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Le secret de Charlotte – Chapitre 3




Chapitre 3 : La soumise

 

   Bon sang, quel pied ! En général, je suis un amant doux et attentionné, mais comme Charlotte aime les partenaires un peu plus bestiaux, j’ai essayé de changer. Je dois dire que je me suis très vite pris au jeu. C’est la première fois que je me lâche autant comme ça, je ne m’étais jamais comporté comme un tel salaud. Faut dire qu’elle l’a bien cherché aussi. Putain, un an que je fantasme sur elle, un an qu’elle me refuse, que je la vois coucher avec un autre, je n’en pouvais plus. J’avais accumulé tant de frustration que je mourrais d’envie de la prendre comme la dernière des salopes pour me venger de tout ce qu’elle m’avait fait subir. Le meilleur dans l’histoire, c’est qu’elle en est aux anges. Je n’avais jamais entendu une fille crier autant pendant qu’on la tringlait, et encore moins enchainé orgasme sur orgasme comme ça. Le pervers qui est en moi à très envie d’en voir plus…

  Elle m’a appelé "maitre" plusieurs fois. Je ne sais pas si cela veut dire que je l’ai enfin conquise ou si je suis encore à l’essai. Dans le doute, je compte bien profiter du reste de cette soirée. C’est peut-être ma seule occasion de pouvoir baiser Charlotte, elle ne sortira pas d’ici tant que je me serais pas entièrement vidé les couilles. Elle veut qu’on se serve d’elle comme d’un jouet ? Je vais la traiter comme un jouet.

   Après avoir bien tiré mon coup, je lui ai ordonné de rester à poil. Elle est encore couverte de mon sperme, je l’ai arrosée comme une pute, j’adore ça. Ni elle ni moi n’avons avalé quelque chose de la soirée. Après m’être rhabillée, je décide donc de nous préparer un petit quelque chose à manger. J’ai beau l’avoir baisée comme une ordure, je l’aime et j’ai envie de prendre soin d’elle. Je vis dans un minuscule studio étudiant, je n’ai donc pas grand chose à lui offrir, mais ce sera suffisant pour tous les deux.

  Nous mangeons tous les deux à ma table. Nous ne disons pas un mot. Je la regarde en train d’engloutir son repas à une vitesse folle. C’est à se demander si ce n’était pas son premier repas de la journée. Mon foutre coule toujours sur son visage. Elle ne se l’essuie même pas, on dirait qu’elle a l’habitude. Rien que d’y penser, cela me refait bander. Elle finit alors que j’ai à peine commencé.

C’était bon ? fais-je.

  Je demande car je sais que je ne suis pas un grand cuisiner. J’espère que cela lui a plu quand-même. Elle hoche la tête en guise de réponse. Cela me rassure.

Il y a un dessert qui t’attends, dis-je en ouvrant ma braguette.

  Elle comprend évidemment ce que j’entends par là. En bonne chienne soumise, elle passe en dessous de la table à quatre pattes et rampe jusqu’à moi. Elle extirpe mon sexe de nouveau dur de mon pantalon pour se mettre immédiatement à le sucer. Bordel de merde, je ne pensais pas qu’elle le ferait. À chaque fois que je pense avoir pousser le bouchon trop loin et qu’elle va se rebeller, elle me surprend à obéir sans jamais émettre la moindre objection. Elle devrait faire gaffe, je pourrais m’y habituer.

  Elle me fait une superbe fellation. On sent qu’elle ne se force pas. Je continue de manger à mon aise. J’essaie de faire comme s’il ne se passait rien d’anormal, mais je ne peux m’empêcher de retenir quelques soupires. On dirait que c’est son but d’essayer de me distraire, à moins qu’elle cherche à me faire éjaculer dans sa bouche avant que j’aie le temps de terminer mon repas.

