La sur de Fred

Nous avions une maison à côté de l’abbaye Saint-Victor à Marseille, surplombant de cinquante mètres les bassins annexes du vieux-port et l’entrée du tunnel automobile du même nom. Fred, avec lequel je venais de passer mon bac, venait me rejoindre tous les après-midi dans le jardin, petit paradis au cur de la ville, et nous parlions de tout. Nous nous étendions au soleil et bientôt, très à l’aise avec nos corps, nous bronzions nus, sans gêne et sans ambiguïté. Fred avait une mère irlandaise et un père alsacien; il avait une peau claire et les poils de son sexe étaient blonds, son bronzage léger. Il veillait à tout de même ne pas rester trop longtemps au soleil, même si refaire le monde nous prenait parfois plus de temps que prévu.

Ce jour-là, vers quatre heure, la faim se fit sentir; nous nous rhabillâmes légèrement et j’allais à la boulangerie d’à côté acheter des navettes marseillaises, délicieux biscuit sec à la fleur d’oranger. L’apprentie qui y travaillait s’appliquait à ramasser les navettes par douzaines et à les mettre en sachets. Ce faisant, elle se penchait en avant et ses larges mamelles étaient offertes à notre vue; avec la chaleur d’aujourd’hui ses tétons étaient visibles car elle ne portait pas de soutien-gorge. Je poussais Fred du coude en lui désignant l’objet de mes regards; celui-ci sourit légèrement en apercevant l’opulence des seins de l’apprentie.

Sortis de la boulangerie, nous dégustions nos navettes en suivant notre conversation de jeunes hommes.

— Tu as vu cette paire de lolos ! En plus, il n’y avait rien pour nous les cacher …

— Oui, c’était sympa.

Une fois rentré, Fred me posa des questions sur ma vie sexuelle, pendant que nous nous mettions nus, à nouveau.

— Tu as une petite copine ?

Non, je n’en avais pas. Et non,je n’en avais pas eu auparavant. Et je n’avais jamais embrassé de fille non plus, tout juste en avais-je tenu une par la main. Nue en vrai ? Ah non,je n’en avais jamais vue. En bref, je devais bien reconnaître que j’étais un puceau complet du haut de mes dix-huit ans de bachelier.

— Et toi, tu as une copine ?

Oui, il en avait une bien sûr. Et il en avait eu d’autres avant. Et il avait fait l’amour plusieurs fois. Il me raconta en détail comment on prépare une fille à l’amour et comment on la pénètre. Son récit me faisait bander et lui aussi. Il me raconta même que sa copine l’avait sucé la semaine dernière et que prise par le torrent de ses désirs, elle l’avait laissé éjaculer dans sa bouche.

Cette dernière précision fit tressauter mon pénis et enflamma mon imaginaire.

— Et bien ! Tu en as de la chance !

Après cela nous nous rhabillâmes, se donnant rendez-vous le lendemain pour un nouvel après-midi de farniente.

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A deux heures, Fred se présenta en compagnie d’une demoiselle.

Sophie, me fit-il; c’est ma soeur.

Nous allâmes nous installer au jardin. Sa conversation m’intéressait car elle venait de rater sa première année de médecine, et je m’apprêtais à suivre le même cursus.

Fred nous interrompis.

— D’habitude nous bronzons nus; cela ne te dérange pas j’espère ?

Et il se déshabilla. J’étais un peu gêné et me mis à rougir à la pensée d’envisager l’éventualité de la possiblité de me mettre peut-être nu devant une jeune fille. Non, je n’oserais pas !

Sophie tira sur la ficelle dans son dos et fit tomber le haut de son maillot de bain; puis elle souleva les fesses et retira également le bas, se remettant sur la serviette, à plat ventre.

Ce geste, bien que ne voulusse pas le laisser paraître en m’appliquant à continuer la conversation, me troubla comme peut l’être un puceau qui aperçoit les fesses nues d’une jeune fille toute proche.

