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La conversion de Marie à la luxure – Chapitre 2




La conversion de Marie à la luxure 2

(la première fois vue par Pierre)

Maintenant les événements retranscrits par les échanges de SMS et de mails avec Pierre :

Depuis notre première rencontre, après ma recherche sur internet, nous avions convenu Pierre et moi de nous informer de tous les événements. De plus, je devais guider, à distance ses approches et lévolution de sa prise de pouvoir sur Marie. Parce quil était convenu que lobjectif final (quelle quen soit le temps mis pour y arriver) devait être de faire de Marie une salope soumise, et pas seulement quelle me trompe, même avec mon accord.

Je lai déjà dit, je lui donnai une mine dinformations sur les goûts et les centres dintérêt de Marie :

-Son « addiction » si je peux dire au champagne et le fait que lorsquelle en avait pas mal bu elle perdait un peu le contrôle et cette maîtrise de ses pulsions quelle sattachait dhabitude à maintenir en permanence. Dans la liste je lui signalais aussi que les vins blancs faisaient le même effet, et quelle aimait particulièrement le Meursault, le Reuilly et le Bergerac blanc sec. Quelle était particulièrement sensible à la courtoisie et aux hommes qui lui faisaient des compliments sur ses tenues vestimentaires. (y compris sa lingerie).

-Ses goûts pour lart, quelle avait dailleurs pris des cours à lécole du Louvre. Pour lExtrême-Orient, les voyages (je lui avais fait la liste de ceux que nous avions effectués). Sa passion pour lOpéra et en particulier pour lopéra italien et pour Pavarotti (elle a certaines ascendances italiennes).

— Au point de vue sexuelle ses qualités dexperte en fellation, et limpression que javais toujours eu, mais quelle repoussait avec moi, daimer les rapports très virils sans être violents. Et je lengageais à la préparer progressivement à la sodomie, ce quelle mavait toujours refusé, sauf lors dun voyage au Mexique pour son anniversaire alors quelle était plus quéméchée, à tel point que le lendemain elle ne se souvenait pas de mavoir offert son petit trou.

Mais reprenons notre récit. Et pour cette relation, nous allons le commencer au départ de Marie pour sa deuxième rencontre avec Pierre : son « vernissage ».

Le matin javais veillé à sa tenue, vestimentaire et sous-vestimentaire. : Comme dessous je lui avais conseillé un ensemble de lingerie luxe que je lui avais offert un mois auparavant en broderie noir et rouge à fleurs avec des bonnets de guêpière qui ne prenaient que le dessous des seins, un string très minimaliste, et des bas à lancienne avec couture et un grand liseron de dentelle avec un lacet noué en haut par une petite rosace.

Elle mavait dailleurs dit :

— Si tu voulais que ton copain couche avec moi, tu ne ty prendrais pas autrement.

Et quand je lui eus répondu :

— Devine !!!

Elle ajouta avec un petit sourire :

— Tes sûr quil va vouloir dune femme rangée comme moi ?

Pour recouvrir la lingerie je lui avais choisi un ensemble avec une jupe était très ample. Ce qui permettait à Pierre, lorsquelle serait assise à ses côtés, daccéder à son intimité sans effort et naturellement. Un corsage gris clair, qui laissait deviner sa lingerie, très serré à la poitrine, ce qui lobligeait à laisser les trois boutons du haut ouverts et donc entrevoir une bonne partie de ses seins. Par-dessus, une veste blanche légère à un seul bouton.

En sommes une tenue classe et en même temps très tentatrice, presque provocante.

En partant elle neut quune phrase :

-Chéri, es-tu vraiment sûr que si je me laisse tenter et que je couche avec ton collègue ça ne te pose pas de problème ?

- !!!

Je la conduisis au train, javais réussi à la décider à ne pas prendre la voiture Je savais que ce serait plus pratique pour Pierre ensuite.

Ils avaient rendez-vous à 18h30, à la sortie de métro Saint-Paul dans le Marais. Javais dit à Pierre de la guetter dassez loin et de la faire attendre 2 ou 3 minutes avant darriver.

SMS :

Contact visuel établi.

Elle a lair un peu surprise que je ne sois pas là à lattendre.

Jy vais.

