boulot en étant toujours aussi maussade, et même plus, car au manque qu’il ressent par rapport à Jenny, il faut ajouter une envie de sexe qui se fait de plus en plus prégnante. Ce manque purement physique, qui commence à le travailler sérieusement, le pousse à aller voir Shama.

— Ah tiens, tu tombes bien toi, je voulais justement te voir pour te demander un truc ! dit-elle lorsqu’il rentre dans son bureau.

— Ah bon ? Et tu voulais me dire quoi ? l’interroge-t-il en s’asseyant en face d’elle.

— Il y a un souci avec Jenny ?

Il en avait presque oublié à quel point l’Indienne est observatrice.

— Ben disons qu’elle est un peu énervée, oui.

— Par rapport à quoi ? Le taf ?

— Non, moi, dit-il en soupirant.

— Qu’est-ce qu’il s’est passé ?

— Boh, rien de grave, une bêtise à laquelle elle a donné des proportions plus importantes que nécessaire.

— Connaissant un peu Jenny, pour qu’elle en vienne à t’ignorer à ce point, c’est qu’elle ne doit pas être si petite que ça cette bêtise. Tu m’en dis un peu plus ?

— Dimanche dernier, on est allé chez ses parents pour déjeuner et il y avait aussi Fred et sa nana.

— Ah oui, la fameuse Typhaine qui a foutu la merde entre ton ex et toi, c’est ça ?

— C’est ça. Et Jenny ne peut pas la blairer depuis ce jour-là, comme tu t’en doutes.

— J’imagine, oui. Et donc ?

— Ben Typhaine m’a un peu taquiné et Jenny n’a pas aimé ma réaction, c’est tout.

— Et c’était quoi ta réaction ? Me dis pas que tu l’as baisée quand même !

— Mais non, t’es folle ! Elle m’a juste demandé de lui passer de la crème solaire, rien de plus.

— Sur le dos ?

— Pas que, partout, enfin partout derrière quoi, là où elle ne pouvait pas s’en mettre.

— Mon grand, le seul endroit de son corps où un être humain peut difficilement avoir accès, c’est son dos. Tu as fait les bras et les jambes aussi ?

— Ouais. Et les fesses, ajoute-t-il, tout penaud.

— Les fesses ?!? Tu as barbouillé son cul de crème solaire devant Jenny ?

— Oui

Shama éclate de rire.

— Mais t’es vraiment un grand malade toi ! Faut pas t’étonner qu’elle te fasse la gueule hein ! Mais pourquoi t’as fait ça ?

— Ben je sais pas, elle ne réagissait pas donc je me disais que ça ne la dérangeait pas.

— Bien évidemment, elle n’allait pas piquer une crise chez ses parents !

— Elle m’a dit qu’elle voulait voir ce que j’allais faire.

— Ah ben elle n’a pas dû être déçue dis-donc !

Shama se remet à rigoler.

— Sérieux Flo, tu t’es pas dit que tu allais trop loin en faisant ça ?

— Sur le coup, non, j’avoue que j’y ai pas pensé.

— Les mecs, dès que vous avez une nana à moitié à poil sous la main, vous ne pensez plus qu’avec votre queue de toute façon !

— Et puis faut dire que Typhaine a un cul foutrement bandant aussi, dit Florian en esquissant un sourire.

— Au point d’accepter de mettre en pétard Jenny et d’en être privé ?

— Non, c’est vrai, tu as raison, répond-il rapidement.

— Je me disais aussi ! Bon, et tu t’es excusé au moins ?

— Oui, mais ça n’a pas suffi.

— C’est déjà ça. Faut prendre ton mal en patience maintenant, tu connais ta nana !

— Ouais, je sais, mais bon

— Mais bon quoi ?

— Ben je suis en manque moi, oh !

Shama se met à pouffer.

— C’est pas drôle ! râle-t-il.

— Si, bien sûr que c’est drôle ! Et j’imagine qu’on arrive là à la raison qui t’a fait venir me voir. Tu comptes sur moi pour te dégorger le poireau, c’est ça ?

— Et bien si tu as un peu de temps à me consacrer, c’est pas de refus !

— Hum c’est envisageable, mais bon, ta situation actuelle est un peu spéciale et j’ai peur que Jenny ne soit pas trop d’accord. J’ai pas envie qu’elle vienne me reprocher de t’avoir laissé me baiser pour compenser sa punition.

