Je marche jusque chez-moi, toute excitée du projet de la soirée. Je crois que le curé Émile me défoncera comme jaime. Je lai bien excité et jai hâte de sentir sa bite pousser sur mon anus pour le forcer à souvrir et ainsi infiltrer le pardon en moi.
Je me demande sil a une grosse queue? Jespère quil na pas un petite bite toute rabougrie que je sentirai à peine dans mes trous. Jaime les grosses bites. Jaime les sentir écarter et distendre mes orifices pour ensuite, me ravager sauvagement les canaux.
Une fois rentrée, je congédie "la baby-sitter". Jaurais bien aimé sucer tonton Jacques avant quil ne quitte, mais il était pressé. Un appel urgent sur son cellulaire. Jaurais bien aimé avoir ma dose de foutre, mais je devrai patienter jusquà ce soir et mabreuver à la Sainte source. Enfin, jespère
Je prends un long bain chaud et je mhabille sensiblement de la même manière que cet après-midi, la jupe noire, toujours sans culotte mais je change le chemisier par un t-shirt rouge, ajusté et joublie le soutient-gorge. Ma grosse poitrine se tient bien toute seule et ça plaira sûrement à M. le curé.
Jarrive au presbytère à 18:55h. Cest un bâtiment assez vieux mais très bien conservé. Je sonne à la porte et jattends, fébrile, quon vienne mouvrir.
Madame Lucie, la servante du curé, maccueille avec un large sourire. Cest une dame bien en chair, dans la soixantaine, très charmante et toujours joviale.
— Eh bien! Regardez donc qui voilà!
— Bonjour madame Lucie!
— Bonjour ma belle Sandrine! Allez, allez, entre!
On se fait la bise. Elle se recule en me tenant par les mains :
— Comment vas-tu? Tu es toujours aussi jolie! Et comment va la belle petite Mia?
— Je vais bien et Mia aussi. Comment allez-vous?
— Bien, bien! Tu viens voir M. le curé?
— Oui, il ma demandé de passer ce soir. Quelques questions à régler.
— Rien de grave, jespère?
— Non rassurez-vous, tout va bien!
— Il est bizarre M. le curé ce soir
Tu parles! Il a hâte de me sauter, oui!
— Ah oui?
— Oui, il semble tendu ou préoccupé je ne sais trop.
— Il a peut-être des soucis. Jespère quil ira mieux après ma visite. Parfois, parler et se détendre avec des personnes plus jeunes, ça change un peu la routine.
— Tu as bien raison. Il na que moi à qui parler de toute la journée, une vieille folle!
— Je ne disais pas ça pour vous
— Je sais bien, va! Je te taquine! Il arrive.
Le curé Émile arrive dans les vestibule, où nous nous trouvons, madame Lucie et moi. Il porte sa soutane. Cest peut-être bien pratique pour cacher une érection! Il est dune stature imposante.
— Eh bien madame Lucie! Allez-vous laisser cette enfant passer toute la soirée dans le vestibule?
— Oh vous, vieux grognon! Je serai dans ma chambre, si vous avez besoin de moi.
— Ce sera tout pour ce soir. Je naurai plus besoin de vous. Bonne soirée, madame Lucie.
Madame Lucie quitte en me faisant un clin dil.
— Tâche de lui rendre sa bonne humeur!
Je lui rend son clin dil :
— Jessaierai! Bonne soirée!
Nous regardons tous deux madame Lucie monter à létage. Aussitôt hors de vue, M. le curé devant moi, prend mon sein gauche dans sa grande main et le malaxe et le tripote avec vigueur.
— Tu sais que tu mas excité cet après-midi, petite salope?
— Ah oui?
— Tu le sais très bien
— Ce nétais pas mon intention
Je le regarde avec des yeux "pleins de remords". Je joue le jeu de la jeune innocente, comme me lavait conseillé tonton Jacques.
— Dis-moi, tu tes touchée depuis cet après-midi? Tu as eu des pensées impures?
— Oui, mon père dans le confessionnal Jimaginais votre pénis entre mes fesses dans mon petit trou.
— Je vois. Tu as péché encore une fois. Je devrai te punir.
— La fessée, mon père?
— Oui, une bonne fessée. Tu as été vilaine.
Il remonte brusquement mon t-shirt jusque sous mon menton et malaxe maintenant mes deux obus dénudés. Je le regarde droit dans les yeux. Je lèche mes lèvres. Il est vraiment très excité. Il respire de plus en plus fort.
— Oui, je suis une vilaine petite fille. Vous avez dit, cet après-midi, que vous alliez devoir purifier mon cul
— Oui. Je nai pas dautres solutions pour sauver ton âme, pécheresse.
— Cest avec votre pénis que vous allez purifier mon cul?
— Tu aimes te faire enculer nest-ce pas, petite cochonne?
Je commence à être sérieusement excitée. Ma chatte shumidifie.
— Oui mon père, beaucoup.
— Dis-le moi. Je veux tentendre dire que tu aimes te faire défoncer le cul.
— Et madame Lucie, elle peut nous entendre?
— Toccupes. Relève ta jupe et dis-moi que tu aimes te faire enculer.
Tout doucement, en le regardant dans les yeux, je relève ma jupe, pendant quil manipule toujours mes gros nichons. Il leur donne des claques. Mes tétons sont désormais bien dressés Sa respiration est haletante. La mienne saccélère. Je lui dis, en gémissant doucement :
— Jaime me faire enculer. Jadore sentir une grosse bite défoncer mon petit cul. Vous voulez bien défoncer mon cul, mon père? Pour me purifier Sil-vous-plaît?
— Tu lauras petite pute, tu lauras. Tu demanderas pardon
Je gémis toujours doucement, en respirant de plus en plus fort.
— Et votre pénis il est dur en ce moment? Il faudra quil soit bien dur pour menculer
— Tu crois quil est dur?
— Eh bien, quand tonton Jacques touche à mes seins et mes fesses, son pénis devient tout dur et très gros, mon père. Et ensuite, il défonce mon cul bien fort. Et j’adore ça. Tonton Jacques, il aime bien me prendre par le cul.
— Tu aimes les gros pénis? Les grosses bites dans ton petit cul?
— Plus elle sont grosses, plus je les aime. Elle est grosse votre queue, mon père?
— Tu seras servie, petite chienne
Son dernier indice, mindique quil est bien monté, question bite. Il me retourne face au mur et me force à my coller. Est-ce quil va menculer ici? Lexcitation monte. Il me parle à loreille en respirant très fort.
— Relève ton cul Écarte les cuisses Je vais détruire ton cul, petite salope.
Jobéis. Une de ses mains palpe mes fesses, lautre masse toujours mes nichons. Il pince mes tétons qui sont bien dur et bien dressés. Ses doigts sinsèrent dans ma raie et caressent mon trou du cul avant de descendre à ma chatte déjà trempée. Il les remonte à mon trou du cul pour le lubrifier de ma mouille. Je gémis plus fort. Soudain, un bruit à létage.
— Tout va bien M. le curé?
— Oui, oui, madame Lucie, vous pouvez retourner dans votre chambre.
On lentend refermer la porte.
— Suis-moi.
Haletante, je rebaisse ma jupe et mon t-shirt et suis le curé dans un petit salon, bien aménagé. Mon visage séclaire dun sourire cochon.
Nu, assis sur un canapé et astiquant son magnifique manche, se trouve
— Tonton Jacques?
— Bonsoir, petite salope.
Suite bientôt…