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Souvenirs d'un queutard – Chapitre 3




Chaque année le directeur de l’agence embauchait des stagiaires, hommes ou femmes, pour pallier le manque d’effectif pendant juillet et août.

Le premier jour de juillet mon directeur me demanda dans son bureau et me présenta Pauline qui serait là pour les 2 mois d’été. Il me demanda de la mettre au courant des opérations courantes afin qu’elle soit opérationnelle au plus tôt ; sous-entendu que je ne la cantonne pas à faire du classement, des photocopies ou autres.

Je pris donc Pauline sous mon aile, apprenant au passage qu’elle était la fille de Mr X, client relativement important.

Pauline était étudiante dans une école privée de commerce, brune, cheveux courts, sachant onduler du cul pour faire son effet.

Dès le premier jour quand j’expliquais quelque chose à Pauline document à l’appui, elle se collait bien contre moi pour lire, et quand j’étais assis à mon bureau elle restait au-dessus de moi appuyant bien son sein sur lépaule. Je trouvais que ses seins étaient durs, mais je mettais cela sur le compte de son soutien-gorge, me disant qu’elle mettait des soutiens-gorges renforcés pour mieux faire ressortir sa poitrine.

Midi arriva, je demandais à Pauline comment elle rentrait chez ses parents pour manger. Elle me répondit que bien qu’habitant à environ 7 kms les horaires des transports en commun ne lui permettaient pas de rentrer et qu’elle resterait manger sur place. Nous étions donc 2 dans cette situation et nous sommes partis manger un morceau. Nous avons fait plus ample connaissance, et m’indiqua où ses parents habitaient exactement. C’était quasiment sur ma route pour rentrer chez moi le soir et je lui proposais de la déposer pour lui éviter d’attendre le car. Chaque matin elle venait à l’agence par ses propres moyens et le soir je la déposais devant chez elle.

Le 2e jour, Pauline trouva tous les prétextes possibles pour venir me demander des renseignements et m’appuyer à chaque fois un sein sur l’épaule. A midi nous sommes partis en voiture, pas très loin dans la nature, achetant un sandwich au passage. Je garais ma voiture à l’ombre sous un bosquet d’arbres à l’écart de la route pour manger notre sandwich en plein air.

Bien installés dans ma voiture, j’avais à cette époque une grosse berline dont les sièges faisaient couchette, et nous discutions. Pauline inclina son dossier qui eut pour effet de bien mettre en valeur sa poitrine. Nous nous regardions, de la main gauche effleurant sa poitrine j’ai déboutonné lentement son chemisier, Pauline me laissait faire et n’opposa aucune résistance quand j’ai dégrafé son soutif qui s’ouvrait sur le devant. Contrairement à ce je pensais, son soutif était très fin et sans armature. En l’écartant je fus hypnotisé, les seins de Pauline n’étaient ni plus ni moins que 2 têtes d’obus, petites auréoles roses et des tétons tout petits en diamètre et en longueur qui pointaient droit devant.

Je les ai caressés délicatement du bout des doigts tant ils me paraissaient fragiles, les faisant saillir et donnant la chair de poule à Pauline qui avait les yeux fermés. J’ai posé mes lèvres sur chacun de ses petits bouts, tellement petits que pour les sucer j’aspirai toute la pointe du sein. Pauline soupirait.

Ses seins étaient plus que fermes, ils étaient durs.

Tout en continuant à sucer ses seins je glissais une main dans son pantalon. Me prenant le poignet Pauline stoppa net ma progression vers sa chatte :

— Non pas aujourd’hui, demain. Dit-elle

J’avais compris, Pauline en était au dernier jour de ses règles.

Ce fut Pauline qui prit les choses en main en déboutonnant ma chemise de haut en bas, ouvrant mon pantalon et ma braguette. Elle avait des gestes doux et précis. J’étais loin de penser qu’elle pouvait avoir autant de doigté et de savoir.

Tout en continuant à nous embrasser, moi lui palpant les seins, elle fit glisser mon pantalon et mon slip sous mes fesses, extirpant délicatement mon service 3 pièces avec sa main en coupe sous mes couilles.

J’étais raide depuis un bout de temps, sa main enserra ma tige. Quittant mes lèvres elle jeta un coup d’il vers mon entrejambe, tirant délicatement sur la peau elle me décalotta le gland. Tout en continuant à m’embrasser elle faisait jouer le bout de ses doigts sur mon gland turgescent, poussant mon désir à son paroxysme. J’avais les testicules remontés à en avoir mal.

