Le jour se lève. Je me réveille lentement, fatigué par l’agitation de la veille. J’allume mon ordinateur, et aperçois un nouveau mail de M. Gordon. Je le lis et planifie mon emploi du temps. Je le remplacerai donc dans la deuxième semaine de janvier, du lundi au samedi, c’est-à-dire du lundi 8 au samedi 13 janvier sachant qu’on est le 3 aujourd’hui.
Je quitte ma chambre, puis je vois cinq bouteilles alignées devant la porte. Mes servantes avaient exécuté leur mission. Je les ramasse et grâce aux étiquettes collées aux bouteilles, j’établis par ordre croissant les bouteilles en fonction de leur quantité, ce qui donne : Aurora, Marine, Alexa, Sophie et enfin Natacha. Je mets de côté dans ma tête, la victoire plutôt écrasante de Natacha avec trois cinquième rempli contre un septième pour Aurora. Je me dirige dans le salon pour manger rapidement un bol de céréales avant de me préparer pour profiter pleinement de ma vie entourée de mes servantes.
Soudain, on sonne à la porte. Je descends pour y accueillir un facteur, me livrant un colis. Je signe le reçu et prends mon carton. À l’intérieur, se trouvent des gadgets colorés ; cinq petits et un plus gros. Il s’agit d’une télécommande et de cinq vibreurs, mais pas à but érotique ou quoi que ce soit, car la portée est l’élément clé. Ainsi, je peux « contacter » une ou plusieurs de mes servantes en discrétion juste en appuyant sur un bouton. Le tout ressemble à un jeu pour enfant, notamment à cause des couleurs vives. Je décide alors rouge pour Sophie, bleu pour Alexa, orange pour Marine, rose pour Aurora et vert pour Natacha.
Après avoir activé mes bidules, je me dirige vers la salle à manger où mes servantes m’y attendent. J’annonce alors les résultats :
– Natacha, tu seras donc récompensée et Aurora, tu seras punie. Nous parlerons plus en détail de cela plus tard car un autre concours se profile. Et oui déjà. La servitude est une chose, mais j’attends aussi une loyauté sans faille de votre part.
Je montre une boîte en carton, contenant divers ordres préparés par un petit programme d’aléatoire codé par mes soins.
– Il y a dedans des actions à réaliser dont je ne sais pas le contenu. Certaines sont simples mais d’autres demanderont beaucoup plus d’effort. Vous piocherez chacune votre tour un ticket et réaliserez l’action demandée dans les 24 heures qui suivent. Cette fois, il n’y aura pas de gagnantes mais deux perdantes. Elles seront désignées par moi-même, en fonction de leurs performances. Maintenant, piochez !
Mes servantes se mettent en file indienne pour tirer leur carte. Natacha commence, puis vient Sophie, Alexa, Marine et Aurora.
– Je serais dans ma chambre, si vous me cherchez. Aussi, prenez ceci, il y vos noms dessus, sauf toi Thulas. D’ailleurs, si je ne t’ai pas demandé de piocher, c’est parce que tu ne comptes pas rester longtemps de toute façon.
Je dépose mes gadgets colorés puis me dirige vers ma chambre. Je me rends dans ma salle de bain pour me baigner, me détendre et aussi réfléchir à mes nouveaux plans. Tout à coup, la porte s’ouvre. Natacha et Marine entrent ensemble. Marine a les yeux bandés, les mains menottées et elle est bâillonnée.
– Qu’y a-t-il, Natacha ?
-Maître, j’ai reçu pour ordre de soumettre quelqu’un et Marine, de se soumettre, tout en obtenant une vidéo de ce qu’on devait faire. Nous nous sommes donc arrangées pour faire la chose ensemble et vous montrer directement.
-Ce n’est pas une mauvaise idée, ma foi. Dis-moi Natacha, que vas-tu faire ?
-Vous le verrez bien assez tôt. Veuillez donc nous suivre plus loin
-Non.
-Pardon ?
-Je n’ai pas l’intention de vous suivre autre part.
-Mais Maître !
-Silence ! Faites donc sur mon lit. Je vais voir ce que vous valez.
-Bien Maître.
