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D'aspirant à salope – Chapitre 7




Il prend mon verre et l’amène à ma bouche. Je n’ose pas bouger. Il prend ma nuque et me fait boire deux gorgées. Il veut me saouler. Ce n’est pas la peine je suis déjà plus moi-même. Il se rassoit devant moi.

— Maintenant les baskets et les chaussettes

Je les enlève et me remets dans la même position. Ils se lèvent à nouveau et l’adjudant approche une chaine.

— Assieds-toi sur la table et pose tes pieds là-dessus.

— Regarde ces jolis pieds tout fins, j’aimerais bien les voir avec des talons et avec les ongles vernis.

— Tu les verras, il faut être patient.

Le capitaine me prend un pied et regarde le dessous

— Tu as vu aussi cette belle cambrure, elle pourra porter des talons très hauts

Je suis un objet entre leur main. Je perds la notion du temps et des lieux, j’attends que cela se finisse. Il pose mes pieds au sol et me faire descendre de la table. Ils reprennent leur position sur leur chaise et boivent un coup.

— Et maintenant le clou du spectacle, retire ton pantalon ma belle

— Mais vous êtes fou

— Non très lucide

— Non je ne peux pas

— Si tu peux, tu n’as qu’à enlever les boutons de ton jean

— Ce n’est pas ce que j’ai voulu dire

Le capitaine se lève et en un pas il est à côté de moi. Il m’attrape par la taille et me dit en me regardant droit dans les yeux.

— Tu vas le faire parce que ça t’excite de te montrer, j’en suis certain.

Je lui réponds avec une voix étouffée, comme si je ne pouvais plus respirer. J’ai même l’impression qu’elle devient fluette. Moi qui trouvais déjà ma voix pas très masculine, cela n’arrange rien.

— Non vous vous trompez

— Alors pourquoi portes-tu un collant ?

Avec le peu de souffle qui me reste

— Parce j’en avais envie

— Je sais que tu en as envie, je t’ai dit que tu es faite pour. Et moi j’ai envie que tu te montres à moi et l’adjudant. J’ai tout mon temps.

Dans un sursaut j’ose.

— Vous n’avez pas le droit

— J’ai tous les droits sur toi et j’ai aussi tous les pouvoirs

Il s’écarte et rejoint sa chaise. Je suis piégé par ses hommes mais surtout par des envies que je ne pensais jamais connaître. Je me lève de la table. Je me retourne, reprends le verre et le vide cul sec. Je détache ma ceinture, j’enlève le premier bouton de mon 501.

— Retourne-toi, on veut te voir.

Je me mets face à eux, premier bouton, puis les suivants. Je relève la tête pour les regarder. Leurs yeux regards vicieux et envieux m’excitent malgré moi. J’attrape le jean de chaque côté, je lui fais passer mes hanches, puis mes fesses et il tombe à mes pieds. Je lève une jambe, puis l’autre et mets mes mains réunies devant mon sexe.

Je réalise que je suis nu ou presque devant deux hommes qui ont le double de mon âge et que je porte un collant. La tête me tourne entre le Get 27 et la situation que je vie. Je regarde mes pieds et ce pantalon en boule devant moi.

— Pousse ton pantalon avec ton pied et appuie-toi à la table comme toute à l’heure.

J’obéis. A quoi bon refuser cela ne changera rien. Mais je garde mes mains à leur place.

— Pose tes mains sur la table et regarde-moi !

L’ordre est clair et j’obéis. Je devine dans le regard du capitaine une jubilation de me voir ainsi et une grande excitation contrôlée. Je serre mes jambes le plus possible espérant cacher mon anatomie.

— Je savais que je t’avais bien choisi, mais tu dépasses mes espérances. Elle n’a pas de culotte cette salope. J’adore !

— Putain mon capitaine qu’est-ce qu’elle est bonne avec ses hanches larges et ses cuisses rondes. Elle a des jambes de femme.

— Tourne-toi et pose tes mains sur la table je veux voir ton cul

Je me retourne et pose les mains. Je me cambre sans y faire attention

— Ouah quel cul et en plus elle se cambre, t’as vu ça mon capitaine

— Tu as raison, quelle belle vue !

— Retourne-toi ma cochonne et mets-toi dans la même position qu’on t’observe mieux

Je reprends ma position

— Tu as vu sa bite on dirait un gros clito

L’émotion de la situation, l’alcool et le froid a fait que mon sexe s’est recroquevillé. Il est en plus caché par la couture du collant.

— Elle est très obéissante, elle a fait ce que je lui ai demandé. Regarde ce beau ticket de métro tout roux qu’elle a sur le pubis, c’est super sexe.

Ils se lèvent et se rapprochent avec leur verre. Ils me sentent, m’observent, me jaugent. Le capitaine se mets devant moi et pose ses mains sur mes hanches, ils les caressent doucement en passant dans le dos sur le haut de mes fesses.

