Une folle nuit ! (suite)
Toute la famille s’est réunie chez les grands-parents pour fêter leur anniversaire de mariage.
(voir les chapitres précédents)
La demie de onze heures venait de sonner. Tout le monde, fatigué par les ébats, prenait un peu de repos bien mérité, en picorant dans les en-cas que Martine, entièrement nue sous son tablier de soubrette, venait d’apporter de la cuisine. Elle remplissait les verres, faisant le tour du grand salon, allant d’un groupe à l’autre, dévoilant à chaque fois qu’elle se baissait, ses fesses splendides perchées sur ses longues jambes au galbe parfait. Assurément elle était la plus belle, Aphrodite en personne ! Dommage que l’intellect ne fût pas à la hauteur. Elle n’était pas à proprement parler sotte, mais un peu niaise, naïve certainement.
Engagée pour servir à table ce soir là, elle avait retrouvé la fille aînée de la famille, Annie, son amie d’enfance. Elles étaient tombées dans les bras l’une de l’autre et avaient fait l’amour comme des folles !
Autant le corps de Martine faisait penser à une déesse callipyge, autant celui d’Annie relevait de la tératologie ! Tout chez elle était monstrueux : les seins, deux outres flasques remplies de graisse, le ventre, un empilement de bourrelets, les cuisses pleines de cellulite, énormes, prolongées par deux jambonneaux en guise de mollets ! Et cette viande blanche ! N’empêche, il émanait de cette truie bipède, un charme, une sensualité, un érotisme indéniables. Sa beauté était simplement différente.
Au fil des confidences, chacun avait plus ou moins dévoilé ce qu’il avait fait depuis la veille au soir. Qu’Annie ait fait l’amour avec Dick, le chien de la maison, au cours de l’après-midi fut une surprise plus forte encore que de découvrir, que Claude, ? la petite amie? de Marc, était en fait un travelo ! L’idée même de la copulation entre Annie et le chien avait débridé tous les fantasmes !
La conversation ne tournait plus que sur les perversions, chacun laissant divaguer son imagination ! Qui pour la zoophilie, qui pour la pratique sado maso qui encore pour la scatologie !…
— Alors Annie, tu t’es tapée le chien ? demanda son père. Je te savais salope, mais à ce point, j’aurais pas cru ! ?a c’est la meilleure ! Baiser avec le chien !
— C’est lui qui a commencé, tout s’est passé naturellement ! répondit Annie, qui avait la tête de Martine, sa nouvelle ? esclave ?, amoureusement posée sur son giron. Et puis tu sais, papa, quand tu m’as tronchée, avant le dîner, j’avais le cul encore plein du foutre du chien ! Tu y as fait barboter ta queue sans le savoir !
— Ah bon tu as encore baisé ta fille, vieux dégoûtant ? reprit Juliette. Je croyais que c’était fini entre vous deux, depuis longtemps !
— C’est ma faute Maman, c’est moi qui l’ai cherché. Quant au chien, j’étais avec Béa et, on se gougnotait toutes les deuxlorsque que Dick s’est mêlé de la partie et est venu nous lécher le cul, sans plus de façons !
— Ah bon, il t’a baisé aussi Béa ?
— Non Papy, je l’ai juste sucé un peu !
— Putain, j’aurais bien aimé voir ça ! Deux femmes et un chien !
Annie qui se faisait toujours brouter le hérisson par Martine, sentait monter aux creux de ses reins une nouvelle envie de recommencer. Mais pas de la même façon. Depuis un instant, l’idée lui était venue de faire couvrir Martine par le clébard.
Martine était devenue sa chose, son esclave. L’emprise d’Annie sur son amie d’enfance était très forte. Elle voulait voir jusqu’où irait sa domination, alors pourquoi ne pas essayer avec le chien. De toute façon, si elle résistait, elle la frapperait, elle était sûre qu’elle devait aimer ça ! Une bonne saillie ne pouvait que lui faire du bien !
— Eh bien, Papa, puisque t’es qu’un vieux cochon, mais on va essayer de satisfaire ta lubricité ! Martine, allez, à quatre pattes, là, au milieu ! Couchée, au pied ! Tu vas nous faire la chienne ! Je te donne Dick pour amant !
