Je me réveille, ma première pensée a été de me demander si ce nétait quun rêve mais je le sens respirer. Je tourne légèrement la tête, il dort comme un nouveau-né. Je le contemple ce qui a pour effet de faire naitre une érection. Je finis par lembrasser et il se réveille.

— (Loic) Bonjour mon cur, bien dormi ?

— (Martin) Très bien grâce à ta surprise.

Nous nous embrassons longuement après ce bref dialogue. Il est sur moi et forme des cercles avec son bassin et nos pénis se frottent lun à lautre.

Mes mains saventurent, comme à leur habitude, sur tout son corps. Jarrive à son sphincter que je sens tout humide et je découvre quil reste un peu de mon sperme dans ses entrailles. Je lui fais remarquer et lui propose de nous diriger vers la douche. Je dois avouer ne pas être spécialement propre non plus et puis la douche à deux cest mieux.

Nous arrivons dans la salle de bains, nous enfermons et entrons sous la douche.

Je lui tourne le dos pour ouvrir le robinet et je sens sa respiration chaude et calme dans ma nuque. Tu sais quen faisant ça, je me livrerai à toi. Ta main droite sur mon cur, ta main gauche descendant avec leau vers ma verge déjà dressée, ma tête bascule en arrière et ma bouche entre-ouverte est bientôt au contact de la tienne. Je ne sais où mettre mes mains alors que tu membrasse et que tu me branles doucement. Ton phallus se trouvant entre mes cuisses et le bout de ton gland soulevant mes bourses ; il est impensable que je te rende la pareille. Je me contente donc de te tenir les hanches mais en essayant de pouvoir atteindre ces fesses que jaime tant.

Je suis bien et je ne veux pas arrêter, tes bras sont autour de mon corps et doivent y rester.

Soudain je perds le contact de ton corps lespace dun instant, je panique mais tu reviens accompagné du flacon de gel douche. Tu en appliques sur tes mains et pose le flacon sur le robinet. Je sens tes mains me parcourir sensuellement avec ce savon. Bien sûr, tu tattardes sur mes zones interdites mais je ne peux te blâmer pour ça, ça serait de lhypocrisie.

Je prends à mon tour le savon en applique sur mes doigts et me dirige vers ton anus. Je ne peux rentrer quune phalange mais cest suffisant. Je mattarde sur tes fesses puis viens placer mes mains entre nos bassins et moccupe de ton pénis, qui sil nétait pas bloqué par mon entre-jambe fixerait le ciel. Je fais rouler tes testicules entre mes doigts, tu gémis en déposant de doux baisers dans mon cou. Tu me savonnes grossièrement le dos et viens te frotter à moi je gémis, je me cambre, tu sais que je ne tiendrai pas longtemps avant de jouir, tu me stimules donc un peu plus. En effet, au bout de quelques secondes, je jouis dans ta main. Je retrouve mes esprits au bout de quelques secondes et attrape ta verge que tu branlais en faisant des allers venues entre mes cuisses, rien quau toucher, tu te cambres. Je ne prends que quelques secondes pour tachever.

Nous nous rinçons et sortons nous sécher.

Au petit déjeuner, alors que mes parents stressent déjà sur les embouteillages sur la route de leur petit week-end en amoureux, je ne lâche pas ton regard complice et me demande ce qui pourrait bien se passer quand la maison sera à nous.

Mes parents sur le seuil nous font promettre dêtre sages. Ils savent quon ment mais jouent le jeu.

À peine la porte dentrée refermée après une dernier signe de la main que tu me plaques dos à celle-ci et que tu me sautes aux lèvres la main déjà dans mon pantalon. Dabord surpris, je me crispe et ne sait que faire mais il ne maura fallu que quelques secondes pour me détendre et tenlacer.

Dun geste habille, je te soulève dans mes bras, comme le prince soulève sa princesse dans les contes de fées. Jentame alors lascension jusquà cette chambre où nous avons eu toutes nos premières fois ta tête appuyée sur mon épaule. Cette position me permet de sentir ta respiration calme sur ma nuque et tes battements de cur intenses sur ma poitrine.

Je tassieds sur ma chaise de bureau et viens masseoir sur tes genoux face à toi en ondulant le bassin. Après quelques brefs bisous, je te regarde et te dis : « je demande lactivation du plan X ». Je vois une étincelle dans tes yeux, je sais que tu adores ce plan car je suis entièrement à toi et tu me domines.

Tu lèves alors mon t-shirt et me lenlève délicatement ainsi que le bas avant de mallonger sur mon lit et de sortir les cordes attachées au sommier cachées sous le matelas.

Tu mattaches bras et jambes écartés tu membrasses, te mets à genoux sur moi et tu commences à frotter ton bassin sur mon sexe déjà bien réveillé. Tu aimes maffliger ce supplice, cette provocation, en plus tu sais que je ne peux pas riposter et que jéprouve un certain plaisir à ça.

Arrive alors mon moment préféré, ton striptease. Je te regarde et tu sais que je nattends quune chose que tu sois allongé nu sur moi mais pour me faire baver un peu plus, tu ralentis encore.

Un jour, tu me rendras fou.

Comme prévu, tu viens membrasser avant de me faire ta « fellation de glacier » telle que tu lappelles, un jour peut-être aspergeras-tu mon gland de chantilly. Je gémis, mes bras et mes jambes tirent sur les cordes, soudain, je me tortille un peu plus, tu as eu lidée de venir insérer deux doigts dans mon cul, le plaisir que je ressens est intense, cette double excitation me donne envie de me jeter sur toi. Tu me regardes de ton air provocateur et continues de plus belle, à ce rythme-là, tu mauras achevé dans la minute mais tu tarrêtes juste avant le point de non-retour.

Tu tavances vers moi, membrasses et continue davancer jusquà ce que tes jolies fesses reposent sur mes pectoraux, tu me présentes alors ta verge fièrement dressée que je mempresse dengloutir comme un enfant avec un bonbon. Tu me manipules alors avec ta douceur habituelle du plan X. Après qq minutes tu textrais de ma bouche et téloignes. Je sens alors ton gland se poser sur mon sphincter, ta main de poser sur ma virilité et la main qui te reste sur ma joue. Tu viens alors membrasser et je sens alors ton gland forcer lentrée et ta main sactiver. Je gémis comme je peux et tu te redresses. Je tadmire alors en train de me pénétrer et de me branler sans rien pouvoir y faire. Tout ça provoque en moi beaucoup dexcitation, tu en es dailleurs parfaitement au courant et tu sais que je ne tiendrai, comme dhabitude, pas longtemps. En effet, il ne taura pas fallu cinq minutes pour provoquer ma jouissance. Celle-ci est tellement intense que ma contraction anale en est fortement affectée et provoque alors ta jouissance. À en juger mes sensations internes tu as dû jouir dune intensité et dune quantité similaire aux miennes. Cette jouissance tas dailleurs foudroyé, tu teffondres donc sur moi et je tembrasse. Tu retrouves tes esprits assez rapidement et nous passons la prochaine demi-heure à nous embrasser et nous filons prendre la deuxième, et sûrement pas dernière, douche de la journée avant daller retrouver nos amis en ville.

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