  J’ai du mal à me retenir, surtout que j’aurais bien envie de lui faire avaler mon foutre, mais je n’ai pas envie de gâcher mes précieuses giclées aussi stupidement. Je finis mon assiette, et lui ordonne d’arrêter et de se pencher sur la table. Une fois encore, elle s’exécute sans broncher. Je me lève alors pour me placer derrière elle, baisse mon pantalon, et la prend là. Je la baise comme un vulgaire sac à foutre. Je me laisse aller à mon instinct animal de fourrer ma queue dans un vagin. Après lui avoir bien défoncer le cul tout à l’heure, j’avais trop envie de goutter à sa chatte. Ce trou là aussi m’appartient désormais après tout, il faut bien l’user. Putain, ce qu’elle est trempée. Cette fille ne mouille pas, elle coule. Cela dégouline le long de ses cuisses. Comme j’ai une preuve de son excitation, je ne me gêne pas pour la ramoner brutalement. Elle se remet à crier comme une pute. Mes voisins doivent être habitués maintenant. Je lui tire les cheveux, lui donne des fessées, la traite de tous les noms, elle me supplie de continuer. Quand je la retourne pour la voir de face, je regrette mon choix de lui avoir interdit de prendre une douche : j’aimerais l’embrasser, mais elle a du sperme partout. Je ne peux malgré tout pas m’empêcher de la caresser. J’ai les doigts tout gluant, je les lui fais gouter. Elle me les suce avec rapacité. Quelle salope.

  Elle est prise d’un premier orgasme, je la fais alors changer de position, encore et encore. Je deviens une bête sauvage. Je la plaque contre un mur. Je la saute par derrière, par devant, dans le cul, dans la chatte. Je la jette sur le sol et la ravage. Je lui passe dessus avec la force d’un régiment. Je suis ivre de luxure, perdu dans ma folie, dans mes besoins de la baiser. Je veux lui faire sentir combien elle me rend dingue, la punir de me rendre si amoureux en la faisant jouir jusqu’à l’évanouissement. Je profite d’elle comme si je devais mourir demain. Je veux qu’elle sache que je ne suis pas juste un mec en manque qui a besoin de se décharger un coup sur la première qui passe, mais que c’est elle qui me rend comme ça. Quand je sens que je n’en peux plus tant physiquement que mentalement, je me finis. Je lui lime violemment la chatte en la maintenant ventre à terre jusqu’à m’en faire éjaculer à grand cri. Je la remplis de sperme comme pour marquer mon territoire.  

Aaaaaaaaaaaaah ! Ouiiiiiiiiiiii ! jouit-elle.

Aaaaaaaaah ! Saloooooooooope ! Putaiiiiiiiiin ! fais-je.

 J’ai l’impression d’exploser, de me libérer d’un mal que j’ai gardé trop longtemps. Je lui envoie une quantité incroyable de foutre à chacun de mes spasmes. Après avoir atteint le nirvana, je redescends lentement sur terre. Ma queue cesse de tirer son jus. Je commence à redevenir un homme et à réaliser ce que j’ai fais. Je ne sais toujours pas si je dois m’en sentir fier ou m’effrayer. Je me retire d’elle et la délivre de mon emprise. Elle ne bouge pas. Son corps est pris de tremblements comme si elle jouissait toujours. Elle totalement épuisée, amorphe. Elle peine à respirer. On dirait presque une droguée à la limite de l’overdose. Du sperme s’échappe de son vagin pour former une flaque sur le sol. C’en est trop, je vais chercher mon portable pour prendre des photos. Je veux immortaliser ce moment. Ma Charlotte, satisfaite sexuellement, après que je lui ai passé dessus, la chatte dégoulinante de mon foutre.

   Je la laisse récupérer et prendre une douche. Le reste de la soirée se passe "presque" normalement. Nous sommes redevenus Alex et Charlotte, des gens normaux qui se connaissent depuis plus d’un an. Nous ne parlons pas de ce qui vient de se passer. Moi, je n’ose pas, elle… je ne sais pas. Elle trouve peut-être ça tout à fait banal. Quand il commence à se faire tard, elle veut rentrer chez elle. Je la supplie de passer la nuit ici. Après avoir passé une soirée pareille, je n’ai pas envie de me retrouver seul. Je la veux près de moi, toujours. Elle n’a pas besoin que j’insiste beaucoup, elle est toujours dans son rôle.

Très bien, maitre, se contente-t-elle de répondre.

  Ce petit jeu me met mal à l’aise parfois. J’ai du mal à savoir ce qu’elle pense vraiment.