Je sors de ma baignoire, me sèche rapidement, laissant le temps à Natacha d’emmener Marine sur mon lit. Je sors de la salle d’eau et m’assois dans un fauteuil. Marine est à quatre pattes sur mon lit et Natacha est sous elle, en 69. Elle lui lèche la culotte alors que Marine gesticule. La scène certes érotique, n’est pas des plus excitantes, aussi, je me lève, lassé.
– Maître ?
-Pousse-toi, je vais te montrer comment on soumet quelqu’un.
Natacha s’écarte mais avant qu’elle ne descende du lit, je la prends par le cou et la plaque. Elle se débat, par panique, mais je la réprimande par une claque bien placée. Marine l’entend et commence aussi à paniquer, ne voyant pas la situation. Sans prévenir, je lui déchire la culotte pour y enfoncer mes doigts dans son vagin. Natacha sanglote mais je ne lui laisse pas le temps de déprimer. Je la prends par la nuque et la positionne de force pour une fellation.
– Montre-moi donc comment une esclave suce son propriétaire. Allez !
-Oui Maître, je suis votre esclave.
Elle se hâte pour aspirer ma verge dans sa bouche. Je trifouille frénétiquement l’antre de Marine, qui rougit et gémit malgré le bâillon. Natacha s’applique à sa tâche, en léchant de part et d’autre mon sexe. Elle me fixe d’un regard coquin et semble à la fois heureuse et excitée de la situation. Je prends alors sa chevelure, puis je la tire vers le haut, mettant son visage au niveau du mien. Je lui crache dessus, avant de la repousser dos contre le lit. Je retire le bandeau et le bâillon de Marine, lui permettant ainsi de retrouver la vue, mais je ne la démenotte pas pour autant. Je lui fais signe de se mettre sur Natacha, me permettant de les pénétrer tour à tour. Elle comprend et se positionne. Je cale ma verge entre les deux vagins. Je frotte contre les antres humides de cyprine avant d’enfoncer mon sexe en Marine. Elle crie et ahane de plaisir.
– Oui ! Le sexe de Maître en moi ! Plus profond ! Plus !
Les mots qu’elle prononce m’excitent, ce qui fait que j’accélère mes mouvements. Marine tourne la tête avec des yeux presque vides d’éclats en baragouinant :
– Encore ! Encore ! Maître ! Remplissez-moi de votre semence !
Pendant ce temps là, Natacha mord les mamelons de son amie, tout en les malaxant. L’excitation continue de monter jusqu’à son paroxysme lorsque Marine jouit, accompagné par ma jouissance dans son vagin. Elle s’affaisse alors sur Natacha, envieuse de se faire aussi prendre ainsi.
– Maître, à mon tour !
-Insolente !
Lui dis-je en lui mettant une claque. Je la prends ensuite par le cou pour la tirer hors du poids de la belle rousse. Elle s’agite alors, de peur de se faire étrangler. Je la traîne ensuite hors du lit et la projette violemment contre le sol.
– Je t’ai seulement montré comment soumettre quelqu’un, jamais je n’ai dit que je te pénètrerai.
-Mais Maître Mon corps ne vous fait donc point envie ?
-Ce serait mentir que de répondre par la négative, mais sache que je sais me modérer. Natacha, pour l’instant, tu n’as pas encore dominé quelqu’un. J’attends de voir cela avec impatience, ou tu en subiras les conséquences.
-Bi bien Maître.
-Maintenant, pars ! Marine a désormais complété sa mission. Laisse-la ici.
Natacha, quitte ma chambre, penaude et pensive. De mon côté, Marine m’attire instinctivement mais pensant que la journée sera longue, je décide de ne rien faire d’elle.
– Marine, comme tu l’as sûrement entendu, ta mission a pris fin. Profite donc de ta journée.
-Maître Pouvez vous m’accorder encore une fois
-Désolé ma chère, une autre fois. Mais je t’autorise à te reposer ici, si tu le souhaites.
Sans même répondre, elle vacille vers la gauche et tombe de sommeil. Quant à moi, je retourne dans ma salle d’eau terminer ma baignade. Je me prélasse dans ma baignoire, d’ores et déjà éreinté. Je regarde l’horloge, m’indiquant dix heures vingt. Passé une dizaine de minutes dans l’eau chaude, je sors pour me rhabiller. La faim me tiraille, je me dirige donc naturellement vers la cuisine, où je distingue Alexa s’affairer autour de ce qui semble être une recette de pâtisserie, mais sa tâche pourtant pas particulièrement ardue, semble être ralentie par quelque chose dont j’ignore la nature.