— Mais…, balbutia Martine, inquiète.
— Mais quoi ? Obéis, salope, t’es mon esclave, discute pas ! Sinon je te file une correction, dont tu te souviendras ! !
Pour appuyer ses paroles, elle lui claqua violemment le cul, à titre d’acompte.
— Tu vois ce qui t’attend, si tu ne m’obéis pas ! La prochaine fois c’est la cravache ou le fouet ! Tu sais, je peux être sévère, voire cruelle, si je veux !
Domptée, Martine s’accroupit docilement sur le tapis. Les autres étaient médusés, mais l’idée de rapports sado-maso entre ces deux gouines leur plaisait assez.
— Pose ta tête sur le tapis, pointe davantage ton cul, petite pute et écarte les cuisses ! On veut tout voir, compris !
— Oui, oui …
— Oui, qui ?
— Oui, maîtresse !
— Voilà, c’est bien, t’es une petite chienne bien obéissante. Maîtresse est contente ! Béa, va chercher Dick, s’il te plait ! C’est toi ma chérie qui le préparera, si tu veux bien !
La nièce déjà toute chose, revint très vite avec le chien. Elle le fit coucher sur le dos et lui flatta le ventre. Elle lui écarta les pattes arrières à la recherche du fourreau. Elle commença par le caresser doucement avec deux doigts, tirant sur la peau à chaque aller et venue. La pointe rouge ne tarda à sortir. Tout le monde, silencieux et médusé, regardait. Le chien triquait. Son sexe était long, rouge violacé, gorgé de sang, recouvert d’une fine peau persillée de veines plus sombres.
Sans arrêter son ? travail manuel?, Béa, émoustillée, se pencha et prit le bout de la bite dans sa bouche. Sous la caresse, le chien, immobile, se laissait masturber. Béa avait englouti cet énorme chibre qu’elle suçait et pompait de plus en plus vite.
— Mais elle va le faire juter s’esclaffa son grand-père ! C’est pas vrai !
— Tais-toi, vieux sale et regarde ! s’écria Juliette d’une voix teintée de jalousie, captivée par le spectacle de cette bite canine enfournée dans la bouche de sa petite fille !
Ce qui devait arriver, arriva ! Dick déchargeait un flot ininterrompu de sperme glaireux, transparent dans la bouche de la petite. Le trop plein dégoulinait sur son menton. La première surprise passée, elle avala le tout.
— Non, petite conne, n’avale pas, c’est pas pour toi, s’écria Annie ! C’est pour Martine ! Va lui faire boire ce qui reste de cette semence ! Qu’elle en apprécie l’odeur et le goût, avant de l’avoir dans le cul !
Annie était la maîtresse d’oeuvre de ce nouveau tableau. Elle aimait dominer, diriger, les gens quel que soit le domaine. Les autres regardaient la scène, fascinés. Béa laissa couler le jus chaud et odorant de sa bouche dans celle, grande ouverte, de Martine.
— Allez, avale esclave ! Avale tout et sans rechigner. Fais pas ta mijaurée ! C’est bon ?
— Oui Maîtresse !
— Bon, Béa, tu vas maintenant préparer cette femelle, écarte bien sa vulve et son anus pour ce brave Dick !
Béa s’exécuta à nouveau avec un plaisir non dissimulé. A quatre pattes, elle pointa son nez entre les fesses de Martine et consciencieusement lécha la raie sur toute la longueur, de la chatte à l’anus, y déposant sa salive pour lubrifier les orifices.
— C’est bien ma chérie, tu es une gentille petite fille. Finis ton travail, maintenant. Guide le chien dans les entrailles de cette salope !
Béa tenait le chien par la bite. Elle le positionna derrière Martine, toujours le cul pointé. Elle aida le clebs à se dresser sur les pattes arrières et à grimper sur le dos de sa nouvelle femelle. Après un dernier petit coup de langue sur l’énorme bite du chien, elle la guida dans la vulve accueillante. Aussitôt Dick s’enfonça et se branla dans le vagin, donnant de vigoureux coups de reins. La bave coulait de ses babines et tombait sur le dos de la femme. Béa tenait les couilles du chien dans sa main et poussait son cul pour qu’il pénétrât au fond du vagin. Annie contrôlait la pénétration.