  Avant de nous endormir, nous rebaisons une dernière fois. C’est incroyable cette façon qu’elle a de pouvoir passer de la fille normale à la pute hurlante en manque de bites en à peine quelques secondes. C’est dingue, c’est comme une double personnalité. Elle se laisse faire pendant que je l’encule de toutes mes forces, puis je lui fais avaler mon sperme jusqu’à la dernière goutte en me soulageant au fond de sa gorge.

Merci, maitre, me remercie-t-elle. J’étais assoiffée de votre sperme. Vous goutez si bon.

  Je me dis qu’elle doit vraiment avoir un grain pour agir comme ça, mais putain, c’est vraiment trop bon.

  Je la prends tendrement dans mes bras et nous nous endormons tous les deux. Je suis si heureux quand je me réveille le lendemain matin à ses côtés. Tout ceci n’était pas un rêve, je l’ai vraiment vécu, je suis l’homme le plus chanceux du monde. Elle ouvre les yeux, je lui souris. Je l’embrasse amoureusement.

Bonjour. Ça va ? lui fais-je.

Hmm, oui, dit-elle toujours vaseuse.

 Elle se pelotonne contre moi comme si j’étais son oreiller. J’adore ça. Néanmoins, je suis inquiet : j’ai vécu la plus belle soirée de ma vie, mais maintenant ?

Charlotte, répond-moi sincèrement, fais-je d’un ton grave. Ce qui s’est passé hier, tu as aimé ? Je ne t’ai pas dégoutée ou fais mal ?

Bien sûr que j’ai aimé, tu as été parfait !

Tu es sûre ? Tu peux me le dire, tu sais. Je t’aime, je tiens à toi, je ne voudrais pas…

Chuuut, me coupe-t-elle. Ne soit pas idiot.

Désolé.

Non. C’est moi qui te dois des excuses.

Comment ça ? fais-je, incrédule.

Pour t’avoir repoussé, pour les choses que je t’ai dites. Je pensais que tu ne serais pas un homme pour moi, que tu ne saurais jamais… me prendre comme un vrai mâle, comme la chienne que je suis. Je me suis trompée, tu m’as prouvée le contraire. Je suis désolée de t’avoir fait du mal pendant si longtemps.

Oublions cela. Est-ce que ça veut dire que… toi et moi, nous sommes officiellement… ensemble ?

Cela dépend.

De quoi ?

De toi. Maintenant que tu sais et que tu as vu, tu veux toujours de moi ? Je ne te fais pas peur ? Tu ne me trouves pas folle ou malade ?

  Je sens son cur battre la chamade contre ma poitrine. Elle a peur. Je trouve ça adorable.

Bien sur que non, je n’ai pas peur de toi. Je te veux Charlotte, plus que jamais.

Je t’aime.

Moi aussi.

  Elle m’embrasse.

Tu veux bien devenir mon maitre alors ?

Oui, je veux que tu m’appartiennes. Je prendrais soin de toi, je te le promets.

Oui, maitre, dit-elle avant de m’embrasser à nouveau.

  Je n’arrive pas à y croire. C’est officiel, elle est à moi. Je suis fou de joie, c’est le plus beau jour de ma vie. Elle m’a accepté comme "maitre". Je rêvais qu’elle devienne ma copine, et là, elle déclare indirectement qu’elle veut devenir mon vide-couille. Ce n’est pas comme ça que j’imaginais une relation avec elle, je suis du genre câlin et attentionné, je ne pensais pas que je pourrais traiter la femme que j’aime comme ça, maintenant que j’y suis, je trouve la situation perverse et excitante.  

Chérie, ton maitre a envie d’une bonne pipe matinale, fais-je.

   Sans autre préliminaire, elle passe sous la couette et attrape mon sexe pour me sucer. Il n’y a pas à dire, elle sait y faire. Il ne me faut pas longtemps pour bander à ma taille maximale.

Hmm, oh oui. Vas-y.  Pompe-moi ma petite salope.

  Je vois ses formes s’activer en dessous de moi. Cela me frustre, je veux la voir. J’écarte la couette d’un geste brusque afin de l’admirer. Ce qu’elle est belle avec ma grosse bite dans la bouche. Elle bave beaucoup en faisant de nombreux bruits de succion pour bien la faire glisser. Je presse sa tête contre ma verge pour la forcer à me faire une gorge-profonde, puis je la relâche pour la laisser reprendre de l’air. Je la regarde pendant de longues minutes en train de me prodiguer cette fantastique fellation. Je suis seulement en train de réaliser : elle est à moi, vraiment à moi, je peux en faire ce que je veux. Je pourrais me faire sucer comme ça tous les jours. Je sens que je vais avoir une vie sexuelle plus épanouie que jamais.

