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Le club – Chapitre 11




CHAPITRE 4

L’invité était en fait une invitée. Christine s’était rendue au chantage de son violeur et c’était la gorge nouée qu’elle faisait remonter sa voiture le long de l’allée qui conduisait à la villa des Blenon. Elle eut alors une pensée incongrue : elle songea à son père. Ce dernier avait longtemps été en affaire avec Jérôme Blenon et il avait dû se rendre en ce lieu à de nombreuses reprises. Pourtant elle ne se souvenait pas de cet homme ni de sa famille. Tout cela s’expliquait par le fait que l’association entre les deux hommes datait d’une dizaine d’année alors qu’elle n’était qu’une jeune femme dune vingtaine dannée. Son père en patriarche autoritaire l’avait éloignée de la région en lui interdisant de suivre ses études à l’université de Fortlud, pourtant voisine. Elle n’avait jamais compris les raisons qui avaient motivée cette décision paternelle si ce n’est qu’il estimait qu’il considérait que Lilleland et sa région étaient devenues dangereuses pour elle. Quand finalement, il lui permit de revenir, il s’était contenté de lui dire que « le frère avait enfin fait son devoir » sans jamais entrer dans les détails. Elle avait donc retrouvé sa place dans le petit microcosme régional mais Blenon ne faisait déjà plus partie des relations de son père. Dorénavant son père était mort et elle n’avait plus entendu parler de Blenon avant la sombre affaire dans laquelle il avait englouti toute sa fortune et celle de plusieurs autres notables…avant ce soir.

Elle se gara dans le petit parking qui se trouvait devant la villa et constata qu’une seule autre voiture s’y trouvait. Elle se dirigea vers la porte d’entrée puis tendit une main tremblante vers la sonnette mais au dernier moment, ses forces l’abandonnèrent. Elle voulut rebrousser chemin mais le choix lui échappa car la porte s’ouvrit et elle se retrouva devant une jeune fille d’une vingtaine d’année dont la tenue mit fin à toutes ses illusions. Elle ne portait qu’un simple tablier blanc très serré au niveau de la taille qui faisait ressortir son imposante poitrine et laissait ses jambes totalement nues.

— Le maître vous attend, déclara cette jeune fille qui devait être tout juste majeure et elle se retourna pour bien lui signifier d’entrer à sa suite.

Christine constata presque sans surprise que cette tenue indécente lui laissait les fesses totalement nues et elle avala sa salive avant de trouver la force d’entrer dans cette maison où elle savait déjà qu’elle allait subir un martyre.

Elle traversa un petit hall d’entrée pour déboucher dans un grand salon très bien décoré et elle fut de nouveau le témoin d’une scène qui la terrifia. L’homme qui l’avait violée était assis sur un divan et entre ses jambes se trouvait une autre femme en train de lui prodiguer une fellation. Dans cette position, Christine ne pouvait pas voir sa tenue mais elle devinait aisément qu’elle était vêtu de la même façon que la jeune qui l’avait accueillie mais ce n’était pas ça qui la choqua le plus. Dans cette position, les fesses de la féllatrice étaient proéminentes et Christine discerna sans problème le cercle noir qui se dessinait entre les deux globes ronds : on l’avait sodomisée avec un gode. Une porte dans l’esprit de Christine s’ouvrit et elle voulut s’enfuir très loin de cet endroit infernal. Cependant, elle resta totalement immobile à fixer cet inconnu qui dune seule décision pouvait détruire toute sa vie.

— Bienvenue ma chère, fit l’homme et Christine se souvint enfin qu’il s’appelait Angel. Je suis satisfait que tu sois venue. Voyons Laura, débarrasse notre invitée !

La jeune fille sursauta comme si on l’avait giflée et elle s’approcha d’elle.

— Votre veste, s’il vous plait madame…

— Sa veste ?!? Grogna Angel, mais quelle conne. Tu crois qu’elle est venue pour prendre le thé ? Elle est ici pour se faire baiser tout comme toi alors fous-là à poil !

La jeune fille, Laura, s’était crispée et elle se hâta d’obéir comme si elle voulait à tout prix complaire à cet homme. Christine ne voulait pas s’en laisser compter et elle la repoussa sans violence pour dégrafer son chemisier.

— Je parle tchèque ou quoi ? S’énerva alors Angel. J’ai ordonné à Laura de le faire, pas à toi alors laisse la faire !

