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Tendres voisines – Chapitre 1




J’occupe un studio dans un petit immeuble tranquille du centre ville.

En journée, le quartier est assez bruyant et il est parfois difficile de laisser les fenêtres ouvertes tant le bruit de la circulation est alors présent.

Mais la nuit, heureusement, cela se calme et mon sommeil n’est que rarement troublé par quelques joyeux fêtards éméchés qui passent ou un voisin qui rentre tardivement…

En vérité, rien de bien spécial ou de particulièrement dérangeant.

Depuis la semaine dernière, pourtant, quelque chose a changé.

Longtemps inoccupé, l’appartement juste à côté du mien est maintenant habité.

Je n’ai pas encore eu l’occasion de rencontrer les nouveaux occupants dont j’aurais plaisir à faire la connaissance car c’est toujours sympa de connaître mieux ses voisins…

Ma curiosité est cependant encore exacerbée parce que, ces dernières nuits, je fus à plusieurs reprises tirée de mon sommeil par des gémissements puis par des cris qui trahissent un plaisir charnel manifeste !

Bien-sûr, il m’a déjà été donné d’entendre des amants très à leur affaire qui se laissent aller à manifester plus ouvertement et bruyamment leur jouissance mais ici, c’est un peu différent…

Le hasard de la construction du bâtiment veut que ma chambre soit mitoyenne à celle de ces nouveaux voisins.

La nuit passée, réveillée en sursaut par ces gémissements et mue par une curiosité un rien voyeuriste je l’avoue, je décide de coller mon oreille à la paroi qui me sépare de l’appartement voisin pour en percevoir davantage …mais ne parviens finalement pas à distinguer ce qu’ils se disent…

Même si je peux aisément imaginer ce qu’ils se font, tout ce que j’arrive à reconnaître c’est que je n’entends que des voix féminines… mais qui s’arrêtent presque aussitôt après que je me sois cognée au mur…

Zut, m’auraient-ils entendu me lever ?

Les aurais-je dérangés et freinés dans leur élan ?

Plus rien, à nouveau, c’est le silence le plus total…

Un peu déçue de n’avoir finalement rien découvert, je décide donc de me recoucher et tente de me rendormir.

Mais à peine me suis-je replongée sous les draps que les bruits reprennent de plus belle : plus forts, plus présents et plus envoûtants que jamais…

Evidemment, je suis passablement excitée par cette émoustillante perspective et c’est donc sans fausse pudeur que je laisse ma main se diriger vers le haut de mes cuisses…

Une caresse manuelle que je connais bien puisque elle est ma seule compagne depuis de si longs mois ; depuis que je me suis fait quitter par le dernier de tous ces sales mecs qui ont chaque fois lâchement profité de moi…

Je me laisse donc aller à me caresser sensuellement, comme j’en ai l’habitude…

Et, très vite, mes doigts s’insinuent hardiment dans ma fente d’où je sens poindre une délicieuse et chaude humidité complice…

Voilà, mon majeur est maintenant entièrement enfoui dans mon vagin !

Calquant le rythme de mes vas et viens à celui des bruits qui me parviennent à nouveau d’à côté, je ne tarde pas à me satisfaire à un point tel que j’explose bientôt d’un plaisir certes solitaire mais au combien réel et délicieux ; sans me soucier de tout le reste, je ressens une rassurante chaleur qui s’échappe de mon entrejambes et m’endors bientôt dans un profond sommeil réparateur…

Cette journée a été particulièrement contraignante.

Serveuse dans un snack, je suis sans cesse exposée à la mauvaise humeur, au stress et aux critiques de clients trop pressés ; quand ce n’est pas aux regards allumés et aux mains baladeuses de certains indélicats.

Particulièrement fatiguée et contrariée, je rentre ce soir en regrettant que personne ne m’attende chez moi…

Personne qui m’aurait préparé un bon petit plat, personne pour me prendre dans ces bras et me faire passer une nuit de délices…

Bref, c’est complètement absorbée par mes pensées que j’aboutis dans le hall d’entrée et découvre une jolie jeune femme assise par terre, dos à la porte de mes nouveaux voisins…

Elle a l’air un peu malheureuse, toute recroquevillée sur elle-même : les jambes serrées et les genoux ramenés sous son menton, elle a la mine boudeuse d’une gamine que l’on vient de contrarier.