Allez, petite pute. Fais-moi gicler et avale tout ce que je vais te donner.

  Elle s’applique d’avantage, comme si elle était assoiffée de sperme. Elle ne cherche plus à me donner du plaisir, mais à me faire jouir. Je lui résiste afin de mieux profiter du bien être qu’elle me procure. Elle sait vraiment bien prendre soin de ma bite. Au bout d’un moment, ma résistance finit par s’effondrer. Je me laisse aller, ce que c’est bon. Tout ce que j’ai à faire, c’est me laisser éjaculer. Quand je me sens partir, je la préviens :

Aaah, Ça y est, je vais venir. Allez, bouffe tout, salope !

  Je sens mon jus grimper le long de ma tige avant d’exploser.

Aaaaah ! Oui ! Allez ! Bois-moi ! Bois-moi !

  Elle est collée à ma queue. Elle me branle fort comme pour essayer d’en faire sortir le plus possible tandis que je me décharge dans sa bouche. Elle boit mon jus comme si c’était du nectar sans jamais déglutir. C’est une véritable déesse du sexe.

  Je grogne de bonheur, heureux et repus. Lorsqu’elle a fini, elle ouvre grand la bouche pour me prouver qu’elle a tout avaler.

J’ai été bonne, maitre ? Vous êtes satisfait ?

Oh oui, Charlotte. Tu es vraiment la meilleure des salopes.

  Elle se plaque contre moi pour me faire un câlin. Je la prends dans mes bras. Nous restons silencieux, mais mon esprit se perd dans ses pensées. Il y a quelque chose qui me turlupine et que je dois mettre au clair :

Charlotte, je ne veux plus que tu ailles dans ce club te faire sauter par tous ces mecs, fais-je d’un ton autoritaire. Tu es à moi maintenant, et à personne d’autre. C’est compris ?

Bien sûr. Pourquoi irais-je là-bas alors que j’ai un nouveau maitre pour prendre soin de moi ?

  Je me sens soulagé. Je ne l’aurais pas supporté.

  Il est dimanche. Nous passons le reste de la journée chez moi à baiser. Je crois que mes voisins vont devenir fou à force de l’entendre crier. J’adore lui défoncer le cul. Je l’use jusqu’à épuisement. Au soir, il est temps de nous quitter. Je déprime à l’idée de nous séparer. Au moment où elle s’apprête à franchir le seul de la porte, je la retiens par le bras.

Charlotte, je veux que tu viennes habiter avec moi.

  J’ai dit ça comme ça, sans réfléchir. Cela venait du cur, mais je ne m’attends pas à ce qu’elle accepte : c’est évidemment beaucoup trop tôt dans notre relation.

  J’ai un chagrin lorsqu’elle part définitivement. Je me sens soudain très seul dans mon petit studio. Je passe une nuit horrible. Le lendemain, en cours, nous faisons comme si rien ne s’était passé. Je ne sais pas pourquoi nous avons décidé de cacher à nos amis que nous sortons ensemble. C’est une torture. J’ai envie de la câliner, de l’embrasser, de lui dire des mots doux, et je ne peux rien faire.

   En début de soirée, je vais rendre visite à Benny dans son sex shop. Je tenais à le remercier pour l’aide qu’il m’a… qu’il NOUS a apporté. S’il ne m’avait pas aidé à connaitre la vérité sur Charlotte, nous en serions jamais arrivés là. Je le remercie également pour le lubrifiant qu’il m’a donné l’autre jour. Il a bien servi. Je commence à l’apprécier ce personnage étrange.

  Lorsque je rentre chez moi, je tombe des nues : Charlotte est là, à m’attendre devant la porte, avec toutes ses affaires. Je ne pensais pas qu’elle m’avait pris au sérieux. Inutile de dire combien j’en suis ravi. Je l’ai fait entrer et l’ai aidée à s’installer. Nous avons passé une nuit de folie à copuler comme des bêtes.

