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le conflit des générations – Chapitre 4




Les mois passèrent, avec des séances d’humiliation chez ma tante ou chez Francis. Un jour j’allais voir ma tante en quittant le travail pour lui annoncer une bonne nouvelle en tout qu’à pour moi. J’entrais dans la cuisine.

« Depuis quand tu ne te mets plus nue ici ! »

Je ressortis et me déshabillais. Puis j’entrais à nouveau, ma tante me gifla violemment les seins pour me punir. Et enfin, elle m’embrassa pour me dire bonjour.

« Je viens t’annoncer que dans un mois, je pars. Je suis mutée sur Lyon et je vais m’installer là-bas »

Albert entra au même instant et me donna une claque sur les fesses

.« C’est normal, il faut saisir sa chance, mais tu reviendras nous voir »

Je vis la tristesse dans les yeux de ma tante

.« Albert a raison, tu dois avancer dans la vie. Mais nous, on t’aime comme notre fille, tu vas nous manquer. Heureusement Lolo arrive pour l’été ça nous changera les idées quand tu seras partie »

Je vis les larmes dans ses yeux et je la pris dans mes bras. Elle me caressa les seins ça faisait longtemps qu’elle n’avait pas fait ça. D’habitude, elle préférait les martyriser. 

« J’aurai dix jours de congés avant de partir pour préparer mon départ.

»« Tant mieux, tu viendras passé deux, trois jours avec nous avant de partir. »

J’acceptais. On dîna, je sentais la tristesse de ma tante mais je n’y pouvais rien. On organisa une soirée cochonne pour dans 15 jours. Mais je voulus leur avouer plusieurs choses avant de repartir ce soir-là.Je leur racontais, les jeux avec ma copine dans les vestiaires. Puis le week-end et les 15 jours que j’avais passé avec une cousine qui était autoritaire et qui avait les mêmes jeux que ma tante.

«Tu sais après la séance dans la jardin entre ta cousine et toi devant Albert et tes envies que l’on te fasse mal, j’ai bien compris que tu avais déjà jouer comme cela. C’est pour ça que je ne me suis pas gênée avec toi. Et pour tout de dire, après son installation ici, Albert m’a tout raconté en ce qui concerne ton oncle et toi. Je ne t’en ai jamais voulu car tu as pu voir que ton oncle et moi avions des goûts un peu différent mais nous étions très libres chacun de son côté pour les assouvir. Je ne t’en ai jamais voulu »

J’embrassais ma tante et partit. Je revins le vendredi soir 15 jours plus tard comme prévu. J’entrais nue dans la cuisine, Albert me fit écarter les jambes et me titilla le clito. Je commençais à gémir

.« Tu me dis quand tu vas jouir surtout »

Ma respiration s’accélérait, je gémissais de plus en plus.

« Humm oui, ça vient, ça vient, je vais jouir »

Aussitôt il arrêta. On s’installa pour manger ma tante d’un côté et Albert de l’autre. Tout le long du repas, ils me titillèrent le clito. Entre deux plats, je devais reculer ma chaise, écartais en grand les cuisses et Albert en profiter pour exciter mon clito jusqu’à ce que je sois limite de jouir et s’arrêtait. C’était frustrant, j’avais envie de jouir, mes tétons durcissaient et pointaient montrant mon envie. Il les pinçait pour augmenter mon excitation. En attendant le dessert, je me mis debout et il fouetta ma poitrine avec le martinet coloré qui ne faisait pas mal. Je gémissais de plaisir. 

