Lorsque Valentine et Laurent débarquèrent à l’aéroport de Saint George’s, la chaleur étouffante les assaillirent malgré la proximité de la mer.
— Welcome to Grenada, annonça la superbe hôtesse noire dans un tailleur serré strict qui moulait son sculptural corps, les cheveux tirés en arrière.
Valentine soupirait en voyant l’intérêt que lui portait Laurent. Ce n’était pas gagné songeait-elle … En effet, ce voyage avait pour but de ressouder leur couple miné par les successives crises de jalousie et la routine qui s’est installé depuis des années. Malgré leur jeune âge (25 ans pour Laurent, 23 pour Valentine), cela faisait tellement longtemps qu’ils étaient ensemble. Ils se sont connus au collège, à 14 et 12 ans et sont sortis ensemble aussitôt. Dès la fin du lycée, au début de leurs études universitaires, ils ont emménagé ensemble. Tous leurs amis les voyaient comme le couple idéal que rien ne pourrait séparer. Rien sauf l’ennui … Rien sauf la jalousie maladive des deux … Rien sauf l’impression que plus aucun d’eux ne pouvaient se surprendre … Rien sauf le sentiment de ne plus être tout à fait sur la même longueur d’onde … Témoin de cela, leur apparence physique : Laurent ne comprenait pas les efforts de Valentine pour paraître perpétuellement coquette alors que lui-même trouvait cette quête futile ; inversement, Valentine déplorait le laisser-aller de Laurent : il avait abandonné le sport, commençait à prendre un léger embonpoint, ses tenues laissaient à désirer. Heureusement que pour l’instant sexuellement, ça allait fort. Ils se raccrochaient à ça à l’issue de chaque dispute. Valentine se souvient que ses meilleurs orgasmes intervenaient toujours après une grave altercation. Ils se sont parfois trompés mais ils se retrouvaient toujours. Et c’est à une de ces occasions que Laurent et Valentine avaient fait l’amour toute la nuit recommençant toujours et toujours jusqu’à ce que le jour se soit levé. Valentine avait eu le souvenir d’avoir eu le corps épuisé, tremblotant, courbaturé à l’issue d’un énième orgasme dévastateur. Elle s’était surprise à se blottir contre Laurent, oubliant que ce dernier deux jours plus tôt faisait l’amour à une autre fille. Elle lui avait une fois de plus pardonné se sachant également fautive par ailleurs …
Las de la situation, Laurent et Valentine se sont organisés ce voyage à Grenade, cette petite île anglophone des Caraïbes, avant leur dernière année d’études … Ils voulaient faire le point sur leur situation. Mais Valentine se sentait déjà un peu énervée contre Laurent : mis à part l’oeillade qu’il a décoché à l’hôtesse et qui n’est finalement qu’une péripétie supplémentaire, elle avait failli hurler dès Paris quand elle a vu la tenue de Laurent : une large chemise Hawaïenne aux motifs immondes qui n’arrivait même pas à cacher son bidon, un bermuda informe et des sandales affreuses. Elle n’a pu s’empêcher de lui en faire la remarque mais il lui avait répondu vertement :
— Je ne critique pas ta façon de t’habiller sinon si tu veux savoir ce que j’en pense : tu as l’air d’une pute avec ta robette qui n’arrive pas à cacher ta moule. Tu n’as pas compris qu?il faut être pratique pour voyager. Du coup, c’est moi qui vais me taper les bagages car Madame ne pourra rien porter pour ne pas casser ses talons hauts …
En disant cela, il fit une mimique précieuse qui imageait bien ce qu’il venait de lui signifier. Vexée, Valentine ne dit plus rien et se contenta de bouder derrière ses lunettes de soleil. Ils n’avaient pratiquement pas parlé durant la première partie du voyage qui les avait emmené à Miami. C’est seulement en prenant leur correspondance pour Saint George’s qu’ils avaient un peu enterré la hache de guerre.
Une fois installés dans leur bungalow, ils passèrent la journée à se remettre du décalage horaire sur la plage de sable blanc sur laquelle donnait leur habitation. Laurent ne put s’empêcher de tourner les yeux dans tous les sens pour mater les superbes créatures noires qui passaient avec un corps parfait, dans des maillots deux pièces qui avaient peine à cacher l’indécent. Valentine n’était pourtant pas désagréable à regarder malgré sa petite taille mais ses jambes à elle étaient également superbes et ses hanches étroites et musclées par des années de sport aurait attiré le regard de plus d’un. D’autre part, son joli visage régulier cadré par de longs cheveux blonds ramenés en chignon achevait de rendre sublime ce petit corps. Mais Laurent était lassé par les années de vie commune avec sa compagne. Valentine s’énerva à nouveau de l’attitude de Laurent qu’il essayait pourtant de rendre discret sans y parvenir mais son regard à elle était également attiré par la gente masculine qui foisonnait sur la plage. Tous ces hommes aux corps superbement musclés fait pour l’amour troublait Valentine ce qui dans sa tête lui interdisait de critiquer l’attitude de Laurent. Mais il fallait qu’elle passe son énervement sur quelqu’un … sur Laurent, égoïstement … En se retournant, Laurent balança un peu de sable sur le dos de Valentine. Elle explosa :
— Merde, tu fais chier … Tu pourrais faire gaffe.
