Enfin le Cap d’Agde!
C’est chaque année la même chose, la route de juillet est bondée. Il m’a fallu 8 heures pour descendre de Paris. Mais bon j’y suis. Je passe la barrière d’entrée et pénètre dans le plus grand club naturiste d’Europe.
J’adore venir ici. D’abord il y a la plage et puis, il faut bien le dire, le sexe sous toutes ses coutures et pour tous les goûts. Pendant onze mois je bosse comme une malade dans la boite de pub que je dirige. Je bosse et rien d’autre. Et le douzième mois je me lâche.
Je m’appelle Charlène et je viens d’avoir 60 ans. Certes je vieillis mais la nature m’a donné un fort coup de pouce. Très simplement, je suis le sosie de Claire Chazal. La ressemblance est incroyable. Et cela ne s’arrête pas au visage. J’ai le même corps svelte qu’elle, corps que j’entretiens avec rigueur.
A vrai dire je profite de la situation. Pas quand je travaille mais ici oui. Avant de partir je passe chez le coiffeur et me retrouve avec la même coupe de cheveux qu’elle, la même couleur. Du coup souvent les gens se retournent sur mon passage et il m’est arrivé qu’on me demande des autographes.
Je récupère les clés de la villa que je loue depuis quinze ans et prend possession des lieux. C’est un endroit sympa avec piscine et spa. C’est en plein village, mais isolé des voisins par une végétation importante et fort entretenue.
Cette année est un peu particulière car mon petit havre doit servir de halte à mon neveu qui descend en Espagne avec quelques copains. Il m’a demandé s’ils pouvaient faire étape chez moi et j’ai accepté, même si l’idée ne m’enchante pas plus que ça. Mais bon après tout un peu de jeunesse…
Bref, j’ai la journée pour moi avant leur arrivée prévue pour demain. J’en profite pour faire quelques courses puis je vais me prélasser sur la grande plage nudiste, histoire de prendre le soleil et, aussi, de vérifier si mon mimétisme fonctionne toujours. A voir les deux types échanger à voix basse un « Tu crois que c’est elle ?», je me dis que mon coiffeur a eu encore une fois la main heureuse.
En rentrant j’ai un coup de fil. Finalement le neveu passera au retour c’est à dire dans dix jours. Je vais pouvoir m’organiser tranquillement. Je regarde machinalement les prospectus que j’ai récupéré dans la boite aux lettres. Il y a une espèce de gazette locale intitulée «Le Cap libertin ». J’y retrouve pas mal d’adresses connues et je suis sur le point de jeter le canard lorsqu’une annonce attire mon regard.
« Envie de nouveauté? Faites le choix d’un escortdog » J’ai déjà vu un article sur le sujet dans le Canard Enchaîné. C’est une pratique qui se développe malgré l’opposition de la SPA. Intriguée, je téléphone au numéro indiqué. Une voix féminine me répond immédiatement :
Escortdog service, bonjour
Bonjour je souhaiterais avoir quelques précisions au sujet de votre annonce
Bien sûr, que voulez vous savoir ?
Présentez moi un peu vos prestations
Nous avons toutes sortes de compagnons, dressés bien entendu, pour satisfaire vos souhaits les plus intimes. Cela peut être pour quelques heures ou à la journée. Nous avons un caniche si vous souhaitez un animal assez doux, sinon nous pouvons également vous proposer un berger belge qui est un compromis. Enfin si vous aimez désirez quelque chose de plus vif, disons, nous pouvons vous proposer un pitbull.
Ma curiosité initiale fait peu à peu place à un émoi inattendu. Je reste quelques instants sans répondre puis je reprends :
Quels sont vos tarifs ?
Nos prix vont de 150 à 300 uros de l’heure.
Et pour le pitbull ?
Le pitbull est à 300. C’est un animal naturellement sauvage et son dressage demande beaucoup de travail. Ceci explique son coût.
Et pour une nuit ?
Il y a un forfait de 1000 pour cet animal.
Et comment cela se passe t-il ?
