Je prenais les bières dans le frigo quand Hector est entré dans la cuisine.
Quel cul, je bande trop ! dit-il en baissant son pantalon.
Je me suis retourné et j’ai vu qu’il levait ses pieds pour dégager son pantalon. Il ôtait aussi rapidement son caleçon et il avait maintenant son braquemart tendu vers moi.
J’avais les deux bouteilles de bière dans les mains, il me les prit et les jeta dans l’évier. Heureusement, elles ne se brisèrent pas.
Il me prit ensuite les épaules, et me tourna de telle manière à ce que je fus face à la table de cuisine; ses mains me forcèrent à me plier pour avoir le torse posé sur la table. Il s’approcha, et sans aucune préparation, planta son épée dans mon petit fourreau. La sodomie fut brutale et rapide, la douleur était intense et ce fut un réel soulagement de sentir son sperme noyer mon anus.
Il s’écarta ensuite, me força à m’agenouiller; et il m’introduit sans même me dire quoi que ce soit son sexe dans ma bouche.
Marc entra à ce moment-là dans la cuisine et voyant que mon regard l’implorait d’intervenir en ma faveur, il se tourna vers Hector.
Eh bien, mon salaud, t’as été rapide !
Ouais, je n’ai pas pu me retenir, et maintenant, j’ai la queue pleine de sperme.
Marc se tourna vers moi et m’offrit un petit sourire qui me rassura à tort.
Nettoie-le vite, et va reprendre une douche ! me dit-il avant de faire demi-tour pour retourner vers le salon. Je pensais qu’il prendrait ma défense, qu’il lui dirait d’arrêter; mais non, il le disait simplement de continuer.
Hector, ne tarde pas, les bières vont réchauffer…Tu lui diras de nous les amener avant de prendre sa douche.
T’as entendu ! Alors, exécute ! m’ordonna le vieil homme.
Que pouvais-je faire d’autre que leur obéir ?
Hector partit rejoindre son ami, je prenais les bouteilles qui étaient dans l’évier, j’envisageais de les apporter dans le salon…Finalement, je me suis dirigée vers le réfrigérateur, j’ai déposé les deux bières et pris deux autres bouteilles secouées comme elles l’ont été, la pression aurait fait jaillir le liquide dès l’ouverture et cela aurait été un excellent prétexte pour qu’ils me punissent.
Marc pouvait le faire autant qu’il veut, cela ne me gênait pas trop…Je dirais même que cela n’était pas vraiment pour me déplaire…Mais l’autre, ce vieux gros qui venait de me sodomiser sans ménagement…Non merci…Je n’avais aucune confiance en lui !
En sortant de la cabine de douche, je me suis retrouvée nez à nez avec Hector. Je ne l’avais pas vu entré dans la salle de bain et j’ai fait un bond en arrière.
N’aie pas peur; je ne vais pas te manger…
Il éclata de rire…
Enfin, si t’es sage et aussi docile que ta petite lopette, je te boufferais peut-être la chatte.
Comme je ne répondais rien, il continua en s’approchant de moi.
Tu veux voir comment je l’aime bien ta petite lopette ?
Mon silence l’énerva.
Tu vas répondre bordel de merde…Alors, tu veux voir comment je l’ai défoncée ta petite lopette…Hein ? Tu veux ?…Quand on est poli, on répond au Monsieur…On lui dit : « oui, merci »…Merde alors.
Ne sachant trop ce que je devais faire, je me suis entendue lui répondre.
Euh…Oui Monsieur.
Voilà qui est mieux, tu vois quand tu veux, tu peux être une gentille petite salope.
Il prit ma main et me tira littéralement hors de la salle de bain.
Il me conduit jusqu’à la chambre sans jamais lâcher ma main, il s’est ensuite assis sur le lit et m’a attirée vers lui pour que je m’assoie sur ses genoux.
Là, il me montra son téléphone portable…Plus, par réflexe que pour vraiment voir, j’ai regardé.
Un homme nu présentait son cul, l’anus formait un trou béant. Je regardais la photo sans comprendre trop pourquoi il me l’a montrée quand, soudain, j’ai compris. L’homme, c’était Loïc.
Et j’peux te dire qu’il adore ça ! indiqua-t-il quand il vit que je l’avais reconnu.
Il me bascula ensuite sur le lit sans aucun ménagement, il vint s’écraser sur moi, ses lèvres se collèrent aux miennes, et sa langue força le passage pour venir taquiner la mienne.
Rapidement, il fut en moi…Et il ne lui a fallu que quelques va-et-vient pour se décharger en moi.
Il s’est ensuite effondré sur le côté.
Qu’est-ce qu’elle est bonne ! cria-t-il pour que Marc l’entende.
J’te l’avais bien dit…J’arrive, répondit Marc en se dirigeant vers la chambre.
Déjà terminé ?
Non, non…J’lui ai donné la première salve, là, j’laisse un peu refroidir.
T’as encore de munition ?
Ouais, t’inquiète…
T’es certain ?
J’ai jamais été scout, mais j’ai la même devise : « Toujours prêt !»
Ouais, enfin, ta bite, elle n’a pas l’air de même avis…
Ouais, ce n’est pas parce que j’ai arrêté de fumer qu’une petite pipe ne me ferait pas beaucoup de bien.
Vous avez attendu Mademoiselle ? me dit Marc en me montant le sexe mou d’Hector.
Mes yeux l’imploraient, lui suppliaient de ne pas me laisser seul avec ce « gros porc ». Il me fit un petit sourire et un clin d’il.
Hector, je te la confie; prends soin d’elle.
Il s’approcha de moi, posa un baiser sur mon front.
Je dois partir pour une heure ou deux, mais tu es en de bonnes mains…Sois gentille avec lui, tu verras, sous ses airs bourrus, c’est un mec bien…
J’allais lui répondre, mais il posa son doigt sur mes lèvres pour m’indiquer de ne rien dire.
En mon absence, tu lui appartiens, tu dois lui obéir, accepter et faire tout ce qu’il te demande.
Il s’est ensuite penché vers Hector et ils se sont roulés une pelle au-dessus de moi.
Le seul baiser de Marc suffit à redonner un peu de vigueur au sexe d’Hector…