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séjour à l'hopital – Chapitre 1




Et voilà, il fallait bien que cela arrive. A force de bricoler sans précaution, je me suis blessé. Brûlé pour être précis.

Comme un idiot, après avoir débroussaillé mon jardin et taillé la haie, j ai voulu me débarrassé du tas d’herbe et de broussailles. Plus intelligent que les autres, j ai décidé d y mettre le feu avec de l’essence. J ai pris la précaution de mettre de l’essence sur le tas, puis de reporter le jerrycan à plusieurs mètres de là. Ensuite j’avais dans l’idée de mettre le feu à une torche et de la projeter sur le tas d herbe. Mais voilà, par cette chaleur étouffante, le simple fait d allumer le briquet a provoqué l’explosion des vapeurs d’essence.

Conséquence, transport à l’hôpital, par les sapeurs pompiers. Là on m’a recouvert de biafine l’ensemble du torse, les bras, les jambes. Heureusement je portais un short.

Je n’ai pas à me plaindre, je ne devais faire qu’un bref séjour à l’hôpital, les radios pulmonaires ayant démontré que les poumons n’étaient pas touchés. Mais voilà, un urgentiste a préféré me garder en observation.

Je n ai pas mal, je ne ressens pas la brûlure, peut être à cause de la perfusion.

Mon épouse m’a accompagné. Elle est repartie le soir pour s’occuper des enfants.

Je suis allongé sur le lit, un champ recouvre mon bas ventre.

Les infirmières et infirmiers viennent à tour de rôle découvrir l’imprudent qui ressemble à un bonhomme de neige car dès que la biafine est absorbée, on m’en remet une couche.

Il est bientôt 18 heures, l’accident a eu lieu vers 14 heures, il me vient une pressente envie d uriner.

Une infirmière d’un certain âge entre dans la chambre pour vérifier mon état. Je lui fais part de mon envie.

Là, elle m annonce que je ne peux pas me lever avant demain et qu’elle va me faire apporter le pistolet.

Quelques instants après une aide soignante arrive avec le fameux ustensile. Elle le pose sur la table de chevet, me demande comment je vais et me dit de sonner quand j’aurai fini.

Je lui fais alors remarquer que je ne peux me servir de mes mains et qu il serait souhaitable que je me lève pour aller uriner.

Évelyne c’est le nom sur la blouse me dit que je n’ai pas le droit de me lever tant que je n ai pas été vu par un médecin demain. Elle me dit:

«Je vais vous aider» et joignant le geste à la parole, elle ôte le champ vert qui recouvre mon bas ventre.

J’aperçois vite un sourire sur son visage. Elle me dit alors

« il n est pas fier popole, il est rentré dans sa coquille. Cela ne va pas être facile de l’introduire dans le pistolet sans y mettre les mains»

Je suis rouge de confusion plus que par les brûlures.

Elle prend le pistolet dans sa main et soulève ma verge qui est ridiculement petite.

Évelyne me dit:

«décontractez vous, laissez vous faire, ce n est pas le premier zizi que je touche»

Cela ne me rassure en rien.

Essayant l’humour, elle me demande si je préfère que ce soit un infirmier qui vienne s occuper de moi.

Je lui hurle presque « non », Déjà avec vous c est assez difficile alors avec un homme je n’ose même pas l’imaginer. Elle a réussi à poser le bout de ma verge dans le pistolet. Elle semble assez fière d elle.

Voilà dit elle, vous n avez plus qu’à uriner je tiens le pistolet.

J ai honte, mais l’envie est trop pressante, je me laisse aller.

Le pistolet se remplit j’ai peur d avoir trop envie et de le remplir mais je termine sans faire déborder l’ustensile.

Elle reprend ma verge dans sa main.

« Hum, il s’éveille le coquin » En effet, ma verge semble se déployer toute seule. Elle va vider le pistolet dans les toilettes, revient avec un morceau de papier hygiénique reprend ma verge en main et l’essuie tendrement. Elle retourne jeter le papier dans les toilettes

Je suis de garde cette nuit, me dit elle, si jamais vous aviez de nouveau envie, maintenant que nous avons fait connaissance, cela sera plus facile,

Elle pose alors sa paume de main sur mes bourses et les malaxe doucement de la main droite pendant que la gauche enserre ma verge.

Voilà, vous voyez, il devient mon ami. En effet, ma verge prend une certaine ampleur.

Je suis confus lui dis-je.

"Mais de rien, c est une réaction naturelle. Mais c est vrai que c est plus agréable de faire cela à un homme de votre âge qu’à un vieux papy. "

Ses mains n’ont pas quitté leur position et je commence sérieusement à avoir une érection.

Bon. Nous allons nous revoir cette nuit, je passerais vous remettre de la pommade alors profitez en si vous avez envie .

Elle quitte alors la chambre en remettant le champs vert qui pose comme une tente. Avant de fermer la porte, elle se retourne, et me dit:

"Vous voyez, je lui plais donc plus de soucis pour uriner et plus si besoin. "

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