Jugeant que j’étais à point, tout en déposant des petits baisers sur mon torse elle descendait lentement, trop lentement vers mon bas ventre. La délivrance arriva, sa bouche chaude et humide se referma sur ma bite tendue, entamant une lente fellation. Dieu du ciel, elle savait y faire la jeune salope d’étudiante. Encore aujourd’hui quand j’y pense, je bande. De toutes les femmes que j’ai connu, et il y en a qui savait pomper, c’est sans doute Pauline qui m’a fait les plus belles pipes de ma vie.

Je sentais que j’allais exploser et je la prévenais

— Pauline je vais………….

Pauline continua de me pomper. Posant une main sur sa tête, avec un râle de plaisir j’enfonçais mon sexe au fond de sa gorge. Je ne pourrai dire combien de giclées de semence je lui ai lâchées dans le gosier ; pendant un long moment ma queue a tressauté dans sa bouche. Pauline à tout avalé sans rien perdre, une vraie gourmande, et pour finir entre son pouce et son index, remontant ma tige sur toute sa longueur elle récupérait mes dernières gouttes de sperme. Contente d’elle, elle me fixa et me roula une pelle avec mes dernières gouttes de sperme dans sa bouche.

Elle m’essuya le sexe, s’essuya la bouche, referma son chemisier, moi ma chemise et mon pantalon, et nous sommes rentrés à l’agence.

Le lendemain, même endroit même heure j’ai déboutonné son chemisier, elle avait remis un soutif qui s’ouvrait devant, je libérais ses 2 obus dont les petits bouts pointaient. J’étais avide de faire connaissance avec sa chatte. Pauline m’aida à faire glisser son pantalon et sa culotte. Elle avait un joli petit triangle de fourrure frisée. Tout en lui roulant une pelle je glissais ma main entre ses cuisses ; allant au-devant de ma caresse elle écarta sa cuisse droite en posant son pied sur le tableau de bord.

Les poils sur les bords de sa fente étaient déjà mouillés. Je me dépêchais de descendre mon pantalon et mon slip,m’installant entre ses cuisses. Elle posa son pied gauche aussi sur le tableau de bord, cuisses largement écartées, totalement offerte. Saisissant de ma queue raide elle me guida dans sa vulve sans autre forme. Je m’enfonçais en elle bien décidé à profiter de cette jeune chatte accueillante qui devait avoir déjà eu quelques bites lui faire visite. Cela faisait peut être un peu plus d’une dizaine de coups de queue que je lui donnais quand, les bras autour de mon cou elle me serra contre elle en poussant un long gémissement :

— Aaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhhhhhhhhhhh !!!!!!!

Je m’arrêtais de suite

— Je t’ai fait mal ?

— Non continue

Pauline venait de jouir ; un peu décontenancé mais toujours en érection je repris mes mouvements et jouissais à mon tour.

Pendant juillet et aout nous avons fait l’amour pratiquement tous les jours, sauf en période d’indisponibilité où Pauline me taillait des pipes fantastiques me vidant jusqu’à la moelle.

Je n’ai jamais connu une femme qui avait un tel don pour sucer et donner du plaisir avec sa bouche. On dit que les femmes sont plus longues à jouir, Pauline c’était le contraire, je n’ai jamais rencontré de femme qui jouissait aussi vite et de façon aussi fulgurante. Au maximum une vingtaine de va-et-vient, elle jouissait, me serrait contre elle et me faisait plein de petits bisous et je me vidais à mon tour. En prenant mon temps j’arrivais à la faire jouir 2 fois de suite.

Fin aout alors que nous venions de faire l’amour et que j’étais encore planté en elle :

— Pourquoi est-ce que je jouis comme ça avec toi et pas avec lui ?

Pauline m’apprenait qu’elle avait un copain qu’elle retrouvait tous les week-ends avec qui elle avait moins de plaisir et jouissait moins fort qu’avec moi.

Lannée suivante Pauline est revenue travailler à lagence, nous avons repris là où nous en étions restés, nous avons baisé presque tous les jours de juillet à fin août.

Une quinzaine d’années plus tard, j’avais changé de résidence et me rendais chez mon médecin ; dans la salle d’attente je tombais sur Pauline et sa mère. Nous avions le même médecin, Pauline eut le rouge aux joues, elle était mariée et avait deux enfants.

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