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Pause déjeuner en cabine de chantier – Chapitre 1




Je travaille sur un chantier, seul à longueur de journée. Ce qui inquiète ma femme, elle me dit que s’il m’arrivait quelque chose personne ne sen rendrait compte avant le soir. Je lui réponds souvent que l’on peut passer notre journée à échanger des sextos, ainsi elle serait rassurée. En fait je suis sur une plateforme à côté d’une ferme qui emploie quatre salariés avec qui j’ai sympathisé.

Un jour de printemps, je conduis mon véhicule de manutention. Les yeux rivés sur l’horloge, j’attends l’heure du repas, le ventre tiraillé par la faim. J’ai hâte aujourd’hui je mange des sandwiches triangles : un bonheur culinaire sans précédent !

Enfin l’heure du repas. Je gare l’engin. Et je me dirige vers le bungalow qui me sert de cabane de chantier, de réfectoire et de bureau. Je me lave les mains et au moment d’entrer dans la cabane de chantier, j’entends un bruit de moteur au bout du chemin.

C’est ma femme qui arrive, elle est censée travailler à 60km de là… mon premier réflexe est de penser à une mauvaise nouvelle qu’il n’est pas bon d’apprendre au téléphone. Arrivée à ma hauteur, elle affiche un sourire radieux, qui me rassure.

— Bonjour ma petite dame ?

— Salut beau gosse,

— Qu’est-ce que tu fais là ?

— Je viens manger avec toi.

— Tu ne bosses pas ?

— Je trouve que l’on ne se voit pas beaucoup en ce moment, alors je me suis dit qu’un petit repas en tête ne pouvait pas nous nuire, j’ai posé ma journée…

— Bonne idée. Tu as trouvé facilement ?

— Non pas trop, mais je n’ai pas osé demander ma route…

— Ah bon ! Pourquoi ?

Et là, d’un petit regard souriant, elle m’indique ses jambes, que je regarde. OUFF !! Elle porte une jupe ultra courte, avec une paire de bottes marron clair outre le fait d’être très joli, c’est particulièrement sexy.

— Je comprends… tu ne devais pas être à l’aise au volant et suppose que tu n’as pas fait d’excès de vitesse, pour ne surtout pas te faire arrêter !

— C’est ça… Bon je me gare où ?

— Là où tu es c’est très bien. Je prends le panier derrière et je te fais visiter mes locaux.

Elle descend de voiture je ne peux m’empêcher de la reluquer. Sa tenue allonge ses longues jambes fines, elle est franchement bandante !

Nous entrons dans ma petite cabane de chantier, et j’en profite pour lui peloter outrageusement le cul.

— Hep jeune homme, merci d’attendre la fin du repas !

Cette phrase m’assure qu’elle n’est pas venue juste pour manger…

Une petite terrine avec du pain frais, une petite salade composée, un dessert frugal… Un menu qui me change de ma gamelle toujours préparée à la hâte.

Pendant le repas, je prends l’appareil photo et sans me cacher je prends un cliché à l’aveugle. Je m’empresse de le regarder. Les belles jambes de ma femme gainée de noir sont très bien cadrées. Je suis un fan des bottes et là je trouve cela top.

— La photo te plaît ?

— Oui, dommage que tu aies les jambes croisées, elles sont belles mais de loin je les préfère écartées.

Sourire en coin et des étincelles dans les yeux, je devine à son mouvement qu’elle est en train d’exaucer mon souhait.

Deuxième cliché. Je regarde le résultat. Je suis surpris ! Je relève les yeux et je vois qu’elle est fière de son petit effet. Elle porte un collant ouvert, sur la photo je vois très bien sa chatte particulièrement soignée, un pubis tondu court et des lèvres toutes lisses.

— Cochonne !

— Eh bien quoi ? Et petite attention pour mon mari… Tu n’aimes pas ?

— Non ! J’adore !

— Depuis la maison tu te trimbales comme ça ? Je te connais je suis sûr que tu mouilles…

— Peut-être…

Je me lève, passe derrière elle. Je pose mes lèvres sur son cou, une main englobe un sein, et l’autre plonge directement sur son sexe, qui est effectivement trempé.