— Non, Béa fais attention, s’il rentre son bulbe dans la chatte, il va gonfler et il ne pourra pas ressortir. Ils vont rester collés. C’est dans son cul que je veux qu’il décharge. Fous la pine dans le trou du cul de cette chienne !
Béa saisit la bite de Dick à la racine, au niveau du bulbe déjà gonflé, la sortit de la vulve et l’introduisit dans le rectum de Martine qui semblait aux anges. Rien à voir avec un mec. Plus le chien la limait, plus elle se sentait devenir animal ! Elle râla de plaisir quand le chien s’enfonça dans son fion. Aussitôt entré, le bulbe à la racine du chibre gonfla dans ses entrailles. C’était énorme ! Elle crut qu’elle allait déféquer.
— Oui, là, c’est bien ! Dis-moi esclave, tu sens la boule grossir dans ton cul,
— Oui, c’est énorme, ça me remplit le cul, j’ai comme envie de faire.
— Ta gueule cochonne, t’avise pas de chier sur sa bite, sinon je te fais bouffer ta merde !
Martine subissait les assauts du chien sans broncher. Elle était défoncée comme elle ne l’avait jamais été. Lorsque le chien éjacula de longs jets ininterrompus de sperme dans son cul, elle poussa un cri de jouissance. Elle feulait de plaisir. Elle était une chienne, une vraie, amenée au mâle pour une saillie. Le chien continuait à la limer, rivé à son cul. Il déchargeait presque continuellement. Son rectum était plein de cette grosse bite et de ce jus. Son ventre tressautait sous les assauts. Elle avait l’impression d’être ailleurs, sur une autre planète, ? la planète des chiens? !
Dick continua de la saillir une bonne vingtaine de minutes avant de débander et de pouvoir se retirer.
Tout le monde attendait le moment où la queue allait sortir, ils étaient impatients de voir dans quel état était l’anus de Martine.
— Maman et toi Sylvie, allez, bougez votre cul ! Vous allez aider Béa au nettoyage de toutes ces cochonneries. C’est dégoûtant, mais je suis sûre que vous en mourez d’envie !
— Annie, je suis ta mère, tout de même !
— Discute pas. Va sucer la queue du chien et vite ! Je suis sûre que t’en meures d’envie et papa est de mon avis, n’est ce pas ?
— Ecoute ta fille et obéis-lui ! Fais ce qu’elle dit ! De toute façon, dorénavant je te ferai bourrer toi aussi par le chien, si j’ai une petite fatigue !
La grand-mère, la mère et la petite fille s’affairaient au nettoyage. Une fois cette tâche achevée, le chien alla se coucher dans un coin, fatigué. C’était maintenant, le cul et la chatte de Martine, qui étaient l’objet de toute leur sollicitude ! Elles épongeaient de leurs langues le flot de sperme qui s’écoulait du rectum. Putain autant de jus! Qu’est ce qu’elle avait pris la Martine ! Elles en étaient presque jalouses !
Elles se retrouvèrent très vite, toutes les quatre dans les bras l’une de l’autre, se pelotant et se léchant comme des chiennes, offrant sans retenue, leur intimité à la langue qui se présentait.
Annie, s?avança. Debout au-dessus d’elles, jambes écartées, elle pointa son bas ventre, écarta ses grosses cuisses flasques et les arrosa d’un long jet de pisse chaude ! Annie rayonnait de plaisir ce qui accentuait l’obscénité de la pose.
— Allez, mes salopes vous avez bien mérité de boire un petit coup !
— Et le tapis, t’y penses ?
— T’inquiète pas, papa, Martine va le nettoyer ! Dis-moi, ça t’a plu ? Que dirais-tu de faire couvrir Mamie par le chien ? Et toi, t’aimerais pas qu’il t’encule ? Si vous avez quelques défaillances, pensez à Dick ! Il est increvable !
