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L'autre sexe au naturel. – Chapitre 3




On est sous les douches communes. On se lave le fondement avec les embouts prévus à cet effet. On se savonne mutuellement.

Allez, les filles, on se sèche et on y va. Charles nous attend.

C’est nues que l’on rejoint la grosse berline de Charles, sous le regard envieux du vieux voiturier. On monte toutes les trois à l’arrière.

Le trajet sert de débriefing. On lui raconte notre ressenti. Juju reste silencieuse. Une fois arrivé, Charles glisse deux mots et Juju et part se coucher après nous avoir déposé un doux baiser sur le front à toutes les trois. Juju se pose sur un des fauteuils. On se met sur le sofa.

Demain, on se lève quand on veut, mais à 14 h 00, on doit toutes être prêtes, pomponnées et tout et tout. Toi, ma belle Gabrielle, je te mettrai un cockring. Tu sais ce que c’est ?

J’acquiesce de la tête.

Bien. On reçoit les femmes des amis de Charles. Ils ne savent pas que leurs épouses sont aussi dépravées qu’eux. Elles sont aussi beaucoup plus vicieuses, mais toujours avec respect et politesse, ce sont des femmes du monde. Bon sur ce, on va se coucher et c’est enlacées toutes les trois que l’on s’endort.

Mon réveil est des plus… Érotique. Je suis bras en croix en train de me faire picorer tout le corps par Juju et Genny. Toutes les parties de mon corps, même mes aisselles y passent. Je ne savais pas que cette zone était particulièrement sensible. Je découvre des parties érogènes de mon corps que j’ignorai. Genny me prend la queue en bouche et joue avec sa langue sur mon gland, l’extase…

Ne la fais pas jouir, elle aura bien assez le temps cet après-midi. Je demande l’heure, 12 h 00.

On se lève et on découvre la salle de bain. Elle est immense et luxueuse. Carreau imitation marbre rose, deux vasques en formes de coquilles Saint-Jacques et un grand miroir. Une douche à l’italienne avec hydromassage. On entre sous la douche. On se lave individuellement. On se sèche et on part devant la psyché de la chambre. Juju me tend un anneau métallique. Je n’arrive pas à le mettre, il est trop petit. Elle m’en donne un autre qui s’ouvre en deux parties et qui se verrouille par une petite vis. Je me le pose. Juju, à l’aide d’une petite clé BTR le verrouille. Voilà en place. Il pèse son poids. Encore une première pour moi. On remet nos colliers. Elle nous donne à chacune quatre bracelets roses. On les passe. Elle nous met des bijoux annaux hors normes après les avoir lubrifiés, je mets celui de Juju. Elle nous maquille uniquement les yeux. En grande professionnelle, elle nous fait des yeux de chatte. Je n’ai jamais vu ma sur aussi belle.

Genny, tu es magnifique.

Tu es resplendissante, me répond-elle en me tournant vers le grand miroir.

Waouh…

J’ai faim, dit Juju.

Elle part en sautillant.

Gladys ! Gladys ! J’ai faim !

Ma sur et moi, on se regarde et la suit en courant vers la cuisine. Elle est là, en petite tenue de soubrette noire. Elle est à croquer, ses seins sont maintenus hauts par un soutien-gorge seins-nus, sans bretelle, mais maintenus par une fine sangle autour du cou. Son énorme fessier est à peine caché par la micro-jupe. Un tablier en dentelle et des escarpins complètent le tout.

Gladys est notre cuisinière et dame à tout faire.

Quand elle se tourne pour nous saluer, elle se pince les lèvres en regardant ma bite gonflée à bloc et ornée de l’anneau. Elle retourne aux fourneaux.

On mangera au salon, on ne veut pas saloper ton boulot.

OK, Juju. Comme tu veux.

On s’installe au salon. Il est immense et la TV l’est tout autant. On s’assoit à même l’épaisse moquette autour de la table basse, qui est aussi grande qu’une table de ping-pong.

Gladys s’installe à mes côtés avec un plateau d’acras aux crevettes. Délicieux. On mange légèrement sous les conseils de Justine. On sonne.

Voilà nos trois furies. Je vais les accueillir.

On se lève tous. Gladys amène le plateau sous le patio et revient bien vite.

Tu ne participes pas ? Je lui demande.

Si, mais pas dans cette tenue, mais Monsieur Charles ne veut pas. Il en a marre de me racheter des tenues.

On part toutes les trois dans un fou rire. Elle va pour se déshabiller, je passe les mains autour de son cou et lui enlève le nud et libère son énorme poitrine. Elle enlève l’agrafe. Ses tétons dardent. Ils sont gros comme des cerises. Je lui touche. Elle gémit.

Juju vient nous chercher. Elle fait les présentations, mais elles s’en moquent. Elles se jettent sur ma queue.

Celle qui te suce, c’est Monique. (petite et bien enrobée, la soixantaine, brune, des seins qui tombent. Je ne vois pas sa chatte.) Celle qui te bouffe les couilles, c’est Renée. (Un peu plus grande, 55 ans, une poitrine bien haute et sûrement refaite. Châtain clair. Je ne vois pas sa chatte.). Et celle qui t’a retiré ton bijou, c’est Évelyne. (La plus belle des trois, elle doit avoir 40 ans et pratique le naturisme, vu l’absence de marque. Elle est d’un roux flamboyant. Dans la position actuelle, je ne vois pas sa chatte non plus).

