Mathilde se révélait une fille de décision. La belle brune proposa de monter dans la chambre dÉmilie sans livrer ses intentions.
Le contexte laissait penser à quelque plan tordu.
Jean-Marc neut pas longtemps à attendre pour sen convaincre. Une fois dans la chambre, Mathilde prit Émilie à témoin :
Montre-moi ton cul, jaimerais voir dans quel état il te la mis.
Émilie fit descendre son pantalon pour la seconde fois. Mathilde, dont la confiance en elle se muait en une sorte darrogance qui agaçait Jean-Marc, abaissa la culotte prestement. Bien quil ne voulût pas se lavouer, une sourde angoisse commençait à lui nouer lestomac. Cette fille ne semblait pas manquer de ressources et elle paraissait décidée à profiter de loccasion.
Ouah?! Il ta bien arrangé le salaud. Je crois que tu devrais lui rendre la pareille.
Eh, quest-ce que cest que ces conneries??
Tu frappes les filles et tu voudrais ten sortir à bon compte?? Allez, va tasseoir sur les genoux dÉmilie.
Tu rêves?!
OK, cest toi qui vois. Mais Émilie risque de se plaindre, tu crois pas?? En plus, elle a un témoin.
Le sourire affiché par la fille ne disait rien qui vaille à lhomme dont la marge de manuvre se réduisait à vue dil.
Il obtempéra de mauvaise grâce et se retrouva sur les cuisses fermes dÉmilie.
Bien sûr, pour des raisons déquité, tu devras recevoir la fessée cul nu.
Eh, tu déconnes, là??
Émilie sattaquait déjà aux boutons. La jeune fille abaissa le pantalon que Mathilde tira vers les chevilles.
Jean-Marc tenta de se relever mais il sentit des mains lui saisir les bras et les maintenir dans le dos.
«?Merde, bloqué?!?»
Le caleçon, maintenant.
Émilie saisit lélastique du sous-vêtement et labaissa jusquà mi-mollet.
Cest bon, chauffe-lui les fesses.
Sa copine la prit au mot et fit sabattre une volée de coups sur le postérieur de son beau-père qui ne bronchait pas. Il était hors de question de perdre la face devant ces deux gamines. Aussi décida-t-il de supporter stoïquement cette correction.
Dans sa maladresse, Émilie ne manquait pas de faire mal. Sa jeune main portait des coups redoutables dont le bruit emplissait la pièce.
Enfin, sa fesseuse estima la punition suffisante et libéra lhomme qui se frottait le derrière.
Alors, tu as vu ce que ça fait??
Jean-Marc ne répondit pas. Il jugeait sa position trop précaire pour discuter.
Cest pas tout de lui rendre la pareille, maintenant, tu dois lui faire réparer les dégâts.
Devant le visage interrogateur dÉmilie, elle crut bon de préciser sa pensée.
Tu as encore le cul tout chaud, dit-elle en joignant le geste à la parole.
Limposition de sa main sur les fesses de sa copine confirma son idée première. Le derrière dÉmilie dégageait une certaine chaleur tandis que sa propriétaire éprouvait encore une sensation de cuisson au cul.
Il faut rafraîchir ça, et cest tout simple.
Mathilde se tourna de nouveau vers Jean Marc :
Tu sais ce quil te reste à faire??
Son interlocuteur demeurait sur la défensive face à cette fille délurée.
Je vois que non. Alors, sort ta langue et lèche un peu, histoire lui rafraîchir le cul.
Finalement, la situation savérait porteuse de bons moments en perspective.
Jean-Marc sapprocha de sa belle-fille qui le considérait, un sourire provocant sur le visage.
Cambre-toi bien, je veux que ce cochon lèche bien de partout.
Émilie sexécuta et son beau-père put entamer sa tâche labiale. La langue allait et venait sur la peau douce, jusquà générer de voluptueuses sensations à la charmante propriétaire du cul délicieux. Jean-Marc lui-même aimait le contact velouté de lépiderme sur sa langue.
Une croupe ferme, bien dessinée, une belle chute de reins. Vue sous cet angle, sa belle-fille révélait des trésors de séduction. Lenvie de la serrer contre lui et de sentir sa peau sur la sienne semparait de lui tandis quil continuait à lécher à grands coups. Ses mains glissaient progressivement des hanches vers les fesses quil caressait avec toujours plus daudace.
Cette initiative décida Mathilde à prendre les devants.
Mais jy pense, toi aussi tu as besoin dêtre soulagé. Émilie, occupe-toi de lui, il veut quon lui fasse du bien je crois.
Émilie mit son beau-père en position avant de passer sa langue sur le postérieur maltraité.
Se faire lécher le cul par Émilie était aussi agréable que de fesser le sien. Et elle insistait bien, la salope, sans donner le moindre signe dennui. Lorgane musculeux humidifiait bien tout ce quil léchait, apaisant au mieux ce que la main avait provoqué.
Résolument délurée, Émilie laissait sa langue ségarer vers lentrecuisse, direction les parties sexuelles. Insatiable, la jeune dévergondée avait encore envie de goûter à lattirail de son beau-père.
De son côté, Mathilde voyait bien le manège. Aussi, décida-t-elle de profiter de la situation.
Jai une idée. Pas question que ce soit toujours les mêmes qui samusent. Toi, le macho mégalo, installe-toi comme ça.
Elle joignit le geste à la parole et positionna Jean-Marc à sa convenance, à quatre pattes sur le lit.
La jolie brune se mit le derche à lair et présenta ses fesses à lhomme. Celui-ci ne parvenait pas à croire à sa chance. Deux culs à bouffer dans la même journée?!
Sa langue entra en action sans quon le lui demande. Il entreprit de lécher les globes laiteux frénétiquement pendant que sa belle-fille commençait à lui baver sur les couilles. Les deux jeunes salopes initiaient une partie à trois.
Mathilde amorçait une ondulation de la croupe tandis que Jean-Marc plongeait la langue dans le creux entre les fesses. Cette fille possédait un anus ouvert de façon inhabituelle, témoin de sa propension à se faire prendre côté pile. Autrement dit, cette salope se faisait enculer plus souvent quà son tour.
Lhomme lapait avec avidité tandis quÉmilie mettait les bouchées doubles. Jamais expression ne fut plus appropriée. En effet, la goulue avait avalé les couilles de son beau-père et les faisait aller et venir dans sa bouche. Elle écumait abondamment et imprégnait les attributs velus de sa salive.
Elle recracha les burnes, le temps de passer sa langue tout le long du membre de Jean-Marc. Après quoi, elle engloutit le dard en entier pour le sucer avec ardeur.
La séance se poursuivit jusquà ce quÉmilie reçoive la liqueur de son beau-père dans la bouche. Elle se gargarisa pour simprégner les papilles du goût du jus de couilles, puis elle avala toute la dose dun trait.
Le trio se rajusta et regagna le rais de chaussée où la mère dÉmilie ne tarda pas à apparaître.
Avec un aplomb confondant, Mathilde entama une conversation de pure forme avec elle puis elle rappela à Émilie son rendez-vous chez le dentiste.
Les deux filles prirent congé tandis que Jean-Marc se demandait déjà quand il pourrait remettre ça.
FIN