— Oh … Tu me saoules … Je vais me baigner
— C’est ça, fais-moi de l’air
Laurent alla dans l’eau. Valentine regretta aussitôt son emportement mais évita de montrer qu’elle avait capitulé. Toute la journée se passa ainsi. Cette situation se reproduisit plusieurs fois : une fois c’était sur le ridicule du caleçon de bain de Laurent … C’était mal parti pour une réconciliation durable, se dit Valentine. Ils se réconcilièrent néanmoins à nouveau au moment d’aller dîner. La conversation à table fut fort ennuyeuse pour Valentine car Laurent n’arrêtait pas de parler de son boulot et de ses copains (que Valentine trouvaient tous insupportables, cela dit en passant). Mais elle évita de lui couper le sifflet pour ne pas faire de scandale en public. Après le dîner, ils n’avaient plus envie de dormir, ayant déjà passé une grande partie de la journée à dormir sur la plage entre deux disputes. Laurent proposa alors de sortir prendre un verre et de s’amuser en boîte, une activité qu’ils aimaient encore pratiquer en commun. Valentine évita quand même de lui faire remarquer qu’avec ses tenues un peu touriste-plouc, Laurent ne cadrait pas avec une sortie en boîte. Ils y allèrent donc …
Apparemment, Valentine se formalisait pour rien car personne d’autre ne trouva rien à redire de la tenue de Laurent. Le bar faisait dancing en même temps donc après quelques verres, ils allèrent se déhancher sur la piste au rythme de la salsa. Valentine devint beaucoup sensuelle devant Laurent mais régulièrement, il fut attiré par les canons noirs qui dansaient autour d’eux et qui dansaient nettement mieux que Valentine, pauvre petite blanche qui n’aura jamais la même facilité en danse que celles qui avaient ça dans le sang. Qu’à cela ne tienne, Valentine se désintéressa de la situation, l’alcool aidant et de toutes manières elle adorait danser et n’était que très peu complexée par le peu d’attention que lui portait son compagnon : elle voyait qu’elle attirait elle-même le regard d’autres hommes. Elle ferma les yeux et continua à se déhancher, la robette trempée de sueur, sur laquelle se dessinait les auréoles de ses seins laissés libres par l’absence de soutien-gorge et en transparence, on voyait son petit string rose, terriblement sensuel. Valentine avait l’impression d’avoir pris une douche … mais paradoxalement, elle sentait qu’elle se sentait de mieux en mieux au fur et à mesure que la piste se remplissait et que ses mouvements étaient restreints. Elle sentait des mains qui la frôlaient de plus en plus franchement sur le dos et même devant … Elle ouvrit les yeux pour savoir ce qui se passe et eut un choc en ne voyant plus Laurent autour d’elle. Elle écarquilla les yeux et à travers la foule, elle l’aperçut attablé au bar comme par hasard, une sublime noire était en train de discuter avec lui. Furieuse, Valentine décida de rentrer seule … Elle sortit du bar et se dirigea vers le bungalow. Elle ne daigna pas se réveiller lorsqu’elle entendit Laurent rentrer quelques heures après elle.
Laurent après un verre un peu plus tôt dans la soirée, avait constaté avec étonnement la disparition de Valentine … Il l’avait attendu attablé au bar tout le reste de la soirée. Las, quelques heures après et passablement ivre, il finit par se résoudre à rentrer. Il finit par se rassurer lorsqu’il vit la chevelure blonde de sa compagne dépasser de sous le drap du lit. Il s’allongea près d’elle non conscient d’avoir été la cause à nouveau d’un énervement de Valentine.
Le lendemain, Valentine se réveilla très tôt alors que Laurent était encore endormi profondément. Sa fureur n’était toujours pas retombée et elle décida d’aller profiter seule de la plage. Enfilant juste un deux-pièces rouge sang, un paréo et des mules plates elle se dirigea l’étendue sablonneuse, encore presque déserte en cette heure matinale. Aucun touriste, juste quelques plagistes Noirs qui vaquaient à leurs occupations dans la bonne humeur. Elle plongea dans l’étendue d’eau claire avec délices. Elle adorait l’eau. Durant une heure elle nagea encore et encore sans se préoccuper de ce qui se passait sur la terre ferme. Quelques Noirs nageaient non loin d’elle, faisant d’elle toujours la seule touriste blanche de la plage. Un s’approcha d’elle dans l’eau … Et bizarrement, il s’adressa à elle en français malgré le fait que la langue officielle soit l’anglais ou le créole. C’était un Noir qu’elle avait déjà cru remarquer on ne sait où, la veille … Il avait des cheveux longs et ondulés qui lui tombaient sur l’épaule, ses traits étaient comme taillés à la hache, anguleux et non dépourvus de charme … au contraire …
— Hey sister, ça va … Tu es Française ?