Un maître chien vient chez vous déposer le chien et le reprend ensuite à la fin de la prestation. Ceci en journée. Pour la nuit c’est de 18 heures à 9 heures le jour suivant.
Je vous remercie beaucoup pour ces informations. Je vous recontacte. Bonne soirée, au revoir.
A votre service. Au revoir Madame.
Je suis toute émoustillée. Je me rends compte que l’idée me tracasse car je passe la plupart de la soirée à repenser à cette conversation. Je me fais mon cocktail favori : une bouteille de champagne, plus une louche de Cointreau, une de sirop de canne à sucre et une de Pulco citron. C’est délicieux. Après deux ou trois coupes je vais me coucher.
Le matin arrive et avec lui le souvenir de l’appel d’hier. Décidément ça me travaille! Je sors me balader dans le village mais mes pensées me reprennent. Je décide d’aller bronzer à la plage mais rien n’y fait. Des images d’animaux s’entrechoquent dans ma tête. En début d’après midi, je rappelle:
Bonjour, je vous ai téléphoné hier. Je souhaiterais tenter l’expérience avec un de vos compagnons.
Bien sûr, sans problème! Mais sachez que nous ne disposons pour ce jour que du pitbull. Nos autres animaux sont tous pris.
Là, j’hésite. Je connais cet animal, il n’est pas franchement sympathique. J’ai croisé quelques loubards qui en promenaient fièrement. La voix féminine reprend :
Cet animal est très bien dressé. De plus il est particulièrement résistant à l’effort. Ce serait pour quand ?
Ce soir, pour la nuit.
J’ai répondu sans réfléchir. Ma nature intime a repris le dessus sur mon éducation bien policée. Les dés sont jetés. La fille me demande mon adresse, puis mon numéro de carte bancaire pour le règlement. Je lui donne machinalement toutes ces informations. Elle m’indique que le maître chien passera à 18 heures précises. Il ne me reste plus qu’à attendre.
Le temps ne passe pas. Je suis prise tour à tour par des sentiments contradictoires. A l’envie de tout annuler, reliquat de mon éducation succède une émotion inconnue, une excitation sauvage. A 18 heures précises, on sonne. Le gras est là, en treillis. J’ose à peine le regarder, je me sens rougir de honte. Après avoir vérifié mon identité et m’avoir saluée, il fait le tour de son van et revient quelques secondes plus tard avec Fox, un animal roux, ce qui a du lui coûter ce nom, sagement tenu en laisse.
Je fais rentrer l’homme et le chien. Le maître m’explique rapidement qu’il me faut nourrir l’animal vers 19 heures. Il me laisse pour cela une gamelle et deux ou trois boites. Il faut qu’il se familiarise à moi. Je devrai donc le laisser découvrir à sa guise son nouvel espace. Il n’y a pas plus d’indication sauf que l’animal est muni d’un collier électrique dont je reçois la télécommande.
Le type m’explique que, si besoin, une seule décharge le tétanisera pendant plusieurs secondes. Enfin il termine en m’indiquant que Fox réagit immédiatement à toute stimulation sur son bas ventre et, en souriant, précise qu’il adore la confiture. Puis il prend congé en me tendant la laisse.
Je le remercie machinalement et reste seule avec le molosse. Ne sachant trop que faire je le promène dans le jardin. Il suit docilement. Je m’enhardis et décide de le détacher non sans vérifier que je dispose de la télécommande. Elle est reliée à un ruban que je décide de passer autour de mon coup.
Le fauve découvre son nouveau territoire avec nonchalance. Je le laisse évoluer et décide de finir mon cocktail. Allongée sur un transat, j’observe mon nouveau compagnon. Il est jeune, trois ans, a dit le maître. Il est un peu plus grand que ce que j’imaginais. Je me surprend à observer son arrière train. Deux boules bien saillantes ballottent entre ses pattes au gré de sa promenade.
Je termine mon verre et lui prépare sa pâtée. Il me voit faire et s’approche rapidement. Une fois que je lui donne l’autorisation il se jette sur le plat et avale le tout en quelques secondes.
