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Pari fou entre amis – Chapitre 4




Mickaël s’échappe avec regret de l’appartement de son meilleur ami, il monte dans sa jolie berline de marque allemande et prend la route en se dirigeant vers le travail.

Une fois arrivé au bureau, il dit bonjour à Catherine, et se dirige vers son bureau. Catherine est sa secrétaire, et ce, depuis un long moment, c’est une femme d’âge mûr ayant une très grande classe. Cette dernière est toujours bien coiffée et maquillée et est toujours vêtue de jupes mettant parfaitement sa cambrure en valeur, et de talons aiguilles, lui faisant de longues et fines jambes. Elle est toujours habillée avec classe tout en étant sexy, mais n’est jamais vulgaire. Les hommes la trouvaient très plaisante, mais elle était mariée à un mari qu’elle aime.

Cinq minutes après l’arrivée de Mickaël, Catherine, qui est en pleine réflexion, se dit qu’il a été très froid en arrivant, elle trouve cela étrange, et décide donc d’aller le voir afin de lui demander si quelque chose ne va pas. Elle se lève et prend la direction du bureau de son patron. Après avoir longé le couloir la menant à son patron, elle toque à la porte et attend la permission de pouvoir entrer.

Oui, entrez, dit Mickaël, suffisamment fort pour être entendu, tout en ne lâchant pas du regard l’écran de son ordinateur.

10 secondes plus tard, il se décide enfin à lever les yeux afin de voir qui se trouve dans l’embrasure de la porte. Il s’agit de Catherine, que Mickaël trouve particulièrement jolie aujourd’hui :

oh ! Cest vous, s’exclame-t-il, un problème Catherine ?

Euh oui, enfin non, j’ai seulement eu la sensation que quelque chose n’allait pas lorsque vous êtes arrivé.

Ah bon ? sétonne-t-il.

Il m’a semblé que vous avez été moins loquace qu’à votre habitude, mais j’ai pu me tromper. Je voulais simplement m’assurer que vous alliez bien et éventuellement, savoir si j’ai fait quelque chose de mal.

Désolé, si j’ai pu vous paraître froid, je connais seulement une période un peu compliquée, mais c’est juste une passade, il n’y a rien de grave, ne vous en faites pas, et vous n’y êtes pour rien du tout, votre travail me convient toujours autant.

Peut-être auriez-vous besoin que je vous aide à vous détendre un peu ? Il serait dommageable que vous ne soyez pas efficace aujourd’hui et que vous preniez du retard dans vos tâches…

Mickaël comprend tout de suite quel genre de proposition Catherine est en train de lui faire, et cela lui plaît déjà beaucoup.

En effet, lorsqu’il lui avait fait passer son entretien d’embauche, il lui avait dit de manière très franche à la fin qu’il ne pensait pas retenir sa candidature, il ne la croyait pas assez expérimentée dans le domaine, et il n’était pas certain qu’elle serait efficace pour le poste. Elle l’avait alors imploré de lui laisser une chance, il lui avait demandé pourquoi il ferait ça. Il y avait eu un blanc, puis Catherine avait pris son courage à deux mains et s’était lancée. Au lieu de répondre avec des mots, elle s’était levée, s’était avancée vers lui. Il avait donc commencé à se lever à son tour, ne comprenant pas ce qui était en train de se dérouler, la raison qui la poussait à s’approcher de lui, mais une fois arrivée à sa hauteur, elle l’avait repoussé sur son siège en cuir et s’était agenouillée, le tout, en le regardant droit dans les yeux, l’air déterminé. Elle avait entrepris de le déshabiller, et lui avait prodigué une fellation.

C’était différent de ce qu’il avait toujours connu, et ce, dans le bon sens du terme, il devait reconnaître qu’il avait énormément apprécié l’expérience de Catherine, et qu’il n’avait pu que reconnaître que les femmes mûres étaient beaucoup plus excitantes que ce qu’il ne le pensait avant ce moment. Après ça, il lui avait donc donné son accord pour une période d’essai, ne pouvant que reconnaître la motivation et le dévouement de cette femme. Pendant cette période d’essai, elle avait été très performante, il l’avait donc gardée dans l’entreprise.

Depuis, lorsqu’elle sentait que Mickaël était triste, fatigué, énervé ou stressé, elle proposait toujours ses services afin de le détendre, le faire penser à autre chose. Il devait reconnaître que c’était toujours très efficace. Catherine était une femme mariée, c’est pourquoi Mickaël n’avait jamais essayé d’aller plus loin avec elle, il profitait seulement de ce qu’elle avait à lui offrir, c’est-à-dire cette bouche et cette langue qui étaient si agréables. En outre, c’est elle qui était revenue vers lui, après sa période d’essai pour avoir ce genre de pratique, il n’avait jamais voulu profiter de sa supériorité hiérarchique, de son statut pour avoir ses faveurs, tout cela était toujours venu d’elle. En effet, elle considérait qu’elle avait été embauchée grâce à cette bouche, et que cela faisait partie du contrat implicite qui s’était formé entre eux ce jour-là, de permettre à son patron de profiter d’une petite gâterie de temps à autre.

C’est donc ce qui s’apprête à se passer à cet instant, Catherine invite son patron à se lever tandis qu’elle se baisse pour être à genoux face à lui, à hauteur du membre qu’elle va bientôt fourrer dans sa bouche. Catherine commence doucement, elle lèche le bout de son sexe, puis le lèche sur toute sa longueur, comme si elle était en train de lécher une glace. Présentement, elle veut le faire languir, elle sait qu’il a terriblement envie qu’elle prenne son sexe dans la bouche, mais elle préfère le faire patienter un peu, cela n’en sera que meilleur pour lui quand la délivrance arrivera enfin.

Après quelques coups de langue, Mickaël se sert de sa main pour appuyer légèrement sur la tête de Catherine afin que celle-ci comprenne à quel point il a envie qu’elle le prenne enfin en bouche. Elle décide de se lancer et de commencer les allers-retours avec sa bouche, en même temps, elle branle ce sexe qu’elle trouve si beau, aidée de sa main. C’est trop bon pour Mickaël qui savoure en fermant les yeux.

Elle décide de ne continuer que de la main, et d’utiliser sa bouche pour s’occuper de ses testicules cette fois. Pour Mickaël, tout cela est agréable, vraiment trop agréable. Catherine reprend ensuite son sexe en bouche, et entame un merveilleux traitement : des gorges profondes. C’est une pratique qu’elle maîtrise à la perfection, et ce, grâce à toutes ses années d’entraînement sur différents hommes puis sur son mari, qui était très chanceux de l’avoir au lit. Il ne faut alors pas très longtemps à Mickaël pour venir dans sa bouche, cela ne dérange pas du tout sa secrétaire qui avale avec un air gourmand, se remet debout, lui fait un sourire, et sort de la pièce afin de regagner son bureau à l’accueil pour enfin, se mettre au travail, s’occuper des clients, des mails et répondre au téléphone.

Mickaël se rassoit sur son siège, face à son ordinateur, il y a un air satisfait qui se dessine sur son visage, la journée commence finalement mieux que ce qu’il n’aurait pu imaginer. Il peut alors se pencher sur les tâches qu’il doit effectuer sereinement. La journée s’annonce bien, et il pense déjà au soir même et à sa future entrevue avec Mélanie, à ses seins, ses fesses, sa langue… Il a hâte, très hâte…

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