Ma tante posa le gâteau sur la table, s’approcha attrapa mes tétons et les tira en les tordant. Je gémis plus fort, Albert fouettait mes fesses. Puis on se remit à table et ils continuèrent à titiller mon clito.On s’installa au salon et toute la soirée pendant qu’ils titillaient mon clito, nous regardions toutes les vidéos qu’ils avaient tournées. Mon excitation était à son comble mais je subissais sans rien dire. On alla se coucha après une dernière séance de fouetage et une dernière excitation. Ma tante m’attacha aux barreaux du lit pour que je ne me caresse pas pendant la nuit. Je les entendis faire l’amour ce qui m’excitait aussi. Puis ils vinrent m’exciter à plusieurs reprises durant la nuit pour me maintenant dans un état insupportable pour mes nerfs .Au matin, je fus détacher et je bougeais pour enlever l’ankylose qui m’avait gagnée tout en subissant l’excitation constante de mon clito. Albert arriva avec le camescope pour filmer et ma tante décida de me mettre le cintre à jupe aux seins. 

Je fus bâillonnée pour étouffer mon cri. Elle y mit une corde au cintre et tira dessus puis je dus la suivre partout à quatre pattes. Elle l’enleva et on prit le petit déjeuner toujours maintenue en état d’excitation, je n’en pouvais plus de frustration. Francis arriva puis Gérard. Je fus attachée en croix sur la table. Ils continuèrent tous les quatre à m’exciter. Francis installa une pompe sur mon clito et Gérard me fouetta les seins avec le martinet noir mais ma tante veilla pour que je ne sois pas trop marquée car ce n’était que le début du week-end et elle voulait faire durer le plaisir. Francis me baisa sans aller jusqu’au bout puis Gérard prit sa place. On me détacha les jambes pour les relever Albert en profita pour me sodomiser. Je gémissais sans discontinuer ma tante filmait tout en gros plan. Puis elle me fouetta sur tout le corps. J’étais très excitée mais je ne fus pas autorisée à jouir. Je fus détachée.

 Et ma tante se mit debout au milieu du jardin.

« Si tu veux jouir, tu vas ramper à mes pieds et me supplier »

Je m’allongeais sur le ventre et ramper à travers le jardin, j’étais couverte de terre et d’herbe. Arrivée à ses pieds, je la suppliais et lui baiser les pieds. Elle enleva ses chaussures, je dus les lécher et sucer ses orteils. Je dus ramper dans l’autre sens et aller baiser les pieds des 3 hommes qui se moquaient et m’insultaient.

« Regardez-moi cette chienne qui veut jouir. Une grosse salope prête à tout pour ça. Une vraie pute, il n’y a que le train qui ne lui est pas passé dessus »

J’étais humiliée mais ça m’excitait. On m’arrosa avec le jet d’eau glacée pour me nettoyer et on m’attacha dans le jardin au soleil pour que je sèche. 

Dans la matinée, nous étions samedi le facteur arriva et put me voir. Il s’approcha et en profita pour me tripoter.

« Je vous en prie, ne me faites pas jouir sinon je serai punir »

Il me laissa et alla donner le courrier à ma tante qui lui proposa de me baiser. Détachée, je me mis à quatre pattes pour qu’il puisse me prendre en levrette, il me sodomisa tout en suivant les consignes données, titiller mon clito mais sans me faire jouir, il éjacula sur mon cul. Je fus à nouveau arrosée à l’eau glacée et mise à sécher dans le jardin. Pendant que je séchais, on continuait à m’exciter sans me faire jouir. Je dus me promener avec les poids aux tétons et à la chatte. On me fouettait régulièrement. Mon clito était au bord de l’explosion de plaisir mais on me le pinçait pour que ça n’arrive pas. Les poids furent enlevés, à cheval sur Albert qui me prenait la chatte, Francis à genoux derrière me prenait le cul et Gérard debout à côté me baisait la bouche.

« Allez-y, secouaient la dans tous les sens, je veux voir ses nichons volaient »

Ma tante filmait tout. Albert glissa sa main entre nous et titilla mon clito.

