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Ma maîtresse, ma belle-soeur – Chapitre 29




Pas affolée, Mathilde va accueillir sa fille. Une petite de 16 ans, Laotienne. Elle nous explique qu’elle et son mari l’avez adopté à la naissance. Qu’elle et sa fille étaient devenues fusionnelles depuis la mort de son père. Qu’elle pratiquait le naturisme chez elle comme à la plage et partaient en vacances au cap dAgde.. Mais que cette année elle n’avait pas pu, car sa fille devait rentrer à la Fac. Une petite surdouée. Elle nous fit la bise et nous rejoint dans l’eau, sans poser plus de question sur notre présence. On discute longuement, Naomie blottie dans les bras de sa maman. Puis on sort de l’eau. Elle voit mon braquemart.

Na- Piou, il est mont…

Ma-(en lui mettant la main sur la bouche) Tait toi.. Tu vas le mettre mal à lèse…Hihihi.

.

Je sourit. On se rhabille, et on quitte Mathilde et Naomie… On rentre, on se couche et on s’endort, dans notre lit toujours trop petit. Comme tous les matins, depuis l’emménagement de Brigitte, une odeur de café et viennoiseries me réveille. Je me lève, fourbu de la veille. Je vais dans la salle de bain. Je croise Lili qui m’embrasse fougueusement. Elle me sourit, me dit que le petit déjeuner est prêt. Je prend ma douche et je vais ensuite sur la terrasse. Je regarde l’horloge de la cuisine en passant. 10h00. Ouf, j’ai dormi comme un loir. Brigitte me sert un café. Lili, qui a déjà petit déjeuner va se prélasser dans la piscine. On tape à la porte, Brigitte enfile une tenue plus correcte et va ouvrir. Rien qu’aux éclats de rire, je comprend que c’est Mathilde. Elle vient nous demander si l’on veut faire un barbecue. Côtelette d’agneaux, poivrons, et salade… Je lui dit d’accord.

Ma- Non, finis ton café, je m’occupe de tout… Allez, à tout à l’heure… Au fait, cela ne vous dérange pas que Naomie se joigne à nous ?

M- Non, du tout.. Merci Mathilde… A tout à l’heure..

C’est avec un visage radieux qu’elle repart. Toute guillerette. Je finis mon café et je vais rejoindre Lili dans la piscine. Je me hisse sur le matelas gonflable. Lili viens sur le bord et me fait une fellation en gorge profonde. Elle c’est vachement améliorée. Elle m’englouti jusqu’à ce que son nez vienne buter sur mon pubis. Je sens sa langue tourner autour de mon sexe. Je ferme les yeux. Quand elle remonte, je peux voir sa salive qui coule le long de mon Viêt. Elle continue son va et viens durant de longues minutes. Je lui demande darrêter. Mais elle continue, me faisant signe non de la tête. Ce qui devait arriver arriva… C’est un premier jet de sperme qu’elle déglutie sans quitter ma verge, les quatre suivant également. Le mélange de sperme et de salive coule lentement sur mes couilles. Ce n’est pas perdu car elle m’essuie consciencieusement avec sa langue et me montre, ensuite qu’elle à tout avalé…Je la remercie par une caresse sur la joue. Elle s’essuie du revers de la main comme après un bon repas paillard. Elles sort de l’eau. Prend une douche et disparaît. Brigitte, qui n’a rien perdu de la prestation de ma femme, la suit. Je somnole. En repensant à la pipe de mon épouse, je me dit que l’éducation de sa sur portait ses fruits. Je suis sorti de ma douce torpeur pas les rires de Mathilde et de Brigitte. Je sort de l’eau et prends une douche. Je fais la bise à Mathilde et à sa fille, Naomie. Elles se mettent à poil. c’est d’un naturel déconcertant pour Naomie. Je m’assois à la table, ainsi que Mathilde. Je regarde Naomie qui est dans la piscine. Elle est gracieuse. Un corps bien formé, deux petits ufs sur le plat en guise de seins, des yeux en amande d’un noir profond, une chute à tomber par terre, des cheveux fins et noirs coupés à la Cléopâtre une toison taillée en V et un sourire ravageur. Mathilde me voit la regarder et surtout, bander à cette vision de cette jeune fille, femme ? Enfin je ne sais plus…

Ma- Elle est belle, ma fille ?