Je me sentis alors dans l’obligation de mette ma tenue en conformité avec celle de mes invités et, m’empêtrant lors de mon déshabillage nerveux, je me vautrai sur ma serviette, le slip coincé à mi-jambe et la tête dans mon t-shirt.

— Je vais t’aider, me dit Sophie, et d’un geste que je ne pus voir, elle retira prestement mon slip, faisant saillir mon appendice viril bandé.

Le reste du temps je devisais avec Fred comme si sa soeur n’était pas là. Elle semblait ne pas me « calculer », comme on dit ici. Indifférente, elle offrait son corps au soleil. Je pus admirer ses seins en coulant un regard dans sa direction; ils étaient de bonne taille et fermes.

Plus tard, Fred nous proposa un jeu de tarot, pour lequel nous nous mîmes en tailleur. Derrière mes lunettes noires, je ne m’intéressai exclusivement qu’à la chatte de Sophie. Sa vulve était rasée avec application, tandis que sur le haut du pubis frisait une délicieuse toison rousse, assez fournie pour tout dire. Prise par le jeu, elle avait nonchalamment écarté les cuisses, et je zoomais sur les plis délicieux de ses lèvres intimes. Un geste un peu brutal me fit découvrir son petit clitoris, juste à la séparation des petites lèvres, comme je l’avais vu maintes et maintes fois dans les encyclopédies; au bout de quelques secondes le lent mouvement d’une lèvre molle finit par le recouvrir.

Je jetai un roi, alors que la couleur venait d’être coupée, ce qui me valut l’étonnement de mes adversaires. Je me concentrai à nouveau pour tenter de rester crédible, mais Sophie écarta à nouveau délicieusement son fruit d’été et je n’eus plus d’yeux que pour lui. Nous jouâmes ainsi pendant une heure, ce qui me provoqua une érection totalement indiscrète, et qui dura pratiquement la durée du jeu, avec quelques amollissements lors de mes phases de concentration sur le jeu de tarot.

Vers quatre heures, nous nous revêtîmes pour nous fournir en navettes à la boulangerie et après le goûter, ils rentrèrent.

Seul, je revis en détail la beauté du sexe de Sophie et caressant ma verge, je fis des mouvements de va-et-vient de plus en plus rapides. J’éjaculai abondamment mon sperme, comme un hommage silencieux rendu à la soeur de Fred. Cela ne me suffit pas, et je recommençai aussitôt, éjaculant après un bon quart d’heure de masturbation. Cette même nuit, le désir me réveilla et je me branlai vigoureusement en pensant à l’abricot juteux de Sophie.

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Chaque jour de la semaine, nous passions les après-midi nus tous les trois. Sophie me parlait peu, me dévoilait son corps sans pudeur, tout naturellement, et j’attendais le tarot pour regarder et regarder encore ce sexe dont je ne pouvais me lasser. Alors, nous entamions la conversation au cours de laquelle je faisais preuve d’agilité et essayais de piquer sa curiosité. La demoiselle ayant beaucoup d’esprit, ses réflexions me laissaient songeur et je ne savais souvent plus quoi répliquer. Je revenais alors à mon délicieux voyeurisme, toujours protégé par mes lunettes de soleil, contemplais son con exposé. J’aurais aimé le posséder, mais me sentais trop gauche pour tenter quoi que ce soit auprès de sa propriétaire, qui ne se laissait visiblement pas impressionner par mes longues érections quotidiennes.

Sitôt qu’ils étaient partis, je me masturbai pour vider mes testicules de ce trop plein d’images érotiques. J’éjaculai trois fois par jour, parfois quatre, tant la sollicitation était intense et longue.

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Manon la coquine

Et puis septembre vint, je partis m’installer à Montpellier pour étudier, tâchant de chasser ces images d’innocence érotique, d’oublier le bonheur que la nudité des corps exposés au soleil procure. Dans la rue, je n’en avais que pour les rousses et les peaux à taches de rousseur. Il m’arriva de revenir quatre fois dans le même magasin de vêtement pour discuter avec la jolie vendeuse à la chevelure rougeoyante et au décolleté avantageux. Sa copine passa près d’elle et lui chuchota « vas-y qu’est-ce que tu attends ? » et la vendeuse me mit sur un bout de papier son numéro de téléphone en m’expliquant qu’en cas de difficulté, elle ferait son possible pour me satisfaire. Je quittai le magasin sur cette formulation ambiguë, et la rappelai le soir même.

