Elle porte une robe rouge courte évasée, décolletée et dos nu, des sandales à talons aiguilles. Et sa copine : une beurette, très jolie, avec des formes de fou. Minijupe et top bien moulant sur ses grosses mamelles, elle aussi des sandales à talons. Je souris, appuyé sur le chambranle. Je les regarde l’une après l’autre.
— Oui ? C’est pour quoi ?
— On avait un petit creux.
— Un petit ?
— Ok, on a faim.
— Entrez.
Juliette se jette dans mes bras, on s’embrasse. D’une main elle prend la main de Sarah, sa copine et l’attire à l’intérieure. Rapidement, on s’embrasse tous les trois, les uns après les autres, les uns avec les autres. Rapidement surtout, j’ai une érection pas possible. On va au salon. Je m’assieds dans le canapé, Sarah et Juliette agenouillées de part et d’autre de moi me sucent. Une main sur chaque cul, un vrai pacha. Juliette relève la tête :
— Il n’y a pas de match ce soir ?
Elle me sourit. Presque tendrement. Elle veut me faire plaisir. Elle sait y faire. Je lui rends son sourire, me penche pour l’embrasser. Elle me plait vraiment. J’allume la télé et zappe, pendant que deux belles furies s’occupent de ma bite. Pendant cette double fellation je pense à la soirée de vendredi, à comment je vais m’y prendre avec Manon. Étonnamment je pense aussi à Élise et à ses gros seins. Je me demande s’ils sont plus gros que ceux de Sarah. J’hésite. J’en conclus qu’il faudra vraiment que j’ai la réponse. Je pense aussi à samedi soir et au diner avec la mère de Juliette. Est-ce que Juliette se dit que je bande pour sa mère. Est-ce qu’elle s’en fout. Est-ce qu’elle n’y pense pas. Je n’ai pas revu Catherine depuis l’autre après-midi et ça m’embête un peu. Je me dis qu’il faudrait au moins que je la croise pour préparer le terrain. Je bande encore plus. J’ai trop envie de sentir ma queue dans ces deux petites chattes en chaleur.
Il n’y a rien de passionnant à la télé, je passe donc trois heures à les baiser, à les faire jouir, elles n’ont aucune retenue ou pudeur l’une vis à vis de l’autre. Je me délecte des seins énormes de Sarah qui ballottent merveilleusement bien devant moi quand elle s’empale sur moi. Juliette me lèche les couilles pendant que je baise sa copine ; et vice et versa. Je finis par jouir sur leurs visages, puis les rebaise, elles jouissent deux fois chacune, et je finis par jouir sur le cul de Juliette ; Sarah, sans que je lui demande vient lécher mon sperme sur les fesses de sa copine et en profite pour lécher mon gland et ma queue pleine de semence et de mouille. On va dans la chambre, elles me sucent et Sarah avale mon sperme, on se câline on s’embrasse, et Sarah s’endort. On redescend dans le salon avec Juliette.
— Merci pour ce joli cadeau ma belle.
— De rien, je me suis dit que ça te plairait.
— Beaucoup. Mais pourquoi ?
— Je t’aime bien, qu’est-ce que tu veux.
Silence. Je la regarde. Juliette est vraiment belle. Je pourrais bander pour elle toute la vie. Le problème ce sont les autres femmes.
— Moi aussi je t’aime bien.
— Je sais.
On discute de tout, de rien, on s’embrasse, on picole. On s’endort un peu, on se réveille, on s’embrasse. On fait l’amour, tendrement, juste elle sur moi, dans le canapé, parfois elle se fige sur ma queue tout au fond d’elle, nos corps collés l’un à l’autre, nos langues jouant l’une avec l’autre, mes mains sur ses jolies fesses.
Je jouis en elle. Au moment de jouir je me dis que je n’ai pas pris son cul. Une prochaine fois sans doute. Peut-être. Ce n’est pas important. On s’embrasse. On discute. Je lui parle de Manon. Elle ne m’en veut pas. Elle me dit qu’elle a un mec et qu’elle préférerait que j’ai une copine. Elle éclate de rire quand je lui demande si son mec va se rendre compte qu’elle est plus large maintenant que je suis passé par là. On s’embrasse.