   Dieu ce que c’est bon de vivre avec elle. J’ai découvert la véritable étendue de sa soumission. Elle fait tout ce que je lui dis. Dès que j’ai envie, je la prends ; comme une brute qui a besoin de décharger son coup dans son sac à foutre. Je la baise tous les jours, je n’ai jamais très longtemps les couilles pleines. Je crois que mes voisins sont en train de devenir fou, à moins qu’ils soient habitués maintenant. J’espère qu’ils se branlent en s’imaginant être à ma place. En journée nous agissons comme de simples amis qui se connaissent depuis un bout de temps, mais une fois rentré chez nous, elle est ma chose. Depuis que je sais qu’elle a amené avec elle toute une panoplie de lingerie sexy, je l’oblige à en porter tout le temps. C’est trop bandant de voir sa petite femme de balader en dentelle, ça m’incite à la sauter plus fort.

 Elle me surprend de jour en jour. Une fois, je rentre après avoir fait des courses, je vais la trouver dans le but de l’enculer, quand je découvre un plug fiché au fond de son cul.

Bordel, mais qu’est ce que c’est que ça ?! fais-je plein de surprise.

C’est mon jouet, j’aime le porter de temps en temps. Cela te dérange ?

Bien sûr que non.

   Je n’ai pas osé l’enlever et lui ai baisé la chatte. Je sais qu’elle aime être prise par les deux trous en même temps. Cela me fait plaisir de pouvoir lui redonner ce genre de sensation malgré que je lui aie interdis de retourner au club. Je l’ai baisée si violement que le vilain plug à chercher à s’échapper à plusieurs reprises, je me suis assuré qu’il reste bien à sa place.

  Plus le temps passe, plus j’explore notre sexualité en repoussant nos limites. Je lui ai acheté un collier chez Benny, un auquel on peut attacher une laisse. Je l’oblige parfois à le porter et à la faire marcher à quatre pattes comme une chienne toute la soirée. Pour renforcer le délire, je lui ai également trouvé un plug en forme de queue d’animal. J’ai eu peur qu’elle trouve ça dégradant et qu’elle ne le fasse que pour me faire plaisir, mais un soir, alors que je regarde tranquillement la télé, je la vois ramper en petite tenue, le plug au fond de son cul, son collier autour du cou, et la laisse entre les dents. Elle la dépose à mes pieds et balance :

Maitre, votre chienne a besoin qu’on s’occupe d’elle.

  Je n’en reviens pas, c’est une vraie tarée.

Alors commence par sucer ton maitre, si tu es gentille, je te baiserais, fais-je.

Oh ouiii !

  Elle m’a pompé à genoux comme une reine tandis que j’étais tranquillement installé dans mon siège. J’ai pris la laisse pour lui tirer dessus de temps en temps.

Brave petite chienne, tu prends bien soin de ton mai-maitre.

C’est vrai ?

Oui, continue.

  C’était trop bon, je me suis laissé éjaculer au fond de sa gorge. Pour me faire pardonner, j’ai joué avec son plug pour lui donner son premier orgasme anal, puis dès que je me suis remis à bander, je l’ai montée ; ou plutôt, démontée.

   Ce n’est même pas le pire que nous ayons fait. Je crois que le pire, c’est la fois ou je l’ai attachée à genoux sur une chaise, la tête juste au dessus du dossier. Je l’ai forcée à me sucer en faisant du va-et-vient dans sa bouche, puis que je lui ai défoncé le cul.

Oh oui ! Maitre ! Plus fort ! Encore ! criait-elle.

  Elle ne pouvait pas bouger d’un pouce, elle n’était plus qu’un simple jouet sexuel dont je me suis servi pour me vider les couilles. J’ai craché mon jus au fond de son fion, puis je l’ai laissé la plusieurs heures. J’ai bossé un peu, j’ai regardé la télé ; à aucun moment elle ne s’est rebellée. Puis j’ai eu de nouveau envie, et je l’ai resautée. C’est seulement une fois que je lui ai fais avaler tout ce qui me restait de sperme que je l’ai détachée.

