Pour la troisième séance, il y eut du changements.
D’abord, les transformations physiques intervenues sur ma femme étaient une réalité et avaient commencé à me convaincre que tout n’était pas supercherie. Ensuite, et peut-être surtout, je m’étais laissé exciter par ces séances de baise hors du commun. Enfin, on rompit avec le cérémonial précédent.
Certes, nous nous étions déshabillés comme les fois précédentes, mais cette fois je n’avais pas été obligé de grimper sur cette chaise très haute d’où je dominais la scène. Cette fois, on m’avait passé un collier autour du cou et des menottes et j’étais enchaîné au mur.
J’avais assez de latitude cependant pour me déplacer assez loin mais j’étais privé de la capacité d’intervenir.
Les deux mecs arrivèrent complètement nus. Aldéric tenait en laisse deux chiens, mais là tout ce qu’il y avait de plus ordinaires. Ils étaient déjà tendus rouge et savaient parfaitement ce que l’on attendait d’eux. C’étaient, à ce que je pus en juger deux sortes de doberman ou un croisement de cette race avec une autre aussi grande.
"Mettez-vous à quatre pattes".
Clara trouva immédiatement la bonne position et le premier chien trouva également le bon chemin. Il n’y eut pas de préliminaires. La saillie fut immédiate. De la main, Aldéric, dut guider la pine à l’entrée du vagin et elle s’enfila alors d’un seul élan, sans résistance, à croire que l’excitation de ma femme lui avait déjà préparé le terrain.
"Approchez-vous et regardez".
Je fis ce que l’on me demandai.
"Glissez-vous sous votre femme".
Ce fut l’affaire d’un instant. Ainsi je pus voir tout le processus de la pénétration canine. La chatte était bien pleine et dégoulinait légèrement d’un liquide plus opaque que la mouille. Le chien commençait déjà à éjaculer.
La base de sa verge enflait rapidement. Alors il poussa plus fort et le tout glissa entre les deux lèvres où il atteignit sa taille maximale. Ainsi verrouillé, le chien se libéra et jouit déchainant une cascade de cris et de gémissements de la salope qui se régalait.
Quelque minutes après avoir éjaculé, la bite du chien dégonfla et il se retira. Un flot se foutre m’inonda le visage. Le chien aussitôt dégusta son propre sperme qui lentement se déversait le long des cuisses. Il bavait diluant sa lourde semence et ce mélange pleuvait sur mon visage. Je dus fermer les yeux et les essuyer à plusieurs reprises avant de les rouvrir.
Je n’eus pas le loisir de changer de place que déjà le deuxième chien s’approchait. Cette fois, je le guidai moi même vers le trou, empoignant avec précaution son vit lisse et dur comme le roc.
La nouvelle saillie fut aussi vigoureuse que la première.
Ainsi positionnés en 69, ma femme n’avait qu’un petit mouvement à faire pour me sucer. Elle y fut vivement invitée.
Au dessus de ma tête, le chien se déchainait. Ses grosse burnes volaient comme une balançoire et me frôlaient le front. L’air embaumait d’une puissance odeur de rut. J’étais fasciné par la masse rouge qui écartait si fortement les grosse lèvres que mes yeux contemplaient, charnues et gonflées comme de gros fruits frais et murs.
Je constatai qu’elle avait encore progressé en fellation. Sa langue jouait délicatement avec mon gland, zigzaguant sur la collerette, fouillant le méat, recalottant et tournoyant entre le prépuce et le nud. Elle suçotait la hampe, s’y arrêtait par endroits pour y faire un suçon, me bouffait les roustons tout en masturbant mon manche solide et avide de plaisir.
Le chien était rapide et violent dans ses coups de rein. Les nichons, accusaient les coups de pine en me chatouillant le ventre de leur extrémité turgescente.
Elle eut un nouvel orgasme pendant lequel, elle se cramponna fortement à mon pieu presque qu’à le broyer, en hurlant tout son plaisir. Puis, soulagée, elle reprit mon zob en me le mordillant. Le chien poursuivait sa saillie allègrement.
Il était très endurant, plus que moi. Je finis par me tendre, m’appuyai sur les talons pour cambrer mes reins et bander tout les muscles de mon cul. Je sentis le foutre jaillir , sans doute sur le visage de Clara qui me lécha ensuite le pubis pour y ramasser les flaques épaisses et me nettoyer le jonc avec application me faisant gémir à cause de l’hyper sensibilité du gland après l’éjaculation.