— Elle ne m’a pas spécifiquement interdit de baiser, elle veut juste pas que je la touche.

— Oui mais bon, je préférerais que tu lui en parles avant quand même.

— Mais c’est bon Shama, je ne vais pas aller la voir pour lui demander la permission de te baiser, elle va m’envoyer péter, c’est sûr !

— Pas besoin de lui demander ça aussi directement, tu lui dis juste qu’on va passer du temps ensemble, elle se doutera bien qu’on ne va pas se regarder dans le blanc des yeux.

— Pffff

— C’est ça ou rien, Flo !

— Bon, d’accord. T’es dispo quand ?

— Uniquement entre midi et deux en ce moment, David est à la maison et je ne peux pas trop me permettre de rentrer à pas d’heure le soir.

— Bon, on fait ça ce midi à l’appart’ de ta copine alors ?

— Ben le problème, c’est qu’elle est en vacances donc elle est chez elle.

— Ah merde !

— Écoute, on ne va pas faire ça aujourd’hui, mais je vais voir avec elle pour demain, peut-être qu’elle acceptera de me libérer les lieux entre midi et deux.

— Tu ne peux pas lui passer un coup de fil vite fait pour lui demander pour ce midi ?

— Non Flo, je ne veux pas abuser non plus hein ! Déjà qu’elle me laisse son appart’ le reste du temps, je ne vais pas la foutre dehors quand elle y est pour pouvoir baiser tranquille, ça ne se fait pas ! Tu peux patienter 24 heures, non ?

— Mais oui, ça va, je n’ai pas le choix de toute manière !

— Et puis comme ça, ça te laisse le temps de prévenir Jenny, et t’as intérêt de le faire, pigé ?

— Oui, d’accord.

— Et tu le fais ! Si j’apprends plus tard que tu ne lui as rien dit, c’est mon cul que tu n’es pas prêt de retoucher !

— Oui, ça va, j’ai compris !

Florian se lève et sort du bureau de Shama.

Pendant ce temps, dans le sien, Jenny se concentre sur son travail pour tenter de mettre de côté sa frustration. Elle ne cesse de se remémorer le moment où elle a vu Florian en train de peloter le cul de sa belle-sur. Elle avait une telle haine en elle à ce moment-là qu’elle aurait pu leur arracher la tête à tous les deux si elle n’avait pas été chez ses parents.

Elle se doutait bien que Typhaine allait jouer de la sorte, mais elle n’imaginait pas que Florian plongerait sans vergogne dans ses provocations. Surtout, elle n’imaginait pas qu’elle le prendrait aussi mal.

Elle sait parfaitement que Florian est très sensible aux charmes de la belle rousse, il lui a déjà dit et ne s’en cache même pas. Au ressentiment qu’elle a envers elle par rapport à ce qu’elle a fait, il faut rajouter une certaine jalousie, car effectivement, Jenny reconnaît aisément que Typhaine est une femme magnifique et ça la mine de voir que son petit ami est aussi troublé en sa présence.

Elle a bien remarqué les regards appuyés qu’il n’a cessé de lui lancer, tout comme l’érection bien visible qui s’est développée rapidement au moment où il lui a passé de la crème sur le corps.

Malgré le fait que dans leur relation, elle accepte sans problème qu’il couche avec d’autres femmes, Typhaine constitue, pour Jenny, une limite à ne pas franchir, comme si elle représentait une sorte de kryptonite pour laquelle Florian pourrait faire des folies, ce qui semble avoir été confirmé lors de ce dimanche. Elle espère que le petit coup de sang qu’elle a eu à son encontre lui servira de leçon et que par la suite, il s’abstiendra de trop se rapprocher de cette satanée succube.

En attendant, même si elle est en colère, Florian lui manque, mais pour elle, c’est un mal nécessaire. Encore quelques jours à le laisser macérer dans son jus pour qu’il comprenne bien qu’elle n’acceptera plus un tel affront à l’avenir.

Mais, tout comme Florian, le manque de sexe la travaille et elle se dit que ce serait peut-être le bon moment pour initier Marion à l’exhibition, ce qui lui permettrait, en même temps, de soulager ses envies coquines. Elle compose donc le numéro de la jeune femme pour l’appeler.

« – Allô ?

— Salut Marion, c’est Jenny, ça va ?

— Oh, Jenny ! Comment tu vas ?

— Bien et toi ?