M- Piou, dommage qu’elle soit si jeune… Mais c’est sur, elle est ravissante…

Ma- Ne tinquiète pas. Elle est en avance pour son age. Pour les études et les choses de la vie…

M- comment, les choses de la vie ?

Ma- Ne faits pas l’innocent, tu sais de quoi je parle…Elle a été déniaisé à 14 ans par un cousin qui avait 30 ans de plus. Cela est une longue histoire. Elle va en avoir 17 au mois de novembre. Je sais qu’elle aime les hommes plus vieux qu’elle et elle te trouve charmant avec ton tatouage et ton énorme queue. On en a parlé longuement hier soir. Tu l’as impressionné.

Je quitte Mathilde et je vais allumer le barbecue. Tout se bouscule dans ma tête. Je regarde Naomie qui joue dans l’eau avec Brigitte et Lili. Bref, on mange, on boit, on rigole. Naomie a tenu à se mettre à côté de moi. Elle regarde constamment mon sexe avec envie. Lili et Brigitte, ayant compris, sont mortes de rire. Mathilde mange, comme si de rien était. Puis vient l’heure de nous quitter.

Mathilde,discrètement, me rappelle la promesse faîte de visiter le sex-shop. Je lui répond que je ne peu pas conduire… Trop bu… Lili propose une sortie entre fille, elle n’a presque pas bu.

B-(discrètement) Oh, oui Mathilde, on y va…

Ma- OK, Je vais me préparer, mais quelle voiture on prend ?

Lili- Celle de Tomy… D’accord mon cher et tendre ?

Après la pipe de ce matin, je répond dans l’affirmative. Mathilde et Naomie s’en vont. Brigitte et Lili débarrassent et vont se préparer. Quand elles reviennes, elles sont magnifiques. Lili avec sa robe de mailles et des dessous qui ne cachent pratiquement rien. Brigitte, sa robe blanche, sans rien dessous. Leur donnant 500 francs je leur dit ceci :

M- Amusez vous bien et ramenez un cadeau pour MM. Surtout, prenez votre temps, ùoi je vais me reposer…

Brigitte et Lili- Bien, Monsieur…

Je tends les billets à Lili, mais c’est Brigitte qui s’en accapare.

Brigitte- Vous avez oubliez ??? Ce n’est qu’une petite chienne…Hihihi

Mathilde revient. Belle comme un coeur. Elle est dans une robe fourreau noire. Elle est ravissante.

Ma- je peux te confier Naomie ? Elle n’a pas encore l’âge légale pour fréquenter ce genre d’endroit…

Je perd pied. Je voudrais lui dire non mais dans son regard, il y a comme de la perversité… Et puis comment résister devant la moue que fait Naomie.

M- Bien, allez, filez bande de cochonnes…

Et c’est dans un fou rire collectif qu’elle sortent de la maison. Naomie, seule avec moi. Jespère ne pas craquer…

Naomie- (Na) Alors, pisvine ou bronzette ?

M- Piscine…

C’est dans un énorme "PLOUF" que l’on se retrouve à l’eau. Elle rigole, elle plaisante avec moi, me sourit. Ce sont ses fesses et ses seins qui m’attirent. On joue comme deux ados. Je la soulève; la jette un peu plus loin… Trop brute ou un peu trop fougueux, elle boit la tasse. Elle se raccroche à mon coup. Elle tousse. Puis, elle rigole de nouveau et part dans un fou rire.

M- Qu’est ce qui te fait autant rire…

Na- Ta queue, elle est grosse…

Je la repousse.

M- Non, Naomie, c’est pas bien !!!

Na- Tu crois que je suis une petite capricieuse ? Tu me plais, comme tu plais à "ban mom" (maman en laotien)… On a parlé longtemps de toi, hier soir. Son visage était radieux, et ce matin en se levant, elle chantait…

M- Oui, mais tu es un peu trop jeune… Ta mère sait ce qu’elle fait, elle est majeur…

Na- tu sais qu’au Laos, les filles de mon âge sont mariées et ont déjà des enfants ?

M- Mais ici tu es en France…

Na- Je ne veux pas me marier avec toi, juste que tu me donne du plaisir…

M- Et ta maman ? Que vas t’elle dire ?

Na- Rien. Elle m’a tout expliqué … Ta relation avec ta femme et Brigitte…

M- Ah bon ? Qu’est ce qu’elle t’a dit ?