  Je pensais qu’au bout d’un moment, la passion finirait par se calmer entre nous, mais ce n’est pas le cas. J’ai tout le temps envie d’elle. Devoir attendre le soir qu’on rentre tous les deux après les cours m’est devenu insupportable. C’est ainsi que je décide d’aller l’isoler dans un coin tranquille entre deux cours pour tirer un petit coup rapide. Première surprise, elle se laisse faire alors que nous sommes en journée. Deuxième surprise, en relevant sa jupe, je réalise qu’elle ne porte pas de culotte. La petite salope, elle n’attendait que ça ! Depuis combien de temps ? Elle aurait dû m’en parler ! Troisième surprise, elle a son plug anal ! C’en est trop… Je lui défonce la chatte comme un animal. Elle a voulu beugler comme une salope comme elle le fait toujours, j’ai dû mettre ma main devant sa bouche pour étouffer ses cris. Je ne préfère pas imaginer ce qu’on risque si on se fait surprendre. Je gicle dans son vagin, referme ma braguette, et l’emmène au prochain auditoire sans lui laisser le temps d’aller se nettoyer. Un mélange de sperme et de mouille se met à couler le long de ses cuisses. Impossible que personne ne le remarque.

  Nous avons refait ça plusieurs fois, au point que des rumeurs se sont mises à circuler à son sujet :

Hey mec, j’ai une mauvaise nouvelle à t’annoncer, m’aborde un jour un ami.

Qu’est ce qu’il y a ?

C’est Charlotte. Elle a un nouveau copain. Je suis désolé, je sais que tu l’aimes ; mais je pense qu’il fallait que tu le saches.

N’importe quoi, fais-je faussement en colère.

Si si, je te jure.

Qui c’est ?

Personne n’en sait rien.

Alors comment tu sais qu’elle a un copain ?

 Il y a un silence gêné, puis il ose enfin répondre :

On la retrouvée à plusieurs reprises avec du sperme le long des cuisses, on peut difficilement être plus sur. Ça doit soit être un mec d’un de ses cours, soit un prof.

  Je joue les mecs écurés au cur brisé, mais en vrai, cela me fait marrer que ma copine a désormais une réputation de salope qui se fait sauter pendant les cours.

  Enfin, marrer, au début seulement. Après, j’ai réalisé combien c’était quand-même bâtard de lui avoir fait un truc pareil. Je m’en veux terriblement, je lui demande comment elle se sent par rapport à tout ça :

Ça va, je t’assure, me répond-t-elle.

Tu es sûre ? Faire des choses lorsqu’on est tous les deux chez nous, c’est une chose, mais là, j’ai peur d’avoir été trop loin. Je m’en excuse.

Non, ça va, je te dis.

  La soumission, c’est excitant, mais parfois, c’est difficile de savoir qu’elle pense vraiment. Étant vraiment inquiet pour elle, j’essaie de faire tomber les masques afin d’avoir une discussion sincère :

Charlotte, dis-moi, tu es heureuse comme ça ? Malgré toutes ces choses que je te fais faire…

 Elle me sourit et m’embrasse.

Alex, oui, je suis heureuse ; tu n’imagines même pas. Tu es tout ce que je recherchais sans le savoir. J’ai besoin d’un maitre qui sait me faire sentir chienne, mais j’ai aussi besoin d’amour. Je ne pensais pas que je pourrais trouver les deux chez un homme, c’est pour cela que j’allais me perdre dans ce club. Je ne pensais pas pouvoir trouver une vraie relation qui me rendrait heureuse, et pourtant, c’est pas faute d’essayer. Je t’aime Alex. Tu me traites comme ta chose, mais tu sais aussi prendre soin de moi comme un homme doux et aimant. Cela me donne encore plus d’être ta pute dévouée.

Charlotte…

Je suis peut-être en train d’avoir une réputation de salope, mais je m’en fou. J’assume aimer le sexe et prendre mon pied. Je n’ai pas peur que le monde le sache. Ceux qui s’en choquent sont des jaloux et des frustrés.

Charlotte, je…

Chuut, tais-toi, me coupe-t-elle une seconde fois. Viens, ta salope a besoin qu’on l’use.

  Je lui ai fais l’amour comme un sauvage en la prenant comme la pute qu’elle est. Elle me rend dingue, c’est un tel soulagement de savoir qu’elle est heureuse grâce à moi. Je le suis tellement grâce à elle, je veux qu’elle ressente la même chose que moi. Je ne me lasserais jamais de la baiser.

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