— Tu l’as convaincue comment Sarah ?
— Je lui ai dit qu’elle ne se sentirait jamais aussi comblée de sa vie.
— Et ça a suffit ?
— Son mec vient de la larguer.
— Quel con.
— Toi t’es du genre à pas larguer hein ? A attendre ?
— Je ne sais pas. Je n’ai jamais été en couple.
— Qui t’a dépucelé ?
— La mère d’un pote. Il y a deux ans.
— C’est vrai ?
— Oui. Et elle m’a fait la baiser devant son mari. J’ai été éduqué avec toutes ces images là. Ça n’a pas franchement arrangé mon côté narcissique ah ah.
— Tu m’étonnes.
— Il faut que tu rentres chez toi ce soir ?
— Pourquoi, tu veux Sarah pour toi tout seul ?
— T’es conne.
— Oui. Et non, je ne suis pas obligée de rentrer ce soir.
On s’est endormi sur le canapé.
J’ai les yeux fermés. Je sens qu’il fait jour. Je sens surtout une bouche sur ma queue. J’entre-ouvre les yeux , je suis dans le canapé, dans le salon, nu. Juliette a ma queue dans sa jolie petite bouche. Elle me suce, juste sa bouche, pas les mains. Putain que c’est bon. Putain qu’elle fait ça bien. Je glisse la main dans ses cheveux et guide ses mouvements. Tout en me gardant en bouche elle me regarde, voit que je suis réveillé. Elle me pompe à fond à présent. Je ne tarde pas à jouir dans sa bouche. Elle nettoie mon sexe. Et se glisse tout contre moi. On s’embrasse, son corps contre le mien. Sarah arrive dans le salon.
— J’arrive trop tard ?
— Je pensais que tu avais compris qu’avec moi trop tard n’existe pas.
Je lui ai fait signe de venir me sucer. J’ai fait venir Juliette sur mon visage et l’ai léchée comme jamais, pendant que sa copine faisait grossir ma queue dans sa bouche. Juliette dégoulinait de mouille sur moi. Je me régalait. Puis Sarah s’est assise sur mon sexe et m’a chevauché. Après l’avoir fait jouir et avoir fait jouir Juliette avec ma bouche, j’ai mis Sarah à 4 pattes par terre et je l’ai prise en levrette, et je lui ai doigté le cul, elle n’a rien dit. J’embrassais Juliette en même temps. Elle m’a sourit :
— Le mien est à toi aussi tu sais.
— Je sais.
Mais pas maintenant. Je voulais la faire patienter. J’ai pris le cul de Sarah, tellement serré, j’y suis allé vraiment doucement. Mais rapidement elle me suppliait de la défoncer, de la remplir. Elle appelé son ex en facetime. Le con a décroché. Il était dans son lit, en caleçon, il semblait nul. Il n’a rien dit en voyant la fille qu’il venait de larguer, à 4 pattes dans un salon à 6h du mat’, avec un black allant et venir dans son petit cul de beurette. Elle me suppliait de la faire jouir encore et encore, disant qu’on ne l’avait jamais aussi bien remplie, que ça l’a changeait de la petite bite de son ex. Il a raccroché, les deux filles ont éclaté de rire. Moi j’ai joui dans son cul et les deux ont léché ma queue. On a pris une douche tous les trois, je les ai léchées l’une après l’autre et elles ont joui toutes les deux une nouvelle fois.
Elles devaient y aller et moi aller au lycée. Sarah m’a roulé une grosse pelle. Et m’a remercié. S’est éloignée. On s’est embrassé tendrement avec Juliette, elle toute collée à moi dans mes bras.
— Merci ma chérie.
— Merci mon chéri. Merde avec la petite Manon.
— Je te raconterais ?
— Tu me montreras !
— Salope.
— Salaud.