La nuit est tombée. Fox est sagement assis devant la piscine. Je repense soudain à l’allusion de l’homme et je me mets à la recherche d’un pot de confiture dans la cuisine. Je tombe sur une grosse dose de Nutella et décide voir ce que cela donne. Je sors dans le jardin et ouvre le pot. Je trempe mon doigt dans le chocolat liquide et appelle Fox. Il vient immédiatement et suce mon index avec avidité. Visiblement cela lui plaît.
Il est temps de rentabiliser mon investissement ! Je me dénude et m’allonge sur un transat. Je m’enduis les seins de crème chocolatée et laisse faire. Le chien a observé tout mon manège et sur un simple geste il déboule. Sa langue râpeuse lèche ma poitrine sans ménagement. La pâte est grasse. Il lui faut pas mal d’efforts pour l’engloutir. Je commence à sentir une forte chaleur dans mon entrecuisse. Je passe machinalement ma main sur mon sexe pour me rendre compte à quel point je mouille. Toute inhibition est envolée.
Je remets du chocolat sur mes tétons. Fox redouble d’ardeur. Mes mamelons sont complètement rigide. On sent que l’animal a été fortement conditionné, sa langue est fort longue et solide, mais ses lapements ne sont jamais violents. Je me retiens pour ne pas jouir.
Je décide maintenant d’enduire mon entrejambe. Comme c’est un peu compliqué sur le sofa, je me mets à quatre pattes afin que Fox accède plus facilement à mon intimité. Le chien salive abondamment. Je suis trempée par mon propre foutre également. J’écarte les cuisses et je sens sa langue s’insinuer dans ma chatte. Je me mets à trembler puis l’orgasme me saisit. Je me retiens de crier à cause des voisins et mord mon avant bras en gémissant.
Pendant plusieurs minutes je suis agitée de soubresauts au gré des caresses buccales frénétiques de l’animal. Je décide de prendre un peu de repos car je suis fourbue. Je mange quelque peu, bois un verre ou deux. Je passe sous la douche. J’enfile un peignoir, mon envie n’est pas assouvie. Je me sens toujours excitée.
Je fais rentrer Fox dans le salon. Je baisse les rideaux électriques pour être tranquille et je mets ma playlist en route. Ainsi le bruit couvrira éventuellement celui de mes ébats. J’installe tous les coussins du sofa sur le sol. Le chien m’observe de manière curieuse. Je passe le cordon de la télécommande autour de mon coup. Je suis prête.
J’enduis légèrement ma chatte de Nutella et allongée sur le dos, jambes relevées, je me laisse lécher jusqu’à ce que je sente mon vagin trempé à nouveau. Je me redresse et saisit le sexe de l’animal avec ma dextre. Je tire la peau vers l’arrière et un gland pointu et rose apparaît. Je continue mon manège et me rend compte que la bête est fortement équipée. Une grosseur se forme à la base du gland et l’animal s’agite vivement.
Je me replace dans la position de chienne qui lui convient si bien. Pas plutôt installée, Fox entre prend de me sauter Il passe ses pattes avants sur mes hanches et cherche l’entrée de ma vulve en donnant des coups de boutoir contre mon arrière train. J’écarte les cuisses pour lui faciliter le passage.
Au bout de quelques secondes son dard a trouvé ce qu’il cherchait et le gland s’enfonce sans ménagement dans ma vulve. Fox s’active vaillamment. Sa bite est fort longue. Il insère tout son attirail. La grosseur que j’avais mesurée de mes doigts gonfle encore pour obstruer mon vagin. Elles est complètement dilatée et nous sommes ainsi rivés l’un à l’autre. A ce moment là le chien s’immobilise pratique ment laissant son dard agir. Je jouis en gueulant comme une salope.
L’animal s’est retourné et nous sommes maintenant cul contre cul. Je donne des coups de reins pour profiter de son sexe volumineux. C’est bien plus imposant que ce que j’ai pu humainement connaître. Je dégouline sous la verge canine qui me lubrifie abondamment. J’ai orgasme sur orgasme pendant plus de dix minutes. Puis le chien éjacule en moi, libérant une quantité de foutre insoupçonnée.