— Je te ressers un verre ma belle

— Ouiiiiiiiiiiiiiiiii

Le mot est sorti de ma bouche comme une supplique étouffée. L’adjudant s’occupe de remplir mon verre et l’amène au capitaine. Il incline ma tête vers la table ce qui a pour effet de me faire reculer les bras en arrière pour ne pas tomber sur mon dos. Je suis penché en arrière sur la table et je dois m’appuyer mes coudes. Pour ne pas tomber j’écarte les jambes pour garder mon équilibre et je ne peux plus les rapprocher ensuite.

— J’adore quand tu parles avec cette voix, tiens bois

Il pose le verre sur mes lèvres et le bascule rapidement, la moitié du liquide entre dans ma bouche et le reste coule sur mon menton, mon coup et mon buste. Il recommence une nouvelle fois et il se passe la même chose mais cette fois si le GET 27 atteint mes tétons.

— Petite cochonne tu n’es pas capable de boire correctement, tu en as mis partout

Chacun d’un côté de moi, le capitaine et l’adjudant se penche pour me lécher les tétons. Je ne peux pas bouger sans risquer de tomber et je sens des langues pour la première fois sur mon corps. Ils s’attardent tous les deux sur mes tétons déjà durs et les mordillent légèrement.

J’adore !!! Mais je me garde bien du moindre commentaire, ils seraient trop heureux. Le capitaine en profite pour mettre une main sur mon genou et remonte doucement à l’intérieur de ma cuisse. C’est pareil cette grosse main chaude qui me touche avec le collant comme unique barrière c’est extraordinaire.

Je me pince les lèvres pour ne pas exprimer le moindre bruit, souffre ou râle.

— Jean Paul installe deux chaises devant elle et pose ses pieds dessus.

Je vois d’adjudant qui installe une chaise de chaque côté de moi. Je suis sur la pointe des pieds car dans la position où je me trouve, mes pieds ne peuvent pas être à plat.

— Reste sur tes coudes, j’adore te voir comme ça

Le capitaine reprend sa progression vers le haut de ma cuisse, mais je les rejoins pour arrêter sa main.

— Non, non, écarte les cuisses ma belle

J’obéis autant parce que je n’ai pas le choix quautant que j’ai envie de sentir sa main sur moi.

— Il faut lui redonner à boire mon capitaine j’ai encore soif

Maintenant il rate délibérément ma bouche et fait couler le verre sur mon menton. Ils s’occupent à nouveau de mes tétons avec plus d’énergie et je ne peux retenir une plainte de douleur. Je regarde la main arriver en haut de la cuisse, l’endroit que j’ai découvert comme étant très sensible. Je ne retiens pas ma tête. Elle tombe en arrière dans un râle.

— Hummm

— Mais elle aime on dirait

— Regarde son clito il est tout dur

Mes quelques centimètres ont durci dans le collant et ma bite s’est collée à mon ventre. La main passe sur mes bourses et s’arrête sur mon sexe. Elle le cache complètement.

— Jean-Paul resserre lui à boire

On me verse encore le contenu du verre sur le menton et deux bouches s’occupent de ma poitrine collante de GET 27. Le battoir du capitaine à plat sur ma verge fait des vas et viens. Je m’abandonne et je sens le plaisir monter très vite. Je gémis. C’est trop bon.

— Tu aimes ma salope ?

— Hum ouiiiii

— Oui qui ?

— Oui mon capitaine

Et tout s’arrête. Ils se redressent en même temps abandonnant mon corps.

— Mets-la debout

L’adjudant m’attrape comme une plume et me met sur mes jambes. La capitaine s’approche me relève le menton pour plonger son regard dans le mien.

— Voilà ta vraie nature. Tu es faite pour prendre et donner du plaisir au mec. On arrête là. Le jour où tu seras décidé à devenir ma salope tu n’auras qu’à venir me le dire.

Ils quittent la salle de restaurant me laissant plus perdus que je ne l’étais déjà. Je me rhabille et retourne dans ma chambre. L’air froid de dehors me réveille. Je rentre dans ma chambre et passe sous la douche avec collant pour retirer le GET 27 collé sur moi.

Mon sexe est toujours bandé et je mets les doigts dessus. Je ferme les yeux et repense à ce qui vient de se passer. En deux mouvements je jouis en hurlant. L’eau a dû atténuer le bruit. Je me couche nu, demain j’aurais la gueule de bois.

Tout le reste de la semaine, il n’y a eu aucune allusion ou remarque du capitaine. L’adjudant m’ignore complètement comme sil ne s’était rien passé. Tous les soirs je porte la lingerie et je regarde les films ou les BD, et tous les soirs je suis excité et je m’identifie aux femmes que je voie. Je finis immanquablement par me faire jouir avec les souvenirs de la soirée au mess.

C’est le premier week-end où je peux rentrer sur Bordeaux. Je fais ma valise, je laisse dans ma chambre tous mes cadeaux et je rejoins la gare. La seule chose que je prends c’est le roman histoire d’O. Le trajet en train sera moins long.

En m’asseyant dans le wagon je réalise que suis triste de quitter mes cadeaux et tellement frustré d’avoir été ignoré comme cela.

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