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Une si belle famille – Chapitre 6




Quelque temps sétait écoulé depuis les événements relatés dans le chapitre précédent. Nous restions bien sûr en contact avec notre Maître, mais nos occupations respectives ne nous laissaient pas forcément le temps de nous retrouver. En fait cet espacement augmentait lenvie et le plaisir des retrouvailles.

Nous reçûmes un mail de notre Maître nous demandant nos disponibilités pour les prochains week end. Rendez-vous pris pour dans quinze jours, il nous communiqua ses instructions : nous devrions venir chez lui le samedi matin, Cloé et moi nues avec seulement bas, porte jarretelles et talons aiguilles, Stéphane nu avec chaussures basses. Chacun nous devrions porter nos colliers dappartenance. Il nous fallait prévoir également de rester la nuit. Le reste est du domaine de la surprise. Pour le voyage il fallait aussi un vêtement qui couvre notre nudité.

Cest ainsi que nous nous présentions chez notre Maitre.

Passablement excités par linconnu qui nous attendait, le Maître inspecta chacun dentre nous, puis nous informa quaprès un déjeuner rapide, il nous amènerait ensuite dans un lieu pour le reste du week end.

Le déjeuner expédié, nous partîmes dans sa voiture vers cette destination prometteuse, non sans avoir été affublé, chacun, dune laisse accrochée à nos colliers. Le Maître était resté étrangement silencieux, ne parlant quavec le stricte nécessaire. Nous adorions cette pression psychologique quil savait si bien distillé avec laddiction physique dont nous étions maintenant dépendants.

Au bout dune grosse demi-heure de voyage, le Maître sengagea sur un chemin forestier. Au bout de ce chemin, nous arrivions à une grille en fer forgé délimitant lentrée dune propriété. Une caméra au-dessus du portique semblait nous fixer. La grille souvrit comme par magie, et nous avons parcouru une allée qui nous amena vers une grande maison de maitre style 19 ième siècle. Lambiance devenait de plus en plus mystérieuse à notre plus grande satisfaction. Serions-nous dans un roman de ce cher Marquis ?

Une fois descendus, le Maître nous fit pénétrer dans la maison, tous trois tenus en laisse.

Le hall dentrée était haut de plafond et en forme de carré. Une porte souvrit et un couple apparu. Tous deux vêtus de noir, dans la cinquantaine, bien entretenus et visiblement les propriétaires de cette demeure.

— Bonjour Jacques. Nous vous attendions avec impatience.

— Bonjour Marie et Pierre. Jétais aussi impatient que vous de venir vous rendre cette petite visite, répondit notre Maître. Comme promis, voilà mes esclaves dont je vous ai parlé. Les parents et leur fille. Ils sont de très grande qualité, et je compte sur vous pour leur rendre ce week end inoubliable.

Le Maître nous fit aligner en rang doignon avec nos laisses.

— Merci pour cette confiance, Jacques répondit celle qui se faisait appeler Marie.

Marie ouvrit une prote qui donnait sur un boudoir. Nous entrâmes et le Maître retira nos manteaux qui nous couvraient. Le couple nous inspecta du regard en hochant la tête.

— Soumis de premier choix dit Pierre. Vous faites honneur à votre réputation. Vos apparitions sont rares mais de qualité. En plus, une famille, cela ne court pas les rues.

— Ils sont à vous, chers amis. Je sais que vous en ferez bon usage. Répondit le Maître avec un sourire entendu.

Marie prit la laisse de Stéphane, et Pierre celle de Cloé et moi. Ils nous firent entrer dans une pièce où se tenait une quinzaine de personnes. Certaines semblaient en couple, dautre non. Mais la parité était respectée.

Nous commencions à comprendre ce qui allait se passer. La nouveauté créait un peu dappréhension, mais la présence de notre Maître était rassurante.

— Mes amis, commença Marie, voici les esclaves de Jacques. Il sagit du père, de la mère, et de la fille. Tous trois sont soumis et consentant. Je compte sur vous pour assouvir leur perversité et la vôtre. Vous pouvez les utiliser sexuellement comme bon vous semble, Jacques étant le garant de leur intégrité.

Marie et Pierre nous ont placés au centre de la pièce, jambes écartées et mains sur la tête. Les invités se sont mis en cercle autour de nous. Toute appréhension avait disparue, laissant la place à une excitation sauvage. Je remarquais que certain étaient fixés sur ma fille, dautres sur son père. Quant à moi, jappréciais dêtre au centre de attention dautant de males que de femelles.