— Oui … Ca va … et toi ?
— Ca va … Moi c’est Jimmy …
— Valentine.
— Cool … Tu viens d’arriver ?
— Hier … avec mon copain …
— Ah oui … J’ai vu … Le gros rouquin ?
Valentine pouffa :
— Oui c’est lui …
— Il n’est pas là ?
— Non … Il dort … On s’est un peu disputé hier …
— Pas grave j’espère ?
— C’est un con … Il faisait de la gringue avec une autre nana hier en boîte …
— Ouais … Toi, tu bouges bien par contre … Je t’ai vu
— Tu crois ? Je ne vaux pas les danseuses d’ici, c’est clair …
— Non tu as tort … Tu es une vraie bête sur scène …
Jimmy s’était ostensiblement collé le long de la taille de Valentine. Il continua :
— Surtout j’ai vu que tu avais un cul superbe …
Valentine plaqua ses mains sur le torse de Jimmy pour dans un premier temps le repousser mais elle n’y mit aucune force ni volonté ce qui fit que le Noir finit par se coller complètement à la jeune Blanche. Jimmy parlait toujours voyant que la jeune femme n’articulait aucun mot. Il se fit encore plus direct …
— Moi, à la place de ton mec, je ne te laisserais pas seule comme ça … Je te baiserais tout le temps.
— Tu … vas trop loin … arrête …
Sa main sous l’eau se posa sur la hanche de Valentine sans qu’elle ne fasse strictement rien pour l’en dissuader. Valentine se dit qu’elle devrait lui foutre une claque et sortir de l’eau mais elle n’avait pas envie de retrouver Laurent. Le souvenir de la Noire avec Laurent au bar la veille lui taraudait toujours l’esprit … Jimmy poursuivit :
— Hey … Faut pas te formaliser sister … Ici à Grenade, on aime bien les contacts …
Valentine glissa la main sous l’eau, ce qui eut pour effet d’enlever le dernier rempart qui empêchait un peu Jimmy de coller son torse musclé contre la poitrine voluptueuse de Valentine. De sa main libérée, Valentine tenta de retirer la main du Noir sur sa hanche mais son autre main se posa à son tour sur l’autre hanche attirant le bassin de la jeune femme contre son pubis d’où une érection moulée par le slip de bain dardait. D’une main, Valentine tentait toujours faiblement de retirer la main gauche du Noir sur sa hanche tandis que l’autre main tentait de repousser le torse qui écrasait ses seins. Elle n’arrivait plus à comprendre pourquoi elle n’y mettait pas plus de volonté à repousser Jimmy. Elle était hypnotisée par ses yeux noirs rieurs mais qui semblaient fouiller directement dans sa volonté à elle pour détecter ses faiblesses. Et apparemment, il avait d’ores et déjà trouvé … Elle protesta néanmoins :
— Non, laisse-moi … protesta-t-elle faiblement d’une voix inégale … Je t’ai dit que j’avais un copain … Il va nous voir …
Jimmy lâcha enfin la hanche gauche de la jeune Blanche mais il l’insinua entre les jambes de Valentine pour masser la partie la plus douce de son intimité à travers le polyester du maillot. Valentine se surprit à adorer la caresse et en fut même frustrée que la main du grand Noir soit encore barrée par le tissu du maillot. Elle écarta les jambes en ressentant la douceur lui prendre et qui remontait délicieusement le long de sa sangle abdominale. Elle arrêta de lutter et entoura de ses bras les épaules de Jimmy pour ne pas tomber et laisser ses jambes flotter entre deux eaux. Elle enfonça le visage dans le creux de l’épaule du Noir comme pour cacher sa honte. Celui-ci finit par écarter à l’aine le maillot et massa cette fois-ci directement la chair intime de Valentine. Elle ne put réprimer un léger cri tellement c’était bon. L’interdit et sa furie de la veille l?excitaient à un point qu’elle n’aurait jamais imaginé. Comme d’habitude elle avait envie de punir Laurent de sa prétendue faute en livrant non seulement son corps mais également son âme à cet homme qui désirait s’accoupler avec elle en y mettant rien que le minimum de séduction. En temps normal, Valentine aurait trouvé repoussant un homme qui à la deuxième phrase ou presque était déjà en train de lui masser l’entrejambes mais une irrépressible envie de sexe vient combler sa frustration. Et Jimmy était doué pour les attouchements.