Puis silence pendant près dune heure et demie

SMS :

Elle est aux toilettes.

Ça marche !

A déjà bu 2 coupes de champagne !

Ma demandé où je lemmenais manger.

Ai dit non, surprise.

Un monde fou.

En ai profité pour un peu la peloter dans les bousculades.

Pas farouche !

Ma réponse :

Continue. Parfait !

Puis de nouveau 2 heures sans nouvelles.

Je ne minquiétais pas, javais dit à Pierre de ne pas prendre de risque en menvoyant des messages sous son regard.

SMS :

Ai prétexté besoin pressant pour te tenir au courant.

Tout va bien.

Elle me laisse lui caresser les cuisses.

Penses-tu que je peux aller plus loin.

Elle est déjà très désinhibée.

Champagne et vin

Parfait

Ma réponse :

Oui. Bien sûr.

Si personne ne voit

Et en progressant doucement

Sinon elle dira

Tu peux même essayer, doigt,-clito.

Moi déjà fait.

Puis là de nouveau attente 1 heure 30.

SMS :

Dans la chambre.

Commencé les hostilités

Très chaude et gourmande

Ma déboutonné mon pantalon à peine rentrés.

Puis turlutte.

Commande champagne comme prévu

Petit stratagème avec garçon détage

Jaime beaucoup

(elle et lingerie-lol-)

Merci pour tout

Je lui répondis :

Cest moi qui remercie

Baise la bien et beaucoup

Je la veux confuse demain

Puis, plus rien, jusquau lendemain matin 7h15 :

SMS :

Sorti de ses mains

Suis sur les rotules

Déchaînée toute la nuit, du mal à me laisser souffler

Une vraie furie

Pas du tout la femme rangée que tu as décrite

Toutes les positions y sont passées.

Elle en redemandait encore.

Stop à 2h30 du matin.

Mais ma réveillé à 4h30 par turlutte et remis couvert

Puis à 6h30 au réveil pour partir au bureau elle ma dit :

Tu vas pas partir comme ça, aller viens encore un peu et elle est montée sur moi.

Elle ma vidé physiquement et mes couilles je te dis pas.

On se voit quand ?

Réponse :

Demain soir à 18h

Sortie bureau si tu veux.

On prend un pot.

Bistrot du « Train Bleu » Gare de Lyon en bas. Intérieur.

Comme convenu nous nous y retrouvâmes, Pierre était à lheure. En arrivant il me dit quil navait pas encore récupéré. Me raconta plus en détail toute la nuit. Mexpliqua le petit tour quil lui avait fait avec le garçon détage et la discussion qui avait suivie. Me dit quil lavait trouvée très très chaude. Et tint-il à préciser « très bonne ». Un super coup.

Quil avait engagé une approche de la face arrière avec ses doigts et quelle navait pas rechigné jusquà ce quil les enfonce loin. Là elle lui avait dit que je lui avais déjà fait et quelle naimait pas (la menteuse).

Pierre lui avait répondu, que lon verrait une autre fois :

-Pas tout le même soir. Et je suis sûr que je vais te faire aimer ? Je my prends très délicatement.

Nous avons convenu quil la rappelle le soir même et quil lui propose pour la semaine suivante un « nouveau vernissage », mais lui dise, que cette fois cétait sans expoDirect à lhôtel, puis resto. Puis nuit hôtel.

Je me mis daccord avec lui que cette fois la note hôtel et resto serait pour moi. Mais que jaimerai bien avoir des images. Que le son envoyé pendant leurs ébats était intéressant mais un peu court, et quil ne faisait quexciter ma curiosité.

Je lui dis que je le rappellerai ? Que javais peut-être une idée, mais que je ne savais pas si cétait faisable.

Le lendemain matin, je navais au bureau quun rendez-vous en fin de matinée, je prétextais auprès de ma secrétaire un rendez-vous à lextérieur que javais sur mon agenda et quelle avait dû oublier de noter. Dailleurs cétait pour cela que je navais rien pris dautre le matin Pauvre Jacqueline, elle sen est voulue pendant une semaine davoir pu oublier de noter un RDV.