Mêlés, tous ces corps de femmes nues, affalées et momentanément repues, reposaient sur le tapis. Annie, après s’être soulagée la vessie était venue s’asseoir près des mâles que le spectacle avait excités. Ils étaient tous en érection !…
Pierre et son fils Eric louchaient depuis un moment déjà, sur cette petite salope de Claude qui triturait sa petite bite, longue et fine. Elle les aguichait en se dandinant, tirant sur son bout décalotté. Ses petites couilles ballottaient. Elle mourrait d’envie d’être prise à son tour !
Sans se concerter, ils l’enlacèrent, collant leurs sexes durcis sur ce corps offert. Tandis que le grand-père, à genoux, enfournait ce petit sexe tout raide dans sa bouche, Eric, lui aussi agenouillé, écartait les fesses, dévoilant l’anneau rectal de sa ? belle fille ? pour lui faire une petite langue. Claude criait son plaisir sous les caresses que lui prodiguaient ces deux mâles. Elle tortillait du cul en bonne petite femelle qu’elle était ! Le grand-père s’allongea par terre, sur le dos et l’attira au dessus de lui. Claude vint s’empaler sur le mandrin du vieux. Eric, qui ne voulait pas être en reste, s’agenouilla derrière ce petit cul qui le rendait fou et introduisit à son tour son gland puis toute sa bite dans le conduit anal déjà bourré par la queue de son père. Marc cria sous la douleur. Deux bites lui déchiraient le cul. Insensibles à ces gémissements, le père et le fils pistonnaient et défonçaient, en cadence, le rectum.
— Papa, tu sens ma bite contre la tienne ? Putain que c’est bon !
— Oui, garde la cadence qu’on lui gicle en même temps dans les intestins, à cette petite sale ! On va lui déchirer le fion !
— Putain, je vais décharger… Ahhh !… J’en peux plus !
Le père et le fils crachèrent leur sperme dans ce petit cul, véritable sac à foutre. Marc crut défaillir tant son plaisir était intense. Amoureusement, elle se dégagea et finit de pomper de sa bouche les braquemarts de ses deux amants.
Quant à Marc, il regardait indifférent, sa ? gagneuse ? se faire mettre par son père et son grand-père. Claude était sa chose. Elle lui rapportait du fric, c’est tout ce qui comptait. S’il bandait comme un dingue, ce n’était pas elle qui l’excitait, mais une envie folle de retrouver sa mère. Depuis qu’ils avaient fait l’amour l’après-midi, il ne pensait qu’à ça : être dans son ventre, être le ? petit? de sa maman et la fourrer encore et encore !
Pour lui, la transgression avait été une révélation, une source de jouissance jusqu’alors inconnue ! Il gardait en souvenir l’odeur de sa peau, de son sexe ! La prendre à nouveau, se vautrer entre ses cuisses, glisser son sexe dans sa chatte, se vider comme un perdu dans ses entrailles et les remplir de son sperme ! Jamais il n’avait eu un tel orgasme. La fusion entre eux deux avait été parfaite, une communion complète !
N’y tenant plus, la bite dressée, il alla récupérer sa mère, au milieu de toutes ces femelles avachies au milieu de la pièce, tel de gros tas de viande,
Sans hésiter, elle vint se coller contre son fils, le couvrant de baisers. Elle aussi attendait l’instant où leurs corps allaient se retrouver. Elle sentit monter au creux de ses cuisses une douce chaleur qui l’envahissait, tout son ventre vibrait, ses jambes ne la portaient plus ! Elle saisit sa bite, comme pour s’y accrocher !
Elle se retrouva sans trop savoir comment, tête bêche au dessus de lui, son sexe, enfoncé au fond de sa gorge. Elle crut s’étouffer. Tandis qu’il avait enfoui son nez et sa langue dans son intimité, elle entreprit alors une lente et longue fellation. Elle sentait le sang affluer dans cette tige de chair qu’elle serrait dans sa main. Il bandait, rien que pour elle, et elle le branlait ! Elle allait tirer le jus de ces couilles ! Ah, le traire comme une vache et boire son fils ! Le faire jouir ! Le plaisir montait par vagues et la submergeait. Son ventre réclamait. Elle colla encore davantage ses organes sur cette bouche adorée. Elle lui enfonça un doigt dans l’anus, qu’elle ressortit bien vite pour le porter aussitôt à ses lèvres. Ce goût si particulier et cette odeur ! Putain que le cul de son fils sentait bon !
