11.

La semaine se passa doucement. Isabelle me réclamait au moins une fois par jour pour que je lhonore ou quelle prenne son pied en me sodomisant avec plus ou moins de ménagement et avec des avatars phalliques plus ou moins gros.

On avait fini de manger, bu notre café quand Igor me prit par le bras.

— viens, me dit-elle, toujours aussi bavard.

Il mentraina dans le garage, vers une porte dans un état pitoyable, dégagea un clavier numérique caché derrière un bidon dhuile et tapotant que quelque touches. La porte se débloqua.

On descendit un escalier, Igor tapota un nouveau code et on entra dans une petite pièce dune quinzaine de mètres carré marquée par une forte odeur dhuile et de poudre. Pour tout mobilier : une chaise, une table et un établi avec de drôles doutils posés dessus.

Il composa un nouveau code sur larmoire qui occupait tout le mur du fond.

Lorsquil ouvrit les lourds battants blindés, je découvris un véritable arsenal et je me rappelai soudain la passion du majordome : sa collection darmes. Et des armes, il y en avait. Des grosses, des petites, des revolvers, des fusils. Je reconnus même une Kalachnikov !

— impressionnant, non ? me dit-il.

— oui, soufflé-je.

— ça te choque ?

— oui, non ! Disons que je ne mattendais pas à voir ça ici. Elles fonctionnent ?

— en létat non car jai enlevé les percuteurs. Mais si je les remonte, oui, elles sont en état de marche.

Il me décrivit brièvement chacune delle. Cétait bien la première fois que, venant de lui, jentendais autant de mot en si peu de temps.

Si la Kalachnikov ne métonnait pas, on entendait assez dinfos rapportant de saisie darmes de ce type dans des appartements de cités, je fus atterrée lorsquil me montra un Famas, un vieux pistolet mitrailleur français, un M-16 et pire encore un fusil de sniper.

— elles sont déclarées, demandé-je un peu effrayée par un tel arsenal que naurait pas renié Rambo

— oh oui ! Il vaut mieux dailleurs. Cest dailleurs pour ça que jai fait installer tous ces codes. Et les percuteurs sont cachés ailleurs.

Je fus un peu rassurée.

Il sortit le Famas et en moins de temps quil ne faut pour le dire, il se retrouva en pièce détachées sur la table.

— au cas où tu aurais des doutes, je ne mappelle pas Igor mais Alain Martillot.

— pour Igor alors ? demandé-je en lui coupant la parole.

— est-ce que tu connais le film « Frankenstein junior » ?

— non

— un jour, on regardait ce film avec Isabelle. Et dans ce film, il y a un majordome qui sappelle Igor. Depuis, elle mappelle Igor. Au début, cétait juste pour rire, mais cest resté. Donc je ne mappelle pas Igor et je ne travaille pour les De Veragne que depuis dix ans. Avant, jétais militaire, armurier dans une unité de combat. Jai récupéré cette jolie cicatrice lors dune attaque en Afghanistan. Elle ma rendu inapte au terrain, et comme je ne voulais pas me morfondre dans un camp dentrainement et encore moins dans un bureau, jai quitté larmée.

Isabelle et moi, on se connait depuis quon est tout petit. On était voisin et on est toujours resté en contact. Jai assisté à son mariage, je suis le parrain des jumeaux. Et cest tout naturellement quelle ma offert ce boulot quand je suis redevenu civil. Mais jai toujours gardé ma passion pour les armes. Je suis moniteur de tir dans un centre de la région et il marrive parfois de jouer avec ça (en désignant les fusils dassaut) à la base militaire de Cazaux. Je peux tapprendre à tirer si tu veux.

Il remonta le Famas, le rangea à sa place mais laissa les portes ouvertes.

— jaimerai faire une chose avec toi, si tu veux.

— me tirer ? dis-je en plaisantant.

— exactement ! Tu serais la première à faire lamour ici.

— Isabelle ne la pas fait ?

— non, loccasion ne sest jamais présentée.

— je suis payée pour ça, minaudé-je, en mavançant vers Igor.

Je déboutonnai mon jean et Igor le descendit avec mon collant et ma culotte sur mes chevilles. Je posai mes mains sur la table huileuse, faisant face à larmoire. Mon amant sintroduisit en moi comme dans du beurre.

Il me baisa un moment, excité par mon cul accueillant et par sa collection darmes quil ne quittait pas des yeux. Il grogna et éjacula dans mon cul.

— merci beaucoup, dit-il.

— de rien. Le plaisir était pour moi. Je lembrassai et il répondit à mon baiser.

Je retrouvai Charlène avec un plaisir à peine dissimulé le week-end suivant. Mais en fin de soirée, Isabelle me demanda de mhabiller sexy car on était invité pour le soir.

Ce que je fis avec la panoplie complète : bas couture noir, lingerie en dentelle, talons aiguille, robe juste assez courte pour cacher mes bas, maquillage de soirée. Isabelle et Charlène me félicitèrent.