Sans attendre sa réaction, Laura glissa ses mains sous ses aisselles et commença à défaire les derniers boutons de son chemisier à tâtons. Prise de court, Christine resta sans réaction. Elle sentait la poitrine imposante de la jeune fille se presser contre son dos et son souffle contre son cou alors qu’elle écartait les pans de son chemisier. Leurs deux peaux nues entrèrent alors en contact et, contre sa volonté, sa respiration s’accéléra. Comme à dessein, Laura laissa glisser ses mains sur son corps avant de d’éclipser les agrafes de son soutien gorge et Christine comprit alors que ce petit jeu était voulu par Angel. Il se jouait d’elle en la laissant entre les mains de cette enfant à peine plus jeune que Natacha espérant ainsi reproduire le même émoi honteux qui l’avait faite tombée entre ses griffes. Le plus horrible était que cela fonctionnait. Elle se sentait partir alors que les mains de la jeune adulte défaisaient le ceinturon de son pantalon. Elle n’était déjà plus qu’un pantin désarticulé et elle se maudissait pour sa faiblesse en sachant qu’ainsi elle s’enfonçait encore plus profondément. En se plaquant volontairement contre elle, Laura descendit pour lui retirer son pantalon. Presque impatiente, elle souleva une jambe et puis l’autre pour lui faciliter la tâche. Ses mains remontèrent en glissant sur ses jambes provoquant des frissons d’excitations. Les mains de Laura se posèrent les côtés de sa petite culotte mais elles ne la firent pas descendre. Elles plongèrent dans son intimité. Ce fut le coup de grâce, Christine poussa un râle de plaisir comme par anticipation et des souvenirs de ses étreintes avec Natacha remontèrent à sa mémoire. Elle trouva lénergie de s’écarter de cette maudite enfant et pour mettre fin à ce piège et elle retira elle-même sa culotte aussi vite qu’elle le put. En se redressant, elle capta le regard d’Angel et son sourire carnassier indiquait qu’il avait eut exactement ce qu’il désirait.

— Tu as amené ce que je voulais ? demanda-t-il en posant la main sur la femme qui s’occupait son sexe pour régler son rythme à sa convenance.

Honteuse, elle tourna la tête vers la mallette qu’elle avait amenée avec elle et qui se trouvait posée à côté de ses vêtements. Laura la lui apporta sans qu’elle n’ait besoin de rien lui dire. Elle la prit et, le cur serré, l’ouvrit pour en poser le contenu sur la petite table basse en verre qui se trouvait juste devant elle.

— Assis-toi donc, lui ordonna Angel en se redressant.

Il écarta la féllatrice lui arrachant un râle de douleur et Christine comprit que c’était l’instrument qu’elle avait inséré dans son orifice anal qui en était la cause. Angel regarda les fichiers qu’elle avait apportés avec elle puis la dévisagea.

— Tu te moques de moi c’est ça ?

— Pas du tout, bredouilla-t-elle. J’ai tenu ma promesse, ce sont les dossiers des jeunes filles dont nous sommes responsables…

— Je voulais aussi des comptes rendus concernant des collègues de travail, la coupa-t-il. Où sont-ils ?

— Non ! Pas ça !!!

Il secoua la tête comme s’il était lassé de toujours répéter la même chose puis avec une soudaineté qui la laissa sans réaction, il se leva, combla la distance qui les séparait et la gifla à deux reprises avec une violence telle qu’elle en garda une sensation affreuse de chaleur pendant de très longues minutes. Depuis qu’il l’avait violée sur son lieu de travail, elle savait qu’il était un homme brutal mais ce fut comme une piqure de rappel. Il pouvait lui faire très mal autant physiquement que moralement. Il la saisit par le poignet et le tordit au point de la faire crier.

— Je veux ces dossiers, lui cracha-t-il au visage en serrant encore plus fort et soudain, il fut la seule chose au monde qu’elle considéra. Je les veux avant deux jours où je te détruis toi et tous les membres de ta famille sans exception !

— Vous les aurez !!! Pleura Christine qui à ce moment-là n’avait qu’une idée en tête lui faire lâcher prise.