Le Noir prit doucement la main droite de la jeune femme serrée à en faire mal aux jointures, comme accrochée à une bouée de sauvetage et le déposa doucement, dans l’eau sur son entrejambes à lui. Valentine mûe comme une automate, écarta l’élastique du slip de bain du Noir et baissa les yeux. Elle poussa à nouveau un cri de surprise : la réfraction dans l’eau claire donna des dimensions titanesques au pénis du Noir. Instinctivement, elle le saisit à pleine main tandis que le Noir poussa un soupir de contentement et ferma les yeux. Il continua à masser longuement la chair fragile de Valentine avec une adresse qu’elle n’avait jamais pu apprécier jusqu’alors … Maintenant, dans la tête de Valentine, Laurent et sa vie parsemée de disputes était à des milliers de kilomètres d’elle. Là tout de suite, elle n’avait envie de rien penser à autre chose qu’à passer et à repasser dans la paume de sa main cette massue de chair noire que possédait Jimmy. Elle s’admira, la bouche ouverte en train de besogner ce pénis qu’il lui semblait grossir encore et encore … Ses yeux verts clairs restaient écarquillés sur l’entrejambe de Jimmy. Celui-ci enfonça deux doigts brutalement dans le ventre de Valentine qui ressentait toujours la gène de l’entrejambes de son maillot écarté à l’aine. Jimmy ne rencontra aucune résistance : les chairs de Valentine accueillirent favorablement cette courte intromission en espérant plus encore … Satisfait, Jimmy s’écarta légèrement de Valentine et écarta également la main de la jeune femme qui s’ouvrit à regret pour lâcher son jouet de chair. Jimmy présenta son gland à l’entrée de la grotte de Valentine qui se laissait toujours flotter entre deux eaux. Une bouffée de pudeur saisit brusquement Valentine qui chercha à se dégager de l’étreinte mais les mains de Jimmy crochèrent fermement les hanches de la jeune femme pour l’empêcher de fuir.
Il poussa impérieusement son bassin pour coller à nouveau au pubis de la jeune femme mais cette fois-ci, contrairement à la première approche, son pénis dardait et ne pouvait plus s’échapper que dans une direction : la plus délicieuse, l’entrée féconde de la jeune Valentine. Jimmy eut l’adresse de la posséder progressivement sans brutalité. Valentine en se sentant être pénétrée, renversa la tête en arrière et ses yeux se révulsèrent : elle s’accrochait à nouveau au cou de Jimmy comme une naufragée. Elle laissa son esprit vagabonder : elle imaginait ce long pieu noir braver l’interdit posséder son ventre et elle jouit. Jamais ça n’avait été aussi rapide ; jamais ça n’avait été aussi violent ; jamais ça n’avait été aussi intense. Elle hocqueta tandis que son ventre fut secoué de vibrations désordonnées. Son vagin serra étroitement la tige noire qui le perforait.
— Arrête … On ne peut pas … On ne peut pas …
Jimmy n’écoutait plus, il savourait cette Blanche qui serrait son pénis comme rarement, ça ne lui était arrivé. Il serra les dents pour ne pas éjaculer tout de suite. Une fois calmé, il la souleva puis l’attira à nouveau, trois fois de suite, presque brutalement. Valentine jouit à nouveau sans pouvoir se retenir. Elle hurla devant une étrange sensation de douleur et de plaisir mêlés. Mûe par un étrange réflexe, elle saisit à pleine main son sein droit, arracha le haut de son maillot deux-pièces et comme libérée, elle le jetta au loin dans l’étendue de la mer. Puis elle reprit sa position écrasée contre le torse de Jimmy, les jambes nouées autour des hanches musclées du Grenadin. Ses tétons roses libérés goûtaient à leur tour le contact doux de la peau ébène du Noir. Sans pouvoir se retenir, elle posa sa bouche sur le coup offert et lui suça la peau. Jimmy continua à soulever et faire retomber Valentine, le vagin soudé autour de son pénis, sans que cela n’ait l’air de lui poser un souci. Elle jouit pour la troisième fois en dix minutes !!! Elle ne pensait même plus à la gène causé par le bas du maillot écarté à l’aine. Jimmy stoppa soudain son mouvement et crispa ses mains sur le corps de Valentine, se cala entièrement au fond du vagin de la jeune femme et éjacula … Valentine se sentit tout d’un coup ramollir en recevant cette semence épaisse. Des miettes de plaisir la secouèrent à nouveau quand elle songea qu’elle venait de se faire féconder par un parfait inconnu.
