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Au plaisir de… – Chapitre 2




J’avais la tête comme remplie de coton, ce que Judy venait de dire ou plutôt de me proposer semblait impossible. Pourtant elle se tenait toujours devant moi, en sous-vêtements, je pouvais presque distinguer ses mamelons. Que répondre? Ce que je venais de vivre était exceptionnel, tout en ressentant un picotement au niveau du bassin je réalisais en baissant les yeux que mon pénis, qui avait perdu sa vigueur après mon éjaculation, venait de rependre toute sa longueur, la main de Judy pleine de sperme, mon sperme n’aidait certainement pas à me calmer.

-Mais qu’est-ce que! dit-elle visiblement surprise. Tu ne devrais pas pouvoir déjà…

Puis, elle me lança un regard discret et sa mains se referma lentement sur mon membre avant de recommencer à faire les même mouvements de va-et-vient.

Je pouvais sentir mon membre se tendre en réponse aux caresses prodiguées et mon gland qui donnait des coups en gonflant me semblait vouloir exploser, elle regardait mon membre comme fascinée. Il me semblait encore plus gros qu’il ne l’avait jamais été et la sensation de plaisir intense s’empara de moi de façon si intense que je ne pus pas la prévenir avant d’exploser. En comparaison mes premières éjaculations n’avaient été qu’un faible pétard et celle-là une bombe atomique. J’en envoyais presque jusqu’au plafond et Judy s’en prit une bonne part en plein visage. Elle eut le bon réflexe de fermer les yeux à la première giclée mais lâcha un petit cri qui lui valut un jet direct dans la bouche, puis, alors qu’elle se détournait, elle reçue une dernière dose dans ses cheveux noirs.

Son souffle était court comme le mien. Elle tendit les mains à l’aveuglette pour trouver de quoi s’essuyer le visage, la seule chose qu’elle trouva fut son chandail. La voir ainsi, couverte de mon sperme. Je me levais et lorsqu’elle se retourna ses yeux devinrent ronds comme des dollars, fixés sur mon entrejambe. Baissant les yeux je compris pourquoi, mon membre n’avait pas perdu sa vigueur et se tenait toujours bien droit, défiant fièrement la gravité et tendu vers elle, à seulement quelques centimètres de son visage.

L’expression que je vis alors apparaître sur son visage reste marquée encore aujourd’hui dans ma mémoire, elle a été la première femme que j’ai vue devenir soumise à son désir. Elle voulait ce qui était devant elle, peu lui importait le reste. Elle se jeta carrément sur moi, me jetât sur le tas de linge au sol et alors que j’étais trop sonné pour comprendre ce qui se passait elle m’enfourcha. Elle se pencha vers moi pour me murmurer d’une voix que je ne reconnaissais plus:

— Laisse-moi faire, alors qu’elle passa la langue le long de mon oreille, tu vas adorer.

Elle prit mon pénis et le guida vers l’entrée de son vagin, duquel un liquide chaud et légèrement odorant s’échappait maintenant goutte par goutte avant d’atterrir sur mon gland. La tête me tournait et jétais sur le point de m’évanouir lorsque je sentis le doux contact de ses lèvres sur mon membre qui glissa lentement en elle, je ne pourrais vous décrire l’extase que j’ai connue à ce moment-là. Je glissais lentement dans ses profondeurs, elle gémissait tout en contrôlant sa descente. Puis, elle fut enfoncée totalement, je sentais ses fesses contre mes cuisses et elle se mit à onduler du bassin, les sensations que je ressentais alors étaient un pur courant de plaisir électrique traversant mon corps.

Je ne pouvais plus parler, il n’y avait que des gémissements qui sortaient de ma bouche alors quelle se mit à monter et descendre rapidement sur moi, je voyais ses seins toujours emprisonnés dans son soutient gorge et mes mains prirent vie d’elle-même pour se tendre vers ses globes de chairs si juteux agrippant vivement les mamelons pointés au travers du tissu. Elle lâcha un cri et son vagin se mit à se contracter violemment autour de mon membre m’achevant totalement. Dans un grognement je lâchai ce qui me semblait être mes tripes au grand complet en elle.

Elle se mit alors a convulsé sur mon sans plus dire un mot, on resta comme ça pendant presque 10 minutes avant quelle ne se lève libérant le surplus de sperme en elle qui coulas le long de ses jambes. Le souffle court elle me regarda en souriant puis me dit:

-Voilà la première leçon, bientôt la deuxième si tu es sage…

Je n’avais plus de mots, comment réagir? Javais la tête dans un autre univers. Toutes ces sensations exceptionnelles que je venais de vivre. Voyant mon état, Judy souri doucement puis m’aida à m’assoir dans la douche qu’elle partit avant de s’assoir derrière moi, je n’avais même pas remarqué que durant nos ébats elle avait retiré ses sous-vêtements et alors qu’elle se collait dans mon dos je pouvais sentir sa poitrine fermement appuyée et ses mamelons toujours en érections.

Je me laissais aller, à côté contre elle, l’eau chaude coulant sur ma peau semblait froide, glacée comparée à la chaleur que je sentais émaner du corps appuyer contre le mien. Cétait un moment que j’aurais voulu voir durer éternellement. Je remarquais pour la première fois son odeur, douce-amère de fleur sauvage qui emplissait d’un coup mon corps et mon esprit.

Entre temps, mon membre avait repris un semblant de vigueur se redressait, elle le saisit doucement et fit de long mouvement langoureux très différents des premiers qu’elle m’avait octroyés, c’était la main d’une femme amoureuse sur le membre de son homme maintenant, quant à moi c’était la main de la femme que j’aimais, elle saisit mon menton me tournant le visage vers elle et m’embrassa longuement alors qu’incapable de me retenir plus long temps j’éjaculai une dernière fois avant de rendre finalement les armes.

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