« Elle a envie de jouir la salope, bouges si tu veux jouir ! »

Rien à faire, j’étais excitée mais ils s’arrangeaient pour que je ne puisse pas jouir. Puis allongée sur la table, Francis et Albert de chaque côté tenaient mes jambes relevées très haut et Gérard tenait la machine à baiser qui me défonçait la chatte à la vitesse maximum. Je criais, gémissais mais toujours pas de jouissance pour moi. Ma tante fouetta mes nichons. Puis ils arrêtèrent. Ma tante vint avec dans les mains de la toile émeri très fine qu’elle passa deux fois sur mes tétons, on essuya ma chatte. On me badigeonna les tétons et la chatte avec un produit à base de menthol. Ca chauffait, ça dilatait tous les vaisseaux, le plaisir montait mais rien de plus. 

Ma frustration était de plus en plus grande. Je leur servis de bonniche pour l’apéritif et le repas, j’eus le droit de manger dans une gamelle parterre.Ils continuaient à m’exciter, je n’en pouvais plus. Ma tante m’emmena dans la chambre pour que l’on soit seules car si j’étais bonne à humiliée pas elle. Elle mit un gode ceinture que je ne lui avais jamais vu. Je dus me mettre à quatre pattes et elle m’encula d’un violent coup de reins. Elle s’agrippa à mes seins et tira dessus pour s’aider dans ses allers retours. Nous retournâmes dans la pièce principale, je vis que l’on avait changé le gode, il était brillant et en métal. Je fus mise à nouveau sur la table et attachée et on me mit le gode dans la chatte, Gérard avait une drôle de mini fourche à la main, on me bâillonna.

 Soudain je sursautais violemment, je venais de recevoir comme du courant dans ma chatte. Je n’avais pas vu que le gode était relié avec des fils à un bouton que ma tante venait d’enfoncer. Gérard approcha la mini fourche et l’appliqua sur un de mes tétons. J’essayai de crier et de me débattre mais le bâillon et les attaches m’en empêchaient, la fourche était aussi de l’électro stimulation. Albert titilla mon clito et appliqua la mini fourche dessus, il avait enlevé le bâillon pour pouvoir m’entendre, je criais. Pendant 5 mn ça n’arrêta pas, sur le clito, sur les tétons, dans la chatte. Je criais me débattais

.« Regardez, elle a les tétons qui pointent, elle aime ça la salope. Mets-lui les pinces spéciales dessus »

Ils installèrent des pinces sur mes tétons, je vis qu’elles étaient reliées aussi à des fils. Le bouton fut tourné et je criais à nouveau. Les pinces envoyaient de régulier coup de courant dans mes tétons. Eux continuaient à le faire à mon clito et dans ma chatte. Ils s’arrêtèrent à la demande de ma tante, je fus détachée. Elle se mit assise et me demanda de venir. Comme elle avait la mini fourche dans la main, je ne bougeais pas.

« Viens ici salope ! Toute de suite ! »

J’approchais et elle m’appliqua la fourche sur un téton, je reculais et criais. Les 3 hommes derrière moi, s’amusaient et se moquer. Ils me poussèrent en avant

.«Ouvres ta chatte ! »

J’obéis et elle y mit la fourche, je criais à nouveau. 

« Oui ! C’est bon ça, tu aimes salope ! Vas-y branles toi maintenant !»

J’essayais de lui obéir, mais elle n’arrêtait pas de me balancer de petits coups d’électricité soit sur les tétons soit sur le clito. 

Pendant que j’étais debout face à elle, l’un deux vint me tenir les bras derrière le dos et Gérard à genoux à côté me mit de nouveau le gode électrique dans la chatte. Je gémissais, dansais, criais. Il n’y avait aucun répit pour moi, eux étaient trois et j’étais la seule à  subir leurs fantasmes. Albert me mit les pinces électriques, ma tante continuais avec la petite fourche. Je n’en pouvais plus, je les suppliais d’arrêter. Ma tante changea d’objet et prit le vibromasseur électrique et l’appliqua sur mon clito malgré le gode et les pinces, je finis par jouir en hurlant mais elle n’arrêta pas et m’obligea à jouir encore deux fois de plus. Puis ils enlevèrent tout, ils mirent des cordelettes autour de mes seins et m’attachèrent sur la table en croix.