Je me rendis à lappart Hôtel de Saint-Germain des Prés, et est demandé à la réception, sil était possible que je loue un appart deux pièces pour un couple dami qui venait de Province, que je paie et quen surprise je vienne avant leur arrivée, avoir la clé et leur laisser un petit cadeau surprise de bienvenue. Le responsable me dit que ça ne posait aucun problème.

Immédiatement je laissai un message à Pierre en lui demandant de me rappeler à midi et de me donner le jour quil aurait arrêté avec Marie dès quils lauraient fixé.

A midi, appel, jai eu Marie, elle propose quon se voie Mardi prochain

(Nous étions Vendredi- décidément elle était pressée de se refaire ramoner la cheminée).

Je lui expliquais ce que javais prévu et lui dis que je leur ferai livrer un grand plateau de fruits de Mer pour le soir. (Avantage des apparts hôtels). Ce qui leur éviterait de sortir et perdre du temps dans leur folie sexuelle. Que jinstallerais deux caméras-espions (une dans chaque pièce) que je lui dirai où elles seraient. Et que jen prendrais qui démarrent avec le bruit. Et que le lendemain matin il se débrouille pour partir après Marie et récupère le matériel et les clés mémoires. Pour me les donner lorsquon se verrait.

Avant de rentrer, je passai à lappart hôtel, le préposé à laccueil me dit quil ne restait plus pour le mardi que deux appart grand format. Malgré le prix je leur en réservai un, le payai et demandai où il me recommandait de commander les fruits de mer. Je my rendis immédiatement.

En rentrant le soir à la maison, Marie maccueillit avec un verre de Whisky, comme elle le faisait souvent. Puis, rien, à part son Compte-Rendu de la nuit (voir chapitre 1) quelle me remit en me disant :

— Jai essayé dêtre la plus complète possible comme tu me lavais demandéMais ça na pas été facile à écrire.

Cest plus tard dans la soirée quelle me dit, lair de rien :

— Ah, Oui ! jallais oublier. Pierre ma rappelé pour me dire quil avait beaucoup aimé notre nuit. Quil te donnait le bonjour. Et pour minviter de nouveau à une expo. La semaine prochaine. Mardi. Bien sûr je ne lui ai pas donné ma réponse. Je lui ai dit que ça me semblait faire beaucoup et que je verrai si tu étais daccord

Pour en venir à me la jouer comme ça, elle devait déjà être bien attachée à Pierre. Je fis celui qui effectivement trouvait que ça faisait très rapproché :

— Et bien dis donc, je sais pas ce que tu lui as fait, mais tu las rendu accroc. Mais, bon, je suis quand même le mari et il faudrait pas que sous-couvert de liberté que je taccorde, il pense que je ne compte plus. Enfin, cest toi qui décides. Et ça vaut vraiment le coup cette expo. ? Cest quoi ?

Je la sentis hésiter-elle ne sattendait pas à ça-, puis me dit :

— Tu ne connais pas, cest un jeune artiste très en vogue actuellement aux Etats-Unis et qui nexpose que pour 2 jours dans une galerie à Paris. Mais si tu veux, je dis à Pierre que je ne peux pas.

— Non, ma chérie, si cest quelque chose que tu aimes bien et que tu nas pas envie de rater pour une fois, je ne vois pas pourquoi je te priverais de ce plaisir. Et, je me doute que vous nallez pas faire que voir des tableaux ? Puis tranquillement vous bizouiller et chacun rentrer chez soi ?

— Non, bien sûr il veut memmener au resto. Après.

— -Bon, daccord, mais jy mets une condition : Que tu acceptes de porter les dessous que je te demanderais de mettre.

— Si cest tout ce que tu veux, jaccepte tout de suite. La lingerie que tu moffres est de toute façon très belle ; Et jaime toutes mes parures.

Le lendemain après-midi (nous étions samedi), je la fis venir près de moi devant lordinateur, jétais sur un site de lingerie sexy (Jade). Et je lui montrai 3 parures que javais sélectionnées avec soutien-gorge et string ouverts Et lui dit :

— Vas-y, je suis bon prince, cest moi qui devais choisir ce que tu mettrais, mais je te laisse le choix entre ces trois modèles.

— Mais !!! Tu ne mavais pas dit que tu rachèterais quelque chose de cochon

— Je ne tavais pas dit le contraire. Un contrat est un contrat. Et pour une petite salope qui va se faire sauter comme une chienne par son amant alors que son mari est tout seul à la maisonil faut la parure adaptée.