Tout se passa très vite; elle me proposa de passer chez moi, m’enlaça puis se déshabilla sans que je lui demande. En moins d’une heure j’avais gagné une copine, perdu mon pucelage et ma liberté toute neuve de célibataire.

Manon avait le corps souple et la chatte souvent ouverte. J’imposais rapidement la règle que nous vivrions nus à la maison, ce qu’elle accepta. Ce fut pour nous une grande source de plaisir charnel, car cette proximité des corps, conjuguée à notre jeunesse, nous donnait envie de faire l’amour tous les jours et même deux ou trois fois dans la même journée. Au fil des jours, nous inventions des fantasmes. Celui qui amenait Manon au septième ciel le plus rapidement consistait à l’exposer à un inconnu et à la regarder baiser avec lui. J’avoue que cela m’excitait aussi. Nous en parlâmes et je lui dit que j’aimerais réaliser ce fantasme.

Pourquoi pas me dit-elle, si cela nous fait plaisir à tous les deux ?

Le lendemain, j’invitais un ami à passer pour l’apéritif, j’appelai Manon au téléphone pour lui annoncer. Elle me demanda si elle devait s’habiller ou rester nue, et par goût du défi et envie de voir jusqu’où Manon pouvait aller, je lui dit que bien sûr elle serait nue puisque c’était la règle. Lorsque j’entrai avec Louis, Manon, nue, nous fit la bise pour nous accueillir. J’expliquai à mon ami que nous vivions nus chez nous, puis me déshabillai.

Dois-je me mettre nu moi aussi, s’enquit Louis ?

Tu fais comme tu veux, soit à l’aise.

Il finit par nous imiter, et dévoila son sexe qui surplombait une grosse paire de couilles.

Manon observait son sexe et avait le sourire. Un instant nous tînmes une conversation discrète :

Ça te plaît ?

Oui, j’adorerais prendre ses couilles en bouche.

Écarte un peu tes cuisses, et allume-le !

Elle se tourna vers lui, cuisses ouvertes et lui montra sa chatte.

Tu aimes ? lui dit-elle

Il hésita mais répondit avec franchise :

    – tu as une minette vraiment très bandante

Toi, ce sont tes couilles qui me font craquer

Elle palpa les objets qu’elle convoitait, ce qui fit bander Louis; puis elle le branla. Enfin, elle s’agenouilla, le prit en bouche, suça longuement son membre, puis le ressortit de sa bouche pour lécher les testicules. Elle ouvrit grand sa bouche et goba une couille, s’étouffant presque, mais n’arriva pas à l’absorber entière.

je suis sûr qu’elles sont pleines de jus.

Alors elle le suça avec application tout en le masturbant de la main droite. Je regardais ce spectacle hallucinant en me masturbant. Ensuite, Louis fut secoué de soubresauts et il éjacula dans la bouche de Manon. Ceci sembla la combler au-delà de ses espérances. Elle me tira la langue pour montrer tout le sperme qu’elle avait pu recueillir, puis avala goulûment.

Ensuite nous discutâmes et Manon nous dit tout le plaisir qu’elle avait eu à ce que je la regarde.

Lorsque Louis fut parti, nous fîmes l’amour avec beaucoup d’enthousiasme, je luis disais :

Tu as aimé le sucer ?

Oh oui, j’aimerais même qu’il me baise.

Moi aussi j’aimerais voir sa queue rentrer en toi.

Cette dernière phrase nous emmena touts les deux à l’orgasme immédiatement.

Le lendemain, elle me dit :

Tu n’aimerais pas rappeler Louis ?

Tu as envie qu’il te baise ?