Enfin, de longues minutes après moi, le chien découilla à son tour
Après qu’il l’eût ainsi profondément arrosée, qu’il l’eût léchée en s’appliquant bien à n’ignorer aucun millimètre de la raie, ce qu’il lui fut impossible d’omettre tant elle tortilla du cul pour lui présenter les moindre recoin de son sexe, Pacôme et Aldéric conduisirent ma femme jusqu’à la statue de Priape. Désormais elle était préparée pour l’offrande au Dieu. Le colosse de Pierre avait été allongé sur le sol, le phallus dressé comme un obélisque droit vers le ciel.
Il la soulevèrent et l’empalèrent dessus. Long d’au moins quatre-vingt centimètres, elle dut l’enjamber et quand il lui percuta bien le fond du trou, elle posa les pieds au sol pour monter et descendre sur la très large colonne dont le quart à peu près disparaissait entre les chairs béantes qui paraissaient vouloir l’engloutir tout a fait, le dévorer en entier, s’en repaitre sans limites.
Clara se caressait les seins tout en dansant sur le pieu gigantesque.
Aldéric s’approcha par derrière et il lui saisit les hanches. Elle s’immobilisa le temps qu’il l’enfile par derrière et il commença à la bourrer dans une sodomie frénétique. Le phallus de pierre luisait de cyprine. Très vite Aldéric vint au bout. Il empoigna les nichons comme un aigle sa proie dans ses serres, se pencha au maximum en arrière et éjacula dans un râle sourd, guttural, presque animal.
A ce moment, on entendit un bruit fort, bizarre, une sorte de mélange de beuglements et de hennissements.
Les deux mecs s’écrièrent "Equi priapi et taurus priapis", les chevaux et le taureau de Priape…
Bigre !
Pacôme l’encula à son tour. Sa grosse bite noire lubrifiée par le sperme de son compagnon fut avalée dans le trou. Il donna de vigoureux coups de rein sortant presque intégralement son chibre pour l’y replonger. A l’approche de l’extase il accéléra puis se cambra pour lâcher son foutre.
Les mêmes bruits d’animaux se firent entendre.
Alors ils descendirent Clara de la statue et vinrent la coucher sur un autel très étroit et très bas. Ils me lièrent en dessous. Je ne pouvais voir qu’un bout des fesses dépassant de la table. Ils glissèrent une grande bassine à l’aplomb des fesses. Je crus que c’était pour lui demander de pisser dedans. Alors il lui bouffèrent la chatte encore toute remplie de sperme canin jusqu’à ce qu’elle crie de plaisir.
A ce moment quatre chevaux entrèrent.
Au dessus de l’autel, ils installèrent un portique et je compris que c’était pour que le cheval pose ses jambes avant.
Le premier étalon s’avança et se leva pour saillir. Aldéric guidait le sexe. Très long et très large, je sus qu’il ne pouvait entrer entièrement. Placé d’où j’étais je pus cependant voir le gland disparaître. Aldéric retenait le cheval pour qu’il n’avance pas trop. Un autre cheval s’était mis à coté. Comme l’autel était assez bas, je pus voir Pacôme attraper la bite du cheval suffisamment souple et longue pour qu’elle dépasse à gauche du ventre. Je compris qu’elle allait sucer le canasson.
Le premier cheval éjacula très vite. Un torrent de sperme s’écoula dans la bassine. Le cheval se retira de lui même et vint prendre la place de son compagnon. Je vis ma femme attraper le manche qui débandait mais restait vigoureux, au gland tout recouvert de foutre et elle le goba comme le bruit de succion me l’indiqua.
L’autre cheval la grimpa aussi vite et promptement que le premier. Il vint ajouter un beau volume à la bassine.
On me détacha pour m’immobiliser à nouveau devant ma femme qui fut mise sur le ventre, les jambes très écartées pour être montée par un troisième étalon.
La dilatation du vagin lui permit d’introduire le gland aussi naturellement que s’il c’était agi d’une jument. Il me sembla cependant que la bite entrait plus profondément. Le cheval n’eut pas besoin d’aide. Il saillit avec ardeur mais sans violence. Sa grosse paire de couilles oscillait lourdement. C’était un spectacle magnifique.
Ma femme aurait dû crier mais sa bouche était trop occupé. Un autre canasson lui présentait en effet son cul pour qu’elle pût téter les testicules qu’elle tenait bien en main en les attirant vers elle.
Enfin le cheval hennit. Le choc final approchait et elle lâcha la paire pour se cramponner à la table et hurler de joie. Le foutre jaillit en geyser sous la pression; le cheval se retira rapidement éjaculant encore, aspergeant les fesses et le dos et privant la bassine d’un apport substantiel.