– Alexa ?
-Maître ! Qu’y a-t-il ?
-Tu sembles bizarre. Tu es rouge, tu halètes et tu marches étrangement. Tout va bien ?
-Oui oui, tout va bien.
Alexa évite le plus possible mon regard, mais je connais ma servante par cur depuis le temps qu’elle me sert. Je me baisse pour observer sous sa jupe alors qu’elle me tourne le dos. Je vois alors deux choses bouger dans son bas. Je touche alors, ce qui provoque alors un cri :
– Hiii ! Maître !
Je remarque d’un coup la quantité anormale de cyprine humidifiant non seulement la culotte de ma servante, mais aussi ses cuisses où les gouttes partent aussi vers les mollets. Je comprends alors la situation.
– Alexa ?
-Mmh ?
-Dis-moi en quoi consistait ta tâche.
-Préparer un plat
-Avec deux godes vibrants, c’est ça ?
Elle ne me répond pas, par gêne et par honte d’être regardée ainsi par son Maître. Je souris, car voir ma servante tel quel me réjouit. Je mange alors mon petit-déjeuner, tout en regardant Alexa. Je finis par partir, une fois après avoir terminé mon plat. Je me balade tranquillement dans le manoir, puis j’entends des gémissements de plaisir. Sans même savoir ce qui se passe, mon pénis s’est levé. J’ouvre alors la porte menant à la chambre d’Aurora, mais je ne la trouve pas. Soudain, elle me saute dessus, nue, calant mon visage au niveau de sa poitrine.
– Hmpf ! Aurora Que signifie cela ?
-Maître J’ai reçu pour ordre d’imiter le mieux possible ce qui paraît pour nous être une esclave. C’est pourquoi je vous ai attiré ici, pour que vous preniez ceci.
Elle me présente alors une laisse de 2 mètres environ. Je remarque alors que ma servante porte un collier autour du cou. Je comprends alors son intention, aussi je me munis de la corde. Je me mets face à Aurora, puis avant de l’attacher, je la déshabille. Elle se laisse faire, mais rougit tout de même. Une fois nue, je vérifie son attache, mais mon côté sadique remonte. Sans la prévenir, je serre le collier au maximum du supportable. Aurora crie mais aussitôt, le son s’arrête par manque d’air. Elle tente de retirer le collier mais je l’en empêche en attachant la laisse que je tire subitement. Ma servante s’effondre au sol, toussant et haletant.
– Puisque tu as 24 heures pour exécuter ta mission, tu seras ma chienne esclave tout ce temps et tu m’accompagneras.
-Oui, mon Maître.
Je tire une fois de plus sur la corde, manquant d’étrangler mon nouvel animal de compagnie. Je sors de la chambre, suivi de près par Aurora. Elle est debout mais je la force alors à se déplacer à quatre pattes. Je tire encore sur la laisse, pour la forcer à me suivre rapidement. Nous nous dirigeons alors dans le salon, où je m’assois dans le canapé tout en laissant ma chienne à mes pieds. Je me prélasse calmement avant de déclarer :
– Aurora, monte donc te coucher sur les jambes de ton Maître.
Elle s’exécute aussitôt. Ma servante monte sur le canapé avant de poser sa tête sur mes cuisses, mais dos à moi. Je caresse ses cheveux doucement avant de tourner son visage vers moi. La bosse que forme mon pénis gonfle à vue d’il, et Aurora le remarque aussi. Elle halète, signe qu’elle désire quelque chose. Je baisse alors légèrement mon pantalon et mon boxer, faisant apparaître mon sexe et mes bourses. Fièrement dressé, je me masturbe lentement devant les yeux remplis d’envie de ma servante. Je tire sur la laisse pour qu’Aurora me suce.
– Rien que pour toi, un pénis propre de ton Maître.