Monique est partageuse, elle donne ma bite à sucer à son amie Renée. Elle s’installe sur la pelouse en demandant à Juju de venir lui manger la chatte. Justine s’installe au-dessus et commence un cunnilingus. Renée me quitte et se met dans la même position que son amie, entraînant ma sur. Évelyne se relève et m’embrasse à pleine bouche. Je lui frôle la chatte avec mon monstre. Elle est entièrement épilée. Elle me saisit la queue et me masturbe lentement.

Charles m’avait dit que j’allais être surprise et bien je le suis agréablement. Elle est magnifique.

Merci…

Laisse-les se fouiner, je veux sentir ta bite au fond de ma chatte, et mon cul. Viens me la mettre.

Elle lève une jambe et pose son pied sur une chaise. On dit que les rousses puent, c’est faux. Juste un peu plus suave, plus bestiale. Son odeur m’enivre.

HUMFFFF !!! (Je viens de la pénétrer)

Elle me regarde intensément, elle me mord l’épaule. Je la prends en douceur, mais apparemment, elle préfère être prise comme une sauvageonne. Ça me va. Je lui dis de s’appuyer sur la table en teck, bras tendus.

Tu vas la sentir, crois-moi !

Je m’enfonce dans son conduit brûlant et dégoulinant. Je lui claque les fesses. Un "HAN" de contentement résonne sous le patio. Quand je me retire, il y a Gladys qui me suce et me replace. J’y vais franco et me retire plus fréquemment, pour le plaisir de la petite noire. Puis je décide de changer de trou.

Doucement, par là c’est étroit.

Gladys, qui a tout entendu, lui lèche l’anus. Évelyne n’est plus qu’une poupée de chiffon. Gladys présente mon gland sur la petite rondelle d’Évelyne. Elle ne m’a pas menti, elle est étroite. Il me faut forcer pour passer la barrière de son sphincter. L’ayant vu dans des films pornographiques, je lui claque ses jolies fesses.

OUF, ça fait mal. Tu es gros !

Je la tiens par les hanches et continue ma progression. Mon pubis vient en contact avec ses fesses, je reste immobile. La gentille Gladys s’active sur son beau minou. Je retire à moitié et rentre à nouveau à fond. Elle hurle, mais pas de souffrance, non, elle jouit de mon pâle qui vient de la prendre à fond. Évelyne va même à la rencontre de ma bite. Gladys lui enfonce deux doigts dans la chatte et la branle.

OH, OH… OUI, PLUS VITE, PLUS FORT.

Elle s’affale sur la table. Gladys se relève la gueule pleine de cyprine.

Elle m’a giclé en pleine gueule cette cochonne.

Je m’empresse de lécher ce doux nectar qui m’enivre. Gladys m’embrasse, elle en veut aussi. On s’assoit dans le sofa et on admire les quatre lesbiennes se donner du plaisir.

Gladys nous sert du champagne bien frais. Il est le bienvenu.

Bientôt 17 h 00, nos trois amies doivent s’en aller avant que leurs maris ne rentrent du boulot.

J’organise bientôt une soirée entre filles. J’espère que vous serez là. Voici ma carte, dit Évelyne.

Tout dépend de Mr Charles, lui répond Juju.

J’en fais mon affaire.

Elle embrasse les filles et me roule une pelle en me touchant la queue.

J’ai très envie d’en profiter encore, mais plus longuement, me dit-elle.

Elles s’en vont, après nous avoir embrassées une nouvelle fois. Gladys part en cuisine pour préparer le repas du soir. Je la suis.

Tu as un cul magnifique.

Merci, mais tu ne vas pas te baigner ?

Je t’attends.

Je m’assois sur une chaise et admire ce corps rond. Ses seins lourds ballottent, ils sont appétissants, mais ma contemplation est perturbée par l’arrivée de Gény.

Viens vite. C’est papa et maman, ils rentrent demain.

Quoi ? Déjà ?

Oui, ils ont vendu la maison à leur notaire. Tu sais que maman n’aime pas trop nous laisser seuls.

Merde, mais on ne peut pas partir comme ça…

Juju nous dit qu’elle a contacté Charles et qu’il arrive.

Nous attendons Charles comme le prophète. On est tous en position d’attente. Juju est accroupie, cuisses ouvertes au maximum. Gladys est debout, les mains sur sa nuque et jambes écartées. Gény et moi, sur nos transats. On entend la voiture. Il a dû rentrer par la porte d’entrée. On attend cinq minutes et il apparaît dans toute sa splendeur. Qu’il est beau, nu et la queue fièrement dressée.

Beau spectacle, dit-il, mais pas le temps pour la bagatelle. Gladys, j’ai faim.

Elle part en courant. Il nous invite à nous asseoir sur le sofa, il s’installe sur son fauteuil et poursuit :

Bon, il paraît que vos parents reviennent demain. Qu’à ne cela ne tienne, on ira tous les cinq chez vous pour vous ramener et leur expliquer votre décision de rester chez moi. Ne vous inquiétez pas, on ira en douceur, mais ne leur dites pas de ma venue. Compris ?

Oui, Monsieur, répond Gény.

Bien, à table. Demain on a une grosse journée.

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