J’ai la chance de posséder une petite entreprise très florissante et qui génère pas mal de bénéfices.
Une belle propriété où se trouvent mes ateliers, c’est une grande maison de maître avec ses dépendances, le tout formant un U posé quasi sur le front d’une Avenue et sur une surface totale de près d’un hectare dont la majeure partie est un petit parc privé.
J’ai la chance unique d’être marié à une femme magnifique et bien des hommes m’envient. Superbe brune (et comme dans histoire vraie on ne dit que la vérité) qui posa deux fois pour les publicités des lingeries Aubade, au tout début de notre relation.
Dire que des milliers de personnes ont pu "mater" les galbes, la poitrine de ma femme Colette, me laisse rêveur…
Je me rappellerais toujours la première fois que je l’ai vue me tromper avec mes ouvriers. Sans doute pas la toute première fois pour elle, mais pour moi ça l’était.
J’avais eu un accrochage avec mon véhicule et mon concessionnaire, en attendant de m’en préparer un autre et que le mien soit réparé, m’avait raccompagné chez moi. D’habitude tous les passages se faisaient par la grille du parc mais comme j’étais à pied, jentrai par le porche de rue.
En traversant la véranda japerçus la Jaguar de mon épouse qui devait faire une pose entre deux clients. Elle est agent immobilier.
Elle était assise au volant garée à l’ombre d’un tilleul en fleur, les vitres ouvertes et consultant son agenda. A la portière un de mes ouvriers qui devait préparer du matériel, discutait avec elle.
J’allais sortir et m’avancer vers eux mais à ce moment là je vis mon ouvrier avancer sa main à l’intérieur du véhicule. Je m’approchais discrètement au plus près pour voir de quoi il s’agissait et là, surprise !
Il était occupé à balader son doigt tendu tout le long du décolleté de la robe de Colette …
— Non Bruno, dit-elle, pas ici, mon mari pourrait arriver.
— Allons Madame Choisez, répondit-il, on l’entendrait venir votre petit mari, le bruit de la grille et le crissement des pneus dans le gravier de l’allée, soyez zen, il fait beau, vous êtes belle, il fait chaud et je vous trouve un peu trop vêtue.
A ces mots il en était à s’être invité dans le décolleté de ma femme, lui caressant la poitrine, par moment il se penchait d’avantage, son bras disparaissant laissant deviner que sa main descendait plus bas sur son ventre, entre ses cuisses…
Au bout d’un moment de ce petit jeu, il ouvrit la portière, en sortit une jambe de Colette et se mit à lui lécher la chatte, sa petite culotte glissée de côté….
(à suivre)