Elle avale entièrement ma verge, avant de ressortir pour la lécher de part et d’autre. Je caresse son doux corps pendant ce temps, passant de la taille aux jambes, sans oublier la poitrine et les fesses. Je titille alors sa rondelle, ce qui provoque un frisson de sa part. Elle me regarde, comme excédée de la situation mais ce n’est qu’ironie. J’enfonce alors un doigt dans son trou, avant de le ressortir. Puis, pour plus de confort, je la retourne sur le ventre pour mieux la doigter. De son côté, Aurora continue d’alterner léchouille et succion sur mon sexe, en y mettant toute sa passion. Je continue à entrer et faire sortir mon doigt de son trou. Ma servante gémit à chaque fois, ce qui ne manque pas de m’exciter plus encore. Sans la prévenir, je tire à nouveau sur la laisse, ce qui lui arrache de nouveau un cri d’étouffement.
– Maître !
-Silence ! N’oublie pas ce que tu es.
Je tire la corde pour mettre son visage au niveau du mien. Je lâche mon emprise pour l’embrasser. Aurora me rend mon baiser. Nos langues s’entremêlent et nos salives se mélangent. Je me retire pour la contempler. Ma servante halète de fatigue, la face rouge d’excitation et le regard empli d’envie. Je baisse ensuite mon regard et aperçois la cyprine qui découle de son vagin. Le liquide humidifiant ses jambes brille à la lumière, me montrant ainsi une vision des plus excitantes. Elle s’écroule aussitôt sur moi, puis s’attaque de nouveau à mon sexe. Je la pousse mais elle semble bien déterminée. Elle se redresse pour à nouveau sucer ma verge. Son regard n’a alors plus rien de quelqu’un de raisonnable. Je la sens affamée de mon sexe. Sa respiration est saccadée mais forte. Son souffle chaud me parvient sur mes jambes. La situation fait que je ne me contrôle plus non plus. Je prends à nouveau la laisse et la tire encore une fois violemment. Aurora s’écroule, manquant d’air pendant que je me déshabille entièrement. Je baisse mon pantalon et mon boxer, avant de retirer ma chemise. Aurora tousse mais revient à la charge. Elle me saute dessus, me plaque au sol, contre la moquette. Ma partenaire m’embrasse fougueusement. Je continue dans ma lancée et lui rends ce qu’elle m’offre. Tout en l’embrassant, je lui caresse ses jambes et son postérieur. Mes mains parcourent son doux corps, avant de passer aux cheveux. On s’embrasse encore et encore pendant plusieurs minutes. Je ne tiens plus alors en place.
– Aurora, tu es tellement excitante. Laisse-moi donc te pénétrer.
Je la prends par le bassin, pour permettre à mon membre de rentrer dans son sexe. L’entrée se fait lentement au début, puis une fois bien positionné, je m’enfonce d’un coup. Mon brusque mouvement surprend Aurora, ce qui fait que cette dernière hurle de plaisir.
– Enfin enfin enfin enfin Maître !! Plus profondément !!
Je commence alors mes va-et-vient dans son intimité. Aurora est couchée contre mon torse et gémit voire crie à chacun de mes mouvements. J’agrippe son fessier tout en jouant sur le rythme de mes pénétrations. Je serre fort, pris par l’excitation. De même pour ma servante, cette dernière écume mon corps de sa salive, tant elle ne peut fermer sa bouche. Je sens d’ores et déjà la jouissance arriver, mais mon envie de continuer dans cette lancée prime. Je ralentis brusquement, ce qui étonne alors Aurora.
– Maître ?
Aussitôt je la gifle.
– Prononce un mot une fois de plus et tu auras plus qu’une simple gifle, petite chienne !
Elle hoche de la tête, le regard effaré. Mais rapidement, l’excitation reprend le dessus. Je pousse Aurora et la place en levrette. Je rentre de nouveau en elle, avec un rythme plus lent, mais accompagné de fessées à chaque coup de bassin, ce qui lui arrache des cris de souffrance mais aussi de plaisir. Comme tout à l’heure, la salive d’Aurora ne cesse de sortir de sa bouche, surtout qu’elle a son visage contre la moquette. Je continue dans mes mouvements jusqu’à ce que les fesses tournent au rouge violacé. Aurora semble souffrir le martyre mais semble aussi heureuse de me servir ainsi. Je la retourne pour la pénétrer en missionnaire. Ma servante me sourit d’un air béat, la bouche grandement ouverte, les yeux vides d’éclat et la face rouge. Je rentre alors mon pénis dans son antre. Le membre s’enfonce centimètre par centimètre, puis je le retire à moitié pour de nouveau la pénétrer. Aurora ahane de plaisir, et ses seins bougent à chacun de mes mouvements. Mes va-et-vient s’accélèrent, puis la jouissance arrive.
