Le 20 septembre 2019

Cher Journal,

Il était neuf heures quand tout d’un coup, je me suis réveillée, plus personne n’était à côté de moi, mon copain était déjà parti travailler. Aujourd’hui, j’ai pris congé, je devais faire beaucoup de choses. Je commençai cette journée en prenant une bonne douche chaude, je me lavai les cheveux noirs. Mon corps est très fin, d’ailleurs, je fais un peu de sport, du yoga ou du sport de chambre pour être bien avec moi-même. Je me lavai en faisant attention à mes cicatrices. Quand je pris mon peignoir, je me regardai dans la glace et repensai à certaines choses du passé. Mon corps était super et je me sentais revivre pour la première fois après mon accident et mon opération. J’ensevelis mes cheveux dans un linge et je fermai le peignoir. Il faisait froid dehors, malgré le soleil, le vent était présent. J’enlevai ma serviette de la tête et séchai mes cheveux. Je fis un chignon pour ne pas les mouiller et allai dans la cuisine me servir d’une tasse de café où mon copain avait déjà préparé.

Je pris mon déjeuner dans la véranda, c’est mon espace préféré, c’est là que je fais de tout, je prends inspiration. Il y a une grande table grise en bois au milieu et des chaises de jardin. Je pris soin de bien fermer la porte glissante que mon copain avait laissée ouverte pour faire circuler l’air, car les courants frais me donnaient les frissons. Sur mon plateau, je mis un verre de jus d’orange, un bol de lait, un verre d’eau avec des médicaments que je dois prendre et il y en a pas mal, une pomme, une banane puis mon portable. J’aime avoir le choix dans ma vie, je n’ai pas dit que j’allais tout manger.

Je mangeais tranquillement et j’étais sur les réseaux sociaux, je devais m’occuper de mon blog et encore aucun article ne m’était venu en tête. C’est là qu’on frappa à la porte de la véranda, je me nettoyai la bouche et les mains avec une serviette et allai ouvrir.

Bonjour ! dis-je souriante.

Bonjour, c’est pour vous !

En effet, le postier m’avait apporté une commande que j’attendais depuis un moment, il n’y en avait pas qu’un paquet, mais plusieurs. Je le fis entrer et il déposa les cartons sur le pas de la porte. Il est très jeune, la trentaine à peu près, blond, bien musclé.

Je peux vous offrir un verre d’eau ?

Volontiers, me dit-il.

J’allai dans la cuisine et lui remplit un verre d’eau, je lui affirmai qu’il pouvait s’installer pendant ce temps. Je le retrouvai assis, lui servit son verre qu’il buvait lentement. Je pris un carton dans la pile et l’ouvrai devant lui, c’était un paquet Zalando, j’avais commandé une robe noire magnifique pour notre anniversaire à Léo et moi. Cela fait un an bientôt… Qui l’aurait cru que le bad boy coureur à jupons aurait été mon fiancé.

Elle est très belle cette robe Madame…

Ambre, lui dis-je.

Comme la pierre précieuse, remarqua-t-il.

Je souris et pliai la robe dans le carton que je mis de côté, puis j’ouvris un autre, mais je m’aperçus que c’était un peu trop osé pour le montrer. Il le vit quand même.

Je crois que vous avez besoin de pile, affirma-t-il.

Je ne sus quoi dire, j’étais gênée, mais je pris l’objet et le posai sur la table. J’ouvris le colis et le posai sur la table.

Eh bien, vous aimez les grandes choses, me dit-il avec un sourire narquois. Je ne répondis pas non plus à cette affirmation, je me contentai de faire un sourire en coin. Il faut voir s’il fonctionne, ça serait dommage, ajouta-t-il.

J’essayai d’enlever le clapet, je ne compris pas le pourquoi, tous les objets en 2019 se rechargent avec l’alimentation et cet outil est encore avec pile. Ce n’est pourtant pas mon premier. Le facteur m’aida à l’ouvrir, il est si compréhensible, si patient. Je tournai les talons et entrai dans la maison, malheureusement trop petite pour arriver dans l’armoire, de mes un mètre septante, je sautai sur place. Je pris alors une petite échelle et cherchai dans l’armoire, quand j’eus trouvé, je voulus descendre et il était là pour me rattraper, car en me retournant, le vertige me prit et je tombai dans ses bras, il était fort et moi pour lui légère comme une plume.

Attention, si je n’étais pas là vous seriez tombée, dit-il.