Jimmy et Valentine sortirent enfin de l’eau en se tenant la main comme des amoureux de toujours. Elle se sentait un peu honteuse d’être torse nu, ayant été prévenue la veille que le monokini était une pratique illégale sur cette île des Caraïbes. Heureusement, la plage était toujours aussi déserte … Elle vérifia que son récent accouplement ne se voyait pas en sortant de l’eau : le bas du maillot était parfaitement ramené à une position décente et la mer masquait les éventuelles coulures de sperme qui auraient pu s’échapper de sa fente intime. Sur le ton le plus banal, Jimmy reprit leur conversation :
— Ca se voit à ton cul que tu aimes ça … J’adore les Blanches, annonça-t-il fièrement. Je ne baise plus que des Blanches depuis dix ans …
— Pourtant les Grenadines sont toutes superbes … Qu’est-ce que les Blanches ont de particulier ?
— Rien … Juste comme ça … Dis, comme j’ai l’air d’avoir assuré, tu me dois 100 dollars US
Valentine fut interloquée !
— Quoi ? Tu as fait ça pour le boulot ?
— Pour le plaisir … Mais comme ça occupe tout mon temps … Toi ou d’autres … Il faut bien que je vive …
Valentine n’en revenait pas mais en même temps, la franchise du contact qu’elle avait eu avec Jimmy l’avait séduite. Tout paraissait si simple avec lui qu’elle avait trouvé parfaitement normal cet accouplement barbare, rapide sans précaution et elle ne trouva plus rien à redire qu’il demande à se faire payer. Ils rejoignirent là où étaient déposées les affaires de Valentine. Elle lui tendit deux billets de 100 dollars US, plus que ce qu’il demanda. Jimmy l’embrassa pour la première fois sur la bouche, elle lui rendit son baiser. Il saisit à pleine main le sein droit de la jeune femme, le plus naturellement du monde et lui dit :
— Attention, c’est interdit de montrer ta poitrine … Passe faire un tour au Coconut ce soir, sans ton copain … On va s’éclater
— J’essaierai …
— Bye
— Bye
Valentine regarda s’éloigner le superbe Noir sur la plage … Elle se drappa dans son paréo pour cacher la nudité de sa poitrine et rentra pour récupérer un autre maillot. Laurent dormait toujours. Valentine retourna sur la plage. Honteuse et malgré tout, toujours furieuse contre, elle passa sa journée à éviter Laurent : dès qu’il arriva sur la plage, elle rentra dans l’eau et quand il tentait de la rejoindre, elle sortait bronzer. Le midi, ils n’avaient toujours pas échangé un mot. C’est dans un parfait mutisme qu’ils avalèrent leur salade au resto de la plage. Laurent retourna ensuite sur la plage tandis que Valentine décida d’aller se ballader dans Saint George’s à pied. Laurent leva les yeux surpris mais respectant la bouderie de Valentine, il la laissa partir sans tenter de la suivre. Valentine déambula pour repérer le Coconut Bar où Jimmy lui avait donné rendez-vous. D’ailleurs, elle l’aperçut en chemin et il lui fit un petit signe de la tête …
Le soir, Valentine se maquilla longuement et enfila une robette à fines bretelles en tissu fin imprimé qui lui arrivait au milieu des cuisses. Avec une telle tenue, hors de question de mettre un soutien-gorge et elle enfila juste en dessous un tanga rouge. Laurent s’étonna :
— Qu’est-ce que tu fais ?
— Je sors
— Tu ne m’en a pas parlé …
— Parce que tu n’es pas invité …
— Quoi, toute seule ?
— Exactement
— Ca ne va pas ?
— Au contraire, tout va bien …
— J’ai peut-être envie de sortir aussi ?
— Tu fais ce que tu veux de ton côté. De toutes façons, tu n’avais pas l’air de t’ennuyer sans moi hier.
— Qu’est ce que j’ai fait hier ? demanda Laurent en toute bonne foi
— C’est ce qui m’énerve le plus : tu me prends pour un conne …
— Non je t’assure …
— Ce n’est pas grave … J’ai juste envie de sortir sans toi ce soir …
Furieux, Laurent fracassa le mur d’un coup de poing. Valentine enfila des sandales à talons à lanières fines et sortit rapidement du bungalow. Elle entendit encore plusieurs coups tandis qu’elle s’éloignait vers la ville. Sa mauvaise foi avait repris le dessus : ça lui paraissait normal de retrouver Jimmy avec cette furieuse envie de baiser après ce qu’elle pensait que Laurent lui avait fait. En une demi-heure de marche, elle arriva au Coconut Bar. La salle de danse n’était pas bondée … Touristes et Grenadins y étaient mêlés sensuellement au rythme de la salsa. Valentine chercha du regard Jimmy mais elle ne le trouva pas. Elle se résolut à danser seule. Ca ne la gênait pas … Elle aimait cette ambiance enfumée et sensuelle … Tout à coup, au bout d’une heure, elle aperçut enfin Jimmy : il était étroitement enlacé avec une Blanche qui semblait être prête à tout à n’importe quel moment. Une pointe de jalousie saisit Valentine en dépit de ce que lui avait annoncé Jimmy le matin même sur son métier … Elle s’avança vers lui pour qu’il l’aperçoive à son tour et tourna des talons pour revenir sur la piste de danse. Jimmy l’aperçut effectivement mais ne se formalisa pas : il continua à peloter cette Italienne qu’il avait bien l’intention d’abuser rapidement.