– Ça arrive ..!
Ma sève remonte ma tige puis jaillit et remplit le vagin de ma partenaire, dans un cri et un râle de plaisir. Je m’affaisse sur le corps transpirant de ma servante, exténuée elle aussi. Je retire mon sexe trempé de fluides, puis je répands ma semence impudemment sur le bas corps d’Aurora.
– Aimes-tu que je te souille ainsi, ma chienne ?
Elle fait signe que oui de la tête, avant de mettre son doigt dans son vagin pour récupérer mon sperme. Ma servante lèche le liquide juste devant mes yeux, ce qui m’excite encore plus. Je me sens affaibli, mais je n’en tiens pas compte. Mon membre mou rentre avec difficulté dans le trou taché de sperme mais je le maintiens à l’intérieur. Je mords à pleines dents, les seins de ma Aurora. Elle crie de douleur et des larmes perlent son visage. Je continue tout en pinçant l’autre mamelon. Je la sens essayer de me repousser, mais je maintiens ma pression, si bien que je sais que je vais y laisser mes marques sur elle. La douleur crispe ma partenaire, qui hurle en pleurant.
– Je t’autorise à répondre. Veux-tu arrêter ou continuer ?
-Ahh ! Ne vous arrêtez pas pour si peu Maître, je peux encore supporter
-Bien !
J’échange de sein et mords à nouveau dans la tendre chair. Les hurlements continuent ce qui attire alors Thulas, qui entre dans le salon.
– J’ai entendu des cris, que se passe-t-il ici ? Hiii !
Elle m’aperçoit sur Aurora, en train de la mordre. Ce qui l’effraie encore plus, c’est le fait que ma partenaire puisse aussi prendre du plaisir. Thulas s’effondre au sol, effarée. Je m’en contrefiche, mais plus important, ma verge reprend sa forme virile. Mon membre gonfle dans le sexe de ma servante, qui le sent et me sourit malgré le visage déformé par la douleur. Je recommence mes va-et-vient. Aurora a l’air complètement hors d’elle, tant elle crie, pleure et gémit de plaisir. Je continue quand soudain, l’horloge sonne midi.
*Dong*
La cloche sonne onze fois encore puis se tait. Qui dit midi, dit aussi déjeuner mais le moment est plutôt mal tombé. Mais une idée germe alors. Je me retire de la servante pour m’asseoir sur ma chaise devant la table. Je fais signe à Aurora de me rejoindre. Malgré la fatigue, elle comprend et se hâte pour me venir. Je m’installe confortablement, puis ma partenaire se positionne sur ma verge fièrement dressée. Mes cuisses claquent de nouveau contre les fesses rouges d’Aurora.
Les autres servantes entrent alors dans la salle à manger, puis aperçoivent Aurora me chevauchant. Cette dernière leur fait signe par un coucou de la main et ahane de plaisir, ce qui ne manque pas d’énerver ses amies. Alexa sert le repas, et malgré l’appétissante assiette qui se situe devant Aurora et moi, je préfère me délecter des entrailles de ma proie. Ma servante accélère ses mouvements de bassin avant de jouir dans un cri d’extase. La cyprine jaillit et je redirige du mieux que je peux, le jet vers la table. Je ne me rate pas et la mouille atteint mon assiette.
– Alexa, apporte donc l’assiette d’Aurora à côté de la mienne.
Alexa prend le plat qu’elle dispose à côté du mien. Je pousse gentiment ma servante, qui comprend mes intentions. Je me lève pour prendre l’assiette, puis je me masturbe frénétiquement au-dessus. Ma semence jaillit d’un coup, recouvre une partie de l’assiette et le reste atterrit sur la nappe de la table. Aussitôt, Aurora se précipite pour ne rien laisser de ma crème sur la table. Elle lèche la nappe, récoltant le liquide puis s’attaque à son plat. Je mange aussi, devant les regards interrogateurs de mes servantes. Ma servante aux cheveux roses termine son repas avant de revenir sur moi. Je la laisse faire, et grâce à cette courte pause, mon sexe est de nouveau opérationnel. Aurora me chevauche de nouveau, face aux autres filles. Elle leur sourit avant de dire :
– Maître. Remplissez-moi encore de votre semence.