— Mais, comment Pierre va le prendre, il va penser que je suis une pute, qui couche avec tout le monde !!!

— Non, tu nas quà lui dire que cest moi qui tai forcée à porter ça. Et, tu nes plus une gamine, et à mon avis, un homme normalement constitué, ayant déjà abusé de tes charmes, ne peux que se sentir valorisé par cette tenue. Tu lui montres que tu reconnais quil te donne beaucoup de plaisir. Alors choisis, il faut que je commande avant ce soir si lon veut lavoir en livraison express Lundi.

Après les avoir tous regardés, elle sarrêta sur un ensemble de chez Anaïs- Pleasure set–noir et turquoise, avec soutien-gorge très sexy avec attache autour du cou, caches téton, string dentelle et porte jarretelle en voile plissé et bas noirs avec des fleurs roses juste derrière le talon.

Je trouvais son choix très judicieux et mempressais de passer la commande.

Le mardi matin, je lui dis que javais un rendez-vous de bonne heure et que je devais partir avant quelle sapprête. Elle me demanda :

— Mais, je dois aller au boulot avec ça aussi en-dessous ?

— Ben, tu ne veux pas revenir ici te changer ?

— -Non, cest pas possible, mais je pourrais me changer au bahut en fermant mon bureau à clé quand tout le monde sera parti.

— – Ah non, on a passé un contrat et il nétait pas question que tu partes au travail avec deux tenues. Tu pars avec ce quon a convenu. Au-dessus tu mets ce que tu veux. Sauf un col roulé et un pantalon. Au revoir

Vers 13h je me rendis à lhôtel. Pris les clés et montai dans lappart. Jinstallai les caméras que javais achetées le lundi dans un magasin à côté du boulot. Le vendeur men avait garantie la qualité des images. Lune était un réveil, lautre une petite rosace murale décorative.

Je mis la première dans le salon en face du canapé, et en position pour saisir aussi les images de la table. Pour la seconde ce fut plus compliqué, je finis par la positionner en plongée au-dessus de la tête de lit et fis quelques essais en contrôlant sur mon portable la qualité des images et les angles de prise de vue.

Tout était prêt. Je rendis les clés à la réception.

Nous avions convenu avec Pierre quil ne me contacterait pas, sauf sil avait besoin dune aide quelconque. Quil lui dise par contre quelle pouvait mappeler si elle voulait. Et que lui expérimente tout ce quil pouvait tant en terme de lieu dans lappartement quen terme de positions et si possible de trou(s) Quen laccueillant il lui dise quil lui avait réservé une surprise et quils ne perdraient pas de temps en fioritures dans la soirée.

Marie menvoya trois messages :

A 17h45 :

— La classe, il a réservé un appart hôtel luxe au quartier latin.

3 pièces pour nous tous seuls

Impressionné par ma lingerie

Elle en oubliait quelle mavait fait croire à l’ expo du "futur Picasso" américain avant les « agapes ».

Moi, je ne loublierais pas et comptais bien me servir de ce mensonge pour la pousser plus loin par la suite.

A 21h :

— Très chaud.

Repas sur place, fruits de mer

Aphrodisiaque !!!

Ça marche !

Je taime !!!

Ça devait effectivement être très chaud et elle devait séclater pour quelle éprouve le besoin de me dire : je taime dans son message comme pour effacer un petit sentiment de culpabilité.

Puis le dernier à 1 h du matin :

— Insatiable !

Cest marathon !

Non, cross !

Non, lutte tous terrains !

plaisirS

Vidée.

Le style télégraphique donnait vraiment limpression quelle ne voulait pas perdre un seul instant des assauts de son amant.

Javais hâte dêtre au lendemain pour récupérer les cartes-mémoires.. Pierre devait partir pour une mission de 3 jours à Milan et nous avions convenu de nous voir près de son bureau à La Défense avant quil ne parte prendre son avion. Il neut que le temps de me dire que Marie était une furie et quelle était insatiable (les mêmes mots quelle !!!). Et quil pensait quil pouvait vraiment me la transformer en salope « de concours » (cétait ses mots).