Visage angélique de femme-enfant encadré par une longue et lisse chevelure d’un blond doré comme les blés ; tout le portrait d’une très jeune fille diaphane dans le plus pur style des naïades du photographe David Hamilton…

Pas si juvénile que cela d’ailleurs ; à voir le galbe de ses jambes et l’apparente douceur de ses cuisses que dévoile généreusement sa petite robe d’été…

J’en déduis qu’elle doit avoir largement passé l’âge de se régaler de sucettes… Quoi que ! !

A y regarder de plus près, elle serait même franchement mignonne !

De fines bretelles laissent bailler légèrement le haut de la robe d’où deux petits seins arrogants pointent impudiquement leurs bouts…

Mais, que se passe-t-il ?

Ne suis-je pas déjà en train de la déshabiller des yeux ? !

Mon regard interrogatif déclenche en effet une réponse immédiate de sa part ; ce qui coupe court à toute supputation :

’ Bonjour, je suis votre nouvelle voisine ; je m’appelle Audrey.

J’ai oublié mes clefs et Dominique n’est pas encore rentrée… ’

Dominique, voilà, c’est le nom de son copain (ou mari ?)

’Bonjour, moi c’est Hélène.

Vous n’allez tout de même pas l’attendre ici, venez attendre votre compagnon chez moi, je vous offre un verre ; nous pourrons mieux faire connaissance… ’

La voyant esquisser un large sourire, je la laisse passer devant moi et l’invite à prendre place dans mon grand canapé en cuir.

Sans se faire prier, elle s’y allonge carrément non sans prendre soin de bien m’exhiber ses fines jambes décidément superbes…

Mon trouble augmente ; qu’est-ce qui me prend ?

Tellement déçue par tant d’hommes, je ressens désormais l ’envie de faire l’amour avec une femme…

Aurais-je déjà envie de celle-ci ? !

Me laisserais-je tenter par cette inconnue de prime abord si excitante ? !

Tout en entamant la conversation par quelques banalités, je nous sers un premier Martini que nous buvons rapidement ; cela a le don de nous mettre à l’aise…

L’alcool me monte immédiatement à la tête et m’incite, sans la moindre gêne, à lui parler des cris de jouissance que je peux entendre chaque nuit venant de son appartement…

Elle rougit à peine en m’expliquant simplement :

’ Dominique adore me faire l’amour ; on s’entend à merveille ; tu sais.

Et puis, on s’est rendu compte que tu nous écoutais, hier soir…

Alors, j’étais encore plus excitée à l’idée de savoir que tu étais là, juste à côté de nous…’

Tout en discutant de leurs prouesses amoureuses nocturnes, on continue à vider la bouteille…

Je lui propose alors de prendre encore un verre et lui demande de bien vouloir m’attendre quelques instants, juste le temps de prendre une douche et me changer.

Rapidement, je quitte mes vêtements de travail, me lave et, désormais tout à fait grisée par les apéritifs que je viens d’avaler d’un trait, décide de ne pas me rhabiller et de ne pas mettre de sous-vêtements…

juste un petit peignoir ; c’est tout !

Cette courte sortie de bain en éponge doit mettre mes formes en valeur car le regard de Audrey s’allume soudainement dès mon retour au salon.

’ Tu es très mignonne comme cela ; viens t’asseoir près de moi ’ me dit-elle.

J’obéis et viens m’installer tout contre elle.

Sans la moindre hésitation, elle pose une main sur mon genou et remonte progressivement le long de ma jambe…

Sa caresse électrise l’intérieur de mes cuisses ; j’en ressens des frissons jusqu’au pubis !

Son visage s’approche de mon cou ; elle y dépose de petits baisers très sensuels…

’ Tu sors de ta douche, tu es toute fraîche et tu sens très bon ’ me dit-elle tendrement.

Je me sens fondre ; j’ai envie de m’offrir à elle !

C’est le moment qu’elle choisit pour ouvrir mon peignoir d’un geste décidé et en faire jaillir mes seins nus qu’elle s’empresse de porter à sa bouche…

’ Tu as de beaux nichons, ma chérie ! ’ me dit-elle avec admiration.

