Maman partit donc rejoindre grand-mère et Virginie j’étais seul sans occupation majeure pour le reste de la journée hormis la piscine, la télé, ou l’ordi,ce fut l’ordi qui l’emporta et une fois ouvert je me mis à me balader d’un site à l’autre lorsque je m’arrêtais sur un site que je n’avais plus ouvert depuis des mois ’Miss nue’,site sur lequel des jeunes femmes s’exposent pour un concours dans diverses catégories ’grosses,moyennes et petites poitrines’.J’en étais là lorsque la porte s’ouvrit pour laisser passer grand mère.
—’ Je ne te dérange pas au moins, je vois que tu es bien occupé je peux revenir à un autre moment’.
— ’Non mammie tu peux rester et d’ailleurs cela commence à m’agacer de voir toutes ces belles chose, cela va me rendre intenable pour le reste de la journée’.’Au fait que voulais tu ? ’.
— ’Rien de spécial, mis à part que je te demanderais de ne pas faire étalage de ce qui s’est passer dans la buanderie entre nous’.
— ’Tu as ma parole mammie ’. Et tout en lui disant cela je l’a pris par les épaules pour l’embrasser sur la joue mais ce fut ses lèvres qui accueillirent mon baiser et qu’elle ne refusa point et tout en l’embrassant ma main partit s’aventurer sur sa poitrine qui me parut énorme, déboutonnant le chemisier je dus constater que le soutien gorge de mammie était très fin presque inexistant et donc ses seins étaient aussi fermes que ceux d’une jeune femme.
—’Comment ce fait t il que tes seins soient aussi dur mammie ils sont aussi durs que ceux de Virginie’.
— ’Tout simplement je les entretiens, gym et produits pharmaceutiques’.
— ’bon garçon il va te falloir arrêter car je pense que ta maman va nous appeler bientôt et il faut que nos tenue soient correctes’
— ’Oui mammie tu as raison, mais je suis très à l’étroit dans mon caleçon’.Et joignant le geste à la parole je lui présentais ma bitte qui gonflait à bloc était plaquée contre mon ventre.
— ’Tu n’ai vraiment pas raisonnable Jérôme’,et se penchant vers ma queue elle l’a prit entre ses lèvres et me pompa jusqu’à l’explosion qui lui emplit la bouche manquant même de s’étouffer en voulant tout avaler. Elle venait juste de remettre de l’ordre dans sa tenue quand nous fumes rejoint par Virginie qui venait nous chercher pour une petite promenade dans les bois avant de souper. Après nous être changer pour cela nous nous mimes en route tous les quatres.Maman avait opter pour une mini légère et un tee-shirt tout aussi léger et moulant qui mettait sa poitrine en valeur,Virginie elle avait adopté la même tenue mais de couleurs différentes, Grand-mère quant à elle ne s’était point changer mis à part les chaussures. Nous étions Virginie et moi en tète suivis par maman et grand mère mais d’une distance qui nous permettait de parler sans être entendus.
— ’Maman m’a drôlement sermonner si elle avait put introduire de la Javel dans ma chatte elle l’aurait fait, je pense que nous devrons faire attention la prochaine fois de ne pas nous laisser surprendre’.
— ’Tu pourrais lui demander de te faire prescrire la pilule’.
— ’Pour encore me faire allumer, car évidement elle va penser que nous allons continuer non il vaut mieux ne rien dire et être peinards’.
— ’Et que t’a dit Mammie,je pense qu’elle a dut comprendre’.
— ’Non, elle m’a simplement demandé de lui montrer quelques paysages sur internet lui répondis-je en mentant’.Nous fumes rejoints et nous regagnames la maison pour le souper.
—’Je pense que tu devrais dresser la table n’est-ce pas Jérôme pendant que grand-mère et Virginie iront chercher le pain au village’
—’ Bon voilà c’est encore moi qui trinque les corvées sont toujours pour ma pomme’.
— ’N’est tu pas puni glissa t elle à mon oreille ? Je crois que tu te dois d’exécuter ta punition selon que moi je le désire, et pour l’instant tu es de corvée et celle ci n’en est vraiment pas une’.
— ’OK maman je vais me laver les mains et je dresserai les couverts ’J’étais dans la salle de bains lorsque j’entendis grand mère qui questionnait Virginie.
— ’Voyons ma petite Virginie qu’as-tu fait pour que ta maman te dispute tantôt’
— ’Rien mammie,maman et tout le temps sur mon dos elle ne peut souffrir que je farniente un peu si tu vois ce que je veux dire’.
— ’Non je ne vois pas, je pensais plutôt à des bêtises que tu aurais faites avec Jérôme qui m’a l’air d’être un drôle de chenapan’.
— ’Non, ce n’est pas cela mammie,tu connais maman d’un rien elle en fait un fromage’.
— ’Ne mens pas petite, je ne suis pas née de la dernière pluie aussi fais bien attention c’est un bon conseil’.
— ’Oui mammie ’. C’est alors que maman entra dans la salle de bain.
— ’Que fais-tu, la table t’attends et moi je ne vais pas tardé à appeler ta soeur et grand-mère. Je posais la serviette sur le support et m’approchai de maman la saisissant par la taille je me collais à ses fesses.
— ’Non arrête ce n’est pas le moment nous verrons plus tard’ dit elle en se dégageant.
Après avoir dressé la table pour le souper maman les appela et nous passames à table. Durant le repas la conversation revint sur ma mise à l’écart de la demeure familiale à la rentrée.