Oui, beaucoup! Et toi ça te ferais plaisir ?

Oui, ça doit être un spectacle fabuleux de voir Louis te baiser et déclencher ton orgasme.

J’invitais Louis à venir, il se doutait de ce que la proposition signifiait. Manon l’accueillit, nue, par un long baiser. Il se déshabilla rapidement et je leurs dit de venir dans la chambre.

Nous jouions nus sur le lit; nous les hommes, nous caressions les seins et la vulve de Manon tandis que celle-ci prodiguait des caresses à nos queues raides avec sa main, avec sa bouche …

Je saisit la queue de Louis dans ma main droite, et lui dit : approche !

Il se laissa faire et, tenant toujours fermement sa queue, je l’approchais du vagin de Manon. Puis lorsqu’il fut tout contre, je fit rentrer le gland d’une poussée. Le message était clair et les deux se lancèrent dans un va-et-vient endiablé, qui dura quelques minutes. Louis maintenant avait des mouvements de plus en plus désordonnés, signe qu’il approchait de l’orgasme.

Il va bientôt éjaculer, dis-je à Manon

Oui! Oui! fit-elle et son orgasme atteint son paroxysme.

Le corps de Manon était arc-bouté dans le plaisir, vulve saillante; elle fermait les yeux et gémissait son plaisir sans retenue, se donnant complètement à son amant et au plaisir d’être observée. Alors Louis donna plusieurs coup de bassin très violents qui signifiait qu’il vidait sa semence dans ma copine; le spectacle était d’une beauté à couper le souffle, et je regrettais de ne pas les avoir filmé.

Il ressortit sa queue et je pus voir un filet de sperme couler de la vulve de Manon.

Je me précipitais vers mon appareil photo pour garder un témoignage de ce beau moment.

Ensuite, il y eut un temps calme et je me mis à caresser Manon. Celle-ci se laissa faire et je finis par la pénétrer. Je nageais dans le sperme, mais cela ne me dérangeais pas. Louis nous regardait en se masturbant, ce qui excitait ma copine. Nous eûmes un orgasme tous les deux, puis Louis vint éjaculer dans la bouche de Manon, à la demande de celle-ci. Enfin la soirée, s’acheva avec le départ de notre invité, mais cela n’augurait que d’une suite torride.

Effectivement, le lendemain en rentrant après les cours, j’entendis des cris de plaisirs qui venait de la chambre à coucher; je me dépêchais pour voir, dans la chambre, Manon se faire sodomiser par Louis. Au bout d’un moment, ils m’aperçurent et Manon dit à Louis de cesser. Elle m’invita à prendre place en elle.

Encule-moi vite, me dit-elle.

J’entrai dans son anus dilaté et laissai libre cours à mes désirs exacerbés pendant que Louis se branlai. Ensuite nous changeâmes encore nos places, et Louis put éjaculer dans le cul de Manon. Je me mis à me branler et éjaculai dans la bouche de Manon.

Plus tard, Louis baisa encore Manon sous mes yeux. Ils s’entendaient bien sur le plan sexuel et ça se voyait.

A partir de ce jour, Louis habita avec nous, et tous les jours en rentrant je les trouvais nus en train de jouer avec leurs sexes. Nous faisions l’amour à trois, pour notre plus grand plaisir. Manon semblait insatiable et ne refusais jamais son corps à l’un de nous deux. J’aimais assez la voir se faire prendre par Louis, j’aimais sentir le sperme de Louis dans son vagin ou dans son cul.

Petit à petit, néanmoins, s’installa une préférence pour Louis et au bout de quelques mois de sexe éclatant, je me résolus à les voir partir pour s’installer en couple. Les liens n’étaient pas rompus, et j’allais parfois leur rendre des visites de courtoisie pendant lesquelles je profitais encore un peu du corps de Manon.

tu viens te vider les couilles ? me dit-elle, un jour en me voyant

Euh, non je passais prendre des nouvelles

Allez, ne sois pas timide me dit Louis, tu sais bien que Manon aime baiser.