Nous nous rendîmes dans une maison au Pyla et ce fut en entrant que je compris que lon était chez Nathalie et Clarisse. Je fis la connaissance dAgnès, alias Philippe le jour et magistrat au TGI de Bordeaux. Et niveau look, Agnès navait rien à envier à Charlène. Et visiblement, elles se connaissaient très bien et semblaient très complices. Je ressentis comme une pointe de jalousie.

Le diner se passa tranquillement. Je faisais face à Clarisse. Agnès me posa beaucoup de questions sur moi, ma vie. Malgré sa minijupe et son maquillage chargé, le magistrat nétait pas bien loin. Nous passâmes au salon pour le café et le pousse-café pour Charlène et Agnès. Travesti à lextérieur, mais encore mâle à lintérieur.

Soudain Nathalie, frappa dans ses mains pour réclamer lattention de toutes.

— bien, dit-elle. Nous accueillons donc pour la première fois Nicole parmi nous. Même si on a déjà eu loccasion de fricoter un peu toutes les trois, ajouta-t-elle en regardant Isabelle. Tu auras donc droit à un bizutage dentrée dans notre groupe. Gentil le bizutage, tinquiète pas.

Elle prit trois vases sur le buffet et les posa sur la table basse.

— plonge ta main dans chacun des vases et tire un petit papier.

Jobéis et tendis les petits papiers à Nathalie. Elle les déplia et les lut à haute voix.

— passive, Clarisse, levrette. Je suppose que tu as compris de quoi il sagissait ?

— je pense en effet.

Clarisse se leva et me prit par la main pour mamener sur le tapis entre les deux canapés. Nathalie poussa la table basse dans un coin et en profita pour monter le son de la chaîne hi-fi. La musique dambiance emplit la pièce.

Clarisse menlaça et on commença à danser. Elle se fit plus câline et commença à membrasser dans le cou, sur la joue, sur la bouche. Sur un des canapés, Isabelle avait passé son bras sur les épaules de Nathalie et lui caressait le sein en nous regardant. En face, Agnès et Charlène parlaient chiffons en comparant leurs bas de nylon.

— eh ! Les deux folles, un peu de respect pour nos tourterelles, grogna Nathalie.

Tout en dansant, on se déshabilla. On sallongea sur le tapis pour un soixante-neuf. Les spectatrices commentaient notre prestation à voix basse.

Clarisse rompit létreinte et me souffla de me mettre en position. Elle sintroduisit facilement en moi et me fit lamour. Je retrouvai dans sa façon de faire, une manière très féminine, les mêmes sensations que me donnait Isabelle, bien différente de la façon de Charlène ou Igor.

Malgré les consignes, elle changea de position et me prit en missionnaire. Je gémis plus fort, elle membrassa et jouit en moi. Elle se retira et jexpulsai sa semence sous les applaudissements du public.

On fila dans la salle de bains attenante à la chambre de Clarisse. On se refit une beauté.

— Chanel ? demandé-je en la voyant prendre son gloss.

— oui, cest un duo à lèvres. Couleur dun coté, brillant de lautre. Tu veux lessayer ?

— je peux ?

Elle me tendit le bâton et je lappliquai sur ma bouche.

— pas mal, me dit Clarisse.

— merci. Et merci encore pour mavoir fait lamour aussi tendrement. Jai beaucoup aimé. Dis-moi, je peux te poser une question ?

— oui, bien sûr.

— tu crois que je devrais commencer un traitement hormonal ?

— pourquoi ? Je pensais que tu avais déjà commencé.

— ben non.

— est-ce que tu penses redevenir comme avant ? En garçon, je veux dire.

La question me surprit, tellement la réponse était évidente. Tout comme la réponse à ma propre question.

— non, dis-je. Jaime beaucoup ma nouvelle vie et ma nouvelle apparence.

— alors fonce, me confirma Clarisse. Et dans un an ou un peu plus, tu pourras te faire poser des implants comme les miens.

— je peux les toucher ?

— je ten prie !

Je palpai les seins de Clarisse. On ne sentait quasiment pas de différence. Un peu plus fermes, peut-être ?

Soudain, on entendit crier du salon.

— je crois quon nous attend, me dit Clarisse.

— je crois aussi.

Lorsquon revint dans le salon, Isabelle bouffait la chatte de Nathalie, tandis quAgnès sodomisait Charlène.

— ah vous voilà enfin ! dit Agnès. Jai cru que vous vous amusiez sans nous. Bien maintenant que vous êtes là, ma chère Nicole, je voudrais goûter à ton clito.

Je mapprochai et Agnès goba mon sexe, tandis que Clarisse se glissa sous Charlène pour lui donner le sien. Les filles continuèrent leur duo lesbien sans se mélanger de la soirée avec nous.

On changea plusieurs fois de partenaires, de position. Jéjaculai plusieurs fois aussi.

Nous quittâmes nos hôtes bien après minuit et ce fut avec soulagement que je maffalai dans mon lit.

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