Quand sa bite est suffisamment molle pour me libérer de cette étreinte je recule et l’animal sort d’un coup de mes reins. Il lèche mon cul pour récupérer tout le liquide qui s’en échappe. Je file à la douche pour me remettre de mes émotions. Jamais je n’ai connu orgasmes aussi frénétiques et aussi répétés.
Je suis épuisée et n’ai plus l’esprit à quoi que ce soit. Je me jette sur mon lit. Fox m’a suivi et monte sur le matelas. Je suis trop fatiguée pour le chasser et m’endors immédiatement.
Vers deux ou trois heures du matin le chien à un soubresaut qui me réveille. Il me faut quelques secondes pour réaliser la situation. Il est collé à moi et profite d’un sommeil vaillamment acquis. Machinalement je le caresse. De manière curieuse il se retourne sur le dos et me présente son ventre. Ce machin est insatiable. Je lui caresse l’abdomen puis retrouve l’accès velu à son gland.
Délicatement, entre mon pouce et mon index j’extrais la pointe du dard et me décide à y goutter. Je commence à lécher l’engin qui grossis rapidement. C’est assez salé mais pas désagréable du tout. La texture est souple et douce. Fox ne bronche pas. J’ouvre légèrement ma bouche et laisse mes lèvres l’ effleurer. Le dard s’allonge immédiatement. Je le suce avec volupté. Des gouttes liquide séminal s’écoulent une à une. Elles sont très salées. Je sens sous mes doigts la nodosité reprendre vie.
Je me masturbe tout en léchant le sexe et les bourses de l’animal. Il bande à fond et je suis terriblement mouillée. J’enduis mon cul de mon foutre et me pénètre d’un doigt puis de deux quand l’élasticité de mon anus le permet.
Je me repositionne en levrette et Fox me monte immédiatement dessus. Il cherche ma chatte mais ce n’est pas ce qui m’intéresse. Je le guide ma main vers mon anus. Le chien envoie des giclées de liquide séminal fort propices. Je pousse sur mon anus pour l’aider et finalement ma manuvre réussit. La bite s’ »engloutit d’un bloc dans mon orifice étroit. Je n’ai pas attendu qu’il soit en totale érection sinon cela n’aurait pu se faire.
Le braquemart de l’animal est maintenant complètement érigé. Il dilate fortement mon ventre. Les va et viens me procurent une excitation indicible. Tout à coup j’ai une idée; je saisis la télécommande et appuie sur le bouton. Fox gémit et se tétanise. J’ai l’impression que sa bite augmente encore. Je jouis comme une salope à nouveau.
La décharge électrique a déconcentré le chien et son érection diminue rapidement.
Je suis libérée de son étreinte et le reprend dans ma bouche. Au bout de quelques secondes il bande à nouveau. Je le branle et le suce avec violence. L’animal tressaute et son liquide gras se répand dans ma gorge. C’est fou ce qu’il peut libérer comme sperme. Quand il est au paroxysme je remets un coup de télécommande et engloutit sa bite jusqu’au plus profond. Je le laisse ainsi jouir à souhait. Son sperme est délicat. C’est un goût que j’aime bien assez différent de celui des hommes que j’ai pu sucer.
Après cette ultime gâterie je l’envoie dans le jardin afin de profiter pleinement d’un repos mérité. C’est le retour du maître chien qui me réveille. Il vient récupérer son toutou comme convenu. Je lui offre un café et nous devisons gentiment sur son métier. Il finit par me dire que d’après ses clientes, c’est un dogue allemand, Sultan, qui tient la corde en terme de performances. Je note la référence dans un coin de mon cerveau et nous nous séparons sans autre forme de procès. Fox vient se frotter à moi et je lui donne une dernière caresse reconnaissante avant de le voir disparaître dans le van. Une belle journée s’annonce et je compte bien en profiter.