Elle est partie avec Sarah, leur deux petits culs roulant de droite et de gauche, putain, j’en rebanderai presque. J’étais en retard. J’ai mangé vite fait, me suis préparé. On était vendredi, la journée était décisive. Mon téléphone sonne, sms de Manon :
— Coucou vous. Je ne sais pas quoi choisir comme tenue.
— Sois irrésistible je te l’ai dit.
— Pas facile, en plus j’ai mauvaise mine, trop mal dormi.
— Ah, des mauvais rêves ?
— Des très beaux rêves plutôt.
— Ah base de chocolat ?
— Oui…
— Noir ?
— Les vrais amateurs n’aiment que le noir non ?
— On dit même que tout ce qui n’est pas noir n’est pas du chocolat… Ne me déçois pas.
Je décide deux choses :
D’abord de passer chez Juliette, pour voir Catherine ; je sais que Juliette doit ramener Sarah chez elle, donc j’y vais ; je sonne à la porte. Catherine m’ouvre, manifestement prête à aller au travail. Elle est agent immobilière, elle porte un tailleur, elle est disons sexy chic, plus chic que sexy, ça me déçoit mais en même temps c’est normal. Elle me demande s’il y a un souci.
— Oh non non, je voulais juste être sûr que Juliette avait pu ramener Sarah chez elle, sans problème?
— Ah, oui oui, sans souci. Enfin je crois. Elles doivent être en route là.
– Ah, ok parfait. Pffff, désolé je suis un peu dans le cirage là.
— Tu veux un café ?
— Oh, volontiers oui, mais je ne veux pas vous mettre en retard.
— Ne t’en fais pas pour ça Isaiah. Allez entre.
J’entre, je mate son cul. Catherine est vraiment belle ; et la ressemblance avec sa fille est aussi troublante qu’excitante.
— Alors, vous n’avez pas beaucoup dormi si j’ai bien compris ?
— Mmmmm non, j’avoue.
— Pas d’excès j’espère.
— Cela dépend de quoi l’on parle.
— Ah ?
— Aucun excès de drogue ni d’alcool, promis.
— Juliette m’a dit pour samedi soir.
— Et cela vous va ?
— Oui oui. Et j’ai croisé ton père, il est charmant.
— Ah ? Oui oui, enfin j’imagine, si l’on aime ce genre.
— Pardon ?
— Je veux dire, je vous imagine avec un fort caractère.
— Tu imagines bien et ?
— Ah ? Alors tout ira bien.
— Pourquoi donc ?
— Mon père n’est pas franchement dans le genre macho.
— Être macho n’est pas franchement une qualité tu sais.
— Alors il est pétri de qualités.
— Et toi ?
— Moi ?
— Oui, toi, quelles sont tes qualités ?
— Je sais ce que je vaux, je n’ai peur de rien, je sais ce que je veux et je m’en donne les moyens.
— Et tout ça à 18 ans.
— Oui.
— Juliette semble bien t’apprécier tu sais.
— C’est réciproque.
— Bon, il va falloir que j’y aille quand même.
— Dommage.
— Pardon ?
— J’avais plein de questions.
— Ah ?
— Oui.
— Je t’en laisse m’en poser une pour l’instant. Je n’ai pas le temps pour plus.
— Vous préférez qu’elle donne juste un avant goût du reste ou bien qu’elle soit plutôt un résumé.
Elle m’a souri. Elle s’est cambrée très légèrement.
— Vous savez quoi Catherine, allez au travail, je ne voudrais pas que vous soyez en retard à cause de moi.
— Et ta question ?
Je suis parti, sans répondre.
En plus j’étais moi même pile dans les temps pour la seconde décision matinale : arriver plutôt en avance pour arriver avant Manon et être déjà à ma place dans la salle quand elle entrerait. Je voulais qu’elle me voit immédiatement et que son entrée soit comme un défilé pour moi.
J’étais donc assis à ma place, et quand elle est entrée dans la salle, une chose est sûre : je n’étais pas déçu.