— Nickel, merci ! Je viens de me rendre compte que je n’avais même pas ton numéro.

— Et bien voilà, c’est chose faite !

— Oui !

— Dis-moi, est-ce que tu as un moment de libre cette semaine ?

— Et bien, attends, laisse-moi réfléchir euh vendredi après-midi, je crois attends oui, c’est ça ! Vendredi aprèm’, je ne bosse pas.

— Vendredi hum ouais, ça devrait le faire ! Tu avais prévu de faire quelque chose cet après-midi-là ?

— Non, rien de spécial. Nathan est en cours donc bon, je serais sûrement allée faire deux trois courses.

— Ça te dirait qu’on passe l’après-midi toutes les deux ?

— Ben oui, pourquoi pas. Tu veux faire quoi ?

— Je m’étais dit qu’on pourrait faire un truc dont on avait parlé quand tu étais venue chez moi, avec ton mec.

— Houla, on a parlé de beaucoup de choses ce soir-là !

— Oui, c’est pas faux ! Je pensais faire un peu d’exhib’.

— Oh, d’accord.

— Ça te dit ?

— Ma foi écoute, pourquoi pas, c’est tentant. Tu veux faire ça où ?

— T’inquiète pas pour ça, je sais où aller ! Tu me fais confiance ?

— Oui oui, Jenny. Florian sera là ?

— Non, on sera entre filles.

— OK.

— Par contre, parles-en à Nathan quand même, histoire de rester honnête envers lui. Vu son ouverture d’esprit, je pense qu’il ne devrait pas refuser, non ?

— Oui, ça devrait aller, d’autant qu’il n’arrête pas de me tanner pour qu’on fasse de l’échangisme !

— Ah ah ! Chaque chose en son temps, on va déjà commencer par l’exhib’, on verra l’échangisme plus tard !

— Ça marche !

— Bon, je te rappelle jeudi soir pour qu’on organise notre après-midi, d’accord ?

— Pas de soucis, j’attends ton appel alors. Bonne soirée, Jenny !

— À toi aussi, Marion. »

Le jeudi matin, Shama va voir Florian.

— Salut, Flo, ça roule ?

— Non, j’ai envie de baiser ! T’as demandé à ta copine ou pas pour l’appart’ ?

— Oui.

— Et alors ?

— Et bien t’as de la chance, elle s’est fait larguer y a pas longtemps et du coup, elle préfère sortir de chez elle plutôt que de rester enfermée à déprimer !

— Ah, cool !

— T’es vraiment un salaud !

— Ben fallait lui proposer de participer, moi ça me dérange pas.

— C’est ce que j’ai fait, mais elle préfère pas, elle n’est pas habituée à ce genre de choses.

— Elle n’est pas habituée au sexe ? C’est pour ça qu’elle s’est fait larguer alors !

— Putain, d’avoir envie de baiser te rend sacrément con, dis donc ! Elle n’est pas habituée au sexe à plusieurs, c’est ça que je voulais dire !

— Faut un début à tout.

— Et ben faudra te contenter de moi, désolé si ça te déçoit !

— Mais ça va, je blague !

— T’as prévenu Jenny ?

— Non, pas encore.

— Fais-le Flo, sinon t’auras plus qu’à te branler ce midi !

— Oui, ça va, j’y vais maintenant, ça te va ?

— Ouais, je t’attends ici, alors bouge-toi !

Florian prend la direction du bureau de Jenny. Une fois devant la porte, il souffle un grand coup et toque.

« Entrez ! »

Il entre et referme la porte derrière lui.

— Salut chérie.

— Tu veux quoi ? lui demande-t-elle sur un ton sec sans lever les yeux vers lui.

— Euh, voilà, c’était juste pour te dire qu’entre midi et deux, je serai avec Shama.

— Ça me fait bien plaisir. Et donc ?

— Je voulais juste te prévenir.

— Ben c’est très aimable à toi. Il te fallait autre chose ?

— Euh, et puis aussi, hum il y aura peut-être une copine à elle avec nous.

— À la bonne heure ! Tu lui passeras le bonjour de ma part si je la connais.

— Je crois pas non, c’est la copine qui lui prête son appart’ quand elle n’est pas là en fait.

— Autre chose ? demande-t-elle après avoir poussé un long soupir synonyme d’agacement.

— Euh, ben non du coup, c’est tout.