 Albert et ma tante chacun d’un côté firent rouler des roulettes dentées sur mon corps faisant en sorte de piquer mes tétons et mon clito. Je me tordais dans mes liens pour y échapper car même sans faire mal, je sentais bien les piqûres et ce n’était pas agréable. Gérard appliqua le vibromasseur sur mon clito et m’obligea à l’orgasme plusieurs fois. Ils vinrent chacun avec une grosse bougie et ils firent couler la cire sur ma chatte, mon ventre, mes seins, j’essayais de me débattre mais rien à faire. Je sentais la cire chaude coulait sur mon corps. Puis ils raclèrent la cire avec des spatules.

 On me détacha et je dus sortir dehors, la pluie s’était mise à tomber, je dus courir autour du jardin. Il pleuvait plus fort malgré tout, je dus ramper dans la boue et je fus arroser à l’eau glacée pour me nettoyer. Ma tante m’autorisa à prendre une douche chaude pour me réchauffer. Mais là encore, l’un deux vint me faire jouir avec le jet. On me sortit de la douche et on m’attacha au pied du lit de ma tante où je devais passer la nuit. Pendant qu’eux dormaient du sommeil du juste moi je ne pouvais pas en raison de ma position moitié assise. Dans la nuit, ma tante me réveille, elle avait dans la main, la mini fourche électrique et s’amusait à me toucher avec.

« Tu crois vraiment que je ne t’en veux pas d’avoir couché avec mon mari quand j’étais malade. Détrompes-toi, je t’en veux surtout parce qu’il ne m’en a pas parlé. Jusque-là à chaque qu’il couchait avec une autre femme on en parlait comme je lui parlais quand moi je trouvais à m’amuser aussi. On ne se cachait rien jusqu’à ce qu’il te saute. Il a fallu que ce soit Albert qui m’en parle. »

Et elle continuait à me toucher avec cette mini fourche, moi je sursautais et je secouais la tête, bien que je me sentais coupable et c’est pourquoi j’avais tout accepté de sa part. D’avoir été traitée plus bas que terre, jusqu’à ramper dans la boue à leurs pieds, et même si ça m’excitait d’être humiliée, j’avais cette culpabilité en moi par rapport à ma tante. Elle m’enleva le bâillon et prit le martinet noir

.« Tu sais ma tante, il m’a dit qu’il t’aimait et que ce qu’il faisait avec moi ne changeait rien aux sentiments qu’il avait pour toi. »

« Ca ne change rien, s’il ne m’a rien dit c’est que quelque part, il t’aimait plus que bien. Tu n’es qu’une chienne et ça ne sert à rien de pleurnicher! »

Et elle me fouetta les seins jusqu’à ce qu’ils soient marbrés de zébrures et boursouflures.

Le lendemain matin, Albert me détacha et je les rejoignis dans la cuisine pour le petit déjeuner. Francis et Gérard étaient partis. Ma tante me parla comme si la conversation de la nuit dernière n’avait pas eu lieu.

 « Tu vas nous manquais, on t’aime comme notre fille »

Elle passa sa main sur mes seins.

« Ils sont beaux quand ils sont dans cet état»

Ils étaient striés d’hématomes et de boursouflures. Elle y avait été vraiment fort. Je me levais, je les embrassais et me rhabillais pour partir. Ma tante me donna un sac remplit de vidéos.