— Jen ai vu mais elle, elle aime ça, à un point que je naurais jamais imaginédailleurs jespère que les images seront suffisamment nettes, et tu ten rendras compte.

Il voulut me rendre les caméras, mais je lui dis que cétait lui qui en aurait besoin pour les prochaines fois.

Nous convînmes alors que je lui enverrai un mail dès que jaurai vu les vidéos et eu des échanges avec Marie.

Jétais excité comme une puce, et me demandais quand jallais pouvoir visionner les vidéos. Ny tenant plus, je prétextai auprès de ma secrétaire et de Marie un rapport urgent à finir pour le lendemain. Jallai macheter une bière et un sandwich et prévins les vigiles que je resterais tard au bureau et que lon ne me dérange pas. Ils ne furent pas surpris, cela marrivait souvent.

Je minstallai confortablement et démarrai le visionnage.

La lecture démarrait à 17h27. Je ne sais pas ce qui sétait produit depuis leur RDV à 17h. Sils avaient déjà effectué quelques préliminaires, mais je constatai quà peine la porte refermée, ils navaient pas perdu de temps. Marie, debout face à Pierre, lui défaisais sa veste puis sa chemise tout en lembrassant dans un baiser langoureux. Tandis que Pierre, avait déjà trouvé la fermeture éclair de la jupe. Marie navait pas mégoté sur lhabillement : cétait une jupe noire très moulante que je connaissais bien, en haut elle avait mis un petit caraco noir aussi presque translucide sur lequel elle avait passé une veste, elle aussi noire.

Je pensai quelle mavait décidément joué un sacré numéro de vierge effarouchée le matin avant de partir Après tout le fait que je rentre tard lui permettrai de garder la face. Mais jétais bien décidé à lui demander ce quelle avait mis par-dessus MA lingerie.

Je navais pas averti Pierre pour les dessous que javais fait mettre à Marie.

Quand il eut enlevé le caraco, jentendis très distinctement un :

— OH ! Eh bien, ma salope, tu me fais le grand jeu.

— Jai pensé que tu aimerais !

Là encore, je me trouvais surpris, je mattendais plutôt à ce quelle lui dise que cétait moi qui lavais poussée à les mettre.

Suivaient des attouchements et caresses avant que Marie ne décide de se mettre en prière devant le vit de Pierre et à lui prodiguer une sucette très épicée, comme pour lui confirmer quelle était une salope et quelle avait bien décidé de lui faire le grand jeu.

Pierre lentraîna vers le canapé et lui dit quil avait commandé le repas et quils avaient environ 2 heures devant eux avant quil ne soit livré.

Marie lui dit alors :

— Attends il faut dabord que jenvoie un message à R. pour lui dire que je suis bien arrivé.

Ensuite, le ballet commença, sans prolongation de préliminaires superflus. Levrette puis missionnaire, returlutte. Cunni. Puis levrette Marie appuyée sur la table. Cest là que les râles et petits cris commencèrent à devenir insistants et sonores. Elle fermait les yeux et avait le visage congestionné et lançait par moment des OH ! Oui ! Non ! Oh oui ! Ouh la la ! Cest pas possible !

Et soudain je la vis devenir écarlate et ouvrir grand la bouche comme si elle suffoquaitA nen pas douter elle avait un orgasme énorme, elle prenait un pied d’enfer. J’eus l’impression que Pierre pris aussi le sien quelques secondes plus tard. En effet quand il se retira je crus voir sur l’image un filet de sperme sur sa queue.

Je pense d’ailleurs en avoir eu confirmation par le fait que son pénis devint moins conquérant et que ma douce s’employa immédiatement à ne pas le laisser au repos.

Sen suivit un épisode assez savoureux. Pierre dit à Marie :

— Maintenant on va passer à table

— D’accord ! reste à savoir où se trouvent tous les couverts.

— Non ! Pas besoin de couverts, ni dassiette pour ce qui est prévu.

— Ah ! bon cest un repas à lorientale ? On mange avec ses doigts.

— Oui ! et aussi avec sa bouche et autre chose

—  !!!

Et tout en regardant Marie avec un petit sourire, il lallongea sur la table, et lui dit :

— Tu nas pas compris tu es le plat de résistance.

