Au bout de trois semaines de cours, il y avait une réunion parents professeurs.

C’est mon père qui vint y assister. Je l’entendais discuter avec mes enseignants, ils faisaient comme si je n’étais pas là.

" – Votre fille a vraiment de grandes capacités, mais elle est parfois trop dissipée. Par ailleurs, elle a des difficultés dans certaines matières, et il serait bon pour elle de suivre des cours de soutien. Si vous êtes d’accord, nous pouvons lui organiser ceux-ci, nous avons d’excellents enseignants.

— Soit, répondit mon père, s’il le faut.

Sur ces mots, l’entretien s’acheva. Mon père prit congé et quitta l’établissement.

Mon enseignant principal, Roger, me remit ma laisse, tira d’un coup sec dessus et m’entraîna à lextérieur.

— Très bien, petite pute ! Ton père nous a donné l’autorisation de te traiter de la meilleure des manières. Alors, à partir de maintenant, fini de jouer, nous avons été trop laxiste durant ces premières semaines. Les petites putes dans ton genre méritent un traitement particulier. Dès aujourd’hui, ma petite salope, il n’est plus question que tu dormes au dortoir avec les autres. Nous t’avons préparé un coin qui te correspondra mieux, dans la chambre des responsables.

Il m’amena dans une bâtisse qui se trouvait à l’écart. " Lève les bras connasse ! Et écarte les jambes ! " Il plongea sa mains dans ma chatte trempée d’excitation. " hummmm ! Tu aimes ce traitement ma petite chienne. Tu vas voir ce qu’on va lui faire à ton petit minou, il va adorer." Il saisit mes tétons qui étaient à l’air libre, les ligota, ensuite, il tira sur la ficelle pour me faire avancer. On traversa un couloir. Il y avait des trous tout le long du mur. Il s’arrêta justement en face de l’un d’eux et une queue apparue. Je la saisis et me mis à la sucer. Les mouvement de bassin de mon acolyte se faisaient de plus en plus ample, et en cinq minutes il déversa une grande quantité de foutre dans le fond de ma gorge. Roger me regarda, il me dit de ne surtout pas avaler, puis, on continua d’avancer. On arriva bientôt en face des wc. "Nous allons te rincer la bouche", il me poussa à l’intérieur du réduit, me pris le visage, me boucha le nez pour m’obliger à ouvrir la bouche, puis, il commença à me pisser dessus. La pisse se mélangeait au sperme. Loin d’être dégoûtée, je pris plaisir à avaler ce mélange. Si bien que je me mis à jouir.

Un grande gifle vint s’abattre sur mon visage

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