Elle commence alors à me les sucer avidement en mordillant les tétons qu’elle s’amuse à faire ressortir au maximum.

Ses mains pétrissent me seins et s’égarent aussi sur mes anches, elle entreprend bien vite de retirer mon maigre vêtement : je suis maintenant complètement nue à côté d’elle…

Elle se penche vers moi pour me caresser le ventre et descendre plus bas…

Je sens ses lèvres qui courent vers mon nombril et s’approchent de mon triangle magique.

J’en profite pour prendre sa tête entre les mains, respirer et embrasser ses cheveux qui sentent bon la camomille.

’ Petite coquine ’ me dit-elle.

’ Tu as vraiment envie de faire l’amour, n’est-ce pas ? !

Tu es une petite garce absolument délicieuse ; je vais te couvrir de caresses et de baisers puis je te mangerai la chatte… ’

Cette sentence me fait trembler de désir au plus profond de moi-même.

J’en perds la tête ! !

Je n’ai pas le temps de souffler qu’elle colle sa bouche à mon bas-ventre ; sa langue s’immisçant immédiatement au plus profond de mon intimité ! !

J’adore qu’on me fasse minette ; plus ou moins bien ’ sucée ’ par bon nombre d’hommes, j’en garde d’excellents souvenirs… mais ici, j’avoue que la tendresse et l’application de cette langue de velours qui s’insinue si bien dans mes chairs intimes me fait un effet renversant…

Instinctivement, je m’allonge, ressentant le doux relief froid du canapé en cuir dans mon dos.

Percevant le souffle chaud de ma soupirante juste à hauteur de mes lèvres vaginales, je me laisse aller à écarter les jambes au maximum : les mouvements de langue de Audrey se font de plus en plus précis et pénétrants : tantôt elle s’enfonce au plus profond de ma cavité rose, tantôt elle s’en éloigne pour me lécher l’intérieur des cuisses jusqu’aux genoux …

Je suis comblée par l’action de sa langue si agile autour de mon petit bouton d’amour ; je commence à mouiller sérieusement…

Je ne souhaite plus qu’une chose : qu’elle approfondisse ses caresses… qu’elle me mette vite un doigt ! !

Mais Audrey se retire quelques instants pour se déshabiller.

Sans la moindre pudeur, et cependant avec une grâce infinie, elle soulève sa petite robe d’été et me dévoile un mignon petit corps parfaitement bronzé sans les traces du maillot… elle ne porte pas de sous-vêtements !

Elle me parle toujours avec la même et douce féminité :

’ Je te plais ? Tu me trouves jolies, j’espère…

Regarde ma petite chatte, elle est toute épilée et douce comme de la soie !

N’aies pas peur, tu peux me toucher tu sais ! ! ’

Je vais lui sauter dessus et lui dire que j’ai très envie d’elle lorsque, soudain, le carillon de la porte d’entrée retentit…

’ Ne bouge pas ’ me dit-elle doucement.

’ C’est Dominique qui arrive, elle va se joindre à nous ! ’

Je ne comprends plus rien ; moi qui pensais que Dominique – parfois prénom masculin – était son mari -… là voici qui me dit ’ elle ’ va se joindre à nous…

Elle m’abandonne pendant quelques instants et se dirige vers la porte d’entrée pour aller ouvrir : Dominique entre triomphalement d’un pas décidé ; c’est la copie conforme de Audrey ! !

Les mêmes longs cheveux blonds, elle a aussi son visage mutin et son sourire ravageur !

Un rien plus grande que celle-ci, elle paraît aussi un rien plus âgée et mieux formée ; Ses beaux gros seins débordent d’un minuscule corset de dentelle blanche et ses cuisses ne sont en rien couvertes par une minuscule jupe par ailleurs très transparente.

Des jambes impeccablement bronzées que terminent de légères tennis d’un blanc immaculé lui donnant l’effet d’à peine effleurer le sol lorsqu’elle marche.

D’un ton direct, elle s’adresse à moi pour me dire :

’ Salut, moi c’est Dominique.

J’adore les petites brunes sexy comme toi ; je t’assure que tu vas prendre ton pied avec moi… ’

’ Avec nous … ’ ajoute Audrey d’un petit air malicieux.