Rien de comparable avec tous les hommes qu’elle avait sucés et branlés jusqu’à ce jour ! Consciente de commettre l’inceste transfigurait son plaisir. Elle était comblée. Sa langue s’enroulait sans relâche autour de cette tige de chair qui se dressait, impudique.
Marc fermait les yeux, tout au bonheur de cette caresse maternelle ! Sa mère et lui étaient seuls au monde, indifférents à ce qui se passait autour d’eux. Sentant monter son désir, il redressa la tête, le visage gluant de la mouille de sa mère.
— Maman… je vais jouir ! Je vais me lâcher dans ta bouche ! Je sens que ça vient ! …C’est dans ton ventre que je veux me vider ! Dis-moi que tu veux sentir couler mon sperme au fond de toi !
— Oui, mon chéri, tout ce que tu veux ! Viens souiller ta maman ! Décharge dans mon ventre, Je suis ta petite femelle, prends-moi comme une chienne en chaleur.
Marc allongea délicatement sa mère sur le dos, l’embrassa tendrement. Il téta le bout de ses seins comme un enfant, mordillant les pointes dressées qui durcissaient sous la caresse. Puis il lui écarta les cuisses pour se repaître du spectacle de cette vulve béante prête à l’accueillir. Agenouillé, il posa les jambes de sa mère sur ses épaules et vint frotter son sexe tendu sur les petites lèvres qui, grandes ouvertes, laissaient saillir le clitoris turgescent, véritable petite bite.
— Maman, que t’es belle, offerte comme ça !
— Et toi mon chéri, tu sais que j’aime te regarder, là entre mes cuisses, ton sexe dressé prêt à me fourrer ! Mon Dieu que je l’aime ta bite ! C’est maman qui fait bander son petit garçon, comme ça ?
— Oui, Maman, je trique pour toi, je vais te prendre ! Dis-moi que tu veux ma queue, bien au fond, dans ta chatte ! Putain je vais exploser !
— Viens, viens vite, je suis trempée. Qu’est ce que tu me fais mouiller, petit salaud !
Il s’enfonça alors au fond du vagin. Il sentait sa mère tressaillir à chaque va-et-vient de son gland sur les muqueuses intimes. Il regardait, sur son visage, monter le plaisir. Les yeux fermés, perdue dans sa propre jouissance, elle sentait en elle cette tige longue dure et chaude qui la limait. Elle sentit soudain monter le jus le long de la hampe. Instinctivement elle resserra son fourreau vaginal pour mieux le sentir se vider en elle.
Lorsqu’il éjacula, il eut l’impression de voir comme une expression de douleur lorsque chaque giclée de son sperme lui tapissait les parois vaginales. Bras écartés, elle griffait le tapis. Son ventre eut encore deux ou trois soubresauts qui lui soulevèrent les fesses. Puis, femelle repue, elle se détendit.
Les yeux grand ouverts, elle lui sourit, comblée.
— Mon amour, mon petit, tu me rends folle. Jamais je n’ai joui comme ça ! Jamais je n’ai connu un tel bonheur !
— Moi aussi, Maman ! Etre dans ton ventre, m’y vider les couilles, y rester, s’y perdre !
— C’est vrai, j’ai cru que je partais !
— Je ne sais pas, mais si je baise avec une autre, je crois bien que je vais avoir des problèmes ! Jamais je ne retrouverai ce que tu m’as donné ! Maman, mon amour !
Il l’enlaça tendrement, chercha sa bouche.
Ils reposaient maintenant allongés, collés l’un à l’autre, loin des autres, dans un monde à part !
La nuit était bien avancée et la fatigue se faisait sentir. Tout le monde se reposait, Claude était blottie entre Pierre le grand-père et Eric son ? beau-père ?. Elle tenait la bite de chacun dans ses mains. Annie et Béa étaient collées l’une à l’autre, allongées sur un canapé. Quant à Juliette et Martine, elles étaient parties à la cuisine, pour mettre un peu d’ordre avant d’aller au lit. En effet Juliette avait demandé à sa fille la permission de prendre Martine pour la nuit ! A croire qu’elle en voulait encore la Mamie !