Le quatrième reprit la place. Son vit me semblait plus gros et plus long. Effectivement la pénétration fut plus difficile et ma femme cria cette fois de douleur mais brièvement avant de reprendre vite sa complainte de jouissance.
Comme pour le précédent, le pénis ne rentrait pas en entier tant s’en faut mais il me parut qu’elle devait en avoir au moins 25 cm et je me demandai si la chatte pouvait être souple à ce point.
Les saillies se succédèrent. La bassine remplie de foutre était régulièrement vidée dans une sorte de baignoire plus basse qui se remplissait peu à peu.
Enfin, l’autel fut placé plus bas de façon à ce que ma femme pût se glisser sous le ventre des animaux qui défilèrent, bites empesées, droites, énormes, entre les nichons. Ainsi, elles les masturbait entre les mamelles. Suivant la taille du membre, les couilles reposaient sur le pubis ou les cuisses et s’y promenaient insensiblement. Les glands explosaient les uns après les autres entre les seins ou sous le menton. Les flots de jus recouvraient le corps, inondaient le visage, s’écoulaient des deux côtés vers les bassines. Elle s’essuyait les yeux et reprenait. Quand ses mains furent fatiguées de maintenir les globes couverts de semence autour des vits qui se succédaient, je dus branler moi-même les chevaux.
Enfin, les équidés se retirèrent. Ma femme était recouverte d’une épaisse couche blanche qui continuait à dégouter. Les cheveux en était plein.
Les acolytes toujours à poil firent alors entrer un énorme taureau blanc.
La bête, placide, avançait mollement et me fit penser à cet animal que les matrones à Rome allaient toucher pour devenir fécondes.
La bête se mit en position avec difficulté. Il fallut que ses membres antérieurs s’appuyassent sur le portique soulevant l’énorme poitrail avec peine. Alors la bite commença à s’allonger.
Je protestai, je suppliai les gars de s’arrêter là. Aucun être humain ne pouvait supporter un engin pareil. Ce sexe était dessiné comme celui d’un homme, le gland très dessiné, mais la queue faisait plus d’un mètre de long et un diamètre plus gros que ma cuisse.
"Vous êtes fous ! Ça ne peut pas rentrer ! Laissez-là, vous allez la tuer ! Arrêtez, arrêtez tout de suite, vous m’entendez"!
Je me débattais dans mes chaînes.
Aldéric s’approcha de moi: "Ne crains rien. N’as-tu pas vu qu’elle a pu être introduite par les chevaux sans dommage ? Priape donne à ses servantes la souplesse voulue pour absorber tous les membres qu’il veut".
Et ce fut vrai. Je vis l’énorme gland se poser sur les lèvres et la fente s’élargir pour le laisser entre. Le corps de ma femme ondula comme un serpent. Il me sembla même qu’elle s’étira et la verge entra en entier jusqu’au couilles qui avaient chacune la taille d’un ballon. Il était impossible que les organes et que la colonne vertébrale ne fussent pas broyées par ce qu’il se passait. La pénétration ne dura que quelques minutes et l’animal ne bougea pas d’un pouce. Ma femme, également immobile gémissait timidement de plaisir. Le gros vit se retira, et le corps se vida de litres de liquide tel qu’on aurait dit du lait. Il y eut un court instant ou la pine de l’animal oscilla de bas en haut, se bloqua enfin en hauteur et le gland, violacé, doubla presque de volume, libérant un jet tellement puissant que la table en recula.
La baignoire était remplie de foutre. On m’y fit entrer. Je m’y assis. J’avais du sperme jusqu’à la taille. Ma femme, épuisée, bougeant comme une automate m’y rejoignit.
Nous dûmes forniquer dans cette pataugeoire dans toutes les positions. En missionnaire, le corps de Clara disparaissait sous la crème odorante. Elle dut s’appuyer sur ses coudes pour se maintenir la tête à peu près hors du liquide. Pour finir, elle me chevaucha et j’éjaculai dans cette atmosphère aqueuse.
Nous sortîmes de cette piscine à sperme sur les genoux et puant à tel point que nous aurions été écurés si nous n’avions pas été petit à petit imprégnés de cette odeur de rut qui était désormais la nôtre.
Le sperme séchait, caillait et formait d’énormes boulettes qui s’accrochaient à nos poils et à nos cheveux.
Nous étions seuls. Où étaient partis Aldéric et Pacôme ?
Une petite table était dressée avec deux couverts et des mets délicieux. Nous mangeâmes et, vaincus par la fatigue, le sommeil vint nous prendre allongés sur les tapis dans notre nudité humide.