Je ne parlais pas, je me perdis dans ses yeux bleus, puis il me demanda si je les avais trouvés et je le lui montrai. Il les prit et ouvrit le sachet, il en sortit deux qu’il introduisit. Il enclencha l’objet. Ce petit son sourd était une bonne musique pour mes oreilles. Il s’approcha de moi et m’embrassa, mes mains entouraient sa tête, il retourna sa casquette, on aurait presque cru une racaille, un vrai bad boy. Il dénoua mon peignoir, j’étais tellement stressée, je ne voulus pas dans un premier abord, mais je me laissai aller. Il m’embrassa encore et me mordilla l’épaule gauche alors que je lui fis un suçon sur son cou. Je lui léchai la pomme d’Adam qui était vraiment bien mise en avant. En effet, sa voix était l’une des voix les plus graves que je n’avais jamais entendues, elle est sensuelle, c’est une des voix qui te donne envie d’exécuter toutes les demandes. Il caressait mes seins et les malaxait. Il me complimenta pour la taille, un excellent 90D à la Ayem Nour de Secret Story

Mon peignoir finit par tomber et il regarda en bas. Il recula d’un pas.

Madame a une surprise, je vois… Et ça me plaît.

Ma queue était déjà bien tendue. Il me dit de me coucher sur la table, il prit mon nouveau vibro et le plaça sur mon gland déjà humide et sensible. Je m’accrochai de part et d’autre de la table. La sensation était énorme. Puis il me dit de me retourner sur le ventre, ce que je fis naturellement. Il prit mon pénis et me branla gentiment, il n’en était pas choqué, on aurait cru que c’était naturel chez lui de voir des femmes avec 18 centimètres dans le string. Aurait-il eu d’autres clientes dans mon cas ? Pourtant, nous ne sommes ni une majorité ni une minorité. Les transsexuelles se comptent sur les doigts d’une main dans un rayon de 10 kilomètres, je suis la seule. Il me donna une fessée et je répondis en gémissant. Le son du vibro était toujours présent. C’est là qu’il essaya de l’introduire doucement dans mon anus, mais puisque ça ne rentrait pas tout de suite, il me doigta avec son majeur humidifié de sa salive.

Il fit des va-et-vient, je le sentais déjà qu’il me donnait des sensations, il se retira et il enfila le gode. Il l’enfila entièrement. Puis, j’entendis le son de son portable comme s’il l’avait débloqué. Pendant qu’il avait son portable dans la main, il s’approcha de moi et avec sa queue encore emballée dans son uniforme gris et jaune, se caressait. Je sentais que son truc était énorme, j’essayais de comparer avec mon copain, mais j’étais trop concentrée sur ce qu’il faisait et les vibrations du gode en moi. Je me branlai lentement, je sentais quelques gouttes qui sortaient. Puis il me coucha sur le dos sur un canapé de jardin. Je me tins, il posa son portable sur la table basse, je vis qu’il téléchargeait une application, il me branla alors qu’il sortait lentement sa queue juste en ouvrant sa braguette. Sa veste était loin en deux secondes et je le retrouvai en débardeur, je me demandai comment ses muscles tenaient dans la veste et n’avaient pas encore défait les coutures.

Ils étaient énormes. C’est le genre de mec qui a fait du rugby dans sa vie, c’était une armoire à lui seul. Je gémis et pris mes cheveux de mes deux mains.

Tout d’un coup, je sens que la vitesse du vibro se faisait par à-coups, lentement au commencement et ensuite toujours plus vite, des à-coups comme si on m’enculait. Je faisais des mouvements en même temps, mes seins suivaient en montant et descendant. L’employé me prit une jambe et je me retrouvais à califourchon sur sa queue qui pressait sur mon cul et le vibro. Je sautillai sur place alors qu’il avait les commandes. Il mit sa tête entre mes seins et m’embrassa. Il toucha mon cul sans séparer mes fesses, mais me les caressait. Mon membre tapait sur son bas-ventre. Il me branla et me lécha le gland. Ensuite, il m’assit sur le sol frais et me présenta les armes. Sa queue est épaisse et longue. Je la pris dans mes mains et le branlai en le regardant. Je léchai son gland ainsi que sa couronne. Il mouillait tout autant que moi. Il avait toujours son portable à la main et commandait mon nouvel objet.

Je suçai sa verge veineuse et la branlais, il prit ma tête par sa main libre et me donnait la cadence. Il me tirait un peu les cheveux et me cracha dans la bouche et me baisa la bouche. Je m’agrippai à ses cuisses en les serrant bien dans mes mains pour ne pas tomber. Puis, j’arrivai à prendre de ma main droite ses boules qui pendaient et étaient vraiment pleines. Je les massai et jouai. Il me retira pour que je puisse prendre un peu de souffle et je gobai tout de suite ses testicules, je les aspirai les deux en même temps dans ma bouche et je hochai la tête pendant qu’il se branlait.