Sans perdre la moindre seconde, Dominique se défait de son corsage et laisse choir sa micro jupette sous laquelle, elle non plus, ne porte rien …

La voilà aussitôt entièrement nue devant moi : son corps est en tout pareil à celui de Audrey à ceci près qu’elle a des formes plus épanouies que la première de mes courtisanes et qu’elle présente la particularité d’avoir une abondante toison pubienne d’un éclatant blond doré alors que, comme je viens de vous le dire, ultra féminine, Audrey est entièrement épilée, lisse et glabre comme une petite gamine prépubère…

’ Regard, Dom’, notre voisine vicieuse est déjà en train de se masturber à deux mains alors que je viens à peine de commencer à lui lécher le minou… ’ s’écrie Audrey en revenant dans la pièce.

C’est vrai que je me suis laissée aller à me caresser vigoureusement en attendant qu’elle revienne…

Mais dans l’état où elle m’a laissée, que puis-je faire d’autre ?

Je ne peux décemment attendre plus longtemps qu’on s’occupe de moi car, tout à fait enivrée maintenant que l’alcool a fait son effet, j’ai une envie folle de faire l’amour…fut-ce avec une femme…et, a fortiori, avec deux ! !

’ Vite, vite ’ les suppliais-je…

’ Venez vite près de moi, j’ai grand besoin qu’on me lèche le minou… ’

Sans se faire prier et sans la moindre concertation, elles s’agenouillent toutes les deux devant le canapé et se positionnent le long de mon corps ainsi entièrement offert…

Audrey s’occupe de mes seins qu’elle presse et malaxe vigoureusement alors que sa langue vient se perdre sur mon visage pour de profondes caresses buccales.

Dominique s’est immédiatement placée à la hauteur de mon sexe dont elle a écarté les lèvres sans la moindre hésitation !

D’autorité, elle prend possession de mon intimité et me mouille la vulve de quelques grands coups de langue particulièrement bien appliqués puis, sans prévenir, enfonce d’un coup son majeur au plus profond de mon vagin…

Alors qu’elle joue de ses phalanges pour me caresser le sexe ’ de l’intérieur ’, elle approche son visage de ma fente et se met à titiller du bout de sa langue mon clitoris gonflé de désir…

Sous l’effet d’un tel traitement, celui-ci s’érige de plus belle et darde impudiquement.

’ Soph’, viens ici ; on va lui sucer le clito à deux ; elle semble adorer ça ! ’ lance – t – elle à sa comparse.

Celle-ci abandonne volontiers mes seins et ma bouche pour venir se coller à mon sexe ; d’autant plus facilement que Dominique vient de glisser un gros coussin sous mes reins pour faire ressortir mon joli Mont de Vénus coiffé d’une petite toison brune triangulaire et parfaitement taillée qui a l’air de tant leur plaire…

Alors que Audrey s’applique à me lécher le sexe de plus belle en me doigtant simultanément, Dominique en profite pour glisser une main entreprenante sous mes fesses et introduire subrepticement un doigt dans mon petit oeillet froncé…

Le doigt de l’une devant et maintenant le doigt de l’autre derrière : je suis aux anges…

Ces deux vicieuses me font onduler le bassin au rythme de leurs vas et viens digitaux dans mes deux orifices : elles entremêlent leur langue comme des serpents en transformant leurs séance de léchage en de salaces baisers passionnés au creux même de ma cavité sexuelle…

Je prends un pied d’enfer et ne manque pas de leur hurler mon plaisir :

’ Oh oui, mes salopes, encore, encore,…

Dévorez-moi le minou et défoncez – moi les trous ! ’

Au bout d’un moment, plutôt passive jusque là, j’ai davantage envie de passer à l’action ; moi aussi.

Je les supplie donc :

’ Laissez-moi vous lécher aussi, faisons un double 69 ! ’

Alors, dans un parfait mouvement tout empreint de douceur et de tendresse, nous nous laissons glisser sur l’épais tapis du salon et nous disposons en triangle de manière à ce que chacune d’entre nous ait à portée de la bouche le sexe d’une compagne et sur son propre sexe la bouche d’une autre…

Ainsi, je lèche Audrey en étant sucée par Dominique, elle – même mangée par Audrey que ma bouche dévore…

Nos sexes sont trempés ; tant par la salive de nos saphiques amies que par la cyprine que notre plaisir en fait suinter…

Nous changeons plusieurs fois de position, inversant les rôles pour qu’aucune d’entre nous ne soit déçue :

c’est maintenant Audrey qui me caresse de sa langue gourmande alors que je déguste Dominique ; elle-même en pleine action dans l’entrejambe de Audrey.