« Je garde juste celle de ce week-end, les autres je te les donne en souvenir. Francis en a rajouté des autres, je ne sais pas ce qu’elles contiennent, tu verras bien »

En rentrant chez moi, je finis mes cartons et mes bagages, les vidéos furent emballées dans un carton et misent de côté. De toute façon, je savais que l’une des premières choses que je ferai en m’installant et de voir un psy pour faire soigner cette addiction à l’humiliation et à la douleur surtout au niveau de la poitrine.Un mois plus tard, installée à Lyon, je continuais à vivre nue. J’oubliais que je n’avais toujours pas posé de rideaux comme je vivais dans un appartement à l’étage, je pensais qu’il n’y aurait aucun problème. Jusqu’au jour où on sonna à ma porte. J’allais ouvrir en tenue d’Eve sans me poser de question. Je trouvais une femme devant ma porte

.« Mais vous ne pourriez pas vous habiller avant d’ouvrir ! »

J’allais mettre un peignoir et la fis entrer.

« Voilà, je vis en face de chez vous, moi personnellement je m’en moque du fait que vous ne vous habillez pas, je vis seule. Le problème c’est que j’ai de la visite parfois et les hommes sont collés à la fenêtre ce qui déplaît forcément à leurs femmes. »

« Je suis désolée, j’ai acheté des rideaux, je les poserai le week-end prochain »

Le week-end suivant j’avais posé les rideaux dans la journée quand on sonna à ma porte, j’allais ouvrir et bien sûr j’étais nue comme à mon habitude. Un homme se tenait devant la porte.

« Bonsoir, je suis un des invités de votre voisine d’en face, je suis descendu fumer une cigarette et j’en profite pour venir vous dire que c’est dommage que vous ayez posé des rideaux. Ceci dit ça m’a permis de venir vous le dire en face surtout qu’elle m’a dit que vous ouvriez votre porte en tenue plus que légère »

« Bien puisque vous vous êtes rincé l’il tout va bien donc ? Je vous souhaite une bonne soirée »

En temps normal, je me serais sûrement laisser aller à d’autres choses mais depuis un mois j’étais suivi par un psy. Je m’en tenais donc à ce qu’il m’avait dit, absolument pas de sexe. Ce qui n’était pas facile. Seulement au bout d’un mois, j’étais en manque et je lui en parlais

.« Je me doutais que vous finiriez par me dire ça depuis que j’ai vu les deux vidéos qui ont été tournées chez votre tante, vous ne pouviez que finir par être en manque. J’ai donc contacté un médecin que je connais très bien et à qui je fais confiance. Voici sa carte, allez le voir, il a les mêmes goûts que vous mais en plus soft ce qui vous aidera »

Je prie rapidement rendez-vous chez lui. Lorsque j’arrivais à son cabinet, j’étais seule. Il me fit entrer.

« Tu n’as pas le droit de parler, tu obéis c’est tout. Mon confrère m’a parlé et nous avons regardé les vidéos »

Il me tourna vers un mur et tira un rideau, derrière il y avait trois hommes dont un qui portait un masque. Je portais à sa demande une minijupe et un haut très moulant sans bretelle. Il se mit derrière moi ; il commença par prendre mes seins entre deux doigts chacun et les serra pour les faire bouger vers le haut, vers le bas, de droite à gauche. C’était très soft et j’étais déçue. Il devait le sentir.

« N’oublies pas qu’ils ont vu aussi les vidéos et ils savent quelle genre de chienne tu es ! »

Je les regardais mieux mais malgré tout, je n’étais pas excitée par ce qu’il me faisait. 

