Cela fait maintenant 10 ans que mon père s’est remariée avec Marie, après le départ de ma mère. Dès son arrivée à la maison, ma nouvelle belle mère bien que nettement plus jeune que mon père seulement 25 ans, elle fît régner l’ordre. Je la détestais et elle me le rendait bien. C’était une belle brune, maniaque et égocentrique au possible.
Arrivé à mes 20 ans, elle en avait désormais 35, je portais sur elle un tout autre regard et son aspect sévère me faisait fantasmer.
Je rentrais durant l’été pour profité de ma région natale, comme je passais le reste de l’année à Paris pour l’université.
Mon père et Marie étaient partis en vacance en Corse avec des amis, je profitais donc d’avoir la maison pour moi et y invita une amie d’enfance qui était surtout mon ex et mon première amour. Voulant varié les plaisirs ayant essayé toutes les pièces de la maison, nous avons choisit de finalement le faire dans le lit de mes parents, pour y ajouter de l’interdit avant d’entamer nos ébats je sortis une tenue osée de Marie, que j’avais trouvé avec stupéfaction dans son placard, et derrière cette tenue se trouvait une malle en cuir très lourde, qui était fermée à clé. Au vue de la tenue trouvée, je me mis à imaginer qu’elle contenait des sextoys et autres babioles érotiques. Alors qu’Alice, mon ex, s’occupait royalement bien de moi, je m’imaginais avec Marie dans ce lit.
Durant la semaine suivante, je cherchais sans relâche la clé de cette malle, il me restait seulement 15 jours pour la trouvée, finalement je finis par la trouvée au fond de la boîte à bijoux de Marie. Je pris la malle et m’installa dans ma chambre, je l’ouvrit pour finalement découvrir avec plaisir ce quelle contenait….
Il y avait une collection de gods, et autres jouets dont je ne connaissais pas même l’existence, mais bien mieux que cela il y avait des albums photos de ma belle mère qui faisait de l’exib dans différents endroits. Durant quelques jours je me branlais régulièrement en admirant ces photos et je me promis ensuite de les ranger et de ne plus penser à elle car elle était quand même la femme de mon père.
Cependant le destin fît un tout autre choix pour moi, durant un après-midi que je passais avec mes potes au terrain de rugby, Marie était rentrée seule de Corse. Quand je vis que la porte de la maison était ouverte une montée d’adrénaline se fît sentir, je priais pour qu’elle ne soit pas allé dans ma chambre. Elle me salua, sans rien dire, elle était resplendissante, elle avait bien bronzé sous le soleil méditerranéen, une bosse se dessinait alors sur mon pantalon, je l’imaginait nue devant moi, elle ne vit rien et partit dans sa chambre pour vidée sa valise je me retrouvais dans l’impossibilité d’aller remettre en place la malle "du plaisir", c’est ainsi que je la surnommée. Je décidais donc de tout ranger dedans et de la cacher sous mon lit de manière à ce quelle ne la voit pas.
Le soir, l’imaginant fatiguée et avec une idée perverse qui était de la draguer, je fis un bon repas pour nous deux :
— Maintenant tu cuisines on dirait bien qu’un an à vivre sans femme à la maison t’as bien changé, me dit-elle avec le sourire au bout des lèvres.
— Pas tant que ça mais je me suis dis que tu serais contente de bien mangé après une journée de bateau et de train, et puis j’attends que tu me racontes pourquoi tu rentres si tôt, moi qui comptais faire une soirée un de ces soirs.
— Je vais me baigner, on mangera après ça te vas ?
— Comme tu voudras.
Elle partit donc se baigner dans la petite piscine que mon père avait récemment installé dans notre jardin, je la reluqué tout en faisant la vaisselle pour évité qu’elle ne se plaigne une fois encore de mon éducation qu’elle reproche à ma mère à cause de son absence permanent durant mon adolescence. Elle se baignait en bikini, le bas n’était pas ce qu’elle avait de plus sexy mais mettait en valeurs ses fesses qui réveillerait un mort, et sa petite paire de seins était maintenue fermement par le haut rose de ce bikini. Durant le repas elle m’expliqua que mon père et ses amis avait décidé de partir faire une partie du GR20, et donc que le retour des femmes avait été avancé. Après le repas elle partie directement dans sa chambre pour dormir. Mais 20 minutes plus tard, elle vînt dans ma chambre et me demanda si je n’était pas venu dans la sienne parce qu’elle ne trouvais plus une crème dit elle, je savait très bien qu’elle mentait parce qu’elle rangée toute les crèmes à la salle de bain de manière méthodique, je lui dis alors que je n’y était pas allé.
Le lendemain matin alors que je partais pour la muscu, elle me dit à l’oreille : "je sais ce que tu m’as volé petit cachottier". Durant mes 2 heures de sports j’appréhendais mon retour pour le midi.
À SUIVRE….