Par moments, nous modifions encore notre triangle amoureux en nous rejoignant à deux sur la troisième d’entre nous…

Audrey, la véritable soumise d’entre nous, apprécie plus particulièrement de se laisse faire ; nous ne nous privons donc pas pour exploiter au maximum sa grande disponibilité à accueillir notre langue et nos doigts au plus profond de chacun de ses orifices…

Nous passons un long moment à nous aimer de la sorte…chacune d’entre nous se laissant inonder par les vagues de plusieurs jouissances successives…

Après plus de deux heures d’un très intense plaisir, fourbues, courbaturées mais au comble de la satisfaction, nous décidons de nous accorder une petite pause.

Nous passons (chacune à notre tour, pour éviter d’y prolonger nos délicieuses amours !) à la salle de bains pour nous rafraîchir : nous doucher et nous parfumer nous fait le plus grand bien avant d’attaquer la suite des événements…

Pour nous amuser un peu et ne pas rester simplement nues, nous préférons revêtir de mignons petits dessous sexy et des nuisettes transparentes ; nous rions de nous voir déguisées comme trois braves femmes attendant impatiemment le retour de leur petit mari chéri au domicile conjugal…

Car nous avons décidé de passer le restant de la nuit ensemble et, pour ce faire, Audrey et Dominique sont retournées quelques minutes chez elles emporter des ’ accessoires ’ nécessaires aux nouvelles manoeuvres qui nous attendent…

Nous nous faisons plaisir en prenant un bon repas que nous nous sommes appliquées à préparer amoureusement comme trois véritables ménagères, maîtresses – femmes dans leur cuisine.

Après avoir dégusté de fins mets accompagnés des vins adéquats puis clôturé cela par un doux digestif bu sans modération, nous sommes à nouveau en pleine forme pour reprendre nos ébats…

Pour ma part, je suis encore un petit peu entamée, mais cela ne me dérange pas et augmente d’ailleurs ma hardiesse autant que cela me donne du c?ur à l’ouvrage.

Nous nous installons confortablement toutes les trois dans le canapé pour visionner une cassette.

Dominique insert une vidéo dans le magnétoscope.

’ Tu vas voir, Hélène, c’est très spécial ! ’

Le premier film s’intitule ’ Partouze Lesbienne ’ et met effectivement en scène plusieurs filles particulièrement délurées…

En fait, on en dénombre pas moins d’une bonne dizaine qui – sans la moindre présence masculine -se laissent aller aux pires extrémités des pratiques homosexuelles féminines…

Nous regardons les scènes avec passion ; ce qui produit un effet immédiat !

Très admirative de ces nombreuses et jolies femelles en rut, Audrey, après quelques molles caresses, passe rapidement à la vitesse supérieure et n’hésite plus longtemps à se masturber vigoureusement par dessus son petit slip bleu…

Elle est tellement pressée de se faire jouir qu’elle s’enfonce un doigt carrément à travers la mince barrière de dentelle…

Dominique, plus à l’aise, n’a pas attendu pour retirer son petit déshabillé de soie et, à nouveau dans le plus simple appareil, m’invite à laisser s’égarer ma main dans les replis de son sexe caché par son abondante mais douce et soyeuse toison dorée…

Je n’hésite pas plus longtemps et plonge volontiers entre ses cuisses.

Lorsque commence le deuxième film ’ Des gouines et des godes ’, nous sommes à nouveau entièrement nues toutes les trois…

Sur l’écran, défilent des images de jeux particulièrement osés de doigts et d’imposants phallus de caoutchouc qui rentrent et sortent d’orifices trempés de plaisir.

Nous n’y tenons plus et voulons au plus tôt nous identifier aux actrices du film : Dominique sort du sac qu’elle a ramené un peu plus tôt de chez elle une splendide collection de godes dont nous allons nous servir immédiatement…

Il y en a de toutes les tailles, de toutes les couleurs et de tous les modèles…certains sont particulièrement impressionnants au point que je me demande comment on va parvenir à se les enfoncer ! !