— ’Non je ne veux pas aller en internat’.C’est alors que mammie pris la parole et dit.
—’Mais enfin pourquoi diable veux tu qu’il reste interne cette année,si c’est ainsi je pense qu’il vaudrait mieux qu’il vienne chez moi et comme cela tu feras économie des frais de pension’.
—’Mais maman lui dit-elle il sera une charge pour toi et te donnera des soucis’.
—’Pas plus que toi et ton frère lorsque vous étiez avec moi’
—’Mais ce n’est pas la même chose et….’Ne lui laissant pas terminer sa phrase grand mère me demanda .
— ’Jérôme veux tu venir chez mammie à la rentrée ?’
— ’Oui mammie je préfère cela à l’internat’,
— ’L’affaire est réglée donc tu viendra avec moi dans quinze jours comme cela tu pourras t’installer dans ta chambre car il faudra que tu l’amménages,nous achèterons du papier selon tes goûts et tu feras cela avant la rentrée.’
Il devait être 21 heures lorsque le souper terminé je regagnai ma chambre et mis la radio en route et fini par m’assoupir. Mon assoupissement fut de courte durée car étant de nature ’sommeil léger’ je senti la présence de quelqu’un près de moi ce qui m’amena à ouvrir les yeux, c’était Virginie qui était tout bonnement à genoux près de mon lit et qui me comtemplait.
— ’Que fais-tu là ?’ lui demandais-je.
— ’Rien, je me demandais si tu me laisserais dormir avec toi cette nuit’.
— ’Mais tu n’es pas bien ma pauvre fille pour que l’on se fasse pincer’.
— ’Non quand grand mère et maman se seront endormie je viendrai te rejoindre, tu sais bien que maman à le sommeil lourd et que grand mère prends ses pilules pour dormir.’
— ’C’est vrai je n’y avais pas songer, bon tu fais comme tu veux’.
— ’Bien à tout à l’heure’ et elle regagna le salon, et moi j’en profitais pour me préparer pour la nuit, nuit qui allait être agitée. Une fois prêt j’allais saluer les trois générations de femmes leurs souhaitant une bonne nuit. Passant par la cuisine je pris ma bouteille d’eau minérale et un verre et m’empressa de regagner mon lit. Ce fut vers 0 h 30 que ma porte s’ouvrit pour laisser entrer Virginie qui se coula rapidement le long de mon corps après avoir ôter sa chemise de nuit.
— ’Tu es certaine que tout le monde dort’.
— ’Oh que oui elles ronflent toutes les deux je m’en suis assurée’ me dit-elle tout en caressant ma poitrine et se mit en devoir de rendre visite à mon bas ventre le parcourant de baisers ce qui provoqua le réveil de ma virilité qu’elle se mit en devoir de pomper, sa croupe m’avait enjamber se qui amena sa fente à hauteur de mes lèvres et je me mis à lui rendre les coups de langues savants qu’elle me prodiguait. Ma langue allait et venait entre les grandes lèvres et je m’attardais sur son bouton qui se mit à enfler et durcir et le prenant entre mes lèvres je l’aspirais ce qui déclencha un orgasme à Virginie qui poussa un long feulement et retomba sur le coté après m’avoir inondé le visage de sa jouissance. Après avoir repris ses esprits elle se remit sur le dos près de moi qui bandait et qui voulait se soulager, je me plaçais entre ses cuisses et me remis à lui brouter la fente elle me tenant la tète ce fut à l’instant que je choisis pour aller me loger dans son puits d’amour que je sentis une main qui s’emparât de ma bitte pour la guider dans le fourreau chaud et accueillant de Virginie.Je réalisais que c’était maman qui voulant certainement vérifier la cause de son réveil et ne trouvant pas Virginie dans sa chambre, nous trouva en plein amusement et décida de se joindre à nous. Guidé par la main maternelle ma bitte n’eut aucun problème pour se loger jusqu’à la garde dans le ventre de Virginie. J’étais tellement puissant car excité rien que de savoir que maman participait Virginie avait un peu de mal à chaque coup de boutoir. De mon côté je redoublais de vitesse entrant et sortant du vagin, maman qui sentit que l’eruption allait se produire,essaya de me faire sortir afin de ne pas inonder la chatte filiale afin que je crache mon venin en dehors chose que je ne pus satisfaire et me répandis à nouveau dans la grotte poisseuse de mouille qui pleine de foutre débordait et coulait en dehors se répandant sur les draps. Maman était à nouveau fâchée de cela.
— ’Vraiment tu es horrible, tu cherches à la mettre enceinte, tu ne peux pas te retenir’
— ’Mais j’en ai marre moi d’être toujours obligé de me finir à la main’.
— ’Il n’ya pas que le vagin, il y a aussi un autre endroit tout aussi accueillant et avec lequel il n’y a aucun risque’.
— ’Oh la bouche mais ce n’est pas la même chose’.
— ’Non Jérôme lorsque tu seras à nouveau en état de satisfaire je te montrerais comment procéder, en attendant toi Virginie va donc faire une bonne toilette de ton minou et tache de ne pas faire de bruit’.
— ’Oui maman de toute façon mammie dort comme un loir, elle ne risque pas d’entendre quoique ce soit’.Et elle s’en fut dans la salle de bain et moi je restai seul avec maman.
La suite sera publiée après mes vacances