Il desserra son emprise mais ne la libéra pas pour autant et plongea son regard de prédateur dans le sien et elle comprit alors qu’elle lui donnerait ce qu’il désirait si elle voulait sauver ce qu’elle pouvait encore sauver. Il retrouva alors son sourire, parfaitement conscient d’avoir obtenu le but qu’il recherchait et retourna s’assoir. Il agrippa la femme blonde par les oreilles et l’obligea à reprendre sa fellation. De nouveau, elle poussa un râle de douleur mais elle se plia à sa volonté.

Il ordonna à Laura de lui apporter un verre d’eau. Encore sous le choc, elle but avec plaisir. Il sourit doucement et reprit la parole.

— Même si je suis un peu déçu de ce que tu m’as apporté, je pourrais m’en contenter pour linstant et même te donner une petite récompense. Laura !

Il se tourna vers la jeune fille et lui fit signe d’aller s’installer prés d’elle. Elle frissonna d’appréhension en sentant de nouveau la présence de cette jeune fille désirable presque nue à ses côtés. Laura se tourna vers Angel, attendant visiblement les consignes. Il se contenta de hocher la tête et elle s’approcha encore plus, elle voulut se reculer mais sa tête commença à lui tourner et elle comprit qu’il l’avait droguée une nouvelle fois. Elle bascula en arrière et se retrouva de fait désemparée. Laura put s’allonger sur elle, son corps jeune et rond se frottant contre le sien sans qu’elle puisse lui résister à cause de la mollesse du divan sur lequel elles se retrouvaient installées. La jeune fille fit glisser ses lèvres sur les siennes, insinuant sa langue dans sa bouche. Quand sa main gauche commença à lui malaxer le sein droit, elle fut de nouveau envahie par ce trouble infernal qu’elle rejetait pourtant de tout son être et ce fut quand la main droite de Laura envahit son intimité qu’elle commença à lui rendre son baiser contre-nature. Ensuite, elle se perdit dans cette étreinte malsaine, ses mains s’aventurèrent au travers du tablier de la jeune fille, jouant sur ses tétons très développés puis elle voulut les goûter à sa bouche et ressentir le fumet de sa chatte. Elle se sentait comme une chienne en chaleur et le fait que sa partenaire soit une enfant à peine majeure ne lui importait guère ; seules comptaient ses formes et le plaisir qu’elle lui apportait cet instant.

Elle fut tirée de cet état second par une sonnerie.

— Voici nos autres invités, annonça simplement Angel visiblement satisfait. Désolé pour toi Christine mais ta petite copine va avoir affaire ailleurs.

CHAPITRE 5

Laura s’arracha à cette lesbienne en furie et réajusta sa tenue. Elle se dirigea vers la porte d’entrée pour y voir apparaître un nouveau visage dune femme quelle connaissait. Il s’agissait d’une amie de sa mère et se demanda si elle allait devoir passer sa soirée à embrasser d’autres femmes. Elle lui ouvrit et attendit à la porte que l’on sonne. Le temps d’attente ne fut pas aussi long que pour la précédente invitée et elle ouvrit immédiatement. Elle fut soulagée en constatant qu’il s’agissait en fait d’un couple et un peu moins en réalisant l’âge de l’homme qui devait avoir plus de 60 ans. Ce dernier devança sa compagne.

— Laura, dit-il en la détaillant avec un air concupiscent qui ne cachait rien de ses intentions. Je suis tellement heureux de te rencontrer. Si tu savais depuis combien de temps j’attends.

Elle ne connaissait pas cet homme mais il semblait la connaître. Elle appliqua les consignes imposées par son maître et se montra polie.

— Enchantée, monsieur. Si vous voulez me suivre.

— Mais avec plaisir, répondit le vieillard.

Elle se retourna pour lui indiquer le chemin et à ce moment-là, il posa sa main sur ses fesses nues. Elle sursauta mais elle savait qu’elle ne pouvait pas réagir. Il avait tout les droits et elle aucun. Ils arrivèrent donc dans le salon et elle fut une seconde fois le témoin de la scène grotesque du gros plan des fesses de sa mère défoncées par un gode. Le vieillard éclata de rire pendant que la femme qui l’accompagnait hoqueta dhorreur.

— Mon cher juge, fit le maître. Quel plaisir que votre présence et en plus vous m’amenez un superbe présent : Théodora Lupa.

Sa mère cessa sa fellation à l’énoncé de ce nom et voulut tourner la tête mais le maître posa ses mains sur sa nuque pour bien lui faire comprendre qu’il n’en était pas question et elle rendit les armes pour retourner à son occupation précédente. A ce moment la main du vieillard s’aventura plus en avant dans le sillon de ses fesses et elle se crispa et il se tourna vers elle. Elle trembla en comprenant ce qui l’attendait, elle allait finir au lit avec lui.

