Au bout d’un bois il y avait une maison, il était environ 23 heures et nous étions tout excités de nous rencontrer pour la première fois. Nous avions longtemps parlé, longtemps écrit mais c’était la première fois que nous nous voyons en chair et en os. Mon amoureux était attentionné, délicat, drôle, et pétillant de positivité. J’aimais lui prendre la main, sentir le grain de sa peau dans ma paume, observer ses yeux bleus qui changeaient de couleur avec la lumière. J’aimais sa mâchoire qui bougeait quand il mange un je ne sais quoi. J’aimais ses épaules qui étaient musclées.
Au premier instant de notre aventure dans cette maison perdue au milieu des bois, j’avais une excitation telle que j’étais presque en transe. J’avais mis un string orange corail et j’avais envie qu’il lui plaise, que mon corps lui plaise, qu’il ait envie de me goûter, de se délecter de moi.
Nous jouâmes après être rentrés dans la maison au chat et à la souris. J’essayais de l’embrasser et il esquivait. Nous dansions sur la musique et j’étais impressionnée par ses mouvements de bassin, il savait vraiment bouger et son cul était magnifique. Il se frottait à moi tout en mouvement je commençais à ressentir au plus clair de moi l’envie de le sentir en moi, mon vagin se mouillait et les mouvements sur mon clitoris m’excitait de plus en plus.
Nous nous sommes assis pour profiter du feu, car dehors il faisait froid, nous étions en hiver et j’étais peu vêtue. Un pull en maille quasi transparent qui découpait mes hanches et lui donnait un avant-goût de mon corps nu. Je l’embrassai en le saisissant par les deux mains et la folie commençait. Il posa ses mains sur mon dos tout en introduisant sa langue au fond de ma bouche, puis descendit jusqu’à mes fesses pour sentir la puissance de mon entrejambe. Mon string ressortait de mon jean et j’aimais qu’il le touche, je sentais de mon côté sa queue grossir. Je ne l’avais jamais vu au fil de nos conversations. Nous navions jamais osé montrer nos corps nus par timidité.
Je pris les choses en main et ouvrit sa braguette. Depuis le temps que j’en rêvais je voulais enfin sentir sa queue dans mes mains. Mon ex avait une toute petite queue et cela m’avait frustré de nombreuses années. Quelle surprise lorsqu’il se releva pour me porter par les deux jambes de ses bras musclés et m’allonger sur le lit déplié dans le salon devant le feu de bois. Il descendit son pantalon, je voyais une grosse bosse dans son caleçon qui moulait une belle verge avec un gros gland à son extrémité. Il s’approcha de moi sur le lit, j’étais allongée. Il me déshabilla. D’abord mon pantalon qu’il tira, puis mon pull. Il baissa mon string et commença à me lécher la chatte. Première fois que quelqu’un me faisait un cunnilingus et je ne l’oublierai jamais. C’était bon, c’était doux. Je sentais sa langue se baladant de gauche à droite, de bas en haut, de droite à gauche une nouvelle fois et sa langue qui rentrait peu à peu dans mon vagin. Je lui tenais les cheveux tout en écoutant crépiter le feu à côté de nous. En me redressant la tête tant bien que mal je pouvais observer sa grosse queue toute bandante. Elle était énorme et je me demandais comment une aussi grosse bite allait pouvoir entrer en moi sans me faire mal.
Je le pris par les bras pour le monter jusqu’à moi, l’agenouiller sur mon ventre et lécher sa queue à mon niveau. Je suçais son gland, gobais sa queue, mouillais toute sa verge et je me remplissais jusqu’à la gorge de cette puissance du mâle. Il me caressait le visage et j’étais légèrement soumise à lui. Ça me plaisait de sentir son corps sur moi et son sexe dans ma bouche. Je gémissais en le suçant et il adorait ça. Il râlait de plaisir et il me regardait dans les yeux. J’étais aux anges.
Après l’avoir sucé pendant plusieurs bonnes minutes, il s’échappa pour attraper un préservatif et l’enfila en me regardant. On ne pouvait plus attendre. Il fallait qu’on se sente l’un et l’autre, que l’osmose soit réelle, que nos corps entrent en fusion. Il approcha son énorme queue bandante qui me paraissait géante et fit toucher son gland sur mon sexe. Je jubilais déjà de plaisir. Je me tordais d’envie de le recevoir en moi. Au fur et à mesure lentement il me pénétra, enfonçant ses 20 centimètres peut-être même plus de chair nervurée au fond de moi. Je découvrais enfin la vraie queue d’un homme me faisant l’amour. C’était beau c’était bon c’était sensuel mais je voulais maintenant qu’il me baise. Je le griffais dans le dos, je l’attrapais par l’arrière de ses cheveux je ne me contrôlais plus. Je lui criais alors « baise-moi vas-y baise moi s’il te plaît ! ».
Je sentis sa queue grossir encore plus à ces mots. Un coup de cravache pour mon bel étalon qui allait donner des grands coups de bite au fond de moi. Il me changea de position pour me retourner de ses gros bras et me voilà à quatre pattes en levrette. Il me mit sa queue encore et encore et je sentais qu’elle allait encore plus profondément que la position précédente. J’eus l’impression d’être pourfendue et qu’elle allait ressortir par ma bouche tellement elle était longue et grosse. Je l’entendais qui prenait son pied alors que je criais comme une petite cochonne. Je lui demandais de me baiser plus fort et j’entendais maintenant des fessées me claquant le derrière. Il cramponnait mes hanches comme pour mieux donner en profondeur ses coups de reins. Je n’arrivais plus à contrôler quoi que ce soit et ma tête explosait. J’avais déjà eu une dizaine d’orgasmes et ça ne s’arrêtait plus. Il me pilonnait avec une sévérité douce et incroyable. Jamais on ne m’avait aussi bien prise. La tension montait et je sentais que sa queue grossissait, son gland gonflait et mon vagin se contractait autour de lui. Je jouissais et j’entendais mon amour se vider. Je ne sentais pas son sperme hélas mais je sentais la chaleur à travers le préservatif. Il me reposa sur le lit, jeta le préservatif dans le feu et s’allongea à côté de moi. C’était un instant merveilleux j’exaltais de jouissance.
Peu après il se remit à me faire l’amour dans toutes les positions et toute la nuit nous baisions sept fois. Une vraie nuit torride pour notre première rencontre ! Je ne l’oublierai jamais !