— Alors on ne mange pas ?

Pierre ne répondait pas, il avait déjà la tête entre ses cuisses et lui disait :

— Cest bien pratique ces strings, pas besoin de les enlever

Il eut à peine commencé ses jeux de langue et de doigts que Marie se mit de nouveau à roucouler.

Quand elle fut bien excitée, il lui leva les jambes à lhorizontal et la prit dun seul coup avec une force et une vigueur telles quelle en poussa un grand cri suivi inintelligible suivi dun Ouah !!!

Il faut dire que si Pierre était bien doté, le con de Marie était juste à la bonne hauteur et devait être devenu tellement élastique avec tout ce qui avait eu lieu avant quil ne devait avoir aucune difficulté à enfoncer son pieu dun seul coup jusquau plus profond de son ventre. De plus je supposais que le sperme qui devait être encore en elle sajoutant à la cyprine constituait un lubrifiant naturel qui aurait permis à nimporte quel instrument de trouver sa place.

Pierre voyant quelle perdait pied choisit ce moment pour la forcer à parler :

— Taime ça ! Hein ? taime la bite ? tes une salope ?

Dis-le, aller dis-le !!

Alors, tu le dis ou jarrête ?

— Oui, jaime ça.

— Tu aimes quoi ?

— Jaime

— Quoi ?

— Le sexe.

— Non, Pas le sexe, la bite ? Dis-le !!!

— Oui, jaime la bite !!!

— Tu les aimes comment ?

— Bien faites.

— Oui, mais encore ?

Tout cela accompagné des coups de rein de Pierre qui ralentissait ou accélérait en fonction des réponses.

— Grosses et travailleuses.

Ça y était Marie se lâchait aussi verbalement Pierre navait plus quà la provoquer.

— Et alors cest quoi les femmes qui aiment la bite et qui en veulent ?

— Des salopes !

— Et toi, tu es quoi ?

— Une salope ;

— Redis-le bien que je lentende clairement.

— Je suis une salope !

— Tu le diras à ton mari en rentrant ?

— Non !

— Je veux que tu lui dises !

Sentant que Marie était limite, il arrêta et la lutina jusquà ce quelle prenne un nouveau grand pied.

— Maintenant on va louvrir ce champagne. Je leur avais demandé de mettre une bouteille et une de blanc au frais.

Un quart d’heure plus tard, Pierre lui ayant dit qu’il partait le lendemain pour l’Italie et alors qu’ils discutaient de la Toscane (région dont Marie est tombée folle il y a quelques années et où nous retournons régulièrement). On frappa à la porte.

20h à l’horloge de la vidéo.. Cétait le livreur de lécailler dà côté qui apportait les fruits de mer. Marie passa dans la chambre et Pierre senveloppa dune serviette.

Quand il fut parti, Marie dit à Pierre :

— Ya pas que moi qui sors le grand jeu !!!

— Il faut bien faire ce quil faut si on veut obtenir quelque chose dune femme rétive

— Tu trouves que je suis rétive ?

— Non, très chaude, daccord, mais jaimerais te faire découvrir des choses que tu devrais aimer, avec ton tempérament.

— Tu veux parler damour à plusieurs ?

— Tiens, tiens, ça fait son chemin notre échange de lautre jour, pour que tu en parles tout de suite.

— Non, dit-elle en se défendant, mais à quoi tu penses dautre ?

— On en reparle plus tard aller on mange.

Alors pendant une bonne demi-heure, tout en parlant de choses et dautres, ils jouèrent comme deux ados amoureux. On se mit à décortiquer les langoustines bouche à bouche.

Sans parler des huîtres dont Pierre entreprit den faire manger à Marie posées sur le bout de son pénis.

Lui en mangeait quil mettait entre ses lèvres du haut comme du bas. s’attachant bien à les aspirer dans un bruit retentissant.

Puis jeus droit à un jeu avec les pattes de crabe et les pinces de homard. Pierre sen servait, avant de les avoir décortiquées, pour masturber Marie. Et après les avoir sorties de son vagin il les aspirait en lui disant :

— Ça sent la salope plus, plus. Cest bon. Un goût de reviens-y !

