Que diable suis-je venue faire dans cette galère ? Les passagers du car immobilisé sur lautoroute enneigée à quelques mètres du Tunnel du Mont-Blanc ont fini par trouver le sommeil, tous sauf moi. Depuis combien de temps on est bloqué ici ? Ma montre à la lueur de la veilleuse dans le couloir central indique 1 h du matin. Dune main je remonte la couverture jusquà mon cou et ferme les yeux.
Une sensation me réveille, les cheveux de ma voisine de siège chatouillent mon cou. La pauvre doit chercher une position confortable dans son sommeil. Jai discuté un peu avec cette jolie blonde dune trentaine dannées qui rejoint son mari et son fils à Turin pour les vacances de février. Moi je dois y retrouver des copines. Et toutes les deux ont est coincées dans ce foutu car à cause de cette foutue neige. Je me rendors.
Un autre mouvement me sort de ma léthargie. Cette fois ma voisine est franchement collée à moi, une de ses mains sur mon pull, tirant à elle une partie de la couverture. Ah ! si elle se savait installée près dune lesbienne Je nai pas la méchanceté de bouger au risque de la réveiller. La pauvre dort, quelle en profite. Mes yeux se ferment à nouveau, pas longtemps.
La main de ma voisine sest insinuée sous mon pull-over, et caresse distraitement mon ventre. Cest délicat comme situation. Elle doit se croire avec son mari, sans doute rêve-t-elle de lui. Je massure dun coup dil que tout le monde dort. Au diable les convenances, la main douce à labri des regards sous la couverture me tient chaud, il ny a pas matière à faire un scandale.
Peu après jécarquille de nouveau les yeux. La main de la voisine sanime, à la recherche dun contact franc, jusquà ma poitrine. Je tourne la tête dans sa direction. Elle dort la tête sur mon épaule, inconsciente de la situation. Après tout il ny a rien de dramatique. Je me laisse prendre de nouveau par le sommeil jusquà…
Cette fois le doute nest plus permis. Les doigts de la voisine ont glissé sous mon soutien-gorge, le relevant par-dessus ma poitrine, puis caressent mes seins tour à tour. Elle est réveillée ce nest pas possible autrement. La situation me dérange et mexcite à la fois. À moi de faire semblant de dormir pour savoir jusquoù la poussera son audace. Et les autres voyageurs dans le car Si la couverture glisse
Ma voisine ne semble pas sen préoccuper, qui accentue ses caresses. Une sensation délicieuse, elle mordille le lobe de mon oreille. Quand je vais raconter ça aux copines Ô putain ! Elle a osé. La tignasse blonde disparaît à son tour sous la couverture. Cest dingue.
Sa langue affole mes tétons, elle les gobe et les agace du bout des dents, sa salive me brûle. Les pointes de mes seins très sensibles sétirent. Sa bouche en mouvement honore ma poitrine avec une science toute féminine pour mamener au comble de lexcitation.
Ses mains ne sont pas en reste, elles sactivent à faire glisser le zip de mon jean. Le bruit de la fermeture éclair va réveiller tout le monde dans le silence ouaté du car endormi. Mais je men moque maintenant, cest allé trop loin.
Ma voisine sactive sans perdre de temps. Ses doigts me fouillent avec délice, courant sur ma vulve trempée et mon clito durci tandis que sa langue continue son ballet endiablé sur mes seins. Cest de la folie furieuse.
Ma jolie blonde sait tout ce qui me plaît, elle me masturbe avec application, dosant brusquerie et lenteur. Mes chairs se dilatent sous ses doigts, lodeur de ma cyprine envahit le car. Je nen peux plus de mouiller ainsi.
Sa main toujours active, elle abandonne mes seins et sort la tête de sous la couverture. Son regard et son sourire tendre mémeuvent à la lueur de la veilleuse, augmentant encore mon état de transe.
Sa bouche se pose sur la mienne tandis quun de ses doigts se concentre à lentrée de mon vagin. Un autre tourne sur mon clito. Je veux jouir, je nen peux plus. La caresse se fait plus appuyée quand sa langue senroule autour de la mienne. Je me gave de sa salive.
Cest le moment dun orgasme profond, long et puissant. Une jouissance extrême qui séternise. Mon bassin projeté en avant maintient le contact avec ses doigts, prolongeant ce plaisir au milieu des passagers endormis. Mon râle dagonie se perd dans sa bouche
« Vous ne vous sentez pas bien mademoiselle ? Vous avez un malaise ? »
Jouvre les yeux, brûlante dune fièvre qui na rien à voir avec un malaise, les vêtements bien en ordre sous la couverture. Mes seins gonflés à létroit dans le soutif, ma culotte est trempée. Ma voisine la jolie blonde est restée sage, ce nétait quun rêve. Dommage.