— Lève-toi, je veux faire des photos.

Elle s’exécute.

— Comment je me mets ?

— Penche-toi sur le bureau…

— Dos à toi ?

— Non de côté, on va commencer soft et fera un film de boules ensuite… (aucune réaction contraire à ce qui devient mon projet)

— OK, maintenant pose un pied sur la chaise. Voilà super.

— Personne ne va venir ?

— C’est l’heure du café je ne te garantis rien. Tu veux que je ferme ?

— Oui je veux bien.

Je ferme à clé de l’intérieur, et baisse le store mais laisse tout de même une partie ouverte ne serait-ce que pour la lumière.

— Super, tu es vraiment bandante… une dernière et puis on passe aux choses sérieuses.

— Mets-toi contre le mur, les mains posées comme si tu allais te faire fouiller, mais avant remonte ta jupe que lon voie bien ton collant ouvert et ton cul de cochonne.

J’ai envie de la baiser là comme ça, debout contre le mur !

Je prends le cliché, et la laisse attendre comme ça. Je saisis le PC portable du boulot. Je le positionne en face d’elle. Je galère à trouver la fonction caméra si bien que lorsque je me retourne, sa tenue est réajustée. Elle se regarde à l’écran et se tourne pour constater à quel point sa jupe en jean est une micro jupe.

Je lui demande de reprendre la pause, une dernière petite photo. Nous nous embrassons amoureusement. Rapidement je glisse ma main sous sa jupe, et enfonce directement un doigt dans son sexe accueillant. Elle ouvre ma ceinture, et mon pantalon à la hâte. Elle plonge sa main dans mon caleçon et empoigne ma queue qui commence à prendre des proportions que je ne pouvais pas dissimuler.

Mon téléphone sonne, c’est le voisin. Je lui envoie un message préenregistré : « je suis occupé je vous rappelle ».

Elle sort mon sexe, du dernier rempart de tissus. Elle le branle avec beaucoup de douceur. Notre baiser n’en finit pas. Mais un bruit de voiture nous sort de notre étreinte : le voisin.

Je ferme un peu plus le store.

Et nous reprenons notre long baiser j’en profite pour caresser ses seins à travers le tissu de son petit haut noir. Presque aussitôt elle s’accroupit en face ma queue. Je libère la place en baissant un peu plus mon caleçon et mon pantalon. Elle regarde ma bite tressaillir en face sa bouche. Je sens son souffle sur mon gland et enfin elle avale ma queue. Elle me suce vite et fort. Elle me branle en même temps je sens qu’elle est excitée. Je l’encourage. Lui caresse les cheveux. Elle se relève en gardant ma queue en bouche. Elle est droite sur ses jambes, pliée à l’équerre son cul tendu en arrière. Je ne peux m’empêcher de lui dire :

— J’aimerais pouvoir me dédoubler pour te prendre en même temps que tu me suces.

Sa pipe s’intensifie encore. Si cela continue je vais finir par tout lui cracher au fond de la gorge. Je sais qu’elle n’aime pas cela mais c’est tentant… ça et la sodomie, qu’elle accepte tout de même de temps, sont deux choses qu’elle naffectionne pas plus que ça… dommage…

Par un petit coup de bassin en arrière je lui fais comprendre que cela ne va pas durer comme ça éternellement. Elle lâche mon membre et se relève. Nous nous embrassons encore et elle prend ma queue en main. Je glisse la mienne sous ce petit bout d’étoffe, et je plante un doigt dans sa fente brûlante. Puis deux, puis trois et sans aucun mal. Je coupe court et lui demande de se tourner. Elle est debout face à une armoire métallique. Elle me tend les fesses : j’adore je suis comme un fou !

Je baisse entièrement mes frusques. Je m’approche, sa jupe est si courte que je n’ai pas besoin de la retrousser je place mon gland à l’entrée de sa chatte et je m’y enfonce en une fois jusqu’à la garde. Elle soupire de plaisirs et je la pilonne pour continuer à la faire gémir. Très vite je suis sur le point de jouir, trop vite en fait ! Pas question qu’elle ne jouisse pas. Je veux que l’on jouisse ensemble.