Marie se prenait au jeu sans aucune retenue. Je la découvrais vraiment sous un autre jour. Non pas que je la croyais prude, au contraire, je me doutais que sous la femme rangée BCBG cherchant à affirmer son statut de haut-fonctionnaire, il y avait un volcan sexuel qui dormait. Mais, de là à penser quà la deuxième rencontre, avec un homme quelle ne connaissait pas 15 jours plus tôt, elle se lâche à ce point, je ne laurais jamais cru possible.

— Et bien reviens-y ! Dit-elle sous forme de provocation. On ne va pas passer le reste de la soirée et de la nuit à faire joujou avec des pattes de crustacés.

— Dis donc, tas payé combien pour exiger un tel service ?

— Ça tu ne le sauras jamais. Cest ton ex-patron qui encaisse. Oh ! Il faut que je lui renvoie un message povchéri qui se morfond devant ses raviolis en regardant sa télé

Soit elle se foutait de moi, pour épater son amant ; soit elle voulait se rassurer pour dépasser une culpabilité sous-jacente.

Dans tous les cas, elle me le paierait.

La nuit se continua avec des aller-retours entre le salon et la première chambre. Heureusement cétait celle où javais placé la caméra. Mais ce qui fut particulièrement fastidieux, cétait de passer dun enregistrement à lautre. Heureusement, leurs mouvements dune part et lhoraire denregistrement affiché sur lécran me facilitait un peu le transfert, même sil fallait à chaque fois que jutilise la fonction accélération pour retrouver le fil dans la continuité.

Cétait effectivement torride et je ne saurais dire lequel des deux était le plus vorace. Je crois que la « santé » et la décontraction de Marie avaient aussi conquis Pierre qui au début nétait recruté que pour faire mirebalai (NDLR : les mirebalais étaient employés pendant la Régence -XVIIIème siècle- dans les soirées libertines pour suppléer les hommes lorsque ceux-ci, épuisés, narrivaient plus à satisfaire les femmes). Et qui maintenant prenait son rôle avec un tel engouement que jétais sûr quelle lavait elle aussi à sa main.

Je nen fus pas déçu, au contraire, cela, était aussi pour moi un moyen dobtenir de lui ce que javais envie quil fasse avec Marie.

Tous les lieux y passèrent (y compris la salle de bain à 2 reprises, mais je les vis y aller ensemble sans voir ce quils y faisaient, (dommage) mais les vocalises que jentendais ne laissaient aucun doute sur ce qui sy passait.

Je vis distinctement que Pierre à un moment engagea une tentative pour prendre « lil de bronze », et, même si dans un premier temps elle laissa faire (peut-être lexcitation lui enlevait toute capacité de réaction immédiate) elle lui demanda ensuite de ne pas insister. Tout en lui disant :

— Ça viendra peut-être mais je ny suis pas encore prête.

Et puis, est-ce volontairement, ou Pierre lavait oublié, ils éteignirent la lumière tout en continuant leurs explorations mutuelles.

Je décidai de prendre la marche accélérée pour aller à la fin de lenregistrement, qui continuait puisquil était formaté sur les sons et que ceux émis par Marie étaient suffisamment forts pour maintenir la caméra en activité, même si comme image on ne distinguait que quelques mouvements de formes, sans distinguer ce qui se passait.

La fin des hostilités enregistrée par la caméra de la chambre portait 2h30.

Effectivement, ça vaut tous les marathons.

Ayant vu les images, je rangeai les cartes dans mon portefeuilles, et rentrai à la maison, il était minuit. Je ne métais pas vraiment rendu compte du temps. Ça valait bien plusieurs films X.

Jappelai Marie et lui dis :

— Je suis épuisé, jai bossé comme un fou, avec une concentration dingue. Cest un rapport très important sur des actions très instructives. Mais en même temps ça me plait beaucoup. Tu ten doutes. Sinon, je ne serai pas resté au bureau jusquà cette heure.

Avec un certain culot, je lentendis me dire :

— Si je ne te connaissais pas je pourrais penser que tu as passé la soirée avec une maîtresse.

Sans me départir et en pensant quil fallait que je réfléchisse à comment tirer profit des mensonges que javais découverts.

Je lui répondis :

— Tu ne peux-pas mieux dire, cest même une amante hors pair avec laquelle jai passé la soirée.

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