Valentine continua à danser et répondit par des sourires entendus chaque homme qui lui pelotait les fesses. Une main releva même les pans de sa robe, derrière et passa sur la fente de ses fesses, suivant l’échancrure de son tanga. Elle baissa juste sa robe, emprisonnant la main insidieuse, qui finit par la laisser sans qu’elle n’ait détecté qui en était le propriétaire. Vers une heure du matin, Jimmy apparut soudain devant elle par magie et dansa, sans un mot tout contre elle. Elle lui passa les bras autour du cou et se serra contre lui au rythme de la salsa. Ils étaient tous deux trempés et mêlèrent leurs sueurs … Elle sentait sur Jimmy une odeur de parfum féminin (autre que le sien) ce qui ne lui laissa aucun doute sur ce que faisait le Noir quelques heures plus tôt. Tempi, elle avait envie de retrouver les mêmes sensations du matin et qu’il lui semblait inconcevable d’avoir avec son compagnon officiel. Jimmy plaça une de ses mains sur le sein gauche de Valentine tandis que son autre main s’accrochait sur une de ses fesses musclées dans une position indécente. Leurs lèvres glissèrent les uns sur les autres, parfois furtivement, parfois plus longuement. Ils ne s’échangèrent pratiquement aucun mot. Ils savaient tous les deux ce qu’ils voulaient. Jimmy écarta l’une des bretelles de la robe de Valentine qui leva le bras pour la faire glisser complètement. C’est la robe rabaissée à moitié qui permit à Jimmy d’extirper le globe mammaire albâtre de la jeune Blanche. Il remit sa main sur la peau dénudée et joua avec le téton rose de Valentine. Valentine secoua ses cheveux blonds de ses mains pour exhaler encore plus de séduction et de sensualité …
— Viens derrière sister, dit brusquement Jimmy
Il se fraya un chemin dans la foule en lui tenant la main tandis que Valentine cacha son sein en relevant un peu sa robe. Elle le suivit jusqu’à l’entrée des toilettes. Ils entrèrent directement dans une cabine dont la porte ne se fermait même pas et il la jeta contre le mur, y plaquant la jeune femme en la tenant par le cou. Valentine un peu surprise, ferma les yeux tout en tentant de rester debout, ce qui n’était pas chose aisée car la cuvette lui rentrait dans les jambes, fauchant ses appuis. Elle se tenait des mains contre les parois latérales de la cabine pour stabiliser sa position. Jimmy immobilisait toujours Valentine d’une main tandis que l’autre releva la robe, cassa l’élastique du tanga et l’arracha du pubis, offrant sa douce végétation or aux appétits du Noir. Sans coup férir, il précipita son bassin à l’entrée du vagin consentant de Valentine et son pénis, sans aucune autre forme de préliminaires, outragea les bouclettes blondes, les écartant, atteignit l’entrée gardée par des lèvres intimes gonflées par l’excitation. Il l’embrocha jusqu’à la garde. Les pieds de Valentine achevèrent de se dérober sous l’effet de la poussée du Noir et elle perdit une sandale. De son pied nu, elle posa le talon sur le rebord humide et souillé de la cuvette. L’autre pied garda un faible contact avec le sol jonché d’immondices. L’odeur pestilentielle des toilettes ne gênait même plus Valentine : dès que Jimmy eut commencé à la ramoner, elle sentit monter un orgasme fabuleux du fond de ses reins. Elle hurla, le ventre secoué d’un plaisir intense, accentué par l’insolite des lieux, par le fait de braver à nouveau l’interdit. Elle qui adorait les préliminaires fins et attentionnés, trouverait cela superflu et vivait de plaisir simple et barbare, jouissant de la moindre pénétration. Jamais aucun homme ne lui avait fait cet effet.