Bon d’accord, dus-je reconnaître, je viens pour me libérer de mes pulsions sexuelles.

Sur ces mots, Manon, baissa sa jupe et sa culotte, ouvrit en grand les cuisses sur le canapé et me dit chaleureusement:

Prends-moi.

J’entrais dans sa chatte moelleuse sous le regard de Louis, qui lui flattait les seins pendant l’acte. J’éjaculai rapidement et tous les trois nous nous mîmes à discuter après cet interlude comme trois amis de toujours.

Sophie

Malgré les largesses épisodiques de Manon, j’étais maintenant seul. D’un côté, ce n’était pas plus mal, car il fallait que je sois à cent pour cent dans mes études. Je travaillais d’arrache-pied, du matin au soir et parfois une partie de la nuit. Début juin, les examens étaient passés, et je m’offrais de la détente, en allant chaque jour à Palavas, sur la plage naturiste. Je me promenais nu au bord de l’eau, profitant parfois de la vue sur un sexe féminin offert quand j’entendis une voix m’appeler. Je me retournai et vis une jeune femme nue courir vers moi; ses seins ballottaient au rythme de sa course et, faisant un effort de concentration intense, je déplaçai mon regard sur son visage. Sophie ! C’était Sophie, la soeur de Fred ! Mon cur fit un bond et se mit à cogner très fort. Instantanément, j’étais redevenu amoureux de ce corps si souvent dévoilé.

Je lui fit la bise sans réfléchir et eut la joie de sentir ses tétons frotter contre moi.

Que fais-tu ici ?

J’ai réussi ma première année et je recherche un appartement pour étudier à Montpellier. Et toi ?

J’étudie ici, et j’ai aussi réussi.

Le bonheur de nous retrouver ce lisait sur nos visages. Nous batifolâmes dans l’eau.

Elle me sourit et tandis que nous marchions nous parlâmes de ce bel été où nous nous retrouvions nus au jardin avec son frère.

Le soleil déclinait dans la fin d’après-midi et elle m’invita dans sa petite chambre, me demandant si nous oserions nous découvrir comme nous l’avions fait à chacune de nos rencontre. A mon acquiescement, elle passa T-shirt et soutien-gorge par dessus-tête, me laissant admirer sa poitrine qui avait encore un peu grossi, puis défit sa jupe et retira en un seul mouvement la jupe et sa culotte.

Voilà, me dit-elle se montrant nue devant moi.

Je regardais sa chatte épilée, mais ne pus m’attarder car je ne portais pas de lunettes de soleil pour cacher mon regard.

Je vais en faire autant, lui dis-je en déboutonnant mon pantalon puis en le baissant avec mon slip. Ma queue jaillit devant elle, car mes sens s’étaient rapidement échauffés devant sa nudité.

Quel bel hommage tu me rends, me dit-elle mutine.

Puis elle se tourna vers l’évier pour préparer le café qui était censé justifier l’invitation. Ses fesses qu’elle me tendait en se haussant pour prendre le paquet se trouvant sur l’étagère ne calmèrent pas mon excitation et même enflammèrent mon imagination car non seulement je voyais ses rondeurs attirantes, mais entre la raie de ses fesse et parce qu’elle avait écarté ses jambes pour avoir un appui plus stable, je voyais saillir ses lèvres et l’orée de son vagin, tout rose et, me semblait-il, humide.

Moi aussi je suis ému, mais ça se voit, lui dis-je.

Tu veux voir mon émotion ? Elle a une traduction physique elle aussi.

Elle s’allongea sur le lit et écarta ses cuisses en grand. J’avais une admirable vue sur sa vulve ouverte , ses petites lèvres et son clitoris.

Que vois-tu ? Ne suis-je pas excitée ?

Je vois que tu es mouillée entre les cuisses, pas de doute tu es bien excitée.

Toi aussi, je vois ta queue tellement tendue.Viens sur moi et pénètre-moi

Déjà ?

Oui, j’en ai tant rêvé l’été dernier, je crois que c’est le moment.

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