Na- Que vous vivez à trois, que vous êtes sympa et que tu es un super amant. Tu sais, au début cela m’a choqué, mais quand je l’ai vu aussi radieuse, j’en ai pleuré… Elle est heureuse de vous avoir connu. Tout comme moi… Je suis heureuse que "ban mom" soit heureuse…

A ces mots, je la prend dans mes bras. On se câline. Je lui demande ce qu’elle veut…

Na- Jouir dans tes bras… S’il te plaît Tomy…

Elle me pose un baisser sur les lèvres. Je lui répond… C’est pas bien, mais que voulez vous ? Comment résister à une demande si sincère. Je la prend par la main. Je prend une douche. Je lui demande d’en faire autant, mais d’attendre un petit moment… Je la prend par dessous les bras et la rejette à l’eau. Elle est morte de rire… Quand à moi, je vais à l’intérieur, me passer de la crème. Pas trop. Mon sexe n’étant plus vigoureux suite au traitement de Lili et l’alcool. De retour en terrasse, elle est toujours dans l’eau.

M- Tu sorts ?

T’elle une sauterelle, elle va sous le douche. Quelle vue. Cette donzelle se chauffe, me chauffe, en se frottant le visage, les bras, les jambes, ses seins et son minou. Je lui demande de s’allonger sur un transat. Je la rejoint et commence à la caresser. Ses, seins sont ferment et ses tétons pointent vers le ciel. Mes mains, tremblantes, descendent vers son ventre, ses cuisses, son entre jambe… Elle gémit, ma regardant avec envie. Je suis sur son pubis.

Na- ils ne te dérangent pas mes poils ?

M-Un peu, c’est plus agréable sans, mais bon..

.

Na- Tu veux bien me les enlever ?

M- Si tu veux !!! Ne bouge pas, je revient…

Na- Tinquiètes pas, je ne vais pas me sauver…Hihihi

Je file à la salle de bain. Je prend la tondeuse sans fil. Je fais un essai. Elle marche. Je me saisis d’un rasoir pour partie intime féminine… A mon retour, elle n’est plus allongée sur le transat… Elle est assise sur une chaise, jambes relevées, vulve offerte. Doucement je commence par la tondeuse. Elle frissonne. On rigole tous les deux.

M- Arrêtes de bouger comme un asticot….Hihihi

Ma- Mais c’est la première fois qu’un homme me fait ça, dhabitude, c’est moi…

.

M- Arrête…. Maintenant c’est le rasoir. bouge pas, s’il te plaît !!!!

Na- Hummm, Monsieur est directif… Cela me plaît…. J’aime que l’on m’insulte.

M- tais toi !!!

Je finis Mon oeuvre par un massage avec de la crème après rasage féminine. Je me lève et je vais tout nettoyer, tout ranger. Quand je retourne sur la terrasse, elle à toujours la même position. Sa vulve fraîchement rasé est superbe. Ses grandes lèvres sont à peine ouvertes mais sont état dexcitation est trahit par un fin filet de cyprine qui perle entre elles. Je m’agenouille. Je m’approche de son petit con, je lui souffle dessus. Elle gémit. Je lui écarte avec douceur, tendresse. Je ne veux pas la brusquer. Je lui embrasse l’entre jambe. Ses jambes tremblent…

M- Veux tu que l’on change d’endroit…

Na- N..non, continue, c’est délicieux. Hummm…

Je retourne à l’embrasser. Son odeur subtile à,pour effet de me mettre en transe. Son clitoris, que je n’avais pas encore vu, apparaît… Il est énorme… Il bande comme une petite bitte… Sorti de son fourreau, je commence à le sucer. Elle trésaille. Elle se cambre. Elle tremble. Mes mains remontent sur ses petits seins. Ses tétons sont dures. Elle a la chaire de poule. Je lui pince légèrement…

Na- Oui, continue, c’est bon… Hummm…

Son corps parle pour elle. Je m’insinue dans ce petit sexe. Ma langue rentre et s’amuse sur les paroies intimes de Naomie. Je la suce. Je la boie. Je la baise avec ma langue.

Na- Han, han,han… C, c’est, c’est trop bon…. Hummm, oui… Hummm

Je continu ce traitement pendant de longues minutes. Je lui introduis mes doigts avant de lui introduire mon sexe. Elle est terriblement serrée. Mais peu à peu, elle s’ouvre. Elle m’inonde la main d’un jus gluant et terriblement parfumé. Ni tenant plus, je la soulève et la pose sur la table, sans brutalité, comme on déposerait un diamant dans son écrin.

M- Tu es sur de se que tu veux ?

Na- Oui, Monsieur, je m’abandonne à vous… Allez y doucement, S’il vous plaît….

Ce vouvoiement m’importune mais bon, je ne veux pas la perturber. Je la tire au bord de la table. Elle dégouline. Elle est prête… J’approche mon glande de sa fente et je lui masse l’entrée de sa petite grotte. Elle ferme les yeux, sa respiration est haletante. Je m’appuis à lorée de son puits. Je pousse lentement. Mon gland à du mal à se frayer un chemin. Je force et je m’arrête lorsque le chapeau de mon champignon a disparu.

M- Ça va ?

Na- Oui, Hummm; trop bon…

Je continue ma poussée. Arrivée au premier tiers, je recule. Elle soupir, se mord les lèvres. Je retourne doucement, jusqu’au deuxième tiers. Elle à un rictus de bonheur. Je me retire et je m’enfonce à fond. Elle se cambre pour m’accepter en entier.

Na- Que c’est bon, que tu es doux… J’aime…

Doucement je fais de lent allez retour, sans ressortir. Mais à chaque fois que je la pénètre, je viens butée contre son utérus. Je lui demande de prendre mes hanches et de contrôler mes mouvements.

Na- Non, je… je veux… Je veux que tu me baise !!!! Han, han, han…

Je ressort entièrement. Sa vulve se referme dans un bruit de sucions terrible. Je représente mon gland et pousse d’un coup franc, sec mais lent. De sentir sa chatte mouiller ainsi m’éclate… Je ressors, rentre, de plus en plus vite. Elle se mord les lèvres. Elle se cambre. N’y tenant plus, tel un chien su sa chienne, je la retourne et la prend en levrette. Mais cette position debout me semble dangereuse pour elle. Elle n’a plus de force dans les jambes. Alors je lemmène dans le salon, sans me déboîter et je la prends en levrette. Sans ménagement, je lui fouille l’intérieur de sa matrice. Je la ramone sans ménagement. Je ne l’entends plus criée… Elle à la tête enfoncé dans les cousins. J’y vais gaillardement, ressortant et allant jusqu’à la butée.

M- Je vais jouir, Naomie, tu es une petite salope. Une jolie petite salope… Han, han, han, han, Ouiiiiiiiiiiiiiii…

Je ne compte plus mes jets. Je ne suis plus où je suis… Quand Naomie relève le tête, je maffale de tout mon poids et l’embrasse à pleine bouche… Elle a encore le visage déformé par la jouissance.

Na- Han, han. Piou, tu es un sacré étalon. Maman à raison. Qu’elle queue tu as…

Elle se laisse tomber, se retourne et prend mon gland en bouche.

Na- Hummm, Hummm… Et en plus, tu es bon… Hummm

Comment sa mère acceptait que sa fille de 17 ans soit aussi dépravée… Je reprend mes esprits. Quelle salope. Elle a du en voir d’autres…

Na- Douche, piscine ?

M- Douche, piscine… Naomie, je n’ai plus 16 ans… Enfin 17… Laisse moi reprendre mon souffle… Je vais boire une bière… Et toi ?

Na- Une bière…

M- OK, Vas tasseoir, j’arrive.

J’arrive sur la terrasse. Elle est assise au centre de la table, se caresse le sexe, se suce les doigts.

Na- Qu’est ce que tu es bon !!!!

M- Tiens, ta bière petite vilaine…

Na- Oui, je veux être Ta petite vilaine…

Je lui sourit, lui dépose un bisous sur le pied. Elle rigole. On boit notre boîte. On va prendre une douche et ensuite piscine.

Na- J’aime bien être ici, après la mort de mon papa…

M- Chut… Ne pense pas au passé, mais au futur. Tu as le droit de penser à ton papa mais garde sa pour ta vie privée, s’il te plaît.

Na- OK, Excuse moi…

M- Tu n’as pas à t’excuser…. Viens, ma puce… Câlin…

On se prend dans les bras. Je bande.

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