— Parfait. Oh, tiens, tant que j’y pense, vendredi après-midi, je ne serai pas là donc il faudra que tu t’occupes à ma place de deux trois choses que je ne pourrai pas faire.

— Oui oui, pas de soucis. Tu seras avec des clients ?

— Non, avec Marion.

— Ah bon ? Vous allez faire quoi ?

— Ça te regarde ?

— Ça va Jenny, tu peux me le dire, non ?

— On va s’exhiber, t’es content ?

— Ah. Mais vous n’y allez que toutes les deux ?

— Ben oui, pas besoin d’être cinquante pour ça !

— Ça ne craint pas trop que vous soyez seules ?

— Oh mais on ne sera pas seule, t’en fais pas, il y aura pleins d’autres mecs ! lance-t-elle en lui faisant un grand sourire.

— Ah, d’accord. Bon. Tu me diras ce que tu veux que je fasse alors.

— Je te dirai ça vendredi matin.

— OK.

Florian s’apprête à sortir et avant d’ouvrir la porte, il se retourne vers Jenny.

— Et sinon on se voit quand ? Tu me manques, lui dit-il.

Elle reste silencieuse.

— Bon, à plus tard alors, ajoute-t-il quelques instants plus tard, visiblement déçu.

— À plus tard, répond-elle.

Florian retourne dans son bureau où l’attend sagement Shama.

— Alors, elle a dit quoi ?

— Rien, elle s’en fout, lui répond-il en s’asseyant dans son fauteuil.

— C’est vrai ? J’espère pour toi que tu ne me mens pas !

— Oui, je lui ai dit. Je lui ai même dit qu’il y aurait peut-être une copine à toi, histoire qu’elle comprenne bien ce que je voulais insinuer.

— Et elle s’en fout ?

— Complet.

— Bon, ça va alors. C’est bon, tu vas pouvoir te vider les couilles du coup, t’es content ?

— Ouais.

Florian est contrarié, ce que Shama remarque sans mal.

— Qu’est-ce qu’il y a, ça te va pas encore ?

— Si si.

— Ça n’a pas l’air !

— Si, c’est juste que Jenny m’a dit qu’elle allait faire de l’exhib’ avec Marion.

— Marion, ton ex ?

— Oui.

— Putain, elle pourrait m’inviter au moins !

— Elles font ça demain aprèm’.

— Ah merde. Et ça te dérange ?

— Ben ça craint, elles sont que toutes les deux quoi.

— Arrête Flo, Jenny est une grande fille, elle sait très bien ce qu’elle fait. Quelque chose me dit que ce n’est pas la première fois en plus !

— Je sais.

— C’est pas que tu t’inquiètes qu’elles soient seules en fait, ça te fait juste chier qu’elle aille voir d’autres mecs !

Florian soupire. Ce n’est pas tant le fait que Jenny aille se taper d’autres hommes qui le dérange, mais plutôt qu’elle le fasse dans une période où ils sont en froid tous les deux.

— Eh, Flo, l’interpelle Shama, elle doit sans doute avoir envie de sexe, comme toi, donc elle va le chercher là où elle peut, comme t’es en train de le faire ! Et puis vous avez respecté tous les deux votre sacro-sainte règle de tout vous dire quand vous allez voir ailleurs, donc où est le problème ?

— Elle me manque, c’est tout, lâche Florian après quelques secondes de silence.

Shama sourit.

— Je me doute, et je suis sûr que tu lui manques aussi. T’as fait une erreur, elle veut marquer le coup, mais elle reviendra très vite vers toi et ce n’est pas le fait que tu aies tripoté le cul de sa belle-sur qui va lui faire renoncer à toi aussi facilement. Tu es beaucoup plus important pour elle que ça, t’en fais pas Flo !

— J’espère, souffle-t-il.

— Mais oui ! En attendant, t’as intérêt d’être un peu plus vif ce midi ! Je me suis fait chier pour avoir l’appart’ donc t’as pas intérêt de me décevoir, compris beau brun ? lui dit-elle en lui adressant un clin d’il.

Il rigole.

— T’en fais pas pour ça !

— Allez, je vais bosser. Je viens te chercher dans ton bureau quand ce sera l’heure d’y aller.

— Ça marche, à toute !

Florian se replonge dans le travail en essayant de se sortir de la tête les inquiétudes qu’il peut avoir par rapport à Jenny pour les remplacer par la belle séance de baise qui l’attend ce midi avec Shama.

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