Mais la passion et l’envie résolvent bien des problèmes et trouvent des réponses à bien des questions…

Toute la nuit, nous jouons avec ses extraordinaires ’ sex toys ’ qui sortent du vagin de l’une pour entrer aussitôt dans l’anus d’une autre en étant repassé par la bouche d’une troisième…

c’est de la folie ! !

Dominique, assurément la plus vicieuse de nous trois, se fait un devoir de sucer systématiquement chacun des ustensiles que Audrey et moi venons de nous introduire.

’ Comme çà, je vous goûte aussi de l’intérieur ! ’ nous dit-elle avec délectation.

On s’essaye à tout : longs, fins, lisses, gros ou nervurés et veinés ; chacun de ces affriolants passent par chacune d’entre nous.

Alors que Audrey nous implore de s’occuper encore davantage d’elle, je décide d’aller au devant de mes limites en me servant d’un double gode particulièrement long : 45 cm !

Son étonnante souplesse permet pourtant de le courber au point de pouvoir l’introduire simultanément devant et derrière : les gros glands qui coiffent ses deux extrémités produisent un effet diabolique : je les sens presque se toucher au plus profond de mon ventre, seulement séparés par la mince paroi qui délimite mon vagin et mon conduit anal ! !

Nous sommes insatiables !

Le ’ Huge Dildo ’ que Audrey veut qu’on lui introduise entre les fesses est tout simplement affolant : plus de 50 cm de long pour un diamètre de 10 cm au moins : plus qu’un outil ,de plaisir, c’est un engin de torture ! !

Il est tellement gigantesque et impressionnant que Dominique et moi devons le saisir à deux mains pour le diriger vers l’arrière train de notre complice…

Après moult précautions – et une préparation adéquate visant à dilater son petit trou au maximum – , nous entamons une lente, périlleuse et manifestement très délicate intromission…

Audrey, à quatre pattes par terre, la croupe fièrement dressée, hurle !

Oui, elle hurle !

De douleur ? !

Non, non, c’est de joie !

Elle crie sa joie d’avoir ainsi ’ le derrière défoncé par un membre gros comme un pied de table ’ (ce sont ses propres paroles !)

Et, aussi incroyable que cela puisse paraître, ce monstrueux mât de latex rentre progressivement dans ses fesses ! !

Alors que Dominique s’emploie à le faire pénétrer le plus loin possible tout en masturbant de sa main libre le clito en fusion de Audrey, moi, je me place en dessous de celle-ci pour qu’elle puisse à loisir me lécher l’entrejambe pendant que je lui dévore les seins et la chatte…

’ Oh oui, oui, encore, encore ! Bouffez-moi de partout et faites-moi éclater le cul ! ! ’ hurle-t-elle de toutes ses forces…en écartant de ses mains ses fesses déjà si distendues !

Nous accédons à sa demande : doucement, progressivement et toujours très prudemment, nous lui enfonçons encore plus profondément le volumineux mandrin …

Nous sommes proches du but…

Submergées par d’incroyables vagues d’un formidable plaisir intense, nous explosons bientôt toutes les trois d’une fantastique jouissance qui nous trempe les cuisses jusqu’aux genoux…

Abandonnant nos impersonnels gadgets de plastique, nous nous réfugions dans la chambre où nous nous blottissons toutes les trois au creux de mon grand lit aux draps de satin.

Après nous être encore amoureusement cajolées et tendrement embrassées ; quelques douces paroles échangées suffisent à nous endormir profondément.

Lorsque nous sortons, le lendemain matin, nous avons trouvé ce petit mot épinglé sur la porte :

’ Salut les filles.

Nous sommes les trois mecs beaux et sympas qui habitons le loft du 4 ième.

On vous a entendu vous amuser et on aimerait pouvoir participer !

On vous attend.

Fred, Marc et Bob ’ Dans un grand éclat de rire commun, nous arrachons le billet, le chiffonnons et le jetons sans autre forme de procès.

Nous partons en ville faire quelques emplettes pour ce soir…

A suivre E.B

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