Il baissa mon haut, mes seins apparurent car je n’avais pas de soutien-gorge. Il mit ses doigts sur mes tétons et les enfonça et tourna. Puis il se mit en face de moi et me tourna de trois quart pour que les hommes puissent continuer à me voir. Il entoura mes tétons de ficelle, ils étaient comme emmaillotés puis il mit une corde au-dessus de mes seins et en-dessous, une autre pliée deux sur mes seins qui étaient ainsi écrasés. Je dus me pencher vers l’avant et il me fessa sans violence mais suffisamment fort pour que mes fesses chauffent et que je sente bien. Il tira la table d’examen face à la vitre et je dus m’allonger dessus. Il attacha mes jambes aux étriers qu’il écarta un maximum pour que je sois bien ouverte, puis les bras aux montants de la table. Je commençais enfin à être excitée et je mouillais. Il prit un vibromasseur branché sur une prise et l’appliqua sur mon clito, je gémissais de plaisir et je sentais mes tétons qui essayaient de gonfler mais qui ne pouvaient pas, j’en éprouvé une gêne mais pas de douleur mais ça m’excitait malgré tout. 

Je jouis une première fois, puis une deuxième, il n’arrêta pas le vibro et m’obligea à jouir à répétition. Je me cabrais et criais, mais ça continuait. Il arrêta pour bien montrer l’état de ma chatte aux autres hommes qui s’éloignèrent de la vitre et qui entrèrent dans la pièce. Ils se mirent un de chaque côté et celui masqué en face de manière à bien voir ma chatte ouverte, dilatée et trempée. Puis ils coupèrent les cordes et libérèrent mes tétons. Une légère douleur se fit sentir mais très agréable. Ils me tétèrent chacun un sein pendant que le médecin appliquait de nouveau le vibro sur mon clito tout en claquant le dessus de ma chatte. Je gémissais et criais, de jouir devenait insupportable, j’étais trempée de sueur, je finis par uriner en jouissant encore, heureusement il avait prévu une bassine au cas où. L’homme masqué ne bougeait pas et regardait toujours.

 Je pleurais suppliant qu’il arrête mais dans le vide ça continua encore et encore. Puis tout s’arrêta, on m’allongea correctement pour que je me repose. Puis on m’écarta de nouveau les cuisses pour regarder ma chatte. Il passa un doigt sur mon clito, je sursautais et je gémis tellement il était sensible. Je pus me lever.

«Bon tu vois, tu peux être humiliée et prendre beaucoup de plaisir sans douleur excessive et sans être avilie »J

e hochais la tête pour dire oui car il avait raison. J’avais jouis plus que de raison et j’étais apaisée ça m’avait beaucoup de bien. 

« Habilles toi et pars, si tu en as envie, tu reprends rendez-vous et je te soulagerai de nouveau. Vu l’état de ton clito tu en as pour plusieurs jours avant de pouvoir le toucher. Tu peux aussi demander juste un rendez-vous pour une fessée ce qui te fera du bien aussi même sans le sexe. »

Je m’habillais et partis. Je prie rendez-vous huit jours plus tard pour une fessée. J’arrivais, il y avait des patients dans la salle d’attente quand ce fut mon tour, j’entrais dans son cabinet, il me bâillonna, souleva ma jupe me fessa à la main puis au martinet.

« Retournes-toi et branles toi ! Encore ! Encore ! Encore ! »

Je me fis jouir plusieurs fois mais ce ne fut pas suffisant pour lui. Il prit le vibro et le brancha avant de l’appliquer sur mon clito et il me fit jouir à plusieurs reprises.

« Bon maintenant, tu peux partir »

C’était humiliant d’être traitée ainsi mais j’aimais ça. Je m’en expliquais à mon spy la fois suivant et je dus raconter tout ce que j’avais subi la première fois et comment j’y étais retournée pour une fessée.

« Bien, mon collègue m’avait déjà dit tout cela mais c’est bien que vous me le disiez aussi. On avance, vous éprouvez du plaisir sans être vraiment maltraitée et ni avilie. C’est une bonne chose. »

Je continuais donc à aller le voir pendant plusieurs années et voir son collègue pendant plusieurs mois. Puis je rencontrais mon futur mari et le père de mon fils. J’avais une sexualité normale et ennuyeuse où j’avais très peu de plaisir. Je finis par divorcer lorsque mon fils eut 7 ans environ et je repris mes errances sexuelles.

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