C’est l’histoire improbable d’un drôle de trio. Il y a elle, lui et l’autre.
Elle est chez elle.
Lui est sous la douche.
L’autre, une jeune femme arrive.
Elle c’est Andrée, l’épouse.
Lui rentre du travail, c’est Paul, l’amant caché de l’autre,
Virginie, l’amante et d’André et de Paul.
Virginie meurt d’une envie cachée de jouissance. Déjà au cours de l’après midi elle s’est faite reluire deux fois de suite. Elle espère passer une bonne fin de journée avec le couple voisin.
Voyons ses avantages : une poitrine 90 D, des fesses bombées qui attire les regards. C’est cet ensemble qui a mené Paul vers elle il est trop bien monté, il fait mal à la plus part des femmes. C’est les caractéristiques de la bite qui retiennent sa femme.
L’aventure des deux femmes commence un matin dans la zone commerciale. Dans le magasin de chaussures, assises en face, elles peuvent voie la moitié des jambes de l’autre. Elles se connaissent de vue seulement. Andrée essaie une paire de chaussures, elle ouvre sans le faire exprès ses genoux, dévoilant qu’elle ne porte pas de culotte. Les yeux fureteurs de Virginie se fixent sur la chatte de l’autre ; Quand c’est à son tour, sans le vouloir elle aussi écarte ses genoux. Elle montre une chatte juteuse.
Elles sortent presque ensemble du magasin. Elles se fixent un instant. Les deux ont compris, par ses messages muets qu’il faut qu’elles parlent. La conversation commence juste à coté sur la terrasse d’un café réputé.
Andrée garde en tête la vision totale de la chatte de Virginie. Et puis, pourquoi perdre du temps en paroles inutiles. Elle dit simplement en peu de mot que Virginie lui plaît. Elles ne sont même pas étonnées du détours de la conversation. C’est simple, elles se veulent l’une et l’autre, même si pour Virginie se sera une presque une découverte.
L’affaire se passe rapidement. Virginie se laisse embarquer chez sa nouvelle amie.La cour est brève, intense, sexy. Virginie se laisse convaincre par le plaisir en vue. La curiosité règne également. Elle se laisse dépouiller des vêtements. Elle se laisse regarder en détail. Ça lui plaît de se montrer nue à une autre : elle se sent dégouliner. L’attente de la suite l’excite encore plus. Elle pense à ce qu’elle se fait quand elle caresse son pubis, son entrejambe, son sexe, son périnée et encore plus loin son petit trou. Andrée se souvient de sa jeunesse quand avec des amies, elles se caressaient dans sa chambre à linsu de ses parents qui auraient fait un malheur s’ils l’avaient su.
C’est justement ses souvenirs qu l’ont forcés à draguer Virginie.
Virginie aussi samusait avec sa tante quand elle état jeune. Elle adorait se faire lécher la chatte. Elle rendait toujours le cunnilingus, simplement pour goûter la cyprine.
Quand une main d’Andrée vient se caler dans la fente, elle est la bien venue. André met ses doigts en crochets caresse doucement le clitoris puis s’engage dans le vagin. Elle y fait un malheur de bien être. Virginie geint sans cesse. Elle n’a même pas l’idée de rendre la masturbation. Il faut qu’Andrée la pousse sur le divan lui ouvre les jambes se mette sur elle pour quelle comprenne que sa langue doit aussi servir. Le simple contact d’une chatoune donne le départ de ses nombreuses caresses. Elle ne sarrête que bien plus tard quand son amante est rompue de plaisirs lesbiens.
Revenues la maison, Andrée ne parle pas de son aventure avec Virginie. Paul quelques jours plus tard ne parle pas non plut de sa rencontre avec une femme chaude femme . Il l’a rencontré chez un copain. Après un pari fou, il se sont trouvé désignés pour tirer un coup devant les autres : ils ont cédé à la demande ; Elle était debout, les jambes peu ouverte, tenant la queue qui allait lui défoncer la chatte.
Elle se laisser baiser un instant pour rapidement faire sortir la queue pour la mettre dans son étui arrière. Elle reste penchée à peine en avant, une main sur son clitoris. Son plaisir est prit devant tout le mode : un véritable régal, une frayeur, un égarement .
Paul ne rencontre pas souvent Virginie. Il préfère et de loin sa femme qui le baise comme pas une. Elle lui demande de la sucer avant tour, lui rend le plaisir pas une première fellation . Puis, toujours sur sa demande il la lui met devant sa petite entré : il la baise longuement avant de la faire jouir. La suite a lieu après un léchage du périnée, léchage mutuel ! La position en 69 est abandonnée pour passer à une chose sérieuse ; Il l’encule toujours à sa demande. Pour elle il n’est pas de plaisir complet sans pine au cul.Elle jouit formidablement bien. Pour finir, la queue encore pleine de semence, elle le prend dans la bouche pour lécher et la semence et le jus de son cul. Il rebande. Elle en profite une dernière fois pour la mettre dans le con mouillé. Ces amusements ont lieu au moins une fois pas jour.
L’impensable arrive quand Virginie rend visite à son amante. Elles sont enlacées quand Paul sort de la douche , nu, la queue raide : il demande à sa femme de le sucer. Les femmes sont étonnées de le voir ainsi.
Une pensée cochonne traverse l’esprit de sa femme. Elle lui demande de venir montrer sa queue. Excité, nécoutant que la tentatrice il vient près des deux filles. Elle se mettent à deux langues pour lécher la bite. Il se tend vers elle qui tiennent chacune une fesse ;
Paul ne sais plus qu’elle tête caresser. Il regarde les deux filles qui recommencent à se faire des câlins. Les deux têtes sont proches, de plus en lus proches, elles finissent par un baiser sur la bouche. De là tout repart entre le filles : elles aiment trop ces caresses douces, profondes, sans homme. Elles finissent par l’oublier. Elles se couchent se tiennent très près, senlacent, les jambes mêlées.
Paul regarde les mouvements lents qui font qu’elles trouvent les sexe contre le sexe de l’autre, les clitoris joints. Elle se caressent ainsi jusqu’à la conclusion finale : un orgasme féminin partagé.
Il bande tellement qu’il donne sa queue à celle qui veut sa semence. C’est la maîtresse qui en profite au détriment de la femme. Ce n’est pas grave, elles partage tout y compris le sperme du mari.
Paul n’est pas jaloux. Il partage sa femme avec une autre. Il se branle quand il en a envie, comme font le deux filles en sa présence ou pas.