— Je sais que vous êtes impatient, mon ami, déclara le maître. Je vous propose donc de profiter d’une des chambres de l’étage.

— Excellent, répondit le vieillard que le maître avait seulement nommé le juge. Je vous laisse Théodora en gage comme prévu.

— Laura, ordonna le maître, conduis notre invité !

Obéissante, elle se tourna et se dirigea vers l’escalier. Elle mena le juge jusqu’à la chambre qui fut naguère la sienne et l’invita à entrer. La juge la détailla avec intérêt et sembla apprécier le décor, particulièrement la caméra. Il se tourna vers elle et l’attira à lui pour l’embrasser. Cette langue de vieillard dans sa bouche lui donna bien plus l’envie de vomir que celle de la femme qu’elle avait dû aller chercher quelques instants auparavant. Déjà sa main avait fait le tour de son corps et défait le nud de la ceinture de son tablier. Il se frottait contre elle comme un animal et elle sentait la force de son érection. Il lui retira son tablier avant de la faire se coucher sur le dos, jambes écartées. Elle se souvint de l’exploration de son intimité par le maître, une semaine plus tôt mais ne se sentit pas du tout excitée à l’idée de sentir la langue de ce vieillard plonger dans sa fente. Pourtant, il n’en eut cure et il écarta ses grandes lèvres pour plonger sa langue dans son orifice génital puis commença à jouer avec son clitoris. Pour la première fois de sa vie, la langue d’un homme (pas celle d’un adolescent) jouait à lui donner du plaisir. Une vague inconnue la submergea rapidement contre sa propre volonté et elle se laissa emportée sans aucun remord oubliant la nature de celui qui lui apportait cette extase. Rapidement, le juge retira sa langue de son vagin nimbée d’une cyprine abondante, il semblait satisfait.

— Tu es une vraie petite salope comme Angel me l’avait promis, déclara-t-il. Rien à voir avec la petite pétasse qui partage ma vie. Cest très bien et nous allons pimenter tout cela.

Il fouilla dans sa poche et sortit une paire de menotte. Elle avait souvent entendu parler de ce genre de jeu mais sans jamais les avoir pratiqué elle-même et dans son état d’excitation, elle se sentait prête à céder à tous les caprices de ce vieillard lubrique. Il la fit se tourner et la repoussa vers le montant du lit. Il lui emprisonna les mains entre les cadres de façon à ce qu’elle ne puisse plus bouger et l’obligea à s’avancer. Elle se retrouva alors en position de levrette et il plongea sa main dans sa cavité vaginale qui mouillait toujours aussi abondamment. Elle était si excitée que ce simple geste suffit à la faire réagir. Cependant, il ne s’attarda et, sa grande horreur, il ressortit immédiatement ses doigts trempés pour les plonger dans son anus désormais totalement exposé. Elle comprit alors le but de la manuvre et elle voulut s’échapper mais elle était prisonnière du montant du lit et il agrippa ses hanches pour la forcer à rester en place. Elle s’était piégée toute seule et elle commença à crier dès qu’elle sentit la pointe de son gland presser sur son orifice anal. Elle n’avait pas réagi lorsqu’elle avait assisté aux deux sodomies subies par sa mère mais à ce moment elle comprit l’enfer qu’elle avait subi et subissait toujours. Le juge n’eut aucune pitié, il enfonça son membre dans sa cavité encore vierge avec une fermeté sans faille en profitant de sa position et elle savait qu’il ne cesserait que quand il l’aurait totalement pénétrée. Elle abandonna toute dignité et hurla autant qu’elle le put au fur et à mesure de l’avancée du sexe. Elle crut son calvaire terminé quand elle sentit le contact de ses bourses contre ses fesses mais elle se trompait car il commença alors à la pistonner et alors elle atteignit un nouveau degré dans la souffrance. Elle s’accrocha au montant du lit alors qu’il allait et venait (de quelques centimètres seulement mais c’était suffisant pour lui faire vivre un enfer sur terre) en elle. Il s’était affalé dans son dos et lui tripotait ses seins qui allaient et venaient au rythme de la saillie en même temps et elle pouvait sentir son souffle dans son cou. Elle hurla encore plus fort !

A Suivre…

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