Je sors de ce volcan en fusion, et je m’accroupis derrière elle pour lui lécher la mouille qui s’échappe de ce trou béant. J’aime le goût de son plaisir. Ce petit jeu dure un certain temps…

(Je me rendrai compte plus tard que c’est un moment où elle nous regardait dans l’écran et je trouve cette attitude excitante).

Puis les jambes écartées toujours tendues, elle se penche en avant pour prendre ma queue en main en passant entre ses jambes. Je me retrouve ainsi avec son illet juste en face de moi, là, insolent dans le comportement : il cligne sous mon souffle !

Je décide de tenter le coup : ma langue part de son clito, désormais accessible, puis remonte à l’intérieur de son sexe, pour finir sur son petit trou du cul brun tout mignon. Quelques soupirs s’échappent de sa bouche. Je prends cela pour un encouragement. Et à chaque passage, j’appuie plus mes caresses sur cet anus. Si bien qu’entre mes pressions et la salive il finit par s’ouvrir doucement. De mes mains sur ses hanches j’imprime un petit va-et-vient de son cul sur ma langue. Un genre de sodomie buccale qui n’a pas l’air de lui déplaire.

— Prends-moi, il faut que tu me fasses jouir !

Sans un mot je me relève, place ma queue sur ses lèvres et donne un grand coup de bassin.

— Oh oui, c’est bon !

Je relève sa jupe pour peloter ses fesses, je les malaxe, les écarte. Et voilà donc le retour de l’insolent. Ce petit orifice, qui se croit intouchable, s’ouvre et se ferme au rythme de mes mains. Je me penche doucement sur son épaule, l’embrasse dans le cou. Je lui attrape les cheveux et tire dessus pour lui glisser à l’oreille :

— J’ai envie de sodomiser…

Je profite de cette annonce pour lui glisser mon pouce dans le cul.

— Oui vas-y si tu veux.

Je sors de chatte une pine archi tendue mais aussi ruisselante de cyprine. Je pose le gland sur le petit ridé, qui perd de son assurance et me cède sans concession.

Humm, me voilà planté dans ce joli petit cul de cochonne. Ses soupirs m’engagent à plus virilité. Je donne des coups de reins de plus en plus forts, en prenant soin de sortir mon chibre presque entièrement à chaque voyage. Ma queue gonfle, mes couilles remontent sous la pression du plaisir… La faire jouir ! Il faut qu’elle jouisse avec ma bite dans son rectum. Je me concentre et la pilonne de plus belle. Quand elle m’annonce :

— Oui ne t’arrête pas tu vas me faire jouir !

Je donne quelques gros coups, j’entends mon ventre claquer sur ce cul blanc. Elle passe sa main entre ses cuisses, saisit mes couilles à pleine main. Cen est trop je vais me rependre dans ce si doux et étroit boyau. C’est le moment qu’elle choisit pour m’annoncer :

— Ne t’arrête pas tu vas me faire jouir !

Je ne baisse donc pas la cadence, et quand les premiers jets de foutre arrivent je sens son cul se contracter sur ma queue. Divin ! Jouir à l’unisson…

Je me love contre son dos toujours planté au plus profond de son anatomie. Je lui caresse un peu les seins, en murmurant un petit je t’aime à son oreille.

— Moi aussi, mais il faut que tu sortes, j’ai trop mal au dos et aux cuisses.

J’obéis sagement, mais je l’oblige à garder la position pour un dernier cliché de son anus laissant perler le foutre que je viens d’y déverser.

Elle repart pour la maison avec l’anus et la chatte ouverte les cuisses et les fesses pleines de sécrétions corporelles… Sapée comme une cochonne… j’adore l’idée !

Le soir en fermant mon bureau j’ai trouvé un préservatif, neuf, posé en évidence devant l’entrée de la cabane de chantier… pas arrivé là par hasard…

Je suppose que le voisin nous a mattés et que c’était une façon de dire j’aurais bien participé mais c’était il y a longtemps et je n’en ai jamais entendu parler depuis.

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