Jimmy se retira brusquement et d’une main la fit valser pour la retourner, penchée au dessus de la cuvette. De sa main sur la nuque, il la força à se baisser très bas jusqu’à tremper ses longues mèches blondes dans l’eau saumâtre et nauséabonde de la cuvette. Le visage de Valentine n’était plus qu’à quelques centimètres de la surface liquide : elle ferma les yeux et se força à respirer par la bouche :
— Han, lâcha-t-elle surprise …
Jimmy venait de la prendre brutalement en levrette, remontant son bassin tout en tenant sa tête dans le trou de la cuvette. Valentine posa la pointe de son pied nu sur le sol, renonçant à s’interdire de toucher terre sans ses sandales. Le talon de sa sandale restante vacillait dangereusement, manquant de faire tomber le corps outragé de la belle Blonde. Jimmy la besognait ardemment sans s’occuper de l’inconfort de Valentine … De toutes manières, la jeune Française ressentait à nouveau cette trouble délectation. Elle haleta à nouveau tandis que Jimmy lui défonçait toujours la chatte, en faisant une ouverture béante perdant toute son élasticité. Jimmy admirait, les yeux mi-clos son travail sur le corps de Valentine : il admirait son pieu noir disparaissant et réapparaissant de cette fente blanche et rose, irritée. Valentine eut une inspiration bruyante avant de pousser un cri que Jimmy étouffa en mettant sa main devant la bouche de la jeune femme. Elle se mordit les lèvres pour obéir à son amant. Jimmy accéléra le mouvement et éjacula en éructant des mots incompréhensibles en créole qui se termina par un vague ’bitch’ que Valentine ignora. Jimmy s’écarta de Valentine en se réajustant tandis qu’elle se releva en se tenant aux murs, les jambes flageolantes. Elle s’assit sur la cuvette en rattrapant sa sandale perdue sur le sol. La jolie chaussure à lanières fines était trempée du liquide qui stagnait sur le sol : tout le cuir des lanières et de la semelle avait boursouflé ou éclaté par endroits mais elle préféra le remettre pour éviter d’attraper trop de cochonneries au pied. Jimmy était sorti de la cabine et l’attendait adossé au lavabo, tirant sur un joint. Lorsqu’elle sortit à son tour, la tenue un peu plus présentable, Jimmy annonça :
— Viens, on va finir la nuit chez moi … Tu me paieras après …
Telle une petite écolière, Valentine inséra timidement sa main dans celle de Jimmy qui la tira sans ménagement derrière lui, dans une attitude de parfait macho. Ils se frayèrent à nouveau un chemin à travers la foule. Valentine sentit des mains qui lui caressaient le derrière sans aucune pudeur mais inconsciemment, elle se sentait appartenir à Jimmy ce soir, aussi elle repoussa tant bien que mal les outrages. Il lui sembla entendre héler son nom mais dans le brouhaha, elle déduit qu’elle avait mal entendu. Ce soir, Jimmy semblait avoir perdu sa joyeuse conversation du matin et c’est sans un mot qu’ils traversèrent Saint George’s jusqu’à un amas de bidonvilles. Chez Jimmy, c’était l’une des maisons en tôle rafistolées qui semblaient devoir s’envoler au moindre coup de vent : une pièce de 9 mètre carré maximum ; le sol était de la terre avec juste une natte et une couche au milieu ; le vent faisait vibrer les murs de tôle et faisaient un boucan infernal ; Les fenêtres découpées à même la tôle étaient juste fermées par un rideau … ou pas … Jimmy jetta Valentine sur la couche sur laquelle elle s’étala de tout son long :
— Doucement, mon chéri, protesta-t-elle
— Pardon, répondit simplement Jimmy
Dehors la rue était remplie de Grenadins qui formaient par leur activité, un brouhaha. A cette heure tardive de la nuit, l’activité foisonnait comme en plein jour, à croire que les gens ne dormaient jamais. Jimmy s’accroupit près de Valentine, toujours allongée sur le dos et fit glisser sa robe frippée et maculée, le long de ses jambes. Son tanga ayant déjà été détruit plus tôt dans la soirée, elle se retrouva rapidement nue, les jambes ouvertes juste chaussée toujours de ses sandales qu’elle se sentait obligée de garder à ses pieds, l’entrejambes ornée de cette végétation blonde légèrement maculée du sperme de Jimmy. Elle n’en revenait pas que Jimmy ait à nouveau envie de faire l’amour. Elle imagina qu’elle devait être sa troisième ou quatrième femme de la journée alors qu’il semblait être à nouveau prêt à assurer quelques orgasmes. Jimmy se coucha sur elle, entre ses jambes et avec à peine un tâtonnement, il dirigea de sa main son pieu noir et rigide vers la chatte de Valentine. Son gland retrouva rapidement le chemin du paradis et s’enfonça à nouveau dans la douce chaleur de Valentine. Il se retrouva à nouveau le pénis fortement serré par le corps frissonnant de Valentine et la savoura comme un met délicieux. Il l’embrassa en lui pistonnant régulièrement le ventre offert. Valentine s’abandonna à nouveau en possession de Jimmy et suça la langue qui, impérieusement farfouillait sa bouche. Elle le serra de ses bras, releva son bassin pour que sa pénétration soit maximale. Jimmy lâcha sa bouche et se retira d’elle, descendit en suçant diverses parties du corps luisant de Valentine : il téta ses mamelons roses, les mordilla, laissa des ecchymoses sur leurs contours. Valentine renversa sa tête en arrière, releva l’une de ses jambes pour se donner de l’air dans l’entrejambes … Jimmy la retourna sur le ventre sans que Valentine n’oppose aucune résistance : de toutes façons, elle n’en aurait pas eu la force. Il saisit fermement les globes fessiers de ses mains et les écarta. Valentine savait ce qui allait lui arriver malgré que ce soit pour la première fois : elle ramena ses mains croisés sous son menton et l’y posa, attendant, soumise, sa sentence les yeux verts grands ouverts, le souffle court … Elle ne voyait plus rien de ce que faisait Jimmy dans son dos mais elle sentait qu’il massait doucement sa petite rose encore fermée, parfois en s’aidant d’une huile qu’il extrayait d’une fiole. Après de longues minutes de ce traitement, elle vit Jimmy s’agenouiller au dessus d’elle et lui appuyer l’omoplate sur le sol. Ses seins volumineux furent écrasés à en faire mal sur le matelas mou. Elle tenta d’échapper à l’étreinte mais il était trop tard : Jimmy présenta son gland à l’entrée de son anus puis commença à le forcer. Valentine serra les dents en s’agitant vainement comme une grenouille disséquée. Jimmy conquit ce terrain encore vierge de toute présence masculine millimètre par millimètre. Valentine détendit au maximum ses fesses pour recevoir son conquérant dans les entrailles. Un moment, elle poussa un hurlement de douleur mais Jimmy continuait à l’emprisonner et à la posséder. Elle se calma enfin lorsqu’elle sentit l’irritation des poils pubien du Noir dans la raie des fesses : Jimmy était complètement entré dans Valentine. Des larmes de douleur avaient légèrement brouillé les immenses yeux verts de la jeune Française. Jimmy doucement puis de plus en plus violemment commença à pistonner ce nouveau trou, plus étroit, plus significatif d’une offrande du corps d’une femme à un homme. Jimmy la besognait toujours, ramolissant de seconde en seconde les sphincters de la jeune Valentine. La salive de Jimmy tombait sur les cheveux blonds de Valentine sans discontinuer, sa sueur se mêla à la sienne, facilitant le glissement soyeux de leurs corps l’un contre l’autre. Valentine s’attendait à ne rien avoir d’autre à faire que subir cet accouplement contre-nature lorsqu’un nouvel orgasme inattendu la faucha surgissant de nulle part … Elle hurla, manquant de s’étouffer … Jimmy comme s’il n’attendait que ça, se déversa aussitôt dans les intestins de la jeune Blanche, faisant goûter pour la première fois de la semence mâle à cette ouverture jusqu’alors vierge. Jimmy, aussitôt terminé s’écroula sur elle en laissant son dard se dégonfler dans les intestins de la jeune Blanche. Valentine se sentait délicieusement emprisonnée par le poids de Jimmy sur elle et apprécia de lui appartenir ainsi. Ils s’endormirent et plusieurs fois dans la nuit, ils se réveillèrent et refirent l’amour, Jimmy la resodomisa une nouvelle fois. A chaque fois, Valentine subit un orgasme violent qui la laissa pantelante. Jimmy lui semblait être intarissable et assura une éjaculation abondante à chaque fois dans le corps de Valentine.
Au petit matin, Valentine se réveilla et laissa 500 dollars US sous l’oreiller de Jimmy, endormi profondément. Toute le montant de deux mois de sa bourse étudiante venait d’y passer. Elle remit sa robe déchirée par endroits sur le pan. Elle chaussa tant bien que mal ses sandales qui étaient à jeter. Elle chercha son slip puis se souvint qu’il appartenait désormais à la rubrique ’souvenir’ aussi elle sortit libre de sous-vêtements dans la ruelle. Sa robe fine se colla à son bas-ventre et une auréole humide due au sperme de Jimmy s’y dessina. Le bidonville était presque désert en cette heure matinale. Après une heure, elle arriva à leur bungalow et entreprit de prendre une douche. Des cernes ornaient son visage et des ecchymoses brunissaient sa peau à plusieurs endroits. Lorsqu’elle sortit de la salle de bain, Laurent s’était réveillé et l’attendait assis sur le lit, saisi d’une colère sourde.
— Je t’ai vu hier dans ce bar avec ce mec … Je t’ai appelée mais tu ne m’as pas entendu
— Tu m’espionnes ma parole
— Ne détourne pas la conversation
— Je n’ai pas envie de te parler … Je suis épuisée. Laisse-moi dormir …
— Pas avant que tu ne m’aies répondu …
— Laisse-moi Laurent sinon j’appelle les flics …
— Espèce de salope … Tu m’as fait venir ici pour qu’on se retrouve … pas pour que tu me trompes avec le premier connard venu …
— Cette fois, tu l’as cherché !
Valentine fit mine de saisir le combiné du téléphone. Laurent calma aussitôt le jeu :
— C’est bon, je te laisse dormir cuver ta baise de cette nuit
— C’est ça … Casse-toi …
Valentine s’écroula sur le lit tandis que Laurent dépité sortit du bungalow. Elle s’endormit profondément.
(à suivre)