Un homme sapprocha de Cloé et lamena cers un canapé. Il la fit sinstaller à quatre pattes, genoux sur lassise et les mains sur le dossier. Il commença à inspecter ses trous, introduisant ses doigts alternativement dans sa chatte et son cul. Bientôt rejoint par une femme qui pinça et malaxa les tétons de ma fille, celle-ci commença par onduler ses hanches au rythme du doigtage quelle subissait.

Jaurais bien voulu profiter de ce spectacle, mais un couple sapprocha de moi. La femme membrassa goulument, tandis que je sentais la main de lhomme se plaquer sur ma chatte et la serrer fortement.

— Regardes cette salope dit-il, elle nen peut plus de mouiller. Cest une grosse baveuse.

Il introduisit facilement trois doigts dans ma chatte en me ramonant le trou durement, tandis que ce que je supposais être sa femme me triturait mes nichons. Javais une folle envie de me faire prendre, mais la consigne était de ne rien dire, sauf à exprimer notre plaisir.

Suivant mes souhaits muets, je me suis retrouvé sur le dos, à même le sol. La femme tenant mes cuisses écartées. Lhomme sortit une bite énorme de son pantalon et la planta en moi sans autre forme de procès. Me sentir pénétrée ainsi par son pieu déclencha un cri de surprise, vite étouffé par la main de sa compagne. Une claque suivit, sur mon visage et sur mes seins.

Lhomme continuait à me défoncer la chatte en minsultant. Je fus surprise par son endurance et sa cadence. Mes seins bringuebalaient en même temps, au grand plaisir de sa femme qui fouillait ma bouche avec sa langue.

Dun il, je pu voir ma fille se faire empaler le trou du cul avec ardeur, premier enculage dun belle série.

A propos denculé, mon mari se faisait former son cul par un god tenu par une femme. En même temps, sa bouche était remplie par une bite âgée, mais néanmoins solide. Une jeune femme, profitant de la situation, se mit à fesser mon mari comme si cétait son petit garçon.

Je ne pus regarder plus longtemps car une femme vint sassoir sur mon visage en mordonnant de lui lécher sa chatte. Elle ne semblait pas satisfaite, car elle me gifla jusquà ce que je lui rende le bon service. Je me sentais exploitée et remplie. Une onde de plaisir commença à parcourir mon corps.

Pendant ce temps, Cloé était assise sur une bite qui la limait copieusement. Une autre queue se présenta à lentrée de son cul, et ne tarda à senfoncer dans son trou accompagné par un râle de ma fille. Décidément, javais enfanté une sacré pute. Son râle a été vite arrêté par une troisième bite qui senfonça dans sa bouche jusquaux amygdales. Pour compléter le tableau, elle fut obligée de branler deux autres queues de passage. On ne pouvait faire mieux, trois trous remplis et deux mains occupés.

Son père était aussi au turbin. Il avait la lourde tâche de sucer ou lécher tous ce qui se présentait devant lui, aussi bien les chattes que les bites ou les culs, féminins ou masculins. Cela semblait le combler daise. Dautant plus que son cul ne restait jamais longtemps vide. Il avait le visage barbouillé de foutre et de sperme. Ses cheveux commençaient à devenir gluants sous leffet des différentes décharges.

Cloé dirigea les deux bites quelle branlait vers son visage et ses cheveux. Ce qui nétait pas facile en se faisant bourrer la chatte et le cul. La queue dans sa bouche la gênait aussi. Dans un superbe synchronisme, les trois bites éjaculèrent en même temps. Les jeunes queues déchargèrent un flot de sperme salissant ma fille comme une vielle putain.

Je pouvais voir tout cela car jétais maintenant à quatre pattes avec deux femmes qui avaient décidés de me doigter la chatte et le cul. Comme ma position sy adaptait, un homme mordonna de le branler en même temps.

Javais déjà jouis sous les coups de bite du premier Monsieur, mais je sentais la jouissance de nouveau venir. Il faut dire que les femmes avaient réussi à menfiler quatre doigts dans mes trous. Je me sentais de plus en plus distendue. Le fist nétait plus loin. Jétais fière de mes progrès.

Et la soirée nétait pas terminée.

À suivre

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