Il me prit et me coucha sur le dos sur le canapé et enleva mon vibro, il l’éteignit grâce au bouton puis commença à me lécher l’anus. Il était vraiment doué avec sa langue, il me le bouffait totalement. Il me branla un peu, mais je sentais que ce n’était pas son truc. Il se releva et me porta jusqu’à la table centrale et me coucha sur le dos. Mon cul légèrement dans le vide, il plaça son membre et en particulier son gland sur mon anus et il rentra directement et entièrement dedans. Je criai de douleur. Il mit son pied sur la table alors que mes chevilles étaient sur ses épaules et mes mains sur le bord de la table pour me tenir. Puis il m’encula, il faisait des mouvements doux, mais très profonds les premières fois puis il accéléra selon ses désirs, il me mordille les mollets me disant qu’il parfumait de lait de coco, qu’il avait totalement raison. Il regardait mes seins bondir dans tous les sens et me disait que j’étais parfaite.

Je me branlai lentement et il me dit de ne pas le faire. Il me prit la main et me l’arracha de mon membre. Je n’en avais aucun doute sur sa virilité masculine. Il prit son débardeur et il le souleva à son cou, puis il me prit les pieds avec une main sans s’arrêter de me pénétrer et il le passa par la tête. Une fois mes chevilles à leur place, j’entendis des petits bruits de ceintures, et le bruit des vêtements qui glissaient sur sa peau. Son uniforme était par terre. Nous étions nus tous les deux, le mâle qui baisait devenait plus sauvage. Il prit mes pieds, écartait mes jambes et me baisait pire qu’un animal. Mon souffle se faisait de plus en plus saccader. Les émotions que je ressentais lors de la pénétration et la violence étaient totalement inédites. Mon copain me fait certes grimper au rideau alors qu’il a moins de centimètres, mais plus épaisse. C’est la manière dont le postier me prend. C’est sa virilité alors que mon copain est certainement viril, mais aussi un peu fragile.

Il se pencha sur moi et m’embrassa, puis passa ses bras autour de moi pour me prendre et nous nous retrouvons à nouveau sur le canapé où il m’ordonna avec sa voix grave de sauter sur sa queue. Viril et entreprenant. Il me branla pendant que je sautais et hurlais sur sa queue. Il me regardait et prenait plaisir. Il affirma que je suis l’une des meilleures clientes qu’il ait, qu’il ne refusait pas le détour. Il me bloqua à un moment donné et me pénétra fortement, ça claquait sur mon cul.

Arrête, je vais jouir ! lui dis-je.

Fais-le sur mon ventre.

Je me laissai baiser pendant quelques instants, je sentais que ça montait, encore et toujours plus, puis, le moment arrivé, je me branlai et jouis sur son ventre et pas seulement, mon sperme arriva jusqu’à son cou, ses pecs et son nombril à la fin, trois jets forts et quelques petits encore. Je voyais mon sperme couler sur son corps, mais je ne débandais pas, ensuite, il me porta et me mit sur le sol. Je gobai ses couilles pendant qu’il se branlait et lui aussi arrivé à gare terminus tout le monde descend, et quelle descente, il recula et sperma sur mon visage avec ma bouche ouverte, les jets étaient plus importants que les miens, des grands jets, on aurait dit une de ces vidéos fake sur le Net, mon visage était presque blanc et je ressentis aussi quelques jets contre ma poitrine. Il s’approcha et étala son sperme, j’en avais dans les cheveux que j’avais lavé tout à l’heure (merci), puis je suçai son membre avec son sperme et le nettoyai bien.

Il me remercia et me demanda poliment de pouvoir faire une douche. Je pris mon peignoir et me frottai de partout. Je lui dis de me suivre. Pour ne pas éveiller de soupçon, je mis mon peignoir dans la machine à laver et l’enclenchai à 90 degrés. J’allai dans la chambre alors qu’il était toujours derrière moi et dans mon tiroir, j’en sors un string rose que j’enfilai. Je lui montrai la salle de bain et il se lava.

Devant moi, il s’habilla lentement. Me complimentant de mon physique et de la bonne heure qu’il venait de passer. Il sortit de la véranda puis tout d’un coup derrière la vitre, il sortit à nouveau son membre déjà bien tendu et fit l’hélicoptère, fier de son coup pire qu’un ado en chaleur. Il rangea son matériel et s’en alla.

Quand il partit, j’ouvris les derniers cartons et les rangeais dans le garage. Je nettoyai le vibro, me connectai sur Internet et écris l’article sur mon blog.

Related posts

Mon mari était gay, il raconte : – Chapitre 1

historiesexe

mère et fils – Chapitre 1

historiesexe

Le grand changement – Chapitre 1

historiesexe

Laissez un commentaire

Ce site Web utilise des cookies pour améliorer votre expérience. Nous supposerons que cela vous convient, mais vous pouvez vous désinscrire si vous le souhaitez. J'accepte .