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Inceste, la réalité est encore mieux que le rêve. – Chapitre 5




JEUX INTERDITS, suite.

Résumé des épisodes précédents: Michel et Claudine ont sauté le pas.

Il l’a un peu forcée au début mais maintenant qu’elle a connu l’extase avec son fils, elle en redemande.

Suite de « l’inceste » et « Michel et sa famille »:

 Patricia, la meilleure amie de Claudine.

 -Alors ! Est-ce que je fais mieux les pipes que ta mère ?

-C’était divin, tu es la meilleure. C’était si bon!

Elle embouche le garçon pour laisser ressortir sa grosse massue bien propre qui en quelques instants, coincé par le string est déjà entièrement dressée et prête à recommencer.

Patricia est émerveillée en admirant la vitesse de récupération de Michel et l’informe.

— Il est temps de passer aux choses sérieuses et que tu me prouves que cet incroyable bélier est capable de me donner du plaisir.

-Mais avant je veux savoir, tu es allé plus loin avec ta mère depuis l’autre jour ?

-Euh.Oui ! Enfin tu vois bien.

-OK, mais je te demande de faire attention, comme tu l’as remarqué, je suis d’un petit gabarit et ma chatte est comme ma bouche, assez petite, alors vas-y avec délicatesse.

Patricia se positionne devant Michel le dos appuyé sur le dossier du divan, son colosse énorme dressé à la verticale de façon obscène.

Elle lui écarte les jambes avec les siennes et regardant son bas-ventre lui assure admirative :

-Les filles vont devoir faire attention avec un tel morceau de ne pas se blesser, quel soc !!!

Je croyais que mon mari était bien membré mais il a une bite d’enfant comparé à toi.

 Elle le regarde dans les yeux puis son regard descend sur l’organe turgescent qui palpite et elle vient donner un baiser sur le gland bombé.

— Alors? Es-tu prêt à remplir ma petite grotte humide avec ton démonte-pneu?

Elle se met à califourchon sur son énorme mandrin, le saisit et frotte sa fente dessus, glisse sa vulve contre cette hampe rigide.

-Hhhhmmm ! Que c’est bon J’adore me frotter la chatte sur des queues !…

Elle doit se redresser au maximum sur ses genoux pour que sa fente atteigne le sommet de ce pic dantesque et commence à descendre droit sur son mât érigé et luisant de sa salive.

De ses deux mains, elle écarte ses lèvres intimes sur ce gland impatient qui se laisse guider par son fourreau.

 Le formidable manche commence à disparaître dans son sexe avide et la sensation est intense et insensée.

Elle a l’impression d’avoir deux queues dans sa chatte tellement elle est volumineuse.

Elle est obligée de faire une pause lorsque son gland a passé ses grandes lèvres pour lui permettre de s’habituer à son monstre.

Elle n’a jamais connu ça. Et l’effet est extraordinaire…

Sous la pression de ce pal d’une effrayante épaisseur, il semble que son vagin va se déchirer mais elle a tellement mouillée que le poids de son corps fait descendre toujours plus bas sa chatte sur l’obélisque dressé.

Elle se mord la lèvre en complète apnée pour ne pas crier.

Patricia observe ce monstre entrer en elle et écarteler ses chairs intimes au maximum de leur souplesse sans aucune pitié.

Elle veut remonter un peu pour soulager ses muqueuses mais Michel la force à continuer pour l’empaler encore plus profondément.

Son bâton formidable vient de toucher le fond de son vagin mais elle voit avec effarement qu’une bonne partie de la hampe n’a pu trouver place en elle.

Une fois au fond, il commence à bouger lentement.

Le plaisir l’emporte sur la douleur et la sensation d’être pleine de l’organe reproducteur hors-norme de cet étalon la rend comme folle.

Elle accepte sa virilité triomphante en gémissant, elle monte et descend sur la queue massive, des cris de douleur ou de plaisir s’échappent de temps en temps.

 Après quelques minutes de ce traitement, la chatte en feu, les yeux affolés elle se retire repue de fatigue essayant de reprendre son souffle, la bouche ouverte avant de s’empaler à nouveau sous le regard patient de Michel.

Il enfonce soudainement sa queue en elle très profondément. Cela arrache un cri de douleur à Patricia mélangé à l’extase.

 Il la défonce projetant son bassin en avant s’enfonçant encore plus loin dans son vagin prenant le contrôle de cette femme avide de sexe.

Les jambes de Patricia tremblent, alors que tout son corps se raidit. D’un mouvement sec, elle le repousse. Elle expulse de son corps l’organe étranger.

Patricia se tord de plaisir, pousse des cris et le met en garde.

-Tu me tues, je vais jouir, c’est terrible, quand je jouis oh !!… .Attention à toi !!!

Elle jouit carrément et tremble de tout son être.

Un jet de liquide sort de son vagin et l’asperge, un long jet transparent, très violent, gicle de ses muqueuses et va éclabousser le torse et le visage de Michel suivit d’un autre, et encore un autre.

Michel est surpris et perplexe, décontenancé par cette femme fontaine, le liquide dégouline et suinte sur son corps et se perd dans le divan.

Et maintenant elle lui ordonne en hurlant.

-Caresse-moi, mets ta main dans ma chatte !!!!

Il obéit et la doigte et en quelques secondes elle crie à nouveau arrachant sa main et le geyser reprend l’inondant de nouveau!

 Curieux, Michel y humecte son doigt et le porte à ses lèvres. Le liquide est transparent comme de l’eau avec un léger goût salé.

