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Un stage un peu spécial… – Chapitre 2




Lundi matin, 8h. Au volant de ma voiture, je roule distraitement vers mon lieu de stage. Je repense à ce qui cest passer la semaine dernière avec mon responsable, Monsieur Gratin. Jappréhende un peu de le revoir. En effet, jai passé le restant de la semaine à travailler avec le patron et je nai donc pas pu tenter quelque chose ni même discuter avec lui.

Je me gare tranquillement sur le parking. Sa voiture est là. Mon stress monte dun cran. Jentre, je dis bonjour à mes collègues. Jouvre la porte de notre bureau : il est là. Il me lance un regard sans rien dire. Il est au téléphone, sûrement avec un client. Cest dingue ! Il est 8h du mat, je suis à peine réveillé et pourtant un seul regard de sa part me fait de leffet. Je baisse les yeux, et vais prendre place rapidement, de peur quil devine mes pensées. La journée passe, sans que je trouve loccasion de le brancher. Vers 17h ma tête est sur le point dexploser. Aucune solution ne me semble pouvoir fonctionner et je commence vraiment à me dire quil serait temps de lâcher laffaire. Pourtant, rien quen regardant cet homme à quelques mètres de moi je sens mon entre jambe frémir et shumidifier. Bon sang mais comment est-ce possible quil me fasse autant deffet sans rien faire ! Les heures ségrènent et les salariés sen vont un à un. Le patron est en déplacement et, comme la semaine dernière, nous nous retrouvons bientôt seuls, Monsieur Gratin et moi, au sein des locaux.

Alors que je raccroche, après avoir passé plus de deux heures au téléphone avec un client je remarque quil est vraiment tard.

-« Bon et bien je ne vais pas tarder » Dis-je en espérant une réaction.

Il ne bronche pas. Je me racle la gorge et répète un peu plus fort :

-« Il est tard, je ne vais pas tarder à rentrer. »

-« Tu as bien travaillée aujourdhui je ne te retiens pas. Bonne soirée jeune fille, à demain. »

Je me lève pour dabord passer aux toilettes. Je fulmine littéralement. Jamais, oh grand jamais un homme na résisté à mes avances. Tant pis pour lui il a eu sa chance. Je vais terminer mon stage et je nentendrais plus parler de lui. Et pourtant stop !stop ! Arrêtes de timaginer entrain de baiser avec lui. Ca ne sert strictement à rien. Il ta suffisamment humilié et montrer que tu ne lintéressais pas

Je lâche un soupir. Je pourrais me trouver une proie tellement plus jeune, un mec beaucoup plus beau. Mais se serait (presque) trop facile Je fais le vide dans ma tête. Arrêtes de tapitoyer sur ton propre sort Maud, vas chercher tes affaires et rentres. La nuit porte conseil, demain sera un autre jour.

Je sors donc des toilettes, retourne rapidement à mon bureau, jenfile mon manteau, prend mon sac. Monsieur Gratin est de nouveau au téléphone. Je pars donc sans lui dire en revoir.

Arrivée devant ma voiture jouvre mon sac pour prendre mes clés. Etrange Je commence à paniquer. Ces dernières ne sont nulle part. Je fouille mon sac de plus en plus alarmée. Je finis par le retourner et le secoue frénétiquement à lenvers. Je tâte mes poches mais rien ! Quelle poisse Dautant que toutes mes clés sont sur ce trousseau, y compris celles de ma voiture et de mon appartement.

« Pas de panique tu as du les oublier sur ton bureau.. »

Je fais donc le chemin en sens inverse. Monsieur Gratin est toujours au téléphone et ne mentend même pas entré.

Je jette un coup dil sur mon bureau : rien La panique monte dun cran. Sans mes clés je ne peux rien faire. Mes parents vivent à 8h de route dici et, comme nous sommes en vacances scolaires, la plupart de mes camarades de classe sont rentrés dans leur famille. Je soulève les feuilles, me penche sous le bureau. Je fouille de nouveau mon sac et mon manteau. Rien de rien et de rien. Merde !

-« Très bien Monsieur Vandermortel. Je vous envois le devis demain matin. Bonne soirée. »

Mon maître de stage se retourne et me regarde fixement :

-« Je croyais que tu étais partis. Quest ce que tu fais là ? »

-« Jemes clés Jai perdu mes clés. Jai les clés de mon appart de ma voiture tout, tout est sur ce trousseau »

-« Tu as regardé partout ? Dans la salle de réunion ? Dans la salle de pause ? »

-« Non je vais jeter un il. »

-« Je vais taider. De toute façon je ne devais pas tarder à y aller. »

Nous retournons lentreprise pendant plus dune heure. Mais pas de trace de mon trousseau de clés

Monsieur Gratin sapproche de moi :

-« Si tu veux je peux te ramener jusquà chez toi. »

-« Cest gentil à vous de proposer. Le problème cest que mes clés dappart sont aussi sur le trousseau Je crois que je vais devoir rester ici cette nuit »

Lidée de passer une nuit sur une chaise de bureau dans une entreprise déserte ne menchante pas mais je ne vois pourtant pas dautres solutions. Jai totalement oublié mes pensées lubriques vis-à-vis de mon maître de stage.

-« Ah oui cest embêtant effectivement Tu nas personne que tu pourrais appeler et qui pourrait taccueillir pour la nuit ? »

Soudain une idée illumine mes pensées. Même si la panique davoir perdu mes clés embrume toujours mon esprit, mon instinct de chasseuse reprend le dessus.

-« Non je ne suis pas dici et les gens que je connais sont rentrés dans leurs familles pour les vacances. Je pensais Ca me gêne de vous demander ça mais »

-« Tu penses que je pourrais taccueillir ? Ce nest pas très professionnel mais bon je ne vois pas dautres solutions en effet Vas prendre tes affaires je vais démarrer la voiture. »

Langoisse causée par la perte de mes clés à totalement disparu. Jai enfin trouvé la solution pour lalpaguer. Ce soir il va me baiser. Mon sexe devient coulant rien quà cette pensée.

Je tente de garder lattitude qui sciée à quelquun qui vient de perdre un objet important mais rien ny fait un sourire triomphant reste plaqué sur mes lèvres. Le trajet en voiture se fait dans le silence. Nous arrivons devant son immeuble. Nous montons au deuxième étage et pénétrons dans un joli petit duplex.

-« Tu veux manger quelque chose ? On peut commander des pizzas si tu le souhaites. »

-« Bonne idée. »

Nous discutons boulot en attendant notre repas puis en le dégustant. Rien ne laisse croire que je lai sucé comme une vraie petite cochonne sous son bureau il y a à peine une semaine. Une fois le repas terminé et la vaisselle faite, nous décidons daller nous coucher.

-« Je tiens à te prévenir je nai pas de canapé mais seulement un lit à létage »

-« Ca ne me dérange pas. Cest déjà très gentil à vous de maccueillir. »

Un sourire énigmatique illumine son visage. Apparemment nous songeons à la même chose

Il me donne un tee-shirt pour dormir. Je descends à la salle de bain pour me changer. Il va passer à la casserole Je vais me le faire Lorsque je remonte je mattends à le trouver éveillé. Monsieur devait être très fatigué car il est déjà sous la couette et sa respiration lente me laisse présumer quil sest endormi. Quel rapide. Très déçu je mallonge donc dans le lit. Comment my prendre ? Il est là à côté de moi endormi totalement à ma merci Je soulève un peu la couette Mon dieu il est torse nu ! Quelques poils bruns parsèment sa poitrine et le bas de son ventre. Un jogging gris couvre le bas de son corps, même si il descend quelque peu sur ses hanches et me permet dapercevoir le début de sa toison.

Je me glisse furtivement sous la couette. Jeffleure son torse que jai si souvent rêvé de toucher. Jhume son parfum musqué et tellement enivrant. Ma main ségare vers le bas de son ventre jusquà effleurer lélastique de son pantalon. Je regarde son visage, il dort toujours. Ni une, ni deux je glisse mes doigts sous lélastique et découvre avec oh surprise quil ne porte pas de caleçon. Jattrape sa queue. Je commence un lent mouvement de vas et viens pour redonner un peu de vigueur à son sexe ramolli. Jamplifie mes mouvements en serrant un peu plus son engin. Monsieur Gratin gémit dans son sommeil mais nouvre pas pour autant les yeux. Je continue ma branlette et mamuse à regarder son beau gland rose disparaitre et réapparaitre au gré de mes mouvements. Prise dun élan daudace (et dune très forte excitation) je descends lentement pour positionner ma tête au-dessus de son sexe.

Je passe ma langue sur son gland et regarde son visage. Un faible gémissement séchappe de sa bouche mais rien qui nindique un réveil imminent.

Je poursuis donc. Je gobe son gland et fait lentement tourné ma langue autour pour le décalotter. Je masse doucement ces couilles : elles mont lair bien pleines ! Je descends peu à peu ma bouche autour de son sexe jusquà lavoir au fond de ma gorge. Monsieur Gratin gémit un peu plus fort et remue faiblement sa tête. Je me concentre sur la pipe que je suis entrain de lui faire : téter son gland, gober ses couilles, le masturber et ce que je préfère, le prendre jusquau fond de ma gorge en prenant garde à recouvrir mes dents avec mes lèvres.

Alors que je descends lentement ma tête pour le prendre une nouvelle fois en gorge profonde, deux mains puissantes enserrent soudain ma tête et me forcent à adopter un rythme beaucoup plus soutenu.

« Tu pensais réellement que je nallai pas me réveiller petite cochonne ? Tu vas voir ce que tu vas prendre »

Son pieu enfoncé au fond de ma gorge, la tête bloquée par ses mains puissantes, je ne peux que lever les yeux vers son visage. Dans son regard je lis une détermination, une excitation bestiale.

Sans me demander mon avis, il me repousse, écarte mes cuisses et se positionne à genou devant mon sexe.

« Je vois que ma stagiaire est déjà bien excitée Voyons voir si on peut faire mieux que ça »

Il approche sa bouche de mon sexe et place sa langue sur mon clito. Il entreprend un mouvement circulaire. Les prémices dun orgasme hors du commun mirradient aussitôt le bas des reins. Je me cambre et gémit doucement alors que sa langue se fait plus insistante sur mon petit bouton.

Soudain il cesse son mouvement.

« Chut Si tu ne fais pas un effort pour te taire je ne te ferais pas jouir. Et crois moi la nuit risquerait dêtre longue. »

Il replonge alors sur mon minou. Je sers les dents afin de ne pas laisser échapper les gémissements qui me brûlent les lèvres. Mais sa langue est trop bonne. Je ne peux mempêcher de gémir à peine quelques secondes plus tard alors que je sens mon orgasme tout proche.

« Si tu continues à faire autant de bruit tu nauras pas ce que tu veux Prends un oreiller et mord dedans » me dit-il.

Jexécute et attend, cuisses écartées quil reprenne son cuni si délicieux. Je me délecte de sa langue qui, tantôt sur mon clito, saventure au bord de mon vagin voir jusquà mon anus Mais sa langue ne me suffit plus. Jai envie de ses doigts

« Jai envie de sentir vos doigts »

« Coquine Tu as envie que je remplisse ta petite chatte ? »

« Hum Oui Jai envie que vos doigts me remplissent »

« Cest vrai que cest tentant Mais tu sais je préfère être à létroit serré tu vois ou je veux en venir ? »

« Non dites moi »

Bien sûr que je sais ou il veut en venir !

« Je veux et je vais prendre ton petit cul Maud Depuis deux semaines tu passes ton temps à me le mettre sous le nez Tu vas prendre chère »

Et sans rien ajouter il enfonce son index dans ma petite entrée. Une onde de douleur envahie le bas de mes reins Je ne suis pas habituée à être prise de ce côté-là. Les quelques expériences que jai eu ne mont jamais apporté de plaisir. Et puis ce nest pas par là que jai envie dêtre prise

Il continue son massage à laide de sa langue. Il insiste sur lentrée de mon vagin. Jai envie quil mette ses doigts ou même mieux sa queue. Mais il ne cesse de me répéter quil va me sodomiser, me prendre par derrière Trois de ses doigts sont maintenant en mouvement dans mes fesses et je pennes à faire abstraction de la douleur qui me brûle les reins Je caresse mon clitoris quil a délaissé. Immédiatement le plaisir reprend le dessus et je me remets à gémir.

« Petite cochonne Tu veux que je te prenne. Dis le »

« Hum Prenez-moi Monsieur »

« Demandes moi de te sodomiser »

« Sil vous plait Monsieur Gratin Baisez-moi le culMaintenant ! »

Il me retourne brutalement et minstalle dans la position de la levrette. Il me demande de ne pas bouger. Je lentends sortir de la chambre et revenir quelques instants plus tard. Le contact froid de sa main et dun je ne sais quoi (surement du lubrifiant) sur mon illet me fait frissonner

« Tu mas lair très serré Je vais te ménagé il faut que tu arrives à tasseoir au boulot demain. Les gens auraient des soupçons Depuis le temps que javais envie de prendre ton cul Tu es une vraie petite allumeuse pour ton âge ! Jai bien failli te sauter dessus quand ta jupe est remontée lautre jour et a dévoilée tes bas Tu vas prendre ma chère petite stagiaire »

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