Il recommence à introduire ses doigts agaçant sa vulve et son clito et pour la troisième fois les jets reprennent beaucoup plus faibles, elle a encore quelques contractions mais la source semble tarie. Il y en a partout dans le studio, sur le divan, le sol et même sur le mur derrière Michel est complètement trempé Patricia le complimente.

-Tu peux être fier de toi, tu viens de faire jouir une femme fontaine et peu d’hommes ont réussi cet exploit avec moi.

Son pénis est toujours en érection, elle se relève en titubant.

 Il se lève aussi, et lui écarte bien les genoux, pour positionner son pieu dans la meilleure position pour pouvoir l’introduire dans son intimité et la prend comme une bête.

 Alors qu’il enfonce son gros membre un peu plus à chaque coup de reins, elle regarde son ventre, observant la course du piston veiné dans sa chatte.

La vision l’excite violemment.

Elle a passé ses bras autour du coup de Michel et l’embrassant à pleine bouche, pousse sa chatte palpitante à la rencontre de l’énorme matraque de son amant, se cambrant et agitant son petit cul.

Sa queue gigantesque dans la chatte vibrante, il passe ses bras sous les cuisses de la femme et la soulève comme une plume la faisant monter et descendre de tout son poids sur son poteau dressé.

Patricia peut sentir la grosse barre s’enfoncer plus profondément, l’écartelant toujours davantage, allant et venant de plus en plus rapidement.

La sensation est hallucinante pour Michel qui découvre de nouveaux sommets de plaisir.

Il est bientôt 11h00 et Paul, le fils de Patricia, a pu se libérer plus tôt que prévu.

Il décide de rejoindre sa mère tout de suite comme ça ils pourront manger ensemble avec Michel.

Ils se connaissent depuis leur tendre enfance et c’est avec Michel qu’il a découvert son attirance pour le genre masculin avant d’oser sauter le pas et de tout avouer à sa mère à qui il ne cache rien.

Une fois dans la maison, il se dirige vers son studio photos et entend des râles.

Il s’approche sans faire de bruit et regarde par la porte grande ouverte.

Il se fige en voyant les deux corps nus. Michel vient de soulever Patricia et la redescend pour qu’elle s’empale sur une excroissance démentielle, un prolongement de son corps dont rêve tout homo.

Michel avec qui il prenait des bains petit quand sa mère ou Claudine les lavaient a la plus grosse queue qu’il n’ait jamais vue.

Elle doit faire pratiquement 10 centimètres de plus que la sienne elle a une épaisseur incroyable. Sa propre bite est une brindille comparée à cette branche noueuse.

Patricia tire sur ses bras pour diminuer la pression au fond de sa chatte quand ce formidable pieu aboute avec force sur le col de son utérus mais encourage son jeune amant.

-Bourre-moi la chatte ! Baise-moi, baise-moi à fond ! Ah, je n’ai jamais été aussi excitée tu sais!

Michel la relève jusqu’à ce que seul son énorme gland turgescent dilate la vulve distendue

et replonge lentement, enfonçant chaque centimètre de son pal géant dans la fente accueillante.

Michel a vu Paul et lui sourit tout en continuant à troncher sa magnifique mère.

Paul, n’y tenant plus, a sortit sa queue et se branle sous les yeux de son copain.

La scène irréelle dure quelques minutes et Paul est tellement excité par ce qu’il voit qu’il éjacule.

La vue de la jouissance de Paul additionnée à la pression exercée par le vagin étroit de Patricia sur sa verge déclenche chez Michel, au paroxysme de ses sens exacerbés, la montée d’une formidable éjaculation.

Il soulève de ses bras puissants Patricia, libérant son sexe entre leurs deux corps.

 La soudaine libération de son vagin déclenche dans le corps de Patricia une montée d’adrénaline, elle explose dans un orgasme fabuleux, les yeux révulsés, tandis qu’elle l’inonde de sa jouissance.

Elle crie au plaisir que ce jeune garçon lui donne. Il n’en peut plus, et avant que son cri s’éteigne, il libère de formidables flots de spermes par saccades, incapable de résister aux contractions de son périnée.

Ils jouissent simultanément en gémissant, le foutre et la cyprine se mêlent et maculent les deux corps accolés. La puissance de leurs sécrétions giclent sur leurs poitrines et leurs visages, ils sont couvert et dégoulinent de semence épaisse diluée par un liquide abondant et transparent.

Paul ne sait pas si quelqu’un a déjà assisté à un tel spectacle. Il avait déjà entendu parler des femmes fontaines mais ne s’attendait pas à voir ça. Les jets qui sortent du sexe de sa mère montent à plus d’un mètre se croisant avec de longs filaments de semence épaisse avant d’éclabousser les corps nus.

Complètement vidé et tremblant sur ses jambes, Michel s’écroule sur le divan entraînant Claudine toujours agrippée à lui.

Elle reprend enfin ses esprits et réalise en voyant Paul qu’elle vient de jouir sous les yeux de son fils.

Il la rassure.

-Ne t’inquiètes pas maman, le spectacle était tellement beau que comme tu vois, moi aussi j’ai pris mon plaisir. Si vous avez fini pour le moment, on peut aller déjeuner et tu pourras continuer après les photos de la collection ?

D’après-vous, il va sûrement y avoir une partie à trois d’ici-peu mais de qui Paul va-t-il s’occuper ?

Vos commentaires me font toujours plaisir et m’encouragent à continuer dans mon délire pour vous